Review cinéma – Jonah Hex

Jonah Hex movie poster Josh Brolin and Megan Fox high resolution
Les points positifs :
  • Incroyable exemple de tout ce qu’il ne faut pas faire
  • Une bande son rock
  • Les deux trois trucs sauvés de la BD
Les points négatifs :
  • Ratage total
  • Le gâchis immense de talents perpétré
  • Un plagiat de Wild Wild West sans le fun
  • Megan Fox existe, quelque part sur Terre
  • Jeffrey Dean Morgan aurait du s’arrêter au Comédien

« Hahaha. » – Michael Fassbender, avant de percer


  • Réalisation : Jimmy Hayward – Production : Akiva Goldsman, Andrew Lazar
  • Scénario : Brian Taylor, Mark Neveldine
  • Acteurs : Josh Brolin, John Malkovich, Megan Fox, Michael Shannon, Will Arnett, Jeffrey Dean Morgan, Lance Reddick

Hauts les cœurs les amis, puisqu’en cette semaine spéciale cinéma, il est temps de déterrer du placard les fantômes du passé. De la lointaine et poussiéreuse Amérique des cowboys dans l’après Guerre de Sécession, d’un homme élevé par des Indiens et marqué à vie du sceau du démon, tué plusieurs fois, ressuscité chacune, l’inspiration de balades métal, d’excellentes BD et d’au moins un film moisi, en somme l’espoir de tout bon fan de DC Comics et des films de Sergio Leone de voir un jour un long-métrage digne de ce nom être fait entre deux aventures de super-héros. Je vous parle d’All-Star Western, je vous parle de Jonah Hex.

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Le film Jonah Hex apparaît en 2010, dix ans après avoir été proposé par Akiva Goldsman à la 20th Century Fox, à l’époque dans l’idée d’en faire une adaptation télévisuelle. Sauf que : le projet traîne en longueur, et Goldsman doit attendre sept ans pour avoir enfin l’aval de la Warner qui récupère les droits du personnage pour mettre un film en chantier. Les premières bonnes nouvelles s’enchaînent, puisque la production commence à se former autour d’un casting solide. Josh Brolin est choisi pour incarner le cowboy – un acteur doué dans le registre du western, comme on a pu le voir dans les films des frères Coen No Country for Old Men (en moderne) et True Gritt (en classique), aussi connu des fans d’adaptations (lointaines) de comics pour son rôle du jeune K dans Men in Black III et parce qu’il était pressenti en Batman (mais, comme dirait le proverbe, « les vieux, ça vend pas, regarde Bruce Willis après la cinquantaine, la preuve ». C’est pas un proverbe facile à placer, mais ouais, là, il colle tout à fait).

À ses côtés, on retrouve Michael Fassbender, qui a joué dans 300 et incarne Magneto dans les films X-Men de Matthew Vaughn et de l’autre type passé après (« avant ? » ? Non, je… J’vois pas, là, tout de suite), Michael Shannon de Man of Steel, Megan Fox de TMNT et TMNT 2, Will Arnett de TMNT et de LEGO Batman, et Jeffrey Dean Morgan, de Watchmen, The Losers, Walking Dead et Batman V Superman (waw, Jeffrey, c’est… Monstrueusement fidèle, tu dois adorer les comics sans oser le dire vraiment). Avec John Malkovich, qui ferait quand même un sacré bon vilain de film de comics, et tout est bien foutu puisque : ici, c’est le vilain.

Jonah Hex

Au scénario, on observe au passage la présence de Brian Taylor et Mark Neveldine, deux cinéastes de genre qui, à défaut d’avoir vraiment réussi à embrayer sur un ou deux bons trucs, ont signé les deux Hyper Tension avec Jason Statham. Deux films hyper neuneus empruntant beaucoup aux codes du jeu vidéo, mais nourris par un rythme et un second degré assez bien dosé pour digérer toutes la gratuité assez débile de leur écriture. En somme, un film qui se présentait bien, accompagné par une bande son du groupe de métal Mastodon, le premier fan du monde était en droit de s’attendre à un film de genre bien violent et classe, à l’image de certaines incarnations du héros.

« Alors, c’était bien ? », évidemment que non, jeune spectateur naïf dont la candeur arrive encore à me surprendre, puisque ce film a été produit avec les pieds par de stupides singes mutants ayant par je ne sais quel procédé réussi à évoluer sous forme humaine et gâcher un des meilleurs personnages de DC, un des meilleurs casts d’adaptation de tous les temps et l’opportunité en or de s’inscrire dans une vraie continuité filmique de western post-modernes au cinéma. Jonah Hex est une série B ratée, pas marrante, pas belle, pas drôle, pas fidèle, pas inventive et qui n’arrive même pas à divertir par un ou deux plan gratos de Megan Fox pour les crises hormonales d’ados ou d’éventuels curieux (elle est dans le film, oui. J’vous l’avais pas dit ? Ah. Distraction).

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Le scénario du film suit donc Jonah Hex, un ex-confédéré père de famille dont la vie est brisée après que Quentin Turnbull, chef de file de l’armée sudiste, massacre sa femme et son fils en représailles. Par accident, Jonah a en effet assassiné son fils Jeb Turnbull, son seul ami à la guerre interprété par le savoureux Jeffrey Dean Morgan. Après avoir survécu,, Hex va chercher à retrouver Turnbull pour se venger (oh ! Un cercle vicieux !), jusqu’à apprendre que son ennemi est déjà mort dans un incendie. Incapable d’apaiser sa colère et sa vengeance, défiguré, le cowboy s’oriente vers une carrière de chasseur de prime (parce que : « ça paye pas les factures, la vengeance ». Inigo, dans Princess Bride. J’adore ce film !), et va se forger une solide réputation d’assassin en abattant à vue les policiers ripoux qui peuplent les États-Unis de l’époque, ainsi que tous ceux qui s’approchent de lui de trop près. Il se lie d’amitié (?) avec une prostituée, Tallulah Black, jouée par Megan Fox. Que nous allons alternativement appeler « statue de cire » ou « présentoir à nichons » pour tout le reste de cette review.

Sauf qu’évidemment, le méchant n’était pas mort. Après avoir détourné un train et braqué une banque secrète riche en explosifs, Turnbull prépare une arme jamais vue, pour se venger des vilains Yankee abolitionnistes et détruire Washington dans un grand feu de joie. Plutôt que d’envoyer l’armée ou les services secrets, le Président choisit de faire confiance à un ex-confédéré tueur en série notoire défiguré et persuadé qu’il peut parler aux cadavres pour sauver le pays (et donc : le monde !!). Effectivement, Hex est ici pourvu du pouvoir de réveiller les morts en les touchant, il remonte donc vite la piste de son ennemi en interrogeant le cadavre de son fils Jeb, qui disparaît du film après une seule scène (quel gaspillage d’un Jeffrey Dean Morgan en parfait état de marche). S’en suit un déroulé logique : premier affrontement, monologue du méchant, héros laissé pour mort, retour, vengeance, le méchant capture statue de cire, Hex arrive juste à temps pour la sauver et empêcher le vilain de faire sauter le capitole, s’excuse auprès de Jeb de l’avoir zigouillé et : voilà, c’est la fin. Alors, par où commencer.

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Déjà, Jonah Hex est un film très mal rythmé. La version normale dure une 1h20, en comprenant la bonne dizaine de minutes du générique (sans scène post-gen parce qu’on est chez DC, et qu’on ne va pas demander à Papa Noël de fêter Hanouka), pour un scénario qui couvre plusieurs années et une période de temps d’une bonne semaine entre l’ouverture et le générique de fin. La construction manque de contextualisation – le vilain n’a que quatre scènes dans le film, ce qui est proportionnellement moins que son bras droit tueur en série, et le film perd de précieuses minutes sur des détails de fond (un combat d’arène assez grotesque où Michael Shannon fait un coucou dans l’arrière-plan ou des instants d’humour superflus). Le film sent à la fois le cahier des charges de blockbuster lambda, et un script haché à la tronçonneuse pour ne retenir que les pans utiles. Finalement, on n’a pas le temps ni l’envie de voir le héros et les personnages se développer, la moitié des relations sont zappées en trente secondes et le montage dépouillé pue le cliché à tous les niveaux.

En parlant du scénario, en fait… Sérieux, c’est Wild Wild West chez DC, en fait. Le vilain confédéré présumé mort qui revient à la vie, qui se fabrique une arme futuriste anachronique pour asservir le pays, la copine du héros est une prostituée, le Président confie le destin de la Nation à un pauvre type plutôt qu’à un régiment, le méchant a tué la famille du héros, le héros a un sidekick sympa qui lui fabrique des armes qui n’existent pas à l’époque, le vilain est un mégalo barbu, le héros est bourru et flingue avant de réfléchir, c’est abusé, c’est totalement Wild Wild West chez DC, avec un goût de Ghost Rider 2 que j’arrive pas à chasser de mon esprit, même après trois valiums.

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Parce que si Taylor & Neveldine ont signé le script et la réalisation d’Hyper Tension, ils ont aussi été aux manettes de Ghost Rider 2. Un film avec quelques bons points en tant que délire assumé, mais dont on peut difficilement défendre l’écriture codifiée en forme d’alpha série B. La prostituée fortiche qui sait se bagarrer, le bras droit du méchant est un fou qui tue comme il respire (Fassbender aime à dire en interview qu’il a calqué sa performance sur celle de Malcolm McDowell dans Orange Mécanique. Kubrick serait fier !), l’iconographie de la nation réunifiée qui réécrit complètement l’Histoire du pays, l’arme qui reprend l’imagerie de technologies futures, le méchant qui prend la copine du héros en otage et ne le tue jamais quand il en a l’occasion trois ou quatre fois, tout est là, et certaines scènes offrent un effet de miroir avec Johnny Blaze, un type de héros borderline avec des pouvoirs venus de l’enfer qui tire sur le taré solitaire hanté par son passé, il y a définitivement un parallèle à établir là-dessous.

En terme de caméra, Jimmy Hayward (si tant est qu’il ait eu son mot à dire) ne fait aucun effort pour être original. La photographie est jaunie, comme le serait une vieille photographie de l’époque, où suintante sous le soleil de plomb, ce que je pense pouvoir attribuer comme à un manque d’inspiration et une envie de coller aux standards visuels du western spaghetti. Cette quête de similitudes s’arrête là, on ne retrouve aucun des plans iconiques du genre dans le montage –  pas de cadrage en plan américain pour le tombé du colt, aucun des fameux échanges de regard à la Leone, même la chevauchée finale manque de goût. Le film a en fait une mise en scène très basique sur l’action : les bastons sont molles, les gunfights peu engageants (ça veut dire « nuls » en euphémisme). Le rythme saccadé enlève aux quelques tentatives d’originalité leur impact, et le montage n’arrange rien. Prenez les deux trois scènes trippy du film, qui me font d’ailleurs vachement penser à du Blueberry, dont la dernière juxtapose le combat final de Hex et Turnbull à l’hallucination qu’il a en milieu de film. Quelle est l’idée ? Ça n’a rien à faire là, ça augmente bêtement un enjeu qu’on a deviné depuis la première minute du film, en terme de langage visuel, ça correspond à rien – en gros, symboliquement, il a vaincu le vilain. Ok, très bien, mais il a vaincu le vilain de toutes façons, il n’y a rien de spécialement symbolique là-dedans.

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Parce que Jonah Hex reste une adaptation de comics, on peut aussi interroger le critère « fidèle » du personnage au matériau de base. Et si vous faites partie des fans du héros en BD, penchez la tête en arrière et riez puisque ce film aurait tout aussi bien s’appeler « le flic scarifié avec une nana qui tapine et Michael Fassbender en roue libre tatoué » vu le peu de proximité qu’il entretient avec le cowboy original. Jonah, son origine, les indiens, le Turnbull des comics, tout est est remplacé le cliché du « il a tué ma famille et m’a brûlé la tronche, donc je vais me venger », un scénario des plus original, dont l’audace époustoufle telle la bourrasque d’un ouragan d’écriture quasi jamais vue (et : on arrête l’ironie). Même constat pour Tallulah Black. En comics, violente, sauvage, scarifiée de partout, borgne, la femme violée folle de Jonah qui jure comme un charretier est ici remplacée par la caution « nana sexy d’Hollywood », (dans le dictionnaire du cinéma, une photo de Megan Fox  illustre ce statut). L’actrice jure doublement avec le maquillage de Brolin, par son absence de traits sur le visage, problématique au vu du personnage original et de l’ensemble crasseux du paysage. Ah, et elle joue mal aussi. Je précise pour ceux qui n’auraient pas suivi la brillante carrière de ce monstre sacré du cinéma Hollywoodien.

Dans les points à sauver : la musique apparaît comme le dernier reste d’un projet assassiné en cours de route, nourrie de morceaux violents d’un métal efficace. Problème, là où ce genre de musiques colle davantage à des pastiches de série B faits avec second degré, comme les Grindhouse ou le dernier film Dredd, un genre d’exagération naturelle du film de flic hard boiled, la réalisation sans finesse et l’écriture post-it ne collent pas à ce genre de choix. Le film ne rit jamais de lui-même, et flotte entre deux tentatives d’humour raté, dans un premier degré qui n’assume jamais la posture de film de genre, en plus d’être pauvre artistiquement ou dans sa mise en scène. En somme, une bande son de bonne série B sur une mauvaise série B, lambda et dépouillée. Les acteurs ne sont pas tous mauvais, Brolin essaye même un peu d’incarner le cowboy dans les quelques grognements qu’il offre en début de film, mais le montage acéré et une pauvreté de dialogues générale détruit le potentiel d’un cast d’excellente facture.

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Pour terminer sur une note pragmatique, je dois vous parler de la réussite financière du film. Jonah Hex a couté 47 millions, et n’en a rapporté que 11 – ce qu’on appelle couramment un monstrueux bide. À tel point que la Warner a décidé de ne le sortir qu’en direct-to-dvd à l’international, et de ne même pas investir dans un doublage Français (la VF est assurée par l’équipe Québecoise, ce qui est parfois marrant, mais très louche dans l’ensemble). En somme, plus qu’un ratage total, ce film exemplifie l’échec d’un processus cynique de production. On sent dans le scénario l’ingérence de producteurs bardés d’intentions peu louables, ce qui part de l’interchangeabilité du scénario à son montage et sa durée, comme s’ils avaient une fois encore cherché à transformer le projet en produit sans savoir comment le vendre ou qui allait l’acheter. Une sacrifice inutile, qui n’a pas trouvé son public (normal), bref, c’était Jonah Hex, et ça fait mal.

Ça fait mal pour plein de raisons. D’abord parce qu’en comics, depuis les premiers récits jusqu’au run de Gray & Palmiotti, sans oublier le Hex futuriste qui combat des robots, il existe mille et une bonnes histoires de l’ex confédéré à adapter correctement. Quitte à reprendre le scénario de western spaghettis pré-existants, puisqu’en définitive, l’histoire de Jonah Hex n’a rien de vraiment spécifique au comics et vous pouvez retrouver une bonne dizaine de films à son image en cherchant suffisamment. Le portrait de l’ex soldat dans une Amérique en transition, de noble chasseur de prime taciturne fait même partie des archétypes de héros dans le cinéma Américain. Il serait intéressant de savoir à quel point les scénaristes ont pu ignorer cet héritage sur la seule base de faire un « comic book movie ». Je suis même prêt à parier que le scénario aurait été complètement différent si le film n’avait pas été une adaptation. Ici, le héros a des pouvoirs, sauve le monde, enchaîne les explosions… Des trucs de blockbusters débiles, en fait. Le choix de Megan Fox s’explique facilement aussi si on part de là : une statue de cire qui ne s’intègre pas dans cette Amérique passéiste de gueules cassées avec sa peau parfaite, mais dont tout le monde se fout : c’est un argument commercial, la nana sexy qu’on balance pour vendre le film, au même titre qu’une bande-annonce accrocheuse ou une série d’explosions pour l’adrénaline.  L’emballage sexy qu’on balance comme une partie du propos de l’oeuvre, c’est d’ailleurs globalement ce que Google Image a le mieux retenu du film en définitive.

Mais Jona Hex fait surtout mal pour deux raisons. D’abord, parce que quand un gros studio Hollywoodien subit un échec après avoir massacré un projet… Il ne se dit pas que c’est la faute du gros studio Hollywoodien. Il se dit « le personnage n’est pas vendeur », et on peut attendre des années voire des décennies avant de voir un projet d’adaptation resurgir. Le même genre de mécanique qui a entouré pendant vingt ans les films d’héroïnes. Or, c’est faux, Jonah Hex est un bon personnage, et c’est d’autant plus dommage que l’adapter donnait aussi à Warner l’opportunité de sortir de sa zone de confort, et de proposer enfin un héros de comics qui ne soit pas Batman, Superman, voire simplement, un super-héros. En définitive, ce genre de héros est un projet d’adaptation idéale, vu que toutes les bonnes histoires ont déjà été écrites, qu’il n’y a qu’à adapter et que ce genre de projets sortent de la lassitude du public sur l’overdose de super-héros.  L’échec du film veut dire qu’on aura peut-être jamais droit à un vrai film All-Star Western, voire d’autres personnages associés.

Et enfin, le truc c’est que… Ben, c’est Warner Bros., encore une fois. Green Lantern, les séries CW, tout un tas de projets foireux abandonnés, une série de mauvaises décisions dans lesquelles Jonah Hex n’est qu’un exemple supplémentaire. Ok, tout le monde ne connaît pas le héros, et sans doute que pas mal de gens se foutent de savoir si le film est bon ou mauvais. Maintenant, prenez Batman V Superman. Sans refaire le match, qu’on ait ou pas aimé, le métrage reste imparfait, et gavé d’ingérences de production palpables, depuis la réécriture jusqu’à l’ajout du sous-titre Dawn of Justice en milieu de production, en définitive un projet mal mené dont on sent davantage l’échec d’un studio que d’une équipe de tournage. Est-ce que c’est rassurant ? Quand Hex est sorti, le public l’a majoritairement pris pour une grosse série B neuneu inoffensive, sauf que plus largement, y a pas cinquante bonnes adaptations de DC Comics à isoler récemment. En dehors de la trilogie de Christopher Nolan (et de Man of Steel, où son rôle de producteur a servi de bouclier), on peut essayer de savoir comment Warner conçoit le catalogue DC Comics une fois portés à l’écran. C’est la seule chose à retenir de cette énorme saloperie : déjà, lisez les comics, parce qu’il y en a plein d’excellents sur Jonah Hex, mais surtout, prenez du recul sur la médiocrité générale des adaptations récentes proposées par Time Warner. Parce que personnellement, je n’ai pas envie de voir mes héros préférés arriver à l’écran uniquement à l’occasion de caméos risibles dans un épisode random de  Legends of Tomorrow.

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8 Commentaires
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Rhyfel4815
Rhyfel4815
7 années il y a

Un vent de masochisme souffle sur l’équipe du site cette semaine on dirait x)

Sasahara
Sasahara
7 années il y a

C’est vrai que c’est rageant, un tel navet dans la lignée du Wild Wild West avec Will Smith, quand on connait le potentiel du personnage ! Après avoir lu l’excellente série « All-Star Western » on se dit que c’est une énorme occasion manquée, qui ne se représentera pas de sitôt !

Rhyfel4815
Rhyfel4815
7 années il y a

Aussi, « le héros capture statue de cire » je crois qu’il y a inversement, à moins que « capture » soit une métaphore d’un scènes gratuite comme Megan Fox est habituée à en faire ^^

Winterwing
7 années il y a

C’est la semaine spécial nanard ?

The Trickster
The Trickster
7 années il y a

Ce film est TELLEMENT mauvais…. ouf… et le pire c’est que je l’ai acheté -_-

DoctorVin's
DoctorVin's
7 années il y a

Quand tu vois ce casting en plus…

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