Bizarro Facts #S : MAN OF STEEL

HALLELUJAH

 

Bizarro Fact n°S : pas de spoiler, beaucoup de fun, des blagues, et il paraît même qu’à un moment je parle du sujet.

La vie n’a rien d’une pâte à tarte – et cette phrase d’introduction est probablement la pire de ma carrière. Elle n’a rien d’homogène ; il est impossible alors de l’aplatir à notre convenance, d’égaliser les coins, de répartir les expériences comme bon nous semble. Non, la vie est sinusoïdale ; elle passe son temps à nous surprendre, elle nous envoie sans cesse ses grumeaux au visage, sans prévenir, tel un élément ou une particule instable (1).
Récemment, la vie a décidé de compacter ma dose de bonheur annuelle sur 2 jours. Mardi 18 Juin 2013, Leonard Cohen, dieu parmi les mortels, joue à Bercy ; Mercredi 19 Juin 2013, Superman, dieu parmi les mortels, joue aussi à Bercy. Et voici comment Merck-El, dieu parmi lui tout seul, reçut en silence les dons que la vie daignât lui offrir sur cette chétive période d’à peine 28 heures.

Première question. Pourquoi raconte-je ma vie ? Probablement parce que celle-ci, bien que naze par définition, reste tout de même plus intéressante que la vôtre – veuillez me pardonner pour cette agression certes truculente, mais néanmoins gratuite et parfaitement injustifiée.
Nan, ce que j’essaie vraiment de vous dire, c’est que la critique qui suit est clairement empreinte de subjectivité, bien plus que de raison. Mais je sens venir les bâillements ; aussi, je me conseille de vite entrer dans le vif du sujet. Et j’en profite au passage pour me remercier de ce conseil productif.

Commençons simple : Man of Steel n’est pas une déception en soi ; Man of Steel est probablement à l’heure actuelle le film de super héros ultime ; mais – et je suis contrit de devoir écrire cette dernière partie – Man of Steel n’est pas la tuerie interstellaire dont je rêvais.
Le mot le plus important à retenir dans cette introduction ? « JE ». Sous-entendu, JE suis le connard qui a plus ou moins décidé de propulser Man of Steel « film le plus attendu de toute ma vie ». Peut-être était-ce là ma première erreur. Ma seconde, c’est d’être arrivé un peu trop tard dans la salle et de m’être par conséquent installé au second rang. Alors ça, oui, c’était une grave erreur – à plus forte raison depuis l’avènement du numérique dans la grande majorité de nos salles obscures.
Bref, tout ça pour dire que je ne mets pas tout sur le dos de Nolan et Snyder. Mais quand même un peu.

Man of Steel Sky

Mais abandonnons tout ce négativisme un moment, voulez-vous. Parce qu’il faut bien le reconnaître, Man of Steel est un objet visuel énorme. Un mastodonte à la technique irréprochable, remplissant à merveille son rôle de divertissement. « Divertissement »… Aouch, en voilà un mot barbare qui ne veut rien dire. Parce que personne n’a vraiment envie de prendre au sérieux un divertissement. Parce qu’il existe une dichotomie au sein du medium cinématographique, qui voudrait que les films de divertissement ne soient pas vraiment du cinéma… Coupons court à ce genre de débats : je ne pense pas de cette façon. Ma définition du mot « divertissement » n’est donc pas forcément péjorative. Enfin en tout cas, là, elle ne l’est pas.

Donc. Man of Steel. Visuellement extrêmement riche, un sacré coup de chapeau à la direction artistique, impressionnante. Les graphismes ayant trait à Krypton sont complets, travaillés, cohérents, exactement ce que l’on est en droit d’attendre de la représentation d’une civilisation extraterrestre. Je suis d’ailleurs plutôt content que David Goyer ait décidé d’introduire le film de la façon la plus classique qui soit, sur la destruction de Krypton.
Le script de Goyer – et Nolan – fait de toute façon preuve d’une intelligence structurelle évidente. On évite ainsi l’étalage chronologique bateau, naissance/enfance/adolescence/prise de conscience. Au lieu de ça, nous retrouvons Clark adulte dans une situation inhabituelle, au milieu d’une quête dont on ne sait rien. La beauté ici, c’est que, dès les premières images, notre protagoniste n’est pas inactif. Goyer ne sombre pas dans le schéma classique de la plupart de ces genèses qui nous dépeignent des héros en devenir ne faisant rien d’autre qu’attendre. Et du coup, en parallèle, le spectateur non plus n’attend pas : tout est déjà là.
Par conséquent, et c’était inévitable, Goyer fait appel au flash-back. Alors oui, ce n’est pas le concept narratif le plus révolutionnaire du 7ème Art, je vous l’accorde. Oui, surtout, toutes ces scènes du passé ne sont pas forcément amenées de façon subtile, ni dans le fond ni dans la forme. Mais les flash-back de Clark restent efficaces, utiles au récit et à la caractérisation du personnage. Alors on laisse passer.
Et puis, quand on assiste à cette mémorable scène de la tornade, on est prêt à excuser les maladresses antérieures (2).

L’une des autres forces de ce script, c’est l’intégration de Lois. En plus de lui restituer son inimitable – et tellement sexy – caractère impétueux, Goyer plonge très rapidement la jeune journaliste dans l’intrigue générale, la liant définitivement à Clark et à sa quête. À partir de là, chacune de ses apparitions fait sens, et les raisons pour lesquelles elle frôle constamment la mort nous paraissent au final parfaitement intelligibles.
Le choix d’Amy Adams, qui ne paraissait pas forcément évident à la base, se révèle judicieux, cohérent, brillant. L’actrice campe une Lois comme on la connaît, avec néanmoins cette petite étincelle en plus, cette pureté dans le regard qui vous donne instinctivement l’envie de tomber amoureux.
Plus généralement, il faut reconnaître l’efficacité du casting. Nul besoin de s’attarder sur les vétérans Diane Lane, Russell Crowe, Kevin Costner et Laurence Fishburne (un excellent Perry White) ; notons plutôt la prestation remarquée d’Antje Traue, en guerrière autoritaire, puissante et – non, je ne suis pas obsédé – super sexy.
Quant à Henry Cavill, il nous dépeint un Superman qui, malgré son inexpérience, porte déjà en lui tout un tas de qualités ; ces mêmes qualités qui font de lui le plus charismatique de tous les super-héros. Son Clark est sobre, tout en modestie. Derrière son absence totale de prétention se cachent des doutes, des questionnements, des remises en question, aussi bien génétiques que spirituelles. Le Superman que j’aime.
Et puis, que dire du méchant le plus badass de l’année (3)… Je l’ai dit dès le début : Michael Shannon est l’une des meilleures idées de ce Man of Steel. L’acteur ne force pas son Zod ; il l’incarne naturellement, avec toute la haine longtemps contenue que cela implique. Shannon dérange et fascine à chaque prise de parole, et lorsqu’il hausse la voix – « I WILL FIND HIM ! »Zod devient grandiose.

Man of Steel - Zod and Faora

Ok, jusqu’ici ça va plutôt bien. Passons à Snyder.
Certains d’entre vous – les plus fidèles – connaissent mon amour pour le cinéaste. J’avais tendance à croire que seul Zack Snyder était capable de redonner ses lettres de noblesse au Superman cinématographique. Mieux que ça, j’étais persuadé que seul Zack Snyder était capable de réaliser le plus grand film de super-héros de tous les temps.
Il a comblé mon premier espoir, ça ne fait aucun doute. Mais il n’a comblé mon second qu’à moitié.

Le parti pris visuel du réalisateur est clair dès les premières minutes du film : l’idée de ce Superman nouveau cru, c’est de reproduire les mouvements de la façon la plus réaliste possible. Et pour cela, Snyder n’a pas d’autre choix que d’abandonner son sens esthétique habituel : exit donc le chromatisme ultra marqué, les ralentis détaillés et les (faux) plans-séquences occasionnels. Dans Man of Steel, tout n’est que violence crue.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la recette fonctionne. Les bastons sont d’une intensité rarement atteinte au cinéma ; mais surtout, la vitesse des mouvements surhumains est tout bonnement incroyable. Jamais aucun film auparavant n’avait réussi à exprimer de telles vélocités, avec une acuité visuelle aussi fidèle. La bataille dans Smallville en est l’exemple le plus abouti.
Pour ne rien gâcher, Snyder évite même les erreurs de certains de ses collègues. À l’inverse d’un Michael Bay (4), il met en scène ses destructions spectaculaires dans un but précis : reconstituer ce qu’un combat entre demi-dieux pourrait avoir comme conséquences sur notre urbanisme. Finalement, Snyder parvient à justifier ce que vous auriez pu considérer comme de la débauche futile et prétentieuse.
Autre point positif, le cinéaste use intelligemment de ses « lentilles » – entre guillemets, parce qu’il paraîtrait qu’il n’est pas vraiment allé filmer dans l’espace – et ne passe pas la moitié de son temps à nous cramer l’écran avec ses effets de lumière à la c** – gros gros clin d’œil dirigé vers J.J. Abrams…
En bref, Zack Snyder nous offre un package visuel quasi irréprochable.

Cependant, la forme n’en est pas pour autant parfaite.
Il y a une sensation générale qui se dégage du film, une sensation d’incomplet. Quand j’y réfléchis avec le recul, j’ai cette impression que le film ne m’a jamais pris calmement par les épaules afin de m’expliquer les choses comme une mère le ferait. L’objet filmique lui-même semblait… effrayé.
La preuve la plus flagrante à mon sens est l’utilisation de la musique. Si la bande originale de Hans Zimmer (5) peut indéniablement être considérée comme une œuvre riche, belle et complète, son utilisation est beaucoup plus discutable. Son omniprésence, même discrète, annihile la puissance dramatique des scènes intimistes. Au final, le film ne se pose jamais réellement, car toujours maintenu sous tension par les notes de Zimmer.
Tant et si bien que l’objet filmique, comme je le disais, nous paraît effrayé ; effrayé de se perdre en chemin, de se laisser aller à la contemplation, à la simplicité, à la beauté des choses. Comme s’il tentait inlassablement de rester éveillé, de ne pas sombrer dans le rêve.
Cela vous rappelle-t-il quelque chose ? Il y a quelques mois de cela, j’écrivais à propos de Christopher Nolan qu’il était « un bulldozer sans rêve dont la caméra écrase l’imaginaire ». Et même si Man of Steel ne souffre pas de sa caméra à proprement parler, il souffre tout de même de ses obsessions.

Man of Steel Kiss

Le résultat, un film au potentiel illimité, pourtant craintif et sans folie.
Soyons tout de même indulgents sur un point : le sujet est intimidant, voire carrément flippant. On peut comprendre ce choix délibéré de rester focalisé sur une facette bien précise de la mythologie Superman, sans déborder, sans prendre de risques inconsidérés.
En fait, le récit général se contente juste d’être intelligent. Rien n’est superficiel ; le script est ficelé de façon à ce que chacun des personnages importants soit guidé par un désir. Un b.a.-ba respecté à la lettre. L’intrigue met en avant des réflexions intéressantes (naissances programmées, double nationalité, etc.) qui apportent de l’eau à son moulin et lui permettent d’avancer avec succès. Ok.
MAIS – et une fois de plus, je pointe principalement Nolan du doigt – où est passée cette exaltation, cet esprit d’aventure qui transforme parfois les petits défauts en charmes inoubliables ? Car oui, un défaut insouciant est souvent bien plus beau qu’une qualité trop léchée.
J’ai senti le mythe, mais je n’ai pas senti la passion.

Voilà, il m’aura fallut près d’une journée pour enfin mettre le doigt sur ce petit quelque chose qui me perturbait. L’intelligence au cinéma est indispensable, mais elle ne doit pas commander seule. Et à mon sens, c’est cette symbiose déséquilibrée entre le talent de Snyder et le pragmatisme de Nolan qui porte à Man of Steel son plus grand préjudice.
Le dénouement du film est finalement le plus parlant : Superman entre dans le cinéma impitoyable, cruel, brutal. On ne peut plus altérer la rotation de la Terre pour retourner dans le passé et sauver la femme qu’on aime. Les héros ne terminent plus leurs histoires comme ils l’auraient souhaité.
Cette fin – qui a au moins le mérite d’être surprenante, notamment auprès des fans – redéfinit un aspect de la mythologie Superman, et par conséquent du monde dans lequel il évolue. Avec un peu de chance, on peut y voir quelque chose de positif : car l’intérêt principal de ce dénouement réside dans la réaction de Clark. À partir de là, on peut aisément dessiner les contours du héros qu’il deviendra, contours paradoxalement analogues à ceux du héros de papier que l’on a appris à connaître.

Oui, Man of Steel fait saliver sur Man of Steel 2.
Les possibilités, largement ouvertes, sont belles. Surtout, elles nous permettent d’espérer mieux. Gageons que le succès du film, déjà quasiment assuré, décrispera nos 3 têtes pensantes et leur permettra de nous faire rêver, vraiment.
En tout cas le moins que l’on puisse dire, c’est que les vieux ne se sont jamais aussi bien portés. Mais peut-être ce Superman en particulier nécessite-t-il encore quelques années de vieillissement avant d’atteindre l’âge ultime de maturité, à l’image d’un Leonard Cohen de 4 ans son aîné, toujours aussi beau et transcendant.
Quoi qu’il en soit, Man of Steel, en parfait objet doctrinal, redonne la foi à ses initiés et leur fait miroiter des lendemains plus lumineux.
Et globalement, on n’en demandait pas (beaucoup) plus.


Notes :
(1) Est-ce juste moi, ou est-ce que cette définition de la vie ressemble fortement à une définition de la femme ?
(2) Et puis on pense à l’ami Nathko, dont on imagine aisément les yeux embrumés par les larmes.
(3) N’ayant pas vu l’interprétation de Khan par le génial Benedict Cumberbatch (Star Trek into Darkness), il est possible que cette compétition se conclue sur un match nul.
(4) Oui je sais, c’est facile de toujours taper sur les mêmes. Mais je n’y peux rien si Michael Bay est lamentable, si ?
(5) Un expert en musique de chambre (blague germanophile).

En passant par les liens affiliés BDfugue/FNAC/autres présents sur le site, DCPlanet.fr reçoit une faible commission. Qu’importe le montant de votre panier, vous nous aidez ainsi gratuitement à payer l’hébergement, modules, et autres investissements pour ce projet.

Merck-El

Merck-El

DC Comics : L'Encyclopédie (mise à jour et augmentée) / Edition augmentée

DC Comics : L'Encyclopédie (mise à jour et augmentée) / Edition augmentée

amazon
Voir l'offre
Patientez... Nous cherchons le prix de ce produit sur d'autres sites

À lire aussi

Promo -29%
Shazam : La Rage Des Dieux [4K Ultra HD - Edition boîtier SteelBook]

Shazam : La Rage Des Dieux [4K Ultra HD - Edition boîtier SteelBook]

amazon
Voir l'offre
Patientez... Nous cherchons le prix de ce produit sur d'autres sites

Rejoignez la discussion

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

7 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Baccano
10 années il y a

Mon Bizarro Facts préféré avec le #4 sur Watchmen. Impertinent et pertinent dans les propos. Mais trêve de compliments, je te hais Merck-El. J’aurais voulu voir Leonard Cohen…

Freytaw
10 années il y a

Oh que oui… Nolan a eu trop d’impact sur ce film. Tu as tellement raison ! Il faut aussi partie de mon ressentie, dans un spectre beaucoup plus large, englobant l’émerveillement et quelques pointes de colère (mais pas dangereuse !). J’oserais presque dire qu’il a bridé la liberté de Snyder… Mais ne boudons pas notre plaisir, et pensons effectivement à cet avenir radieux qui se profile ! :)

Ryez
10 années il y a
Répondre à  Freytaw

Moi je pense qu’on ne saura jamais réellement a quel point Nolan a eu impact (et aurait « bridé ») Snyder sur le film ou pas. Même si personnellement je suis convaincu que Snyder a bien géré son film librement appuyé sur les bases de Goyer et Nolan. Mais pour moi la vraie grande inconnue c’est si jamais Nolan avait été plus présent, le film serait-il meilleur? Je suis certain que non car Superman dépasse ses intentions, et si jamais Snyder avait fait le film en roue libre sans Goyer/Nolan, je film serait-il meilleur? Là aussi je suis certain que non. Ici c’est bien la combinaison des deux qui donne ce reboot réussi. Résultat des courses faut pas trop se prendre la tête, Superman a eu une longue traversée du désert pour revenir au cinéma, il est enfin là, il semble sensibiliser beaucoup de monde (fans, non fans, néophytes, grand public) et Superman est enfin de retour, on a plus qu’a espérer que si il y a une suite (je l’espère de tout coeur), qu’elle soit plus ambitieuse, encore plus maîtrisée et qu’elle soit meilleure (surtout si en plus on a derrière un DC universe movie qui démarre). Tout le reste appartient au monde inversé de Bizzaro.

crazy-el
crazy-el
10 années il y a
Répondre à  Ryez

Si le 2e n’est pas le meilleur, il sera indispensable pour compléter le 1e. Un peu dans le sens de ce que dis Merck-El  »Quoi qu’il en soit, Man of Steel, en parfait objet doctrinal, redonne la foi à ses initiés et leur fait miroiter des lendemains plus lumineux. »

crazy-el
crazy-el
10 années il y a

Je te cite:  »L’intelligence au cinéma est indispensable, mais elle ne doit pas commander seule. ». Et ta critique l’est autant intelligente et capable de développer ces trucs qui divisent les coeurs. Si tu permets, je la met dans le topic du film Man of Steel.

Il a ce moment où tu dis  »J’ai senti le mythe, mais j’ai pas senti la passion ». Tu vois, moi je l’ai senti cette passion depuis le tout premier Teaser sorti en 2012. J’ai tout de suite senti sur quoi on s’orientait. Quand j’ai vu le produit en entier je n’ai pas été surpris de ce que j’ai rssenti en 2012. Au contraire, ça c’est multiplié par…un nombre infini quoi.

Merci.

Dyvim Albion
Dyvim Albion
10 années il y a

Personnellement je suis assez surpris des deux critiques que j’ai pu lire ici. Nous avons un objet mythique (en cela je rejoins crazy-el) dans les mains et certains ne le voient pas. Cela me rappelle le « Seigneur des anneaux » où certains fans criaient au scandale de pas avoir vu Tom Bombadil ou bien les shériffs lors du retour dans la Comté. Personnellement, je ne me souviens que d’avoir eu un immense plaisir ponctué de « Wha », « Ouch » et autre onomatopées dont notre langue a le secret. Il y a toujours des choses à améliorer, et ce sera toujours à l’aune des goûts de chacun, mais faut-il pour autant oublier le résultat dans son ensemble ?
A mon sens je considère qu’une nouvelle page du super-héroïsme au cinéma vient de s’ouvrir : une nouvelle exigence, un nouvel étalon or de notre univers préféré.
J’ai vu le Superman que j’ai toujours rêvé de voir : puissant, un peu violent, vertigineux, SUPER quoi !!!!

DC Universe FRA

Rejoignez la première et la plus grande communauté non officielle DC Comics Francophone et participez aux discussions Comics, Films, Séries TV, Jeux Vidéos de l’Univers DC sur notre Forum et serveur Discord.

superman
7
0
Rejoignez la discussion!x