Review VF – Justice League Saga #18

critique justice league saga #18
Justice League Saga 18
Les points positifs :
  • Earth-2 de retour aux affaires !
  • Tout le reste du magazine garde le cap en matière de qualité…
Les points négatifs :
  • … Et dans le cas de Justice League Dark c’est toujours un poil plus faible…

 

Alors, prêt pour nos avis sur le Justice League Saga de ce mois ci ? Retrouvez donc toute notre fine équipe, la fine fleur de la rédaction pour leurs avis éclairés sur la Justice League sous toutes ses formes (Normale, United, Dark, Earth-2) sans oublier ceux sur l’Archet vert et le Bolide Ecarlate ! Bref, vous allez tout savoir sur ce kiosque dispo depuis le 10 avril en échange de 5 euros 60.

Numéro précédent : Justice League Saga #17 La suite dans : Justice League Saga #19

 

Justice League #32

  • Scénario : Geoff Johns – Dessins : Doug Manhke – Colorisation: Andrew Dalhouse

Alors que la Justice League cherche a localiser la nouvelle détentrice de l’anneau de Power Ring une autre équipe de méta-humains les devance. C’est en effet l’arrivée en grande pompe de la Doom Patrol dans les New 52. Menée par le Docteur Niles Caulder aka The Chief qui montre déjà des talents de manipulateur hors pair, l’équipe composée entre autres de Robotman, Elasti-Girl, Negative Man et Element-Woman se rend donc auprès de la pauvre Jessica Cruz. La Justice League n’est pas loin, un affrontement se profile t-il entre les deux équipes ?
J’ai particulièrement apprécié ce numéro qui introduit donc cette team déjà mentionnée auparavant dans le titre Justice League. Geoff Johns s’inspire beaucoup du glorieux passé pré-New 52 pour cette introduction. Qu’on soit nouveau lecteur ou nostalgique chacun y trouvera son compte. Le rythme est soutenu et on dévore le numéro avec un certain plaisir. Ainsi le titre continue son boulot de nous offrir du bon gros comics mainstream efficace, et c’est tout ce qu’on demande au final. D’autant que les dessins de Doug Mahnke sont globalement somptueux avec des pleines pages magnifiques, une action lisible et des beaux moments de bravoure forts bien retranscrits.
Si vous cherchez un exutoire vous allez être servi.

– MFW

Note : 8,5/10

Un bon numéro de Justice League ce mois encore, où intervient la Doom Patrol en reflet déformé de la Justice League, dans le grand combat opposant les super-héros à la nouvelle itération du vilain Power Ring.

Comme d’habitude, le numéro est beau, bien rythmé et bien dialogué par un Geoff Johns toujours à l’aise dans l’écriture d’une série TV blockbuster, quoi qu’on sente dans l’incursion de l’équipe invitée un sentiment de porte ouverte sur l’avenir plus qu’un véritable début d’arc mettant à profit la richesse des personnages concernés. Dommage, mais gageons que cela fera plaisir aux nombreux fans de la Doom Patrol qui attendaient avec impatience son implémentation dans le canon New 52.

On regrette aussi que cet “aftermath” aux événements de Forever Evil continue de traîner en longueur, le véritable fil rouge (très bien exploité) demeurant l’ascension de Luthor, tout le reste n’étant que du fill-in fan service bien écrit mais relativement plan plan, comme si la série faisait du surplace en attendant les prochains évents. Reste que la qualité est là, pour une série qui sera véritablement sortie grandie des tréfonds de Trinity War, et ne cesse, depuis lors, de ne pas décevoir.

– Corentin

Note :7,5/10

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Justice League United #2

  • Scénario : Jeff Lemire – Dessins : Mike McKone – Colorisation: Marcelo Maiolo

Mais quelle série mes amis ! Ça dégouline d’influences et hommages au Silver Age de partout, c’est agréable à lire et cette aventure space opéra est on ne peut plus passionnante. Les motivations du grand vilain Byth nous sont expliquées et bien que notre future super-héroïne Canadienne tarde encore à arriver c’est Supergirl qui rejoint la JLU.

Ce numéro est à la fois bavard et passionnant et chaque personnage de l’équipe a son rôle à jouer. Encore une fois le duo Animal Man/Green Arrow fait des merveilles. Alors que l’on s’apprête à rejoindre le FlashForward du numéro #0 on appréciera aussi la bataille virile entre le nouveau Lobo et Hawkman très second degré et bien badass, le terme est lâché.

C’est toute la réussite de ce récit, tantôt sérieux sur les motivations de chacun, tantôt décomplexé comme à la belle époque des énièmes voyages dans l’espace qui permettront de sauver l’univers. Un classicisme assumé pour une lecture recommandée et salvatrice tant Jeff Lemire semble mettre tout son cœur à l’ouvrage. Et que dire des dessins de Mike McKone encore une fois parfaitement adaptés à l’histoire avec toujours des petites trouvailles ingénieuses dans le découpage. La colorisation avec un ton à la fois moderne et vintage n’est pas en reste.

– MFW

Note : 9/10

Confluent d’une écriture horrifique (fidèle au style de l’auteur), d’un récit Silver Age truffé de deus ex machinas et de situations alambiquées tirant sur le cosmique des 70’s, viennent en plus s’ajouter à la narration complètement décomplexée de Justice League United  avec un rythme et des dialogues façon DeMatteis / Giffen qui enrobent les concepts grandiloquents de l’espace d’une spontanéité rendant la lecture agréable même aux allergiques du style.

C’est rythmé, c’est beau, c’est intelligent et drôle, il n’y a pas grand chose à redire sur le rendu final du numéro, sinon peut être le manque d’identité de ses héros, en perpétuelle auto-référence et piégé dans la narration ultra-compressée de la série, qui ressemble presque à une bulle hors-publication où on se contente de bâtir, sans se demander avec qui ou quoi. D’ailleurs, ces personnages semblent même échapper à toute logique éditoriale, n’étant à la fois définitivement pas le Arrow et le Animal Man des séries “canoniques”, mais ajoutant à cette équation les Lobo, Hawkman (pris dans une boucle de baston débile typée 90’s), mais aussi Supergirl, qui entre dans la série sans raison ni logique (y avait de la lumière, de l’ambiance, je suis entrée…), qui n’est même pas spécialement utile ou bien caractérisée !

La série JLU est en fait une excellente série, où chaque personnage n’existe que pour fournir la réplique amenant à la case suivante, offrir la dose suffisante de vannes, de concepts et de découpages harmonieux pour être à la fois rythmée et plaisante. On peut s’interroger sur la durabilité de la formule, reste que le premier arc est excellent, et complètement à part des autres séries de l’auteur, mais tout aussi réussi.

– Corentin

Note : 9/10

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Flash #32

  • Scénario : Robert Venditti, Van JensenDessins : Brett Booth –  Colorisation: Andrew Dalhouse

Pendant que notre Flash actuel passe du bon temps avec Wally West tout en enquêtant sur un vilain bardé des armes des Rogues, celui du futur continue sa quête meurtrière à la recherche du temps perdu au chevet d’un Leonard Snart pas très en forme.

Alors oui, c’est vrai que l’écriture de cet arc souffre immanquablement de la comparaison avec la précédente équipe en charge de la série, mais c’est quand même très bon, bien qu’un peu plus classique et attendu. Mais la nostalgie étant une vilaine chose qui fabrique les vieux cons, tournons nous vers le présent et ce numéro. Une chose est sure Booth et Dalhouse ont trouvé un design pour le moins spectaculaire pour ce Flash du futur et cela me décolle toujours autant les rétines, à grand renfort d’éclairs bleus. D’ailleurs même le Flash actuel use et abuse des éclairs et autres effets de lumière, mais quand on aime on ne compte pas, non ?

C’est beau pas trop mal écrit, on se demande juste où tout cela va nous mener… Mais, attendez, n’est ce pas cet effet de style que l’on nomme suspens ?

– Darthfry

Note : 7,5/10

Suite de cet arc qui nous présente les actions de ce Flash du futur, qui porte ce fameux costume bleu électrique, qui nous rappelle les plus beaux jours de Superman (oui, c’est du troll gratuit).

Nous suivons en réalité trois sous-intrigues dans cet épisode, qui s’avère être riche en révélations : on nous présente une personne qui vole du matériel appartenant aux Rogues (les Lascars, en VF) dans un but plutôt néfaste, le Flash du futur qui veut à tout prix protéger le temps, quitte à franchir la ligne qu’il s’était imposée, et le Barry Allen du présent, qui tente de se rapprocher de Wally West (qui est black, et c’est cool, faut pas déconner, ça me gave un peu de lire tous ces commentaires racistes ces derniers mois…). Le numéro jongle habilement entre des scènes intimistes, fondées sur des dialogues intéressants et de l’action, plutôt bien mise en scène. Le script de Robert Venditti et Van Jensen tient la route, et les dessins de Booth et Rapmund sont tout à fait corrects, si l’on apprécie ce style.

On pourra cependant reprocher au titre d’être extrêmement classique, mais son efficacité m’empêche d’être méchant avec lui. Ce nouveau run du “fastest man alive” est lui aussi un incontournable et le titre n’a pas franchement perdu en qualité, il a simplement changé de style, et c’est tout aussi bien.

– Zeppeli

Note : 7/10

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Green Arrow #33

  • Scénario : Jeff Lemire Dessins : Andrea Sorrentino – ColorisationMarcelo Maiolo

Deuxième numéro de l’arc Broken faisant suite à la guerre des Outsiders. On y retrouve Oliver et Diggle dans un flashback expliquant la relation entre les deux compères. Dans le présent, Green Arrow fait face à Richard Dragon et ses compagnons.

Un arc qui commence bien, restant dans la lignée des précédants, les ennemis de l’Archer Vert sont de plus en plus emblématiques. Comme à son habitude Lemire fait un sans faute sur le scénario et nous fait saliver à la fin du numéro. Sorrentino quant à lui est toujours en pleine forme, il est difficile de l’imaginer quitter le titre et devoir retrouver les aventures Green Arrow sous la patte artistique de quelqu’un d’autre… Même les vilains secondaires sont classes.

 

– Deiimo

Note : 9/10

Nous sommes ici en présence d’un numéro du dernier arc (ah ah, c’est trop drôle, Green Arrow, arc…) de Jeff Lemire sur le titre, alors qu’Oliver Queen est confronté à Richard Dragon, qui compte bien faire main basse sur sa ville.

Soyons clairs, il s’agit probablement de l’histoire la plus faible de Lemire sur la série. Est-ce grave ? Je ne le crois pas, tant cela reste plus que correct et qu’il faut être un sacré pinailleur pour se plaindre d’un comic-book aussi réussi, mais que voulez-vous, c’est dans ma nature. Le script de Lemire est plutôt bon et parvient à distiller agréablement le suspense, mais c’est un peu académique (moins que chez un Scott Snyder, ne vous inquiétez pas). Si je dois reconnaître quelque chose, c’est que le cliffhanger de l’épisode est parfaitement efficace, ce qui est assez rare dans les comics de nos jours, et franchement, ça donne clairement envie de lire la suite.

Mais savourez ces pages, le run de cet auteur se termine bientôt et les choses ne seront plus du tout les mêmes, croyez-moi (à vrai dire, je ne pense pas qu’Urban continuera à publier la série dans ce magazine). Graphiquement, Sorrentino est fidèle à lui-même et nous livre une prestation de haute qualité, qui saura régaler vos yeux.

– Zeppeli

Note : 7,5/10

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Justice League Dark #32

  • Scénario : Jean-Marc Dematteis – Dessins Andres Guinaldo – Colorisation: Chris Sotomayor

La Justice League Dark se retrouve dans la maison du mystère pour un jeu de possession. En effet on apprend dans les derniers numéros que l’Infirmière Infernale avait pris le contrôle du corps d’une certaine Alice Winter depuis le début contre son gré, elle est à présent sous sa véritable forme en quête d’une nouvelle proie et c’est notre chère Zatanna qui va en faire les frais.

Cette short-story sur deux numéros est relativement intéressante si on veut en savoir plus sur l’Infirmière Infernale. L’histoire se passe entre deux runs, ce qui permet de souffler un peu après Blight et le projet Thaumaton, c’est aussi l’occasion pour chaque personnage de faire un point. Le scénario est plutôt sympa, les personnages sont bien exploités et on découvre une Zatanna en pleine forme avec une démonstration de son potentiel magique qui donne envie d’en savoir plus (une série régulière, please). Guinaldo fait du bon travail, les couleurs de Sotomayor sont riches de couleurs vives !

– Deiimo

Note : 7/10

 La Justice League Dark revient pour de nouvelles aventures ésotériques classées PG-13. Oui, je sais, commencer par un sarcasme c’est mal, mais que voulez-vous ? Soyons francs, j’ai plutôt apprécié le numéro, qui tourne autour d’une histoire de possession. En effet, la fameuse Nightmare Nurse, que l’on suit depuis quelques mois, possédait une certaine Alice Winter et elle s’en prend maintenant à Zatanna, ce qui ne fera pas plaisir à notre ami John Constantine (vous savez, ce grand émotif en trench-coat).

Ce numéro permet de développer un peu les personnages de cette équipe, qui en ont bien besoin, après l’arc Blight qui était essentiellement composé de bastons et de rebondissements WTFesques. L’ambiance magique est parfaitement représentée, et l’on ne peut que regretter la retenue dont fait preuve le scénariste, probablement en raison du fait qu’il écrit pour l’imprint DC, et que l’on n’est malheureusement pas en présence d’un titre Vertigo, et c’est là le seul véritable défaut de ce numéro. Graphiquement, Guinaldo s’en tire avec les honneurs, ce qui fait de cet épisode une lecture agréable, qui laissera cependant un léger arrière-goût de déception, tant il est aseptisé.

– Zeppeli

Note : 6/10

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Earth-2 #22

  • Scénario : Tom Taylor – Dessins Nicola Scott – Colorisation: Pete Pantazis

L’histoire s’accélère encore alors que ce Superman devenu un larbin de Darkseid est désormais à la fois au courant de l’existence d’un autre Kryptonien nommé Val mais aussi…de la présence de Batman. Il décide alors de se diriger sur Gotham avec une armée de ParaDémons. Alors que l’on en apprend plus sur Val qui découvre ses pouvoirs voilà que l’homme d’acier démoniaque débarque.Le numéro se lit très vite et est encore une fois très efficace, on en veut plus tout simplement. Les dessins de Nicola Scott sont toujours aussi merveilleux et dégagent un dynamisme certain.

Rien de nouveau sous le soleil en somme pour Earth 2 de l’ère Tom Taylor qui s’applique avec soin pour proposer ce qui marche si bien avec Injustice. Simple, beau, efficace.

– MFW

Note : 8/10

Après un ou deux épisodes assez mous, qui commençait à me faire un peu douter de cette série, ça y est, un Mars et ça repart. Alors que l’équipe regroupée autour de Batman lèche ses plaies et prépare son Kryptonien maison au combat en lui faisant prendre le soleil, le vrai Superman, mis au courant de leur projet prépare sa contre attaque dans un style Brutaal (oui elle était facile mais j’assume). Green Lantern, lui, prépare son retour et il est pas content (Green Lantern 2, le retour).

On retrouve enfin l’efficacité de l’écriture de Tom Taylor, un peu perdue ces derniers temps au profit d’épisodes de transition nécessaires, c’est intéressant, plein de questions qui se soulèvent et avec juste ce qu’il faut d’action. Les dessins sont parfaits comme d’habitude, à tel point que l’on se demande si il faut encore le préciser, mais oui Nicola Scott est douée !

Earth-2 est de retour au top, ça fait du bien et ça va botter des culs sévère ! (encore un exemple d’expression qui claque bien plus en Anglais…)

– Darthfry

Note : 9,5/10

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kiol
kiol
8 années il y a

Très bonne review. Je rejoins tous les avis sauf pour JL qui ne m’a pas trop plus en même temps je connaissais pas la doom patrol donc ça doit être normal. Par contre je ne comprend pas pourquoi Green Arrow devrait quitter le magazine après la fin du run de Sorentino. Dans les sagas il y a déjà eu des changements d’équipes sans qu’on supprime les séries comme pour Flash, Superman , Detective comics ou prochainement Batgirl. Par contre je serai pas étonné qu’ils suppriment Earth 2 quand worlds end commencera. J’ai lu qu’à partir de ce moment là Earth 2 devenait un simple tie in de la série hebdomadaire

swamp bat
swamp bat
8 années il y a

Parce que après lemire et sorrentino la série green arrow devient plutôt mauvaise

Loaiic
Loaiic
8 années il y a

Je dois avoir un problème avec JLU , j’ai le sentiment totalement inverse à la Review …

J’arrive pas à me plonger dedans…. Je trouve que la création de l’équipe s’est faite un peu rapidement , le roaster me fait pas plus bander que ça , l’intrigue avec byth mouai bof …
Sinon les mecs de Rann qui passent pour des tafioles sachant pas se battre on en parle ???

Au final voila j’ai pas d’attachement particulier avec cette équipe et je trouve pas la menace hyper intéressante… à voir par la suite..

Bref JLU bah c’est la moins bonne du magasine pour moi actuellement.

Batremix
Batremix
8 années il y a
Répondre à  Loaiic

Ah, voilà! Des mois que je me dis que je suis bizarre (sûrement vrai quand même ), que je ne comprends rien à cette série. C’est pour moi, le moment douloureux dans la lecture de JLS parce que moi j’aime bien JLD… Je pense que celà vient du fait qu’il y a des références anciennes et le néophyte que je suis passe à côté de ces détails. Même si j’aime beaucoup Green Arrow que ce soit celui de Jeff Lemire ou celui de la série TV (oui j’assume ), celui de la JLU m’agace au plus haut point, ses échanges de vannes avec Animal Man ne m’ont pas titillés les zygomatiques une seule fois. Le méchant, l’espace, l’ambiance générale de la série, rien à part les dessins ne me passionne dans ce titre.
j’espère que cette série ira sur d’autres voies dans une prochaine aventure sans quoi je risque de zapper sa lecture (pourtant je me trouve être assez facile en général ).

Biggy
8 années il y a

En l’occurence Nicola Scott est bonne (dessinatrice)^^

Biggy
8 années il y a
Répondre à  darthfry

Cela m’arrive assez souvent également lol

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