Review Express VO – Semaine #177

Le Coup de Cœur de la semaine

  • Batman & Robin #38
Le Top de la semaine

  • Batman/Superman #18
Le Flop de la semaine

  • Mortal Kombat X #3

Bonjour à toutes et tous et bienvenue dans ce nouveau numéro de la rubrique cultissime de DC Planet, celle par qui le CLIC arrive, hé oui ! Mieux que les news sur les abdos de Batfleck, mieux qu’un dossier sur le sexe dans les comics, les Review Express VO sont toujours là pour vous apporter, comme chaque semaine, les critiques du staff (avisées, comme toujours) sur les dernières sorties VertigoBeyond the New 52 et New 52 de DC Comics ! On a un petit nouveau cette semaine dans la rubrique, qui vient nous enrichir de sa verve acérée et de son écriture féroce : je parle bien entendu de mon chouchou Corentin qui vient même, je crois apporter le premier 0/10 de l’histoire des Review Express ! Chapeau bas.

Autrement, la grosse sortie de la semaine c’était bien entendu le Batman & Robin #38 pour le retour de Damian Wayne dans la série ; mais on continue toujours de suivre les séries hebdomadaires également (qui accusent toutes un coup de mou, avant la dernière ligne droite), et les quelques titres Vertigo sont ma foi de bonne facture ! Surtout n’hésitez pas à partager vos avis sur vos lectures de la semaine dans les commentaires, j’aime à croire que la lecture est encore un loisir qui occupe nos lecteurs en ces mornes semaines d’hiver ! Bonne fin de semaine, et vive les comics !


VERTIGO

 

FABLES #148

FABLES #148 review

Scénario : Bill Willingham Dessins : Marc Buckingham et autres

La fin approche pour Fables, une conclusion de Conte de Fées (logique), où l’on rejoint l’écriture féérique des premiers récits « hors-série » du comics de Bill Willingham. Une histoire d’héritage dans une famille de sorcellerie, l’amorce d’un combat final pour la famille Bigby/Snow, et un au revoir pour Jack of Fables, dernière aventure elliptique du loser shakespearien, qui trouve sa place au soleil après avoir tant cherché.

On regrette que cette fin ne se fasse pas avec plus d’ampleur, même si ce qu’il reste à raconter tient plus de la conclusion fan service que d’un véritable dernier acte épique (déjà survenu). Le tout reste fidèle à l’esprit de la série : c’est bien écrit, parfois léger, avec beaucoup de cette sagesse noble empruntée aux récits que Willingham pille élégamment, en somme, ce n’est jamais qu’un numéro de Fables de plus, dans la longue histoire de la série. Reste un seul défaut (hélàs incontournable) : dans deux numéros, c’est fini. Et ça, c’est impardonnable.

– Corentin

Note : 8/10

THE KITCHEN#3

review THE KITCHEN#3

Scénario : Ollie Masters Dessins : Doyle Ming

A la différence des précédents numéros, où je trouvais qu’Ollie Masters menait son intrigue un peu trop nonchalamment, nous avons ici plusieurs avancées du scénario qui vont rendre la situation toujours plus délicate pour Kath et ses deux amies (girl power !), alors qu’un ancien ami (un brin dérangé) refait surface pour les aider à maintenir le business de leurs maris foutus en prison, et qu’un gang voisin vient à leur porte pour, apparemment, faire affaires avec eux. Eeeeet, ce n’est pas tout, mais je vais pas commencer à tout vous raconter non plus, mais l’ambiance est toujours présente, on s’y croirait vraiment, et on s’intéresse véritablement au sort des héroïnes, l’écriture nous mettant au plus près des personnages. Aux dessins, Doyle Ming nous fait également plaisir, et l’utilisation d’un filtre sur les planches du flashback renforcent l’impression cinématographique donnée déjà par les choix des plans pour chacune des scènes. Alors c’est pas non plus forcément super beau tout le temps, mais ça sert complètement le propose de l’histoire, et ça reste du bel art à mon sens !

– ArnoKikoo

Note : 8/10


BEYOND THE NEW 52

 

ARROW SEASON 2.5 #11

review ARROW SEASON 2.5 #11

Scénario : Marc Guggenheim Dessins : Szymon Kudranski

Les back-up des dix derniers numéros ont servi à amener à cette histoire qui va un peu nous changer du reste de la série. En effet, nous suivons Diggle et ses « alliés » de la Suicide Squad (en l’occurence, Deadshot et Bronze Tiger dans leur version CW) en mission au Khandaq pour aller déloger un certain Khem Adam, sorte de figure des dictateurs africains modernes, et forcément anti-américain, donc forcément méchant. Bah oui. Le début de la mission se veut piquant (entre chacun des membres, puisque personne n’a vraiment envie de bosser ensemble), et riche en une action assez musclée, avec une certaine violence également, et ma foi ça se laisse suivre sans problème ; déjà parce qu’on est tout de même content de suivre la Task Force X même si on aimerait encore plus en voir un épisode spécial à la tv, mais je suppose que les décors exotiques de cet acabit ne peuvent pas trop être permis pour la CW. Reste que l’ensemble profite bien des dessins, bruts, de Szymon Kudranskiet d’une petite histoire parallèle qui se finit sur un cliffhanger qui fera hausser un sourcil de surprise amusé. Ce qui n’est pas dérangeant, loin de là.

– ArnoKikoo

Note : 8/10

 

BATMAN ’66 #52

review BATMAN '66 #52

Scénario : Rob Williams Dessins : Ruben Procopio

Ah, quelle joie de retrouver Batman ‘66 toutes les deux semaines ! Comme d’habitude, le titre se révèle totalement délirant. Cette fois-ci, le pitch est haut en couleurs. Alors qu’Egghead cambriole le Museum de Gotham City (afin de s’emparer d’ oeufs très rare, évidemment, puisqu’il s’agit d’oeufs de dinosaures) un mystérieux héros intervient. Il s’agit de… Jokerman. Toute cette farce est absolument assumée par l’auteur et l’on se plaît à parcourir les pages du numéro en se demandant ce que cherche à faire le clown prince du crime. J’ai beaucoup aimé le costume de héros endossé par le Joker, ainsi que sa version de la Batmobile. L’idée est bien exploitée et l’on rit beaucoup au fil de cet épisode, alors que demander de plus ? Eh bien la suite de cette histoire, puisqu’il s’agit d’un petit arc. Vivement le prochain numéro !

– Zeppeli

Note : 8/10

 

BATMAN : THE JIRO KUWATA BATMANGA #29

review BATMAN : THE JIRO KUWATA BATMANGA #29

Scénario : Jiro Kuwata Dessins : Jiro Kuwata

Si vous faites partie de ceux qui apprécient le Batmanga de Jiro Kuwata, vous aimerez ce numéro qui concentre tout ce que le mangaka fait de mieux : l’ambiance est à la fois délirante et sombre, avec des personnages aux designs assez originaux. L’histoire, qui se situe dans des décors artificiels, au milieu d’une sorte de festival de masques, alors que Batman et Robin cherchent un meurtrier, se prête aux fantaisies de l’auteur nippon. L’épisode est bourré  d’action et il manque peut-être un peu de suspense, mais le numéro est plaisant et révèle suffisamment de nouveaux éléments pour que l’on ait hâte de voir la suite la semaine pochaine. On regrettera cependant une qualité d’image un peu moins bonne que ce que l’on a pu voir sur les arcs précédents, tant l’encrage semble ici trop lourd et un peu baveux. Mais si vous n’êtes pas rebutés par les bandes dessinées “vintage”, foncez !

– Zeppeli

Note : 7/10

 

FABLES : THE WOLF AMONG US #7

review FABLES : THE WOLF AMONG US #7

Scénario : Dave Justus, Matthew Sturges Dessins : Stephen Shadowski et autres

Nous retrouvons notre duo d’enquêteurs, formé de Bigby Wolf et de Snow White, chez le prince Lawrence, mari de la victime qui s’était révélée être peau d’âne. Ceux qui ont fait le jeu ne seront pas surpris de voir ce que nous révèle cet épisode, mais il faut avouer que tout cela est assez bien orchestré. Par chance, on a droit à un petit flashback qui nous donne quelques informations supplémentaires sur la victime, et le mystère s’éclaircit un peu. La série prend aussi quelques libertés par rapport au jeu et l’on en apprend un peu plus, c’est aussi dans ce numéro qu’un suspect supplémentaire apparaît. Comme toujours, je suis un peu le cul entre deux chaises avec ce titre. C’est assez sympathique, mais ça ne casse pas trois pattes à un canard, et c’est totalement dispensable pour les gamers qui ont pris part à l’aventure proposée par Telltale

– Zeppeli

Note : 5,5/10

 

INFINITE CRISIS : FIGHT FOR THE MULTIVERSE #32

review INFINITE CRISIS : FIGHT FOR THE MULTIVERSE #32

Scénario : Dan Abnett Dessins : Eduardo Francisco

Après un tout petit break Infinite Crisis revient et pour être tout à fait honnête, la série ne m’avait pas manqué depuis le mois dernier. Hélas, ce n’est pas avec ce genre d’épisode que Dan Abnett va changer les choses. Pour faire court, plus de la moitié du numéro est un gros résumé de la situation au cas où nous autres, pauvres lecteurs, serions trop simplets pour nous souvenir de ce qui se passe depuis maintenant cinq ou six numéros. Pour le reste, l’auteur a besoin d’un élément venant relancer l’intrigue alors le Monitor se comporte comme un débile et boom, grosse explosion, cliffhanger et à la semaine prochaine… Pas grand chose à se mettre sous la dent au niveau de l’histoire donc, et c’est aussi un peu le cas graphiquement. Visages rushés, proportions corporelles parfois approximatives et arrière-plans monochromes. Bref, tous les éléments d’un travail dans des délais trop serrés sont là et on a connu Eduardo Francisco en meilleure forme. Vous l’aurez donc compris, Infinite Crisis, cette semaine et comme trop souvent d’ailleurs, ce n’est pas vraiment la joie.

– n00dle

Note : 3/10

INJUSTICE : GODS AMONG US YEAR THREE #17

review INJUSTICE : GODS AMONG US YEAR THREE #17

Scénario : Brian Buccellato Dessins : Bruno Redondo

C’est ce que l’on attendait avec l’arrivé de Buccellatto sur Injustice et même si ce n’est pas forcément complètement de son fait, il n’en reste pas moins que le numéro de cette semaine d’Injustice redonne enfin le sourire. Non pas que ce soit particulièrement drôle mais on retrouve ce petit « je-ne-sais-quoi » qui donne du sel à l’intrigue. C’est peut-être parce que la parlote est enfin terminée et qu’on peut laisser place aux mandales. La caractérisation est toujours aussi juste, à croire que Taylor a trouvé un digne successeur. Forcément on se tape un Batman vs Superman, c’était inévitable et on sait surtout que ça va arriver encore à l’avenir. C’est aussi le moment pour la résistance de montrer leur atout magique mais sera-t-il suffisant pour contrer les forces surpuissantes de l’équipe Superman ? Au-delà du simple aspect divertissant de la bagarre générale, ce sont les différents discours entre les personnages qui sont intéressants et qui permettent d’avoir une nouvelle fois, bien plus que « tu es le méchant et je suis le gentil parce que c’est comme ça ». D’ailleurs l’action et la réaction de Sinestro sontt vraiment géniales car elles illustrent parfaitement cela. C’est donc un petit retour en grâce que nous fait Injustice depuis quelques semaines. En espérant que ça dure au moins jusqu’à la fin de ce Year Three.

– Nathko

Note : 7,5/10

MORTAL KOMBAT X #3

review MORTAL KOMBAT X #3

Scénario : Ron Marz Dessins : Dexter Soy

Mortal Kombat, troisième numéro. Un comics né d’une mauvaise idée, la déclinaison de licences – qui prend la forme de jouets, d’animés en direct-to-vidéos, et éventuellement de comics si le besoin s’en ressent. On ne peut pas accuser le scénario d’être mauvais. Je veux dire, on ne peut pas accuser le scénario de MORTAL KOMBAT d’être mauvais. On peut en revanche critiquer l’intérêt de faire un comics (c’est à dire une oeuvre narrative) sur la base d’un scénario unanimement jugé comme mauvais. Ici, sans le gameplay et la mise en scène qui font la force de la série, il ne reste que ce pitch étrange, cette mythologie de série B volontairement assumée et parodique, mais qui s’apparente ici à une dissertation de collégien mal dans sa peau (avec une grosse dislexie), mise en dessins.

Parlons d’ailleurs de cette partie graphique : c’est mauvais. Mauvais, mauvais, mauvais. Rien d’autre à ajouter, l’existence de pareil comics est une honte, ce genre de BD devrait être distribué gratuitement dans les manuels du jeu ou dans le contenu déblocable par companion app, mais vendre un comics avec un tel niveau d’inutilité, ce n’est même plus une blague. Sauf si vous l’avez acheté bien sûr. Dans ce cas là, j’admets, c’est un peu drôle. Haha.

– Corentin

Note : 0/10

 

WONDER WOMAN ’77 #2

review WONDER WOMAN '77 #2

Scénario : Marc Andreyko Dessins : Matt Haley

Deuxième épisode pour ce nouveau titre. Nous retrouvons Diana Prince et Steve Trevor dans le club disco où leur enquête les avait menés dans le chapitre précédent. L’affrontement entre Wonder Woman et l’ennemie qui avait été révélée lors du cliffhanger commence vraiment. Nous avons enfin droit à une grande scène d’action et à une transformation du plus bel effet. Le numéro baigne dans une ambiance rétro tout à fait plaisante qui devrait être appréciée des lecteurs qui aiment le style des histoires du silver age et qui ont aimé la série télévisée avec Lynda Carter dans le rôle-titre. Graphiquement, ça tient clairement la route et l’on reconnait sans peine le visage de l’actrice principale, dans une version un peu plus cartoony. Ceux qui cherchent une petite dose de fun, loin de l’ambiance actuelle de la série Wonder Woman version New 52 sauront pleinement profiter de ce titre, qui mérite qu’on y jette un oeil curieux et amusé.

– Zeppeli

Note : 7/10

 

WONDER WOMAN ’77 #3

review WONDER WOMAN '77 #2

Scénario : Marc Andreyko Dessins : Matt Haley, Drew Johnson

Conclusion du premier arc de cette nouvelle série. Wonder Woman doit faire face à une horde de personnes manipulées par le pouvoir de son ennemie, dont fait partie Steve Trevor, puis enfin se défaire de celle-ci et de ses sbires. L’affrontement est réussi et l’on a droit à quelques idées bien exploitées, dans ce combat à thème très “disco”. Cependant, on pourra regretter le changement de dessinateur à la moitié de l’épisode, ce qui occasionne un manque de cohérence artistique assez regrettable, qui vient tout gâcher. Il est dommage d’en arriver là si tôt dans cette jeune série, espérons simplement que cela ne se reproduise pas souvent. L’histoire reste cependant agréable à suivre et l’arc dans son intégralité pose les bases de ce que sera probablement ce comic-book : une petite anthologie d’histoires funs et décomplexées, à suivre pour les amateurs des années 70.

– Zeppeli

Note : 6/10

 


NEW 52

 

BATMAN/SUPERMAN #18

review BATMAN/SUPERMAN #18

Scénario : Greg Pak Dessins : Ardian Syaf, Sandra Hope

L’arc en cours par le duo Pak/Syaf donne toujours autant de plaisir à lire. Les ingrédients ne changent pas et c’est tant mieux puisqu’en changer alors que le tout fonctionne déjà super bien serait un peu bête. Du coup on retrouve nos personnages en plein trouble avec un Superman qui commence à ne plus voir les choses de façon très claire, preuve supplémentaire qu’il n’est pas infaillible. Batman de son côté met au point un piège à plusieurs étages totalement attendu pour ce personnage. C’est aussi l’une des grandes réussites de cette histoire, c’est de faire avec les forces et les faiblesses des deux personnages principaux sans en préférer l’un à l’autre. En plus de ça, les personnages secondaires sont des têtes connues et aident donc à encrer l’histoire qui n’est pas juste un petit trip en duo dans une autre dimension et dont personne ne va se rappeler. La traque du « Joker de Superman » se poursuit sans réel temps mort et avec même quelques révélations en cours de route. On en apprend un peu plus sur la encore très mystérieuse Forteresse de Solitude version New 52 et surtout, le cliffhanger de fin de numéro est franchement surprenant. Visuellement, Syaf assure un max, et même si on peut noter que parfois, certains visages féminins ne sont pas des plus réussis, on ne peut décemment pas dire que ce n’est pas beau. Je me répète d’ailleurs, mais l’influence de Jim Lee est incontestable. C’est bien simple, à certains moments on dirait du Superman Unchained.

– Nathko

Note : 8,5/10

BATMAN & ROBIN #38

review BATMAN & ROBIN #38

Scénario : Peter J. Tomasi Dessins : Patrick Gleason

Hé bien hé bien. Je ne m’attendais pas du tout à ça. Le pitchoune est de retour et se plait avec ses nouveaux pouvoirs, se sentant infaillible. J’avais peur que le numéro ne soit que trop plein d’énergie de sa part et frein de la part de son père, mais au final, nous n’avons cette situation qu’en début de numéro. Passées ces quelques pages, on se retrouve avec un Damian sensible, en proie au cauchemar, de façon atroce, qui se donne une mission personnelle. Tout le reste du numéro n’est que force, tendresse et pardon. Damian recherche une sorte de rédemption pour tout ce qu’il a causé involontairement à travers les actes d’une mère diabolique, et franchement, je ne m’attendais pas du tout à ça. C’est vraiment touchant, étonnant, on a droit à un guest surprise et inattendu, une main tendue vers des êtres innocents qui n’ont rien demandé. Franchement je suis réellement très surprise, dans le bon sens du terme. En plus, retrouver ce pitchoune avec les traits de Patrick Gleason et Mick Gray avec les couleurs typiques de John Kalisz, je retrouve vraiment ce que j’aimais dans la série et chez les personnages (malgré une case un peu douteuse sur le design de Robin), les super-pouvoirs en plus. Et même si ces pouvoirs c’est peut être un peu trop, le fond de l’histoire fait tout oublier. Entre humour et amour, un parfait équilibre.

– Harley

Note : 9/10

BATMAN ETERNAL #42

review BATMAN ETERNAL #42

Scénario : Scott Snyder, James Tynion IV, Ray Fawkes, Kyle Higgins et Tim Seeley Dessins : Goran Sudzuka et autres

Et voilà, Bluebird Begins c’est dans ce numéro ! Puisque ses co-équipiers de la Bat-Family n’ont pas été assez malins pour anticiper le piège du Mad Hatter (vous savez, cette intrigue de nanotrucs qui au final n’a aucune réelle importance et dont on se fichait un peu, à vrai dire), Harper Row prend la place de casse-cou stylée qui malgré quelques erreurs de débutants s’en sortira toujours à temps (ha, et ce coup de la flatterie, pas du tout éculé, non, non) et sauve l’affaire, afin de… bah de s’imposer dans la Famille et surtout qu’on en arrive au statut vu dans Batman #28. Bah ça tombe bien parce que de l’autre côté on suit Stephanie Brown, qui est et reste une victime des évènements avant tout. Reste que l’une intrigue dans l’autre, ça n’avance pas beaucoup et on s’ennuie un peu. Surtout que la partie artistique est mitigée : chez Bluebird avec Jed Dougherty, c’est pas très joli et ça prend la majorité du numéro ; avec Stephanie, c’est du Sudzuka, donc beaucoup plus fin et un trait qui embellit l’héroïne, mais ça ne dure que quelques pages. J’aurais préféré l’inverse.

– ArnoKikoo

Note : 6/10

BATWOMAN #38

review BATWOMAN #38

Scénario : Marc Andreyko Dessins : Jason Masters

Alors que l’arc Batwoman and The Unknowns avait tendance à partir dans tous les sens, voici un numéro plutôt sympathique. On commence à associer les pièces du puzzle que l’auteur met en place, on revient sur des histoires passées, mais pour une fois, on a pas cette impression brouillon. Certes on a pas mal de personnages différents, mais on voit comment les liens se forment entre Etrigan, Batwoman, Ragman et Clayface. Morgaine Le Fey est une bonne vilaine je pense, et il est nécessaire de bien la travailler. Pour l’instant on ne la voit que peu, mais le côté malsain arrive à ressortir de ses deux dernières apparitions, et elle a attisé ma curiosité. Kate Kane doit aussi faire face à Maggie, et la confrontation bien que courte est assez révélatrice, surtout pour Kate. Sauf qu’elle n’aura pas vraiment le temps de s’en remettre car deux femmes l’attendent, l’une pour son plaisir jaloux, l’autre, pour une discussion plus familiale toute en beauté mais que l’on retrouvera au prochain numéro.

Même si je ne vois pas comment on va arriver dans l’espace, j’aime comment tout prend petit à petit son sens, et maintenant, j’ai peur de repartir sur du gros n’importe quoi sans queue ni tête. J’espère donc que la ligne directrice de ces quelques pages se retrouvera le mois prochain. Bon après, soyons réalistes, deux numéros pour tout expliquer et finir dans l’espace, ça fait short.

– Harley

Note : 6,5/10

EARTH 2 : WORLD’S END #16

review EARTH 2 : WORLD'S END #16

Scénario : Daniel H. Wilson, Marguerite Bennett et Mike Johnson Dessins : Eddy Barrows et d’autres

Je dois avouer que World’s End m’avait plutôt emballé a ses débuts mais le soufflet est vite retombé et j’aborde maintenant chaque nouveau numéro avec une gentille indifférence. Ce n’est, hélas, pas celui de cette semaine qui va me faire changer d’avis. Certes, les auteurs ralentissent enfin un peu le rythme et permettent à leurs personnages de souffler un peu. On retrouve donc une dimension un peu plus humaine au niveau de l’ensemble, même si on retombe bien vite dans la baston facile sur la fin. Une baston qui ne sert, d’ailleurs, qu’à vendre le cliffhanger. Finalement, j’ai l’impression que Daniel H. Wilson et son équipe en font à la fois trop et pas assez. Trop, dans le côté ‘shock value’ pour essayer de donner à tout prix un ton épique et sombre au récit et pas assez pour permettre au titre d’avoir un univers vraiment cohérent. De ce côté là, les gros raccourcis qui sont pris pour aller à l’essentiel font assez mal à l’équilibre de l’histoire et on a parfois l’impression de se retrouver face à un blockbuster ayant subi des coupes dans son montage. Heureusement au niveau des dessins, ça tient encore une fois la route et c’est peut-être même le numéro qui a le plus d’unité graphiquement depuis le début. Si on ajoute à ça les deux ou trois bons moments du récit, je ne peux pas complètement vous déconseiller la lecture, mais je n’irai pas non plus jusqu’à la conseiller.

– n00dle

Note : 5,5/10

GREEN LANTERN : NEW GUARDIANS #38

review GREEN LANTERN : NEW GUARDIANS #38

Scénario : Justin Jordan Dessins : Diogenes Neves et autres

On sait déjà que la série va s’arrêter très bientôt. Il faut simplement espérer que la suite est prévue. Maintenant ce qui est important c’est le chemin que va prendre Justin Jordan pour terminer son run ainsi que la série. Et il ne faut pas attendre très longtemps pour que l’ennemi se dévoile à nos yeux. C’est d’ailleurs une tête assez familière que Jordan ramène, et pas la moins pertinente. En effet, Kyle Rayner ne représente rien de moins que la vie et toute création en tant que White Lantern et il lui fallait un ennemi non seulement puissant mais aussi personnel. Je suis sûr que même avec ces indications vous n’avez pas deviné de qui je parle. Le duo/couple Carol/Kyle à lui aussi droit à la fameuse discussion, celle du même type que Carol et Hal ont eu il n’y a pas si longtemps. D’ailleurs la teneur n’est finalement pas si lointaine et ce n’est pas spécialement encouragent pour leur relation à venir, si tant est qu’il y en ait une. Dans ce Green Lantern : New Guardians #38 les choses sont donc assez classiques et ne révolutionneront rien. Discussion du cœur + de l’action et un nouvel ennemi et c’est bon, on est parti pour un arc en 3 parties de manière classique mais efficace.

– Nathko

Note : 7/10

JUSTICE LEAGUE #38

review JUSTICE LEAGUE #38

Scénario : Geoff Johns Dessins : Jason Fabok

Avons-nous fini de tourner en rond ? Cette lutte contre le virus est de plus en plus désespérée et peu d’éléments nouveaux viennent nous effleurer la rétine. Cependant, il faut reconnaître une certaine intensité au récit, surtout quand Batman lui-même est infecté. Mais est-ce que cela suffit à rendre le tout puissant et intéressant ? Il reste bien évidemment le pourquoi du comment, qui brûle sur toutes les lèvres. De l’implication de Luthor à celle de ceux qui ont décidé de relâcher ce virus dans la nature. Toujours est-il que cet arc vient bien remettre en question la légitimité du chauve dans la Justice League. En filigrane, pas totalement appuyée ni confirmée, mais bien présente dans ce numéro qui ne fait que rajouter à la tension qui règne entre les personnages. Comme je le soulignais, rien de bien neuf donc, mais le développement reste cohérent. Mais nous ne manquerons pas de souligner le “twist” qui fait évoluer le virus dans une direction assez… drôle ? Je sais pas si c’était le but de la manoeuvre, toujours est-il que le thème est archi épuré et la question de savoir comment cette évolution de l’infection va être traitée reste entière. J’ai quand même ma petite idée sur le dénouement, hélas… Faut dire qu’on nous donne la solution aussi dans le numéro (plus ou moins). Au delà de ça, Johns s’amuse avec le Captain Cold, sans apporter réellement quoique ce soit à l’intrigue.

Niveau graphique, une fois de plus, rien à redire. C’est parfait et brillant. Jason Fabok maitrise ses traits et les couleurs finissent de poser une ambiance bien virale (dans le sens le plus strict du terme) et donc malsaine au vu de la situation. Geoff Johns maîtrise son histoire, mais avec lenteur et sans grande surprise pour le moment. Même si j’approuve le choix des pouvoirs pour Bruce. Le cliff me laisse perplexe et je sens un dénouement rapide et qui ne laissera que peu de conséquences. Mais en deux numéros (voire un seul), il a encore le temps de me faire mentir.

– Freytaw

Note : 6/10

 

RED HOOD AND THE OUTLAWS #38

review RED HOOD AND THE OUTLAWS #38

Scénario : Scott Lobdell Dessins : R.B. Silva et autres

Scott Lobdell avait réussi à me réconcilier avec la série avec le numéro Annual de fin d’année, et en ce premier numéro de 2015, je n’arrive pas à trouver son histoire, quand même complètement n’importe quoi, ma foi assez plaisante. Peu-être parce que, comme lui, j’aime la drogue. Mais on retrouve vraiment un effet de fun, avec des passages réellement comiques, des retournements de situation tellement abusifs qu’on se marre – et que mine de rien, ça intrigue. Et même si ça manque de profondeur, qu’on a pas trop de direction dans le titre (nan mais : toujours pas d’annulation, vraiment ?), qu’il y a, je crois, des incohérences à pas mal de reprises (genre, le retour surprise d’Arsenal qui était censé être brûlé au 10ème degré ; le comportement de Starfire ; la dernière page en forme de cliffhanger « je fais ce que j’veux, c’est ma série  ») ; et à ce stade vous vous dites « mais c’est vraiment nul alors ? » – bah j’ai envie de vous dire que non. Ca se savoure un peu comme un nanar rigolo, la bande de potes et la bière en moins (enfin, ça peut s’arranger). Au niveau des dessins, R.B. Silva ne fait pas des merveilles, mais ça reste plutôt joli dans l’ensemble, avec une bonne mise en scène, et un effet comique sur certains personnages que j’ai plutôt apprécié. Par contre, Silva, laisse tomber les corps féminins, t’y arrives pas, et ça fait des mois que tu me massacres Starfire, j’en ai marre !

– ArnoKikoo

Note : 7/10

SUPERGIRL#38

review SUPERGIRL#38

Scénario : Kate Perkins, Mike Johnson Dessins : Emanuela Lupacchino

Bon alors, à la Crucible Academy, les choses étaient déjà assez sportives, elles sont devenues plus rudes lors du dernier numéro, mais là, c’est quasiment que de l’action sur un numéro. Et aussi des révélations, non parce qu’on est pas que dans la bagarre. Supergirl et son équipe se retrouvent face à d’anciens étudiants de la Crucible Academy, qui se sont faits expulser pour de sombres raisons. Sauf qu’ils arrivent sur Terre pour une mission bien précise, et lorsque Kara comprend, c’est le choc. Elle retrouve quelqu’un qu’elle pensait mort, alors que non. On comprend qu’il est alors la clé d’un super plan mais on ne connait pas lequel. Entre ces révélations, ça se cogne dans tous les sens, ça essaie de contrôler l’adversaire, de trouver ses faiblesses, mais les jeunots ne sont pas encore prêts et l’un se retrouve mal en point.

La direction du titre reste sympathique, on quitte un peu les parties trop douces des études, avec en fond, une grosse magouille qui se prépare et qui n’augure absolument rien de bon. Après tout, une arme humaine au centre d’un plan, ce n’est jamais bon. Donc cumulez action, révélation, rythme, belles planches, et vous obtenez Supergirl #38 qui se lit en un rien de temps et qui parait plutôt bien court.

– Harley

Note : 7/10

TEEN TITANS #6

review TEEN TITANS #6

Scénario : Will Pfeifer Dessins : Scott Hepburn

Déjà six numéros au compteur pour Teen Titans et je ne sais toujours pas sur quel pied danser avec cette série. Will Pfeifer enchaine souvent le bon et le moins bon à l’intérieur d’un même épisode et c’est encore le cas ici. Alors que tout commence avec du second degré et des touches d’humour plutôt réussies, le numéro bascule dans une ambiance beaucoup plus sérieuse à mesure qu’on avance. Le problème, c’est qu’entre le début et la fin il ne se passe pas grand chose. La narration donne plus l’impression d’enchainer des petites scènettes plutôt que de lire un ensemble cohérent tant les transitions entre chaque scène sont décousues. Par conséquent, le final n’a pas l’impact qu’il devrait avoir et on se trouve plus gêné que curieux de découvrir la suite. Restent donc les deux ou trois touches de fraîcheur pour sauver le numéro. En parlant de fraîcheur justement, la présence de Scott Hepburn aux dessins apporte encore une fois une plus value à l’ensemble. Même si tout n’est pas parfait – les visages en gêneront certainement plus d’un –  la composition de certaines de ses planches et son coup de crayon hyper dynamique suffisent à sauver le numéro et à en faire une vraie réussite visuelle. Dommage donc que Pfeifer ne suive pas l’exemple de son collègue en se montrant toujours aussi frileux au niveau de l’histoire.

– n00dle

Note : 5/10

THE NEW 52 : FUTURES END #38

review THE NEW 52 : FUTURES END #38

Scénario : Keith Giffen, Dan Jurgens, Jeff Lemire, Brian Azzarello Dessins : Andy McDonald

Et pourtant, la cover donnait envie. Et si je n’ai pas envie de reprocher à ce numéro son manque de rythme (parce que bla, bla, bla, c’est depuis le début comme ça, on sait), là ce sera son manque de contenu. On avance pas ! Les scènes s’étirent inutilement, l’affrontement qui mêle les 3 Batman manque clairement de piquant (alors que mince, ce potentiel !), la « Famille » de Cole, je crois qu’on va laisser tomber l’affaire, et du côté d’Amethyst et Frankenstein, on a l’impression de se lancer dans une toute nouvelle chose (avec un joli cliffhanger du pauvre) alors que, je sais pas, l’histoire est pas censée se boucler d’ici peu ? Le pire, c’est que c’est même pas trop mal écrit, on sent qu’il y a une équipe de gens talentueux derrière tout ça, j’en suis pas au niveau du facepalm devant les situations (quoique, le retournement de veste de Dr. Polaris donne bien envie de rigoler), et les dialogues ne sont pas déplaisants. Mais j’ai juste l’impression de lire 20 pages de comics, pour m’occuper en attendant qu’il se passe réellement un truc. On garde donc ce rythme hyper nonchalant qui fait que, après 38 semaines – et malgré certains moments vraiment sympathiques -, on continue de s’ennuyer dans Futures End. Heureusement que les dessins sont plutôt jolis.

– ArnoKikoo

Note : 5/10

TRINITY OF SIN #4

review TRINITY OF SIN #4

Scénario : J.M. DeMatteis Dessins : Yvel Guichet et autres

Le dernier numéro avait vraiment relevé la sauce. Celui-ci la fait tourner un peu sans pour autant la rendre indigeste. Je suis simplement gêné par le fait que toute l’action se déroule dans un seul endroit et que l’intrigue n’avance pas follement. Bien évidemment, les thèmes chers à DeMatteis sont omniprésents et la relation entre les membres de la trinité est de plus en plus intense et globalement intéressante. La position de la Question dans l’affaire est toujours aussi intrigante et je me laisse porter sans soucis par l’histoire. Maintenant je ne peux décemment pas ignorer les défauts énoncés plus haut. Il y a de plus cette dimension déconnectée du titre qui remet en question tout l’intérêt global de cette menace, pourtant alarmante sur le papier, que représente Nimra.

Du point de vue des dessins, Yvel Guichet pose clairement une ambiance maintenant assumée sur le titre, qui renoue avec le mysticisme de la série Phantom Stranger, ce qui n’est pas pour me déplaire. Et ceci malgré quelques imprécisions dans les traits par endroits. Globalement, le numéro se suffit à lui-même mais reste mollasson comparé à l’enjeu que peut représenter cette histoire. Mais le développement des personnages fait sens et j’espère vraiment que les deux derniers numéros apporteront une conclusion de haute volée à l’ensemble.

– Freytaw

Note : 6/10

WONDER WOMAN #38

review WONDER WOMAN #38

Scénario : Meredith Finch Dessins : David Finch

Vous le savez, depuis l’arrivée du couple Finch sur la série, je ne suis pas fan du tout de leur travail. D’ailleurs j’espère qu’Azzarello ne la lit pas, ça lui ferait trop de mal. En fait, ce qui est assez fou, c’est que l’histoire donne l’impression que ce n’est pas vraiment une série sur Wonder Woman, ni même sur les Amazones, ni même sur la Justice League, ni même grand-chose en fait. Ça ressemble à une espèce d’introduction du nouveau personnage, qui pourrait parfaitement être un numéro d’une série attitrée. Exit Wonder Woman qui perd totalement son sex appeal de guerrière même si artistiquement ça a tout de même l’air de s’améliorer. Les épaules s’élargissent un peu, ce qui amoindrit la taille de la poitrine. Les muscles sont mieux définis, plus saillants, lui rendant une partie de son caractère guerrier. Sa psychologie en revanche c’est une vraie catastrophe. Elle passe encore pour la gourdasse de service qui ne contrôle plus rien mais qui fait comme une ado simplette « non, je ne veux pas, je fais ce que je veux ». Merci mais non. Tout à l’heure je parlais du nouveau personnage, ou plutôt son retour tant attendu en version New 52. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle n’apparait vraiment que très très peu, mais elle vole totalement la vedette à Diana. En une page elle parvient à dégager tout ce que Diana n’est plus sous les traits de Finch. Classe, puissance, grandeur, respect, une véritable Amazone quoi !

– Nathko

Note : 5/10

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ArnoKikoo

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darth277
darth277
9 années il y a

Ce fail de Futures End … Une Cover qui envoie, un combat Bruce/Terry/Tim VS Batjoker qui annonce du lourd, en plus, le jour de mon anniv tout était réuni et là … C’est le drame, presque aucun combat, pas rythme, un peu de blablable et on passe à autre chose… J’ai failli pleurer !!!

Aquaman
Invité
9 années il y a

Pour Batman and Robin #38, je suis complétement d’accord avec Harley. Ce numéro est émouvant entre les cauchemar de Damian, ses nouveaux pouvoirs, leur 1ere sortit en tant que Dynamic Duo et bien évidemment la fin dont je ne m’attendais strictement pas.

Pour Green Lantern New Guardians #38, je ne suis pas totalement d’accord avec Nathko sur la relation Kyle/Carol et j’attendais cette discussion depuis un moment et un poil déçu qu’elle ne sois pas allé plus loin que le « je t’aime » et j’espère bien qu’il y en aura une (de relation entre les deux). Quant au vilain, je suis assez excité de voir ce nouvel acte dans leur confrontation.

Pour Trinity of Sin #4, je ne sais pas trop quoi en penser comme Mavhoc l’a évoqué sur le forum, DeMatteis réutilise le même principe de la 1ere page et la dernière pas pareil. Le numéro est assez prévisible donc je suis un poil déçu.

Je n’ai pas encore lu Justice League #38.

Arnonaud
9 années il y a

Je n’ai lu que Teen Titans #6 cette semaine, et j’ai trouvé le numéro pas trop mal. Pas aussi bon que le numéro bourré d’action du mois dernier, mais ce n’était pas non plus mauvais, d’autant plus qu’on se régale franchement sur la partie graphique avec les dessins magnifiques, expressifs et énergiques de Scott Hepburn. J’aimerais bien qu’il devienne l’artiste régulier de la série à la place de Rocafort.

Ganglios
Ganglios
9 années il y a

Pas du tout d’accord sur Mortal Kombat X. Pour les connaisseurs de la licence il s’agit d’une évolution des personnages principaux et un pas en avant dans la timeline de leurs vie respective. Ainsi nous découvrons de ce qu’il advient de Scorpion le Shirai Ryu, et de son élève Takeda, fils de Kenshi, De l’engence de Johnny Cage et Sonya Blade, Cassie Cage ainsi qu’une flopée de personnages bien connus des joueurs de la série, à l’aulne d’un énième tournoi.

Graphiquement c’est fun et dynamique, sanglant et violent comme il se doit, les couleurs sont top et la diffusion hebdomadaire tient en halène. Ron Marz est un bon scenariste qui connait son sujet, la caractérisation des persos est pour l’heure fidèle à l’univers (oui, Mortal Kombat à un univers cohérent, ça en étonnera plus d’un).

Un Komic KI vaut le Koup d’oeil, juste pour se faire son opinion.

Freytaw
9 années il y a
Répondre à  Ganglios

Sans être aussi enthousiaste, j’approuve ce commentaire…

Ganglios
Ganglios
9 années il y a
Répondre à  Freytaw

Aucun comic ne mérite un 0/10.
Il y a toujours des artistes scenaristes, encreurs, coloristes qui suent derrière leurs tablettes…
ça me chagrine cette sévérité.
et graphiquement il y a du travail c’est évident, les plans sont bien choisis et la narration tient la route. Mon commentaire ne visait qu’à rééquilibrer la critique

Freytaw
9 années il y a
Répondre à  Ganglios

C’est pour ça que j’approuve :)
C’est important d’appuyer sur les détails que tu soulignes.

valdu51
valdu51
9 années il y a

Belle surprise en la présence de WW 77′ , de belle planche et une histoire qui nous fais voir WW sous un angles différents des news 52 . C est très appréciable même si j aime aussi ma version news 52 . Par contre comment se fait il que l on ai la double dose cette semaine ?

Herbefol
9 années il y a

Du rattrapage avec quelques titres :
-Batman & Robin. C’est pas mal, le seul problème c’est que j’en ai rien à fiche du fait que Damian soit revenu.:p
-Batman Eternal. Bon, ce petit arc sur le Chapelier Fou n’était pas terrible. Il y avait sûrement moyen de faire un peu mieux pour mettre Harper Row en avant. Et comme d’habitude, retour à la case départ ou presque. Ça commence à devenir un peu lassant.
-Batwoman. Je reste dans la lignée des précédents numéros, autrement dit ça m’emballe de moins en moins et les crises relationnelles provoque chez moi un inintérêt croissant. J’en viens presque à me demander si je ne vais pas abandonner avant la fin.
-Wonder Woman. J’étais très convaincu que le run d’Azzarello et de Chiang sur Wonder Woman était magnifique. Mais plus j’avance dans celui des Finch et plus cette conviction s’affirme. C’est pas totalement mauvais, y a quelques trucs intéressant à récupérer ici et là et certaines planches sont assez agréables à voir. A condition d’accepter que Diana a un physique de gamine de seize ans. Bref, il faudra que le duo de choc qui sévit en ce moment sur le titre m’épate franchement par la suite pour que ça remonte dans mon estime.

Herbefol
9 années il y a

Fin du rattrapage :
-TN52FE. Pas trop de surprises dans ce numéro, les choses avancent tout doucement.
-Justice League. Un peu mi-figue mi-raisin avec ce numéro. Il y a de bonnes choses, niveau graphique c’est Fabok donc y a une qualité minimale et quelques très beaux passages. Du côté histoire quelques trucs intéressants, notamment la transformation de Batman. Mais il manque un petit quelque chose, peut-être un peu de peps ou d’émotion pour rendre tout ça un peu vivant. En tout cas, la fin laisse curieux sur la façon dont tout ce petit monde va s’en sortir.
– Batman – Superman. C’est pas mal du tout cet arc, j’aime bien la voie que ça prend. Et sur le plan graphique c’est toujours aussi bien dessiné. Bref, je n’ai pas à me plaindre.
– Green Lantern – New Guardians. Bon, c’est reparti pour un petit arc de trois épisodes, histoire de conclure la série et ça démarre pas trop mal.
– Trinity of Sin. Le démarrage de cette série n’était vraiment pas terrible, mais je trouve que ça va en s’améliorant légèrement. On n’atteint pas les sommets de The Phantom Stranger, mais DeMatties donne l’impression de retrouver un peu son talent.
– Injustice. C’est reparti pour la baston. Je trouve ça un peu light en ce moment, les personnages se disent les mêmes choses pour la x-ème fois, mais la fin laisse supposer qu’on va changer d’échelle dans la suite de l’affrontement.

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