Les points positifs :
Les points négatifs :
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« La seule chose dont nous devons avoir peur est la peur elle même. » – Franklin Delano Roosevelt
« Tant qu’il y aura de la vie, il y aura de la peur, vous ne vous en débarrasserez jamais. » – Sinestro
- Scénario : Geoff Johns, Dave Gibbons – Dessin : Ivan Reis, Ethan Van Sciver, Patrick Gleason, Angel Unzueta, Dave Gibbons
- Geoff Johns présente Green Lantern tome 4 : La Guerre de Sinestro 1ère partie – 21 février 2014 – 192 pages – 17.5€ – DC Signatures
On continue à (re)découvrir le run qui a redéfini l’univers du Green Lantern Corps avec un numéro dont le titre donne le ton : la guerre de Sinestro ! Et il n’y a pas de préliminaires ou très peu, ça tabasse très vite et très fort !
Car oui Sinestro n’est pas content (et en fait je n’ai pas souvenir de l’avoir vu jouasse une seule fois), et il a réuni tout un corps à son image : Le corps de Sinestro, auquel il adjoint quelques grosses pointures : Cyborg Superman (grand ami d’Hal Jordan devant l’éternel), Superboy Prime (psychopathe intergalactique) et l’Anti-Monitor (grosse huile spécialisée en destruction de mondes), les deux premiers tout droit sortis des geôles des Gardiens, donc ils ont les glandes contre eux (et en fait ils ont les glandes tout le temps eux aussi, qui se ressemble s’assemble). Et le bougre semble avoir un objectif, certes pas très original, détruire la terre, mais c’est la raison pour laquelle il le fait qui est originale, provoquer l’effondrement des 52 mondes négligemment adossés à notre bonne vieille planète bleue, et du multivers qui va avec. Commence alors l’assaut.
Le volume contient les numéros US suivant : Green Lantern : Sinestro Corps Special #1, Green Lantern #21 à 23, Green Lantern Corps #14-15, parus outre Atlantique sous le titre Sinestro Corps war vol. 1 et Green Lantern #18-19
Bref, ça cartonne très vite et j’ai envie de dire très bien, tout est bien emmené et on dévore tout ça à vitesse grand V. Le seul défaut que je trouve c’est que l’histoire s’arrête trop tôt, on voudrait connaitre la suite et les gros ne sont pas encore rentrés dans le jeu ! Mince, je l’ai dévoré en ou deux passages aux toilettes et le plus gros de la bataille n’est pas encore là, frustrant !
Pas grand-chose à dire sur le scénario, même s’il faudra avoir le tome 2 en main pour en juger complètement. Mais Geoff Johns se meut avec une facilité déconcertante dans cet univers qu’il a grandement créé. Son run sur Green Lantern (qui vient de prendre fin en VF) est son bébé et son chef d’œuvre à mon sens.
Niveau dessins, que du très bon aussi, beaucoup d’intervenant mais une seule et même qualité : la meilleure ! Franchement très très peu de défauts. Et même deux petit coup de cœur pour « les contes du corps de Sinestro » qui reviennent sur les parcours d’accessions de deux des membres du corps susnommé. Cela humanise ce qui apparaît plus tôt dans le livre pour un paquet de barbares assoiffés de sang.
Vous l’avez compris, j’ai beaucoup aimé. Un conseil, achetez le ! Et tous les autres avant aussi car ce n’est pas tous les jours que l’on assiste à la recréation d’une mythologie aussi complexe. Et cela vous aidera à comprendre les enjeux des numéros actuels !
J’ai beaucoup aimé ! Vivement la suite !
Dans l’ensemble, j’ai trouvé pas mal. Mais j’ai été très, très, très déçu par la caractérisation de Sinestro et Parallax.
sur quels points?