Ce que représente Wonder Woman pour nous

Nous avions déclaré notre flamme pour Superman il y a presque trois ans, et également pour Batman il y a deux ans… Il nous était forcément impossible de ne pas réitérer l’opération pour Wonder Woman, partie intégrante de la Trinité DC Comics. Alors que nous fêtons en ce moment les 75 ans de LA super-héroïne, l’équipe a son quasi grand complet s’est exprimée sur ce que représente Diana, l’Amazone, pour nos petits coeurs de fan de comics et d’adaptations.

N’hésitez pas à partager votre ressenti dans les commentaires concernant votre propre ressenti vis-à-vis de Wonder Woman, on veut savoir aussi ce que vous pensez !!

Je ne suis pas un grand expert de Wonder Woman, il faut hélas l’avouer, et je crois que jusqu’à il y a peu, j’en avais surtout un ressenti, une idée du personnage. Mais elle a toujours incarné pour moi une puissance féminine très forte, une aura devant laquelle on ne peut qu’incliner la tête par respect. C’est LA super-héroïne, la première super-héroïne moderne, une femme redoutable et en même temps porteuses de valeurs et d’un message positif. J’ai commencé à l’apprécier tardivement par rapport à mes autres lectures (c’est ça de lire trop de Batman) mais quand elle est prise en main par les bons auteurs, on a droit à des histoires véritablement excellentes. Et plus que le personnage, je pense que c’est le charisme de son symbole, et de ce qu’elle représente, qui me fait vouer une admiration respectueuse pour elle.

– ArnoKikoo

Pour moi c’est la femme parfaite ! Courageuse, belle, pulpeuse et qui part en guerre tous les 2 mois pour te laisser tranquille jouer à Fallout. Je n’ai jamais regardé la vieille série de 1976, cependant ma belle-mère et mon beau-père m’en parlent de temps en temps et cela permet de rapprocher grandement les générations. Je l’ai découverte à travers la Justice League et on ne peut pas dire qu’elle soit en reste à côté de Superman et Batman. Elle est partie intégrante de la trinité et son rôle souvent de mentor avec Shazam est réellement sympa. Elle est à la fois classique dans son schéma de base mais très moderne, surtout avec les publications actuelles qui lui donne de la valeur. Pour moi c’est un fantasme et un exemple de la femme forte à suivre. J’espère que le prochain film lui rendra honneur.

– Capugino

Dans le paysage des comics, Wonder Woman m’apparaît comme le seul personnage féminin que le public (même vaste) soit capable de prendre au sérieux. Evidemment, on ne va pas lui demander de la respecter en tant qu’être humain – surtout parce que, comme pas mal de personnages de fiction, elle n’existe pas. Or, féminin ou masculin, sur le papier, un héros de comics reste un simple dessin chargé de ce que l’imagination d’un auteur va y insuffler. Cependant, à l’image d’autres figures d’ampleur chez DC ou Marvel, Wonder Woman évolue dans l’imaginaire et l’inconscient pop-culturel comme une présence évidente. D’une part, elle sera la première “héroïne” à hériter d’une adaptation faite avec sérieux (“Supergirl avait été fait avec sérieux”, alors déjà : non, mais surtout : dehors), ce qui semble une évidence et ce malgré la maigre progression des nénettes fortiches dans l’écosystème Hollywoodien des blockbusters lambdas. Vous connaissez l’idée tradi’ – on ne donne pas sa place à une femme dans un medium supposément peuplé d’hommes.

Film ou BD. Depuis quelques décennies, Wonder Woman fait mentir cette affirmation sectariste (qui fera plaisir à Ike Perlmulter). En comics, elle a même été jusqu’à, à l’inverse de pas mal de héros de premier plan, avoir traversé les derniers relaunchs avec un panache historique – on n’attend plus que Greg Rucka pour poser le deuxième étage sur les fondations de l’ami Azzarello (dans cette métaphore immobilière, gageons que les Finch se sont chargés de la cage d’escalier). Plus largement, loin des associations d’idées bêtifiantes que l’on fait en général des héroïnes populaires (Catwoman, Harley Quinn, les décolletés et les cuissardes), et malgré un costume souvent raccourci, Wonder Woman semble échapper aux clichés sexualisants des personnages féminins génériques. Populaires, connue des non initiés, adaptée, bien servie par les scénaristes (peut-être même par les artistes), le personnage transite à l’image de sa caractérisation l’image d’une héroïne forte, droite et juste, sur laquelle on ose à peine tenter une petite vanne graveleuse (je le dis sans avoir lu les paragraphes de mes collègues, mais mettons qu’ils ne représentent qu’une minorité de gens malsains). Seule ombre au tableau, avoir choisi une actrice de série B et un projet de fin d’études pour transposer son long-métrage personnel – je suppose qu’après autant d’efforts, Diana avait peut-être mérité d’être résumée à mieux qu’une paire de cuisses. Après tout, c’est aussi ça, le temps des premières fois.

– Corentin

Que m’évoque Wonder Woman… Surtout des souvenirs de jeunesse, en fait. Des heures passées devant la télé dans les anées 80 devant les prouesses de Lynda Carter dans le pire short produit par la télé des années 80 avec celui de Magnum. Et malgré mes lectures comics, c’est encore est toujours le sourire enjoleur se sa déclinaison télé qui me revient.

C’est aussi le rare personnage féminin dans le comics qui existe par lui même et n’est pas la déclinaison d’un personnage masculin, ce qui explique en partie aussi son succès, ça et la mythologie qui l’entoure.

– Dathfry

Wonder Woman, ma belle Wonder Woman. Alors que j’ai tendance à aimer les personnages plus fifous du côté des demoiselles dans les comics, ou celles pas très droites dans leurs bottes, Wondie est celle qui me rappelle à l’ordre au milieu de tout ce chaos. J’aime la force, le respect et la tolérance, l’amour et la sensibilité de ce personnage. Même si j’ai mes chouchous, elle reste pour moi le modèle à suivre. L’Amazone, la guerrière au coeur d’or. Malgré toutes ses itérations, ce sont en général les traits de caractères qui me sont le plus cher.

Par contre ne me parlez pas de cet histoire abominable avec Superman, Wondie c’est mon modèle, et mon modèle ne s’acoquine pas avec ce type qui craint le moindre petit bout de caillou vert.

– Harley

Je n’ai pas de pensée particulière pour Wonder Woman. C’est un personnage fort qui m’apparait comme la grande soeur des super-héros DC tant elle m’apparait comme une référence pour eux. Elle sert parfois d’arbitre entre Bruce et Clark. Mais je la trouve à la fois moralisatrice et à la fois très humaine par ses erreurs et sa façon d’apprendre d’elles. Tout dépend de l’auteur. J’ai surtout connu la version JLU d’elle. Et bien que je ne sois pas un fan du personnage, sa version cinématographique m’a intéressé par l’aura qu’elle y dégage.

– James Edge Grayson

Elle est bonne.

Bien, passé cette blague plus beauf que le film Deadpool, on peut attaquer le sujet. Bien sûr, Wonder Woman est une femme forte, mais pas une féministe’. Et pas un garçon manqué. Elle a réussi l’exploit d’être un personnage féminin fort, indépendant, pas cliché ni ridicule et surtout : qui a réussi à s’imposer d’une manière positive dans l’imaginaire collectif, et ce sans se travestir ou interdire aux hommes de dire “mademoiselle”. Elle est féminine, mais sans être ridicule ou vulgaire. Mais au-delà de ça, elle ressemble à beaucoup d’autres héros DC : par son courage et ses multiples autres qualités, elle est inspirante. C’est une Héroïne avec un grand H. Une icône. Une déesse. La femme qu’il fallait à l’univers DC.

– Leonidas

Wonder Woman, c’est la plus grande de toutes les super-héroïnes. Pas la plus bad-ass ou la plus puissante, mais la plus grande. C’est une membre de la trinité, une guerrière hors-pair mais aussi capable d’une grande compassion. Elle n’abandonne jamais et est très forte dans tous les sens du terme. C’est un personnage inspirant et noble qui force le respect. Elle a aussi certains défauts, ou parfois est caractérisée de manière très insatisfaisante, mais c’est un symbole fort dans l’univers DC Comics. Alors oui, c’est aussi une femme, elle est belle et tout ça, comme le disent très bien mes collègues, mais elle me paraît essentielle en tant que personnage chez DC Comics, pas simplement parce qu’elle apporte une touche féminine ou quoi, mais parce qu’elle amène d’importants concepts qui ne sont pas forcément abordés par d’autres héros. Enfin, ça serait difficile d’imaginer l’univers, la Justice league ou la Trinité sans elle.

– MadAsAHatter

Je n’ai pas spécialement d’affection ou d’intérêt pour Wonder Woman et, en vérité, je trouve ça bien dommage. J’ai toujours eu dans l’esprit une femme juste, solide et fière, une guerrière et, en même temps, je la vois aussi avec un esprit très maternel. Pourtant les quelques fois où je l’ai vu à la télévision ou dans les comics, au mieux elle était insignifiante pour moi, au pire je la trouvais agaçante. Je dirai que le moment où j’ai eu la Wonder Woman que j’ai toujours imaginée, que j’ai toujours voulu voir, c’est dans le jeu Injustice, mais je ne parle pas de la Wonder Woman qui s’allie à Superman, mais de la Wonder Woman qui arrive dans ce monde qui subit le joug de Superman et qui arrive pour reconquérir son peuple et surtout pour lui rappeler quelles valeurs les Amazones défendent, quelles valeurs Wonder Woman défend. Pour moi, c’est comme ça que je l’aime, Wonder Woman et c’est comme ça que j’aime la voir.

– Merirosvo

Wondy au départ je dois bien l’avouer je ne l’aimais pas trop. Peut être à cause de cette série télé kitsch mais attachante (oh tiens) avec dont des VHS en anglais trainaient chez moi. En me mettant sérieusement à DC j’ai lu sur elle, beaucoup. Et j’ai fini par aduler le personnage. Première vrai Super-Héroïne et pilier de la Trinité. Personnage fort qui a aussi ses faiblesses, guerrière qui a quitté une vie relativement paisible pour vivre parmis les hommes et l’horreur qu’ils peuvent représenter. Une déesse chez les humains, un personnage puissant et fédérateur, LA femme forte pour beaucoup de lecteurs. Courageuse, brave, un modèle. Et depuis un run très récent et quasi parfait dans l’histoire de ce personnage je l’aime davantage. Je parle du fabuleux tour de force de Brian Azzarello qui l’a écrite comme rarement et sublimée par son écriture. Qu’on se replonge dans d’anciennes histoires ou dans cette fameuse série télé on apprécie toujours l’image qu’elle transmet. Et je préfère que les jeunes filles voient ça que les Totally Spies mais je m’égare. Un idéal, un monument du comics. Divine mais humaine, belle et dangereuse. Elle m’inspire et la lire quand elle est magnifiée ou écrite comme elle devrait l’être est un bonheur. Elle continuera à le faire. 

– MFW

Personnellement le personnage est aux héros féminins ce que Superman est aux héros masculins. Oui, rien que ça. C’est d’ailleurs pour cela que pour moi, la relation fantasmée entre ceux là me fera probablement toujours rêver puisqu’ils ne représent ni plus ni moins que le couple parfait, sur tous les plans. Wonder Woman c’est LA Femme avec un grand F, forte, déterminée et passionnée. Au fil du temps et surtout en fonction de ceux qui l’on écrite, le personnage a beaucoup changé et de base, Wonder Woman ne m’attire pas plus que cela. C’est surtout dans son incarnation moderne, sous Brian Azzarello (même si j’ai lu pas mal de ses histoires avant) que mon intéret pour cette dernière est remonté. Et puis il a fallu “l’accoupler” avec Superman, et là je ne vous parle pas du fantasme qu’elle est devenue… mais c’est un autre sujet… Wonder Woman reste l’archétype même de la femme parfaite, celle qui combine cette sensibilté propre au personnage féminin mais sans oublier qu’elle n’a rien à envier à ses partenaires masculins en terme de puissance brute. Voluptueuse et femme assumée, les meilleurs auteurs parviennent à lui donner toute la splendeur qu’un tel personnage mérite.

– Nathko

Que représente vraiment Wonder Woman pour moi ? En 75 ans d’histoires, il y a forcément eu de multiples représentations du personnage, parfois pour le meilleur, parfois pour le pire (coucou les Finch). Comme pour Superman ou Batman, il convient finalement pour moi de faire le tri, en omettant volontairement certaines facettes de son histoire, pour dégager ce que je choisis de voir en elle. Au risque de décevoir, je ne vais pas me montrer très original. Elle est un des personnages qui symbolise le mieux l’évolution de la représentation des personnages féminins du milieu du siècle dernier jusqu’à aujourd’hui. Une icône de la culture populaire encore nécessaire aujourd’hui qui représente l’indépendance et la force. Une figure féministe, forcément, mais aussi et surtout une figure humaniste, entre les mains d’auteurs compétents. Elle n’est ni Gal Gadot, ni Lynda Carter, elle est bien plus que cela. Finalement, plus encore que Superman, Wonder Woman, pour moi, c’est le coeur battant de l’univers DC. C’est aussi la première des super-héroïnes, à jamais la première.

– n00dle

Au fil des ans, Wonder Woman a fini par devenir un personnage que je ne peux qu’admirer, à la fois guerrière et charismatique. Elle est plus digne que la plupart des héros, elle les efface par sa simple présence, même les gros durs que sont Batman et Superman. Elle a d’énormes responsabilités envers son peuple et le monde entier qu’elle assume complètement, en tant que représentante des Amazones, super-héroïne et Déesse de la Guerre. Au final, Diana n’est pas un idéal féminin, mais universel.

– Sledgy7

Wonder Woman pour moi c’est un exemple à suivre. Au-delà de sa beauté sans égale et de ses cheveux parfaits flottants au vent, elle est courageuse, intelligente et ne reculera devant rien pour faire régner la justice ! Elle n’a pas peur de s’imposer en tant que femme dans un monde d’homme (ouais la lutte contre le crime c’est comme la finance, c’est un monde de requins) et de tenir tête à des gros poissons comme Batman. Pour moi, Wonder Woman est l’incarnation d’une femme forte et moderne qui devrait être un exemple pour toutes les filles d’aujourd’hui. Elle nous dit: on peut être une nana et faire une carrière d’homme, on a le droit et même le devoir de s’imposer comme égale des hommes. C’était vrai dans les années 1940 lors de sa création, c’est encore vrai aujourd’hui (malheureusement… on n’a pas tellement avancé que ça). Et je trouve que ce serait bien de mettre en avant plus d’héroïnes comme elle qui montrent à tous que “se battre comme une fille”, ça ne signifie pas être nul mais en jeter un max comme Wonder Woman.

En bref : Diana Prince c’est la femme idéale car elle est magnifique, fière, courageuse et essaie toujours de faire ce qui est juste. Elle ajoute aussi une sensibilité que certains autres héros n’ont pas et je trouve ça intéressant, d’autant plus que c’est une guerrière: chaque vie est importante, chaque personne vaut son pesant d’or et mérite qu’on la connaisse. En cela elle rejoint Superman, à qui elle n’a rien à envier, au contraire. Dans mon coeur, elle sera toujours la plus cool et la plus badass des super-héros. C’est la femme et l’héroïne ultime… un symbole pour plusieurs générations.

– SuperAudy

Wonder Woman est belle. Elle n’est pas forcément sexy, bonne, ou excitante, comme peuvent l’être une Catwoman ou une Black Widow. Elle recèle une beauté noble, quasiment intimidante, qui semble silencieusement chanter la gloire de la femme. Mais il n’y pas que sa beauté quasiment sacrale qui remplit cette mission importante, l’essence entière du personnage y converge. On pourrait considérer sa force hors du commun, qui servait, déjà en 1941 (!!), à statuer : ‘Oui, la femme est l’égale de l’homme’ – ainsi n’a-t-elle rien à envier à Superman. Mais Wonder Woman, dans ses interprétations les plus pertinentes, c’est surtout la féminité dans sa différence, que j’aime à voir dans ses racines profondément pacifiques, sur Themyscira, loin du chaos d’un monde ravagé par des guerres décidées par des mecs, faites par des mecs, terminées par des mecs, et dont toute l’humanité souffre. Wonder Woman, lorsqu’elle est ambassadrice de la paix sous la plume de George Pérez, c’est un peu la femme qui sépare et apaise deux prétendants au trop plein d’ego prêts à en découdre en soirée dans un véritable combat de coqs. Wonder Woman me paraît ainsi essentielle parce qu’elle porte deux concepts qui me sont chers : la femme est l’égale de l’homme, et la femme est différente de l’homme ; on pourrait tous tirer quelque chose de l’exemple qu’elle donne, qu’on ait un zizi ou non.

– TheRiddler

Découverte devant ma télé, un bol de céréale à la main, Wonder Woman m’est apparue sous les traits de Bruce Timm, me demandant ce que peut être ce personnage qui vient s’immiscer dans la coopération de Batman et Superman, qui étaient à mes yeux les deux seuls héros existants. Rapidement, j’en suis venu à l’accepter, étrangement, plus par l’idée de relation amoureuse entre elle et un autre personnage (Batman dans la série animée, et Superman par John Byrne ou Geoff Johns) que par sa représentation qui, aujourd’hui encore est assez floue. Certainement n’ai-je pas lu suffisamment d’histoire se centrant sur le personnage, car j’ai au final toujours cherché à la voir comme une guerrière modèle, luttant pour la paix, alors que je ne suis souvent tombé que sur sa représentation je dirais classique, où elle n’est qu’une guerrière qui se bat aux côtés d’autres héros. En dehors des récits, elle est évidemment un symbole de paix, mais aussi une marque de culture, comme une représentation des cultures antiques (par pure référence à son univers mythologique, bien entendu) et de Pop Culture (cf 70’s).

Une représentation toute particulière qui m’a marqué, et que j’aimerais retrouver un jour, est son apparition dans The New Frontier, où elle encourage les femmes à se battre, à se venger des hommes, en prenant la tête de ce groupe de femmes battues, prisonnières et soumises. Un mouvement de révolte auquel s’oppose Superman et qui amène le lecteur à faire un choix entre Justice et Vengeance, donnant ainsi au personnage de Wonder Woman le juste milieu de ses différentes représentations. Meneuse, guerrière, et une valeur iconique d’une lutte contre l’oppression, soutenant le sexe feminin. Sans jamais aller jusqu’à un certain feminisme, auquel l’on pourrait l’associer encore aujourd’hui (ce qui est assez ambigu, et qui mériterait un débat), Wonder Woman reste pour moi un personnage ne vivant que pour ses valeurs, et prête à mourir pour celles-ci, transmettant à ses alliés comme à ses lecteurs courage, et révélant la force qui réside derrière le sens du sacrifice.

– Watchful

Wonder Woman, c’est tout simplement mon personnage féminin préféré, tout univers confondu. Certes, ce n’est pas bien original et n’importe quel “quidam lambda” (© DCPodcasters) est capable de la connaître et de citer ses principaux pouvoirs. Mais que voulez-vous ? Outre l’icône BDSM (eh ouais, je ne suis qu’un homme, désolé) Diana est aussi une fière représentante des valeurs féministes, une véritable guerrière qui ferait pâlir les héros homériques et un “role model” tout à fait acceptable pour les petites filles. Tout comme un Batman ou un Superman, elle possède différentes facettes qui prouvent la richesse de son histoire. Wonder Woman, c’est un peu l’allégorie de la femme moderne, qui a su évoluer depuis sa première apparition en 1941, qu’elle soit de papier ou incarnée par Lynda Carter (ou Gal Gadot, d’ailleurs, franchement, elle a la classe, peu importe ce que vous pensez de Batman V Superman) Diana ne laisse personne indifférent, et c’est ce qui fait tout grand personnage de comics. Malheureusement, les valeurs que représente cette héroïne sont encore en péril de nos jours, et il est évident qu’il reste fort à faire, mais gageons que l’aura de l’amazone continuera à rayonner dans cette lutte perpétuelle contre l’oppression.

– Zeppeli