Le Coup de Cœur de la semaine
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Le Top de la semaine
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Le Flop de la semaine
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Bonjour à toutes et tous et bienvenue dans cette nouvelle édition des Review Express VO qui regroupe, comme chaque semaine, les avis de toute l’équipe sur les sorties Vertigo, Beyond The New 52 et New 52 les plus récentes. La semaine était assez chargée du côté des New 52 avec des sorties importantes, ce qui nous a poussé, par sens du devoir, à vous faire non pas une, ni deux, mais quatre reviews détaillées pour ces sorties. Vous avez donc pu (ou pouvez dès maintenant) découvrir nos avis sur le troisième numéro de la série hebdomadaire Batman Eternal, sur les nouvelles séries Justice League United et Secret Origins, mais également sur l’arrivée de la nouvelle équipe créative pour The Flash #30 ! On notera également cette semaine l’arrivée plus que tardive de Batman/Superman #9 qui offre une 3ème partie à First Contact, le crossover bouclé depuis un mois. Pour le reste, suivez-le guide, les séries plutôt bonnes continuent de l’être, et les mauvaises sont toujours aussi mauvaises ! N’hésitez pas à partager vos critiques et avis dans les commentaires !
VERTIGO
DEAD BOY DETECTIVES #5
BEYOND THE NEW 52
INJUSTICE : GODS AMONG US : YEAR TWO #8
Les dispositions que les Gardiens prennent pour stopper Superman ont été activées. Pourtant, Hal Jordan est sur Oa afin de tenter d’expliquer à ses chefs que ce que fait le Kryptonien sur Terre n’est pas de la tyrannie mais qu’il fait effectivement du bien à l’ensemble de la planète. Tom Taylor fait d’ailleurs ce qu’il fait de mieux, écrire des dialogues tout à fait justes et parfaitement cohérents. Ainsi il fait comprendre, ce que peu ont essayé d’explorer, que la coopération entre Superman et Lex Luthor pourrait faire avancer le monde dans une nouvelle ère. Mais les Gardiens ne semblent pas vouloir écouter et la marche contre l’ancien héros commence. En fait le seul réel problème de ce numéro c’est les relations entre trois des principaux Green Lanterns. Kilowog, John Stewart et Hal Jordan plus précisément. Alors que l’on nous les montre copains depuis des lustres, trois pages après c’est la guerre comme s’ils ne s’étaient jamais vraiment aimés. La réaction colle plus avec le personnage de Stewart même si cela fait toujours bien trop pressé dans le traitement des personnage. Là on n’y va pas par quatre mesures. Sans doute que le planning ne permettait pas de faire un numéro de plus pour mieux amener la conclusion de ce chapitre. De toute façon Injustice : Gods Among Us reste une vraie valeur sure.
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TEEN TITANS GO! #6
Règle numéro 1 : ne jamais donner les rênes d’une entreprise à Cyborg. Il embauchera ses coéquipiers à n’importe quel poste, et lorsque l’un d’entre eux mettra le nez dans les histoires de business, ça part en vrille. Du coup on se retrouve avec Raven, Starfire, Beast Boy, Robin et Cyborg dans une aventure professionnelle hors-norme, dans un bâtiment hors-norme, avec des cadeaux d’entreprises hors-norme. C’est sympa à lire, c’est même très sympa,on retrouve bien les caractères des personnages et leurs lubies. J’ai pas mal rigolé, et il faut dire que la fin est bien sympathique. Comme on dit, tel est pris qui croyait prendre. Une aventure qui devrait servir de leçon à Robin. Enfin, jusqu’aux prochaines aventures.
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JUSTICE LEAGUE BEYOND 2.0 #18
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Le crossover Justice Lords Beyond continue ici. Wonder Woman à présent revenue sur notre Terre rencontre le reste de la Justice League puis explique à Kal-El ce qu’il est advenu sur la Terre des Justice Lords, avec un récit qui n’aura de cesse, ici et là, de nous rappeler Flashpoint ou Injustice. C’est en même temps toujours une approche sympathique mais cette impression de déjà-lu prédomine sur les flashbacks. L’arrivée impromptue de certains personnages laisse également perplexe – la faute à une paresse scénaristique, pourtant assez rare avec Christos Gage, qui sera peut-être expliquée dans les prochains numéros. La révélation de fin remplit son rôle en soulevant questions pour la suite de l’arc, mais également concernant ce qui va arriver dans Batman Beyond 2.0 – en espérant que les actions des uns et des autres auront vraiment leur importance sur chacune des séries. Le numéro en lui-même est légèrement en dessous de ce que j’avais l’habitude mais reste d’un niveau correct. Dexter Soy a une approche remarquable sur la série en conservant une ambiance proche de l’animation Beyond tout en donnant une tournure assez adulte aux personnages et à l’action. Un mélange on ne peut plus plaisant !
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NEW 52
ALL-STAR WESTERN #30
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La dure loi du Far West est terriblement violente pour Jonah Hex. Qui enterre une nouvelle fois une de ses compagnes dans le désert… C’est dans ce ton maussade et bien craignos que débute ce numéro qui continue de renouer avec les fondamentaux de la série. Mais l’arrivée d’un personnage bien affiché sur la couverture va nous donner un dialogue succulent qui nous fera oublier notre chagrin ! Comment expliquer à cette bonne-femme qu’il est bien Jonah Hex, qu’il s’est fait recoudre la tronche, et qu’il a fait un voyage dans le futur ? La réponse est simple, autour d’une bouteille ! Sur douze pages seulement, on se délecte de cette lecture, bien ancrée dans cette époque western, avec le bruit des chaussures de cowboy et tout et tout, comme si on y était. Staz Johnson prend la relève de Moritat, et franchement, ça me va très largement tant l’homme est un habitué du personnage et de son univers ! C’est superbe et la mise en scène qui va avec est juste digne d’un film avec Eastwood en tête d’affiche ! Effet sonore en prime ! Les dix autres pages du numéro sont consacrées à une petite nouvelle dans les New 52, Madame 44 ! Le numéro commence un peu follement, avec elle entourée de flammes et de démons… Puis, elle décide de nous raconter un peu sa petite vie tranquille de mineur/chercheuse de trésor qu’elle vivait avec son papa et un ami de celui-ci accompagné de son propre fils, environ un jour plus tôt… Oui, la vie bascule vite au Far West, c’est la leçon du jour ! Histoire classique mais qui reste très sympa et qui donne envie d’en savoir plus. Avec de la manipulation, de la trahison, des doutes, et du mystère. Avec une touche de mysticisme et je l’espère, un gros clin d’oeil à un élément important de l’univers DC, réponse au prochain numéro. Garcia Lopez fait ici un travail honnête, bien qu’un peu inégal sur certaines proportions chez les personnages… mais ça se laisse regarder.
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AQUAMAN #30
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Petite baisse de régime pour Aquaman ce mois-ci. La faute tout simplement à une histoire qui n’avance pas du tout et qui n’est qu’un prétexte à une grosse baston entre un demi-dieu et Aquaman. Baston qui est d’ailleurs très limite artistiquement. Je ne me fais pas non plus à la tête d’abruti que l’Olympien se paye. On a toujours deux-trois intrigues qui pour l’instant n’ont pas l’air d’être connectées mais qui se révèleront plus liées que ce que l’on pense. Mera joue son rôle comme il se doit, même si elle n’est pas contente et prend effectivement de plus en plus de place en tant que Reine, en gagnant peu à peu le respect des politiciens d’Atlantis. Le reste n’a pas spécialement besoin d’être détaillé puisque c’est de l’action. On peut toutefois mentionner le début du lien avec l’univers de Wonder Woman qui se connecte au reste du DCU peu à peu par l’intermédiaire des autres séries. Un crossover sera surement planifié pour ces deux-là, en tout cas je l’espère, mais au moins on sait que la mythologie d’Atlantis nous réserve encore de nombreuses surprises. Un Aquaman #30 un peu léger en somme, pas forcément déplaisant mais pas aussi passionnant que d’ordinaire.
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BATMAN/SUPERMAN #9
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Quel dommage de ne pas avoir eu cette troisième partie du crossover First Contact avant la conclusion… Oui la conclusion était franchement mauvaise, mais j’avoue qu’encore une fois je me laisse avoir par le duo Greg Pak et Jae Lee. L’écriture de l’un est tout ce qu’il parait être des plus simplistes et pourtant il parvient, par endroit, à dégager de belles choses rien qu’avec des mots. Le second sublime l’ensemble. On aime ou on n’aime pas, on ne peut tout simplement pas dire que Jae Lee n’embarque pas l’ambiance de la série presque à lui tout seul. Loin de simplement dessiner des personnages, il réalise ce que j’appellerais des atmosphères. En plus il retrouve une bonne qualité de travail, sans avoir à abuser des simples silhouettes. Mais après ces compliments, il faut se rendre à l’évidence, ce Batman/Superman est finalement inutile pour tous ceux qui lisent First Contact. Du coup la lecture perd énormément d’intérêt mais reste très plaisante à lire puisque bien meilleure que la conclusion. C’est une donc un sentiment bien mitigé qui règne après la lecture de Batman/Superman #9 et j’ai maintenant hâte de voir ce que nous réserve le prochain arc. En tout cas, même si la qualité globale du crossover n’est pas faramineuse, il peut être intéressant pour les lecteurs de le lire s’ils veulent appréhender plus généralement la future « Crise » qui s’annonce chez DC.
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CATWOMAN #30
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Catwoman n’est plus Catwoman, elle n’est plus que Selina Kyle avec une totale aversion pour le vol et son ancien costume qu’elle brûle sans remord. Mais au final, suite à un appel à son travail de ligne de détresse, elle retrouvera une ancienne amie, une invitation mystérieuse, et pouf, de nouveau elle portera son costume de Catwoman que son amie avait gardé au chaud. Pour au final, partir dans une compétition de voleurs pour savoir qui détrônera Roulette. Voilà, voilà. Ah oui non, après ça se bat entre voleurs sur tout le reste du numéro, bagarre générale où chacun expose des capacités spéciales. En fait, ce numéro c’est juste du Ann Nocenti tout craché. C’est brouillon, et franchement pas super intéressant. Sauf le passage où Selina ramène une flopée de chats chez elle. À côté de ça, heureusement Patrick Olliffe fait du bon travail sur les planches ce qui aide à faire passer la lecture.
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JUSTICE LEAGUE DARK #30
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Mais que c’est bien dites moi ! Nous avions laissé une Justice League Dark en plein déchirements avec une passation de pouvoir assez violente, et nous la retrouvons ici légèrement en décrépitude. Tous nos héros ne sont pas sortis indemnes des évènements de Blight, certains préfèrent partir, d’autres s’expliquer, alors qu’une nouvelle menace couve prête à s’enflammer. Ce numéro est intéressant par le travail apporté sur la caractérisation des personnages que l’on retrouve comme on les aime, oui même Constantine, ou par l’histoire qui aguiche instantanément le lecteur s’il est un minimum attentif par les indices laissés dans le numéro. J.M. DeMatteis aime bien prendre son temps pour installer une histoire magique, et il fait bien. De plus, il est ici accompagné par Andres Guinaldo, Mark Irwin et Brad Anderson qui font du très bon travail sur les planches. On pourrait par moment (la scène de la piscine) penser au travail de Yannick Paquette. C’est très joli. Certaines cases sont en dessous du reste, mais dans l’ensemble, les expressions des personnages et leurs attitudes sont bien travaillées. Cela fait très plaisir de retrouver une nouvelle histoire, une nouvelle dynamique pour Justice League Dark avec une équipe encore nouvelle. Et puis, une équipe menée par une Zatanna déprimée et effrayée, c’est plutôt chouette !
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LARFLEEZE #10
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Voici je pense le meilleur numéro de la série ou sans aucun doute, le plus drôle. Peut-être est-ce grâce à a présence de G’nort, le Green Lantern le plus moisi de l’univers qui arrive quand même à mater du dieu… Peut-être grâce à la présence de ces fameux « dieux » complètement fous qui ont peur d’un Larfleeze enragé, et qui peuvent téléporter leur esprit dans un arbre, pour survivre… Peut-être grâce à Stargrave, qui balance des punchline à se pisser dessus au moment le plus opportun (la dernière page du numéro m’a littéralement tué)… Peut-être grâce à Larfleeze lui-même, qui se fiche de l’amour qu’est prête à lui offrir Ardora, et qui veut simplement récupérer son majordome, dans une colère totalement inappropriée… Peut-être grâce à Ardora, très portée sur les traditions familiales et qui essaye de suivre Larfleeze malgré ses rejets perpétuels et son incompétence pour écouter… Peut-être grâce de ce monde de robots « vivants » avec ses habitants qui subissent et ne peuvent rien faire d’autre… Peut-être grâce à ces mimiques incroyables, ces dessins farfelus, ce semblant de moustache « badass » sur la tronche de G’nort, et le sens du détail général de Scott Kolins… Et finalement grâce à tous ces éléments totalement barrés qui forme un ensemble absolument génial pour une lecture absolument délirante qui va se voir annulée parce que les gens ne comprennent pas l’humour et les références qui parsèment cette série. Et ça, ben, ça me rend triste…
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RED LANTERNS #30
Red Lanterns ne cesse de m’étonner tant depuis l’arrivée de Charles Soule, la série est sur une pente ascendante d’un point de vue qualitatif et la bonne surprise continue cette semaine. En effet, sur fond de guerre des gangs entre Atrocitus et Guy Gardner, l’auteur met vraiment son intrigue au service des personnages et tous en ressortent grandis. Encore mieux, pour la première fois depuis très longtemps Supergirl a l’air cool et après des mois à la voir pleurer sur son sort, ça fait un bien fou. De plus, même le nouveau personnage introduit ici a la classe et un certain potentiel. Certes, il faut bien avouer que l’histoire avance finalement assez lentement mais encore une fois les personnages sont tellement mis à l’honneur que ça ne dérange pas plus que ça. Pour ce numéro, Alessandro Vitti et Jim Calafiore se partagent les dessins et leurs styles assez similaires s’accordent bien ensemble. Il y a par moment un aspect un peu chaotique au sein des planches mais qui convient finalement plutôt bien à l’ambiance de la série. Red Lanterns #30 est donc une réussite et même si je m’étonne moi-même de le dire, la série fait maintenant partie de celles que j’attends avec curiosité chaque mois.
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SUPERMAN #30
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Prologue à Doomed. Voilà, je pourrais terminer la review juste comme ça. À l’inverse de ses copains Pak et Soule, Lobdell n’a pas le talent suffisant pour faire passer un prélude correctement. Le hic, c’est qu’il y a plein de choses dans ce Superman #30, mais au final on n’en retient rien. On nous sert un petit bout d’un truc là, puis un autre truc ici et ainsi de suite. Tout est décousu, même si c’est sans doute voulu pour faire genre « regardez-tout-ce-qui-se-passe-dans-l’univers-Superman-c’est-trop-bien » mais en fait non. Du coup on se retrouve avec un personnage tout droit sorti de la petite purge Krypton Returns qui vient dire à Superman que quelque chose de pas bien arrive, on a des gens à moitié à poil qui tombent dans le coma à cause d’un truc tout noir mais « qu’on ne sait qu’est-ce que c’est », un bordel avec Le Collecteur et cette p***** bouteille de Kandor qu’on nous ressort « parce qu’on a failli l’oublier » et j’en passe. Au final ce numéro sent très mauvais le Lodbell qui s’est dit « merde, je me fais dégager dans deux numéros, faut que je termine ce que j’ai commencé au plus vite » sauf qu’il ne termine rien du tout et que Doomed commence dès le mois prochain… Merci Scott pour cette purge vide de tout, même de rien, fallait la faire et tu l’as faite. Heureusement que Superman par Ed Benes ça passe franchement bien parce que les autres pages et même tous les autres personnages, à l’exception des femmes, me rappellent un peu les traits de Liefeld… Oh et puis pour enfoncer le clou, il s’agit là d’un prologue à Doomed, sauf qu’on ne sait pas du tout quel morceau est rattaché a Doomsday au final… La tension en prend en sacré coup !
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TEEN TITANS #30
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OMFG. Je ne sais pas si c’est le fait d’avoir lu Superman #30 juste avant mais ce n’est juste plus possible. On n’atteint sans doute pas de nouveaux sommets avec Teen Titans #30 mais on se trouve dans le haut du panier de la merditude. Les Titans (du moins de nom) semblent être de retour dans le présent, dont on ne sait pas vraiment si c’est post ou pendant Forever Evil et sont directement attaqués par des personnages sans aucun espèce d’intérêt, aussi moches qu’inintéressants. Ils sont expédiés rapidement grâce au retour ULTRA-POUSSIF d’une de leur ancienne camarade. Finalement, comme ça n’a pas beaucoup de sens on nous fait suer avec son histoire du pourquoi, comment, blablabla. Histoire d’achever le truc on nous révèle un truc trop « kikoolol-famille-blablabla » ça sert à rien à part dire de la daube. Et puis il y a tout le reste. En fait je préfère m’étouffer tout de suite. À mon avis il y a de grandes chances que ce numéro termine sa vie dans la litière du chat, en espérant qu’il ne fasse pas à côté par peur… Parce que oui, mon chat a bon goût !
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Nathko qui a complètement pété un câble à cause de Lobdell !
Courage, c’est bientôt fini !
Des la semaine prochaine, je vais le soutenir un peu, ça devient dur à gérer pour lui là :(
Moi aussi je suis triste pour Larfleeze, il mérite tellement plus ! Cette review de Teen Titans j’ai adoré ! Haha C’est quand même fou que ce soit (quasiment) chaque mois du même acabit…
Merci pour ce review express en tout cas :)
Tu as lu ce numéro Tohu ? J’ai peur d’être excessif dans mon enthousiasme mais je me suis marré sur CHAQUE page de ce ‘ain de numéro ! En plus, de manière assez subtile, Giffen et DeMatteis glisse quelques petites perles sur leurs histoires passées (avec G’nort c’est facile ^^)… Rhaaa, j’en veux encore !
Non j’ai encore quelques numéros de retard malheureusement mais je vais rattraper ce retard dès la semaine prochaine ! Tu m’a tellement donné envie ! J’ai pas hâte que ça se finisse :(
Ouah Nath est dans le mal…
et ben entre catwoman, teen titans et superman nous avons là une sacrée semaine^^
Courage à ton chat Nath surtout!
Et *****, ayant appris l’annulation de la série Larfleeze j’ai arrêté de la lire et j’attends les TPB mais ça me donne quand même sacrément envie de lire cette série sur ces derniers numéros. Finalement c’est peut être pas plus mal qu’elle s’arrête avant que qu’elle ne s’essouffle non? Comme ça on a une bonne mini.
Sinon faudra que j’aille me procurer le JLD et All Star Western, je les ai complètement zappé cette semaine. Honte à moi ^^.
Grand écart pour DC cette semaine ! Un 2 et un 10 !
D’ici quelques semaines, Lobdell ne pourrira plus que Red Hood & the Outlaws, non ? Et c’est pas la série où il est le plus digeste ? (la série avait eu de bons retours à son lancement…)
Concernant Nocenti, pas de nouvelles d’une fin de son run sur Catwoman ? J’ai l’impression que ces derniers mois, la série s’enfonce pas mal.
C’est dommage pour Larfleeze de partir aussi vite, mais on aura toujours 2 TPB bien sympas à lire et à relire.