Review VF – Justice League Saga #19

critique justice league saga 19
Justice League Saga 18
Les points positifs :
  • Que des dessins de haute volée pour ce numéro !
  • Un magazine rempli de numéros de qualité
Les points négatifs :
  • Dernier numéro par la Dream Team Lemire/Sorrentino, snif.
  • La Justice League Dark en petite forme.

 

C’est par une magnifique cover de Darwyn Cooke que ce numéro nous accueille. Mais est que ce délicieux plumage cache-t-il un ramage de la même ampleur ? Découvrez ce que nous avons pensé de ce numéro placé sous le signe du talent graphique dans cet article. Ce numéro 19 de la série des Justice League Saga est disponible depuis le 7 mai pour la modique somme de 5 euros 60.

Numéro précédent : Justice League Saga #18 La suite dans : Justice League Saga #20

 

Justice League #33

  • Scénario : Geoff Johns – Dessins : Doug Manhke – Colorisation: Andrew Dalhouse

Après avoir expédié la Doom Patrol, qui finalement n’aura fait qu’un rapide passage un peu inutile, Johns s’attarde sur le problème numéro un de la Justice League : Lex Luthor. Ses demandes se faisant de plus en plus pressantes, la League se demande si elle ne doit pas accéder à sa requête.

Malgré une fin attendue et gâchée par une phrase archi bateau, ce numéro est très bien construit, avec notamment une excellente caractérisation de Lex Luthor qui n’aura de cesse de faire étalage de son intelligence, qu’il juge supérieure, et de manipuler une Justice League qui n’est pas dupe, mais qui a les mains un peu liées. Les dessins de Doug Manhke sont superbes, les visages sont expressifs à souhait, tout est détaillé, et la colorisation de Andrew Dalhouse qui l’accompagne marque bien chaque ambiance avec ses reflets superbement gérés.

Un bon numéro avec une conclusion que tout le monde attend, on se demande ce qui va advenir de cette nouvelle Justice League !

– Darthfry

Note : 8,5/10

Inégal dans ses dessins (ou tout à fait égal dans le fait d’être moyen), Justice League #33 achève, comme on pouvait s’y attendre, la courte mais honnête prestation de la Doom Patrol dans l’ère New 52. Geoff Johns oblige, cette porte reste ouverte pour l’avenir (une de plus, après Superwoman et avant le virus Amazo. Mais ceci est une autre histoire !).

Et en attendant de la revoir, savourons mine de rien cette nouvelle dynamique de la série Justice League, qui avance vers un but bien plus clair qu’à ses débuts. Lex Luthor reste l’épicentre (chauve) du récit, toujours bien caractérisé et génial dans ses tics de vilain devenu gentil, prêt à œuvrer pour le bien commun mais incapable de se défaire de le faire autrement que comme un super vilain. Plaisante à suivre, cette évolution du génie du crime au rang presque iconique de super-héros machiavélique (cherchez l’erreur) est un enjeu qui reste toujours aussi intéressant, depuis le premier numéro de Forever Evil.

La série est partie sur de bonnes bases, en plus de parvenir à trouver de bonnes idées de plaisir fanservice, bref, on aime, on achète, et on y retourne le mois prochain.

– Corentin

Note :8/10

JUSTL_Cv33 resize


Justice League United #3

  • Scénario : Jeff Lemire – Dessins : Mike McKone – Colorisation: Marcelo Maiolo, Andrew Dalhouse

Si tout le monde empile les superlatifs pour cette série, moi je suis nettement plus réservé, là où chacun voit des hommages en série, je vois un empilement un peu bancal de choses déjà vues et je n’accroche pas à l’histoire (d’ailleurs certains y voient de l’horreur, on a visiblement pas la même définition de la chose…).

L’humour y est attendu et un peu lourdaud (même s’il a le mérite d’être présent), on ne comprend pas bien où va nous mener l’empilement de situation (et à dire vrai je m’y perd) et deux gros bœufs traversent l’histoire en se mettant sur la tronche (même si la fin du numéro résout au moins ça). Ce n’est pas la cata de l’année comme peut laisser penser ma diatribe, mais j’ai de plus en plus de mal à comprendre le flot de compliments qui s’abat sur une série qui à du mal à emporter mes suffrages.

Coté dessin c’est superbe, bien qu’un peu froid et figé, probablement l’influence de la colorisation très dans les bleus signée Maiolo et Dalhouse, McKone fait du super boulot.

Moi je n’accroche pas mais me sentant en minorité il y a surement quelque chose qui m’échappe. Ceci dit c’est une série tout à fait correcte, j’ai juste du mal à m’expliquer les louanges qu’elle ramasse tous les mois…

– Darthfry

Note : 6,5/10

Justice League United #3, à l’image des trois numéros précédent (n’oubliez pas le #0), présente le même récit à la croisée des genres. A mi-chemin entre Jim Starlin, DeMatteis et Morrison, entre l’horreur, le cosmique et l’humour d’équipe un peu bêta, le numéro garde la même signature Silver Age, en empilant l’intelligence sur l’invraisemblable, et l’humour à l’ambiance ultra-sérieuse d’un récit de tribu indienne complètement déconnectée du reste.

Excellent et bien dessiné, le numéro reste dans la même veine que les autres, avec en plus un cliffhanger efficace (et qui justifie une des étrangetés de la série, à savoir la présence de Lobo et Hawkman, occupés dans leur propre pugilat, pendant que l’univers frôle l’extinction). Un vrai coup de coeur, qui maintient un niveau de qualité identique, pour les fans de Jack Kirby et de Jeff Lemire, qui regrettent que cette écriture soit encore trop rare dans les comic books modernes.

– Corentin

Note : 9/10

Justice_League_United_Vol_1_3 resize


Flash #33

  • Scénario : Robert Venditti, Van JensenDessins : Brett Booth –  Colorisation: Andrew Dalhouse

Un petit coup de moins bien cette semaine dans Flash ! On oublie un petit peu le Flash du futur, même s’il apparaît moins définitif que les précédentes fois. Pendant ce temps là, Barry continue de perdre du temps et d’être en retard de façon de plus en plus récurrente, il sera cependant pile à l’heure pour assister à la transformation qui orne l’image d’illustration et affronté l’écorché qui en résulte (bien pratique pour les étudiants en médecine).

Le rythme semble baisser un peu et notamment lors de ce qui me semble être l’intrigue la plus inintéressante, celle du Flash du futur, j’ai tellement hâte de savoir ce qu’il va en advenir et ce qui cause les retards de Flash, que l’enquête de police de Barry me semble secondaire, et comme elle est prépondérante ce mois ci, je suis un peu déçu.

Rien de grave cependant car la série reste de bonne tenue, avec les magnifiques dessins de Brett Booth, qui fait merveille avec celui que je nomme l’Écorché !

– Darthfry

Note : 7/10

Robert Venditi et Van Jensen se font encore plaisir à conjuguer voyages dans le temps, enquête de police et babysitting pour un jeune Wally West en pleine crise d’ado. Et ça marche toujours autant même s’il faut bien le dire : on commence à trouver que les numéros se ressemblent tous un peu trop.

Barry dans le présent arrive en retard et se rend compte qu’il y a quand même un souci avec la Force Véloce. Et le Flash du futur continue de vouloir ramener l’équilibre dans la force, pas façon Star Wars mais cette fois-ci en donnant une bonne leçon au Trickster. L’écriture de ce passage en particulier est assez fine et franchement intéressante même si on aimerait bien que nos deux Flash finissent enfin par se rencontrer. Enfin on ne boude pas notre plaisir, les scénaristes font monter la hype et on ne peut pas foncièrement les en blâmer. Sur l’enquête c’est finalement plus classique quoiqu’on assiste à la création d’un écorché monstrueux bien repoussant comme il faut. Par la même occasion ce combat n’est qu’un prétexte pour mettre un peu d’action dans une enquête de police un peu prévisible mais bien exécutée. En parlant d’exécution, quel plaisir de voir Brett Booth aussi en forme, décors, expressions des personnages, dynamisme et découpage réussi, tout y est.
Un numéro qui se laisse suivre avec plaisir mais il serait temps de changer un peu de formule, on a envie de voir où on va !

 

– MFW

Note : 7,5/10

The_Flash_Vol_4-33_Cover-1_Teaser resize


Green Arrow #34

  • Scénario : Jeff Lemire Dessins : Andrea Sorrentino – ColorisationMarcelo Maiolo

La fin d’une époque sur Green Arrow ! La fin du run qui employait Jeff Lemire et Andrea Sorrentino, qui depuis a, hélas, rejoint la concurrence, se déroule sous nos yeux dans une conclusion épique qui voit la famille Green Arrow se reconstituer et reprendre le contrôle de sa ville ! Pas un instant de répit ça pète de partout façon film d’action, surtout dans le final ou Queen et Diggle affrontent un Richard Dragon bien racaille et surpuissant.

Je voudrais surtout rendre hommage à Sorrentino qui aura pris avec cette série une dimension incroyable, avec probablement parmi les plus beaux dessins sur une série régulière de ces dernières années. C’est splendide et quasiment de l’art sur chaque planche. C’est un énorme gâchis que de le voir débarquer chez la concurrence à grandes oreilles et j’aurais bien aimé voir son incroyable style sur une autre série. Pour moi dans mon panthéon des dessinateurs, il y a Alex Ross, Lee Bermejo et Andrea Sorrentino !

Quel dommage de voir partir cette équipe, mais il nous offrent un dernier numéro qui clôt avec superbe leur run génial. Merci à eux.

– Darthfry

Note : 10/10

C’est donc fini, Jeff Lemire et Andrea Sorrentino tirent leur révérence dans un numéro qui sonne comme l’aboutissement d’un run qui restera gravé dans l’histoire du personnage. Équipe créative providentielle qui a sauvé un personnage bien mal en point à leur arrivée c’est avec tristesse qu’on les laisse s’en aller. Les petits nouveaux qui arrivent feront moins bien malheureusement je me dois de vous le dire, la série ne redeviendra pas une purge comme elle a pu l’être mais baissera en qualité. Les dessins de Sorrentino manqueront c’est certain, il avait réussi à imposer un tel style visuel, audacieux et réussi. Et que dire de l’écriture de Lemire encore une fois.

Le face à face avec Dragon, pierre angulaire du numéro est incroyable, il déborde de badassitude. Oliver Queen aura évolué tout au long de ce run pour le meilleur redevenant attachant. La dernière page est magnifique est permet de conclure admirablement cette histoire. On referme le numéro avec la gorge serrée. Chapeau messieurs pour tout ce que vous avez fait. Un tel final ce n’est pas si fréquent et vous m’avez fait passer par toutes les émotions possibles.

– MFW

Note : 9,5/10

Green_Arrow_Vol_5-34_Cover-1_Teaser resize


Justice League Dark #33

  • Scénario : Jean-Marc Dematteis – Dessins Andres Guinaldo – Colorisation: Chris Sotomayor

Je suis un fanboy inconditionnel de Deadman, Love After Death est peut être un de mes comics préféré. Et le récit du jour se centrant sur lui avec donc ce bon vieux Boston Brand en narrateur aurait du me plaire. JM Dematteis que j’apprécie généralement sauf sur ce présent run va malheureusement gâcher sur bien des points mon enthousiasme initial.

Tout va beaucoup trop vite, tout s’enchaine dans des situations certes psychédéliques et bien barrées mais c’est too much. Le lecteur n’a pas le temps de respirer et ne comprend rien comme notre pauvre Boston. Qui plus est les dessins sont excessivement inégaux avec des visages parfois affreux qui contrastent avec la majestuosité du bestiaire proposé ici. Et que dire de l’équipe de bras cassés qui l’accompagne dans son périple. La nouvelle mode est de constamment basher Constantine ce qui au bout de la 3e fois devient plus qu’agaçant. On a compris que c’était un salaud, merci. Les situations improbables et un bestiaire complètement halluciné se présentent à une vitesse folle. Et non ça ne suffit pas à rendre la lecture plaisante.

C’est finalement très confus et le lecteur se perd dans cette profusion d’informations contradictoires et peu explicites. Reste quelques beaux moments et un Deadman à la psyché passionnante. Le numéro est sauvé par un cliffhanger franchement sympathique qui pourra faire penser à une repompe de Brightest Day. Qu’a cela ne tienne, un numéro moyen m’aura au moins donné envie via ce retournement de situation de lire le suivant.

– MFW

Note : 5/10

La Justice League Dark ce n’est pas ma tasse de thé, c’est pourquoi j’évite de donner mon avis sur cette série sur DCPlanet, mais une défection de dernière minute m’oblige à sortir ma boite à baffe pleine de mauvaise foi, fans de la JLD, si cependant cela existe, sachez que tout cela est la faute de Zeppeli.

Depuis la fin de Forever Evil : Blight, la JLD tente de se reposer dans l’ancienne maison de Constantine, reprise par Zatanna qui à interdit à Constantine d’y remettre les pied, mais l’Anglais s’est incrusté quand même sans que personne ne fasse rien de plus que l’insulter régulièrement. Pendant ce temps là il arrive des merdes à tout les autres membres et ce mois ci c’est Deadman. d’ailleurs on ne comprend rien à ce qui lui arrive et c’est finalement la marque de fabrique de cette série. Donc je résume une intrigue amoureuse entre Zatanna et Constantine digne d’une telenovela dans laquelle s’imbrique une histoire à laquelle on ne pane rien. Quelque chose sauve encore et toujours la série, ce sont les dessins d’Andres Guinaldo qui sont fantastiques.

Voilà un aperçu de la purge que je subis chaque fois que je pose les yeux sur cette série, dont j’aimerais bien qu’elle se renouvelle un grand coup…

– Darthfry

Note : 3/10

Justice_League_Dark_Vol_1-33_Cover-1_Teaser resize


Earth-2 #23

  • Scénario : Tom Taylor – Dessins Nicola Scott – Colorisation: Pete Pantazis

Tom Taylor réalise une fois de plus un tour de force. Proposer à la fois de l’action débridée, le retour d’un personnage qu’on apprécie, un huis clos plutôt angoissant et un final qui verse dans le tragique. L’ambiance est toujours aussi lourde et désespérée alors que Red Tornado/Lois tente d’amadouer ce Superman plus ambigu qu’il n’y parait. La meilleure partie est justement la présentation de Lois aux parents Kent, une ambiance bien malsaine alors qu’on peut lire la peur voire la terreur sur le visage de Jonathan et Martha. Ils ont la trouille et ça se comprend et tentent en vain de de ne la montrer devant leur “fils” devenu un simple larbin d’Apokolyps.

Mais ce n’est pas tout, la fin est incroyable, violente et la mort n’aura jamais été aussi proche pour nos héros. Un récit sans concession, tragique et peut être même un peu déprimant qui va donc prendre une nouvelle direction après pas mal de numéros passés dans la Batcave de ce bon vieux Thomas. Le rythme s’accélère depuis quelques temps, Taylor a posé les bases, il est temps de sortir le grand jeu et on assiste ici à un tournant. Earth 2 ne serait pas ce qu’elle est en ce moment sans le talent de Nicola Scott décidément toujours au top avec des planches pleines de détails, des personnages classieux, tout ce qu’il faut pour un grand récit mainstream aussi épique.
Un vrai plaisir de lecture comme toujours avec une qualité toujours constante pour une série qui ne déçoit que rarement.

– MFW

Note : 8,5/10

La résistance, rassemblée autour du nouveau Batman réussit à calmer Superman et à l’espionner grâce à Red Tornado, qui héberge l’esprit de Lois Lane, ce qui leur permet de retrouver leurs esprits et de tenter de se réorganiser et de marquer le retour d’Alan Scott plus en forme que jamais. Répit, hélas, de courte durée…

Le rythme un peu frénétique des derniers numéros ne laisse aucun moment pour les héros et le lecteur pour respirer, du coup on aimerait voir les héros reprendre leur souffle pour contre-attaquer. mais Tom Taylor a visiblement d’autres plans pour son histoire et je suis très curieux de voir la conclusion de tout cela car le personnage de Superman semble bien plus complexe qu’imaginé et pourrait bien révéler des surprises… Ou pas…. Bref, on ne sait pas ou tout cela va nous mener et le suspense est intense…

Encore une fois Nicola Scott nous offre un récital de son immense talent et c’est génial ! C’est beau à tomber grâce aussi à la colorisation de Pete Pantazis, c’est plein de couleurs et toute la palette y passe. Ma planche préférée de ce numéro est celle du retour de Green Lantern, où tout le talent de ces deux personnes s’exprime !

Earth 2 garde une place particulière dans mon cœur, j’adore cette série, mon seul bémol c’est que j’aimerais enfin en voir le bout de cette arc, car il s’éternise un peu, même si il permet de sacrément regarnir le roster.

– Darthfry

Note : 8/10

EARTH_Cv23_ds resize

En passant par les liens affiliés BDfugue/FNAC/autres présents sur le site, DCPlanet.fr reçoit une faible commission. Qu’importe le montant de votre panier, vous nous aidez ainsi gratuitement à payer l’hébergement, modules, et autres investissements pour ce projet.

darthfry

darthfry

DC Comics : L'Encyclopédie (mise à jour et augmentée) / Edition augmentée

DC Comics : L'Encyclopédie (mise à jour et augmentée) / Edition augmentée

amazon
Voir l'offre
Patientez... Nous cherchons le prix de ce produit sur d'autres sites

À lire aussi

Promo -29%
Shazam : La Rage Des Dieux [4K Ultra HD - Edition boîtier SteelBook]

Shazam : La Rage Des Dieux [4K Ultra HD - Edition boîtier SteelBook]

amazon
Voir l'offre
Patientez... Nous cherchons le prix de ce produit sur d'autres sites

Rejoignez la discussion

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

8 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
djbone
djbone
8 années il y a

Bizarre que Jeff Lemire soit aussi mauvais sur « Justice League united » alors que pour moi c’est le meilleur scénariste de DC. On dirait qu’il essaye d’imiter Jonathan Hickman qui a pourtant complètement détruit Marvel.
Bref le reste est très bon sauf Justice League Dark pas terrible depuis le départ de Lemire justement.

MFW
MFW
8 années il y a
Répondre à  djbone

Justice League United divise, Corentin lui met quand même 9/10 et je pense pour ma part la même chose de ce numéro. J’adore la série et Lemire prend un plaisir tout particulier à écrire façon « silver age ».

jihem
jihem
8 années il y a
Répondre à  MFW

perso beaucoup aimé ca fait pensé un peu a la grande epoque de la bwahaha league

Bat-Dylan
8 années il y a

Bonjour, savez vous si il ya aura toujours Green Arrow dans le numero du moi prochain? ??

ArnoKikoo
8 années il y a
Répondre à  Bat-Dylan

Il y aura une histoire de Secret Origins #4 par Jeff Lemire et Denys Cowan sur Green Arrow.

Vakarian
Vakarian
8 années il y a

Un Batman au sommet de son charisme dans ce numéro de Justice League ! J’ai adoré !!!

BOUH!
BOUH!
8 années il y a

Ce mois ci j ai eu un peu plus de mal avec JLU et The Flash qui devient assez redondant

DC Universe FRA

Rejoignez la première et la plus grande communauté non officielle DC Comics Francophone et participez aux discussions Comics, Films, Séries TV, Jeux Vidéos de l’Univers DC sur notre Forum et serveur Discord.

superman
8
0
Rejoignez la discussion!x