Review Express VO – Rebirth Semaine #44

Le Coup de Cœur de la semaine

  • Titans Annual #1
Le Top de la semaine

  • DKIII : The Master Race #8
Le Flop de la semaine

  • Suicide Squad/Banana Splits Special #1

Bonjour à toutes et tous et bienvenue dans votre rubrique des Review Express VO. Comme chaque semaine, cet article vous permet de retrouver les critiques du staff sur les dernières sorties DC Comics et Vertigo. Faites attention, des fois quelques spoilers peuvent se cacher dans nos reviews.

Retrouvez à ce lien la review complète de la semaine : 

N’hésitez pas à laisser vos impressions, critiques et avis sur vos lectures de la semaine dans les commentaires ! Bonne lecture, et vive les comics !


VERTIGO

CLEAN ROOM #17

review CLEAN ROOM #17

Scénario : Gail Simone Dessins : Walter Geovani

C’est la crise totale dans ce numéro de Clean Room, qui voit ses personnages en péril alors que les atrocités se multiplient. Mais ce n’est pas tout, on a droit à un affrontement psychologique entre Astrid Muller, notre héroïne, et son fan auto-proclamé, le psychopathe Artus. Gail Simone signe une fois de plus un numéro efficace, qui navigue entre science-fiction, body horror et humour noir. Les dessins sont réussis et rendent justice à cette ambiance glauque qui rappelle les classiques de l’horreur, tout en y ajoutant ce concept de Clean Room, cette fameuse pièce mystérieuse et aseptisée. Le graphisme, tout en contrastes, souligne habilement la singularité du titre, qui montre qu’il reste quelques forces au label Vertigo, qui n’est pas encore totalement exsangue.

– Zeppeli

Note : 8/10

UNFOLLOW #17

review UNFOLLOW #17

Scénario : Rob Williams Dessins : Mike Dowling

On approche sensiblement de la fin dans ce numéro et Rob Williams utilise quelques détours pour conserver son intrigue sur une distance minimale et resserrer le tout sous forme de hui-clos. L’argumentaire de Ferrell est développé et on voit très bien où le personnage veut en venir, tout comme le discours de Williams sur sa société est assez équivoque, quoi qu’un peu trop binaire dans sa représentation. Il n’en reste que l’ensemble est très efficace, parce que les personnages qui sont encore là sont les plus forts du titre, que la tension est maintenue tout du long du numéro, avec un dernier retournement de situation qui nous le dit clairement : ça va se finir les mecs, vous n’êtes pas prêts pour ça. On sent venir la conclusion, encore que l’auteur pourrait me surprendre, mais le voyage a été plaisant et j’attends donc une bonne dernière étape. Seul reproche, un travail de Mike Dowling en demi-teinte, avec des dessins bien plus brouillons qu’à l’habitude. Il semblerait que l’artiste ait un peu rushé pour atteindre la deadline de la conclusion.

– ArnoKikoo

Note : 7/10


BEYOND DC UNIVERSE

THE KAMANDI CHALLENGE #3

review THE KAMANDI CHALLENGE #3

Scénario : Jimmy Palmiotti Dessins : Amanda Conner

Cette semaine, c’est l’équipe créative du titre Harley Quinn, Jimmy Palmiotti, Amanda Conner et Paul Mounts, qui se charge de ce numéro, et on se demande si c’est une bonne idée, tant on se lasse de leur style. On se rassure cependant très vite au fil des pages. C’est dynamique, coloré et le design est parfaitement adapté au monde de Kamandi. C’est une bien belle interprétation de l’oeuvre de Kirby, agrémentée  de touches d’humour bienvenues et de références cinématographiques bien senties. Le cahier des charges est rempli dans ce numéro, que je vous conseille de lire.

– Zeppeli

Note : 7,5/10


DC UNIVERSE

ADAM STRANGE/FUTURE QUEST SPECIAL #1

review ADAM STRANGE/FUTURE QUEST SPECIAL #1

Scénario : Jeff Parker, Marc Andreyko Dessins : Steve Lieber

Un numéro faisant office d’épilogue à la fois pour Death of Hawkman qui est une sorte d’explication à ce qu’il advient d’Adam Strange après le dernier numéro, mais aussi de Future Quest (dont le dernier numéro sortira dans peu de temps). Un détail qui multiplie les questions quand à la présence et absence de certains protagonistes dont Space Ghost ou Mightor et d’autres. Une rencontre qui permet de conserver l’esprit de Future Quest par ce rapport à la science-fiction classique, accentué par la présence de l’équipe s’occupant du titre régulier/maxi-série. Si l’histoire est elle-même est classique et conserve cet aspect d’épisode bonus à ces deux séries, un détail chiffonne. Plutôt que de développer la notion de rencontre et de souvenir intéressant, ou même l’idée qu’Adam Strange puisse préférer ce monde au sien, les scénaristes (Marc Andreyko, Jeff Parker) choisissent de jouer la carte de la perte de mémoire. Un élément sans aucun intérêt, alors qu’il aurait pu y avoir un développement intéressant. Les premières pages de ce numéro, l’absence de projet autour d’Adam Strange pouvait donner naissance à une mini-série liée à ce crossover. Quand je lis le titre Future Quest, je m’attendais au moins à une direction donnée au numéro. Petite déception donc, sans compter sur un back-up surprenant. Scénarisé par Dan Didio, je ne savais pas vraiment à quoi m’attendre dans cette histoire très courte de Top Cat qui rencontrera un héros qu’on n’attendait définitivement pas dans ce back-up. C’est délirant, drôle, et respecte les deux personnages.

– Watchful

Note : 7/10

BATGIRL ANNUAL #1

review BATGIRL ANNUAL #1

Scénario : Hope Larson, Vita Alaya Dessins : Inaki Miranda, Eleonora Carlini

Deux poids deux mesures dans ce premier Annual de Batgirl. D’une part, un team-up assez bienvenu avec Supergirl qui offre une dynamique appréciable, chacune des deux héroïnes apportant une complémentarité à l’autre ; d’autre part, un retour au pur « Batgirl de Burnside » qui pourra plaire aux quelques nostalgiques de cette époque mais qui appuie un côté teen désuet et léger qui plombe énormément les enjeux narratifs. Comprenons-nous, si les deux histoires sont très joliment illustrées (Inaki Miranda ferait presque du Joelle Jones, c’est plus qu’appréciable), seule la première partie apporte un réel plaisir de lecture, et notamment pour les prémisses d’un arc intéressant pour Supergirl, qui prolongera le team-up. Du coup, au vu du prix proposé, difficile d’aller vous conseiller cette lecture pour seulement la moitié du numéro.

– ArnoKikoo

Note : 6,5/10

BOOSTER GOLD/THE FLINTSTONES #1

review BOOSTER GOLD/THE FLINTSTONES #1

Scénario : Mark Russell Dessins : Rick Leonardi

Booster Gold voyage dans le passé et croise les Pierrafeu sur fond d’invasion alien et de métaphore christique. Bien mais pas transcendant, en somme, le résumé d’un numéro relativement peu utile qui a pour lui de caler un creux de Booster, quoi que je doute que les fans du personnage qui réclament son retour depuis des années apprécient cette écriture en petite forme du héros. Crossover justifié par l’absurde, avec quelque dialogues bien fichus et des situations où l’absurde de Russell est efficace, mais qui ne remplit pas la promesse de crossover entre les deux séries (pas sûr que qui que ce soit en attendait quelque chose cela dit) avec des dessins cartoons à la hauteur de la promesse. Ce n’est pas non plus mauvais, et dans le cas des rencontres improbables de ce genre, difficile d’espérer mieux, donc on se contentera de ça.

– Corentin

Note : 6/10

DKIII : THE MASTER RACE #8

review DKIII : THE MASTER RACE #8

Scénario : Frank Miller, Brian Azzarello Dessins : Andy Kubert, Klaus Janson

En écrivant The Dark Knight Returns, Miller plaisantait, disant qu’il avait écrit un Bruce Wayne vieux pour supporter l’idée qu’il était désormais plus âgé que le héros qu’il adorait, et qui avait traversé sa vie. Finalement, débarrassé de ce complexe (et constant, dans ses pages, à l’idée que si sa mort se rapproche, Batman en sera à jamais protégé), l’auteur inverse sa propre proposition.

Bruce a à nouveau l’âge qu’il avait dans Year One, et la même bagnole que dans ses premières aventures. Avec Azzarello, les auteurs écrivent en sous-texte la réactualisation du héros : ils ont amené dans sa vie et sa ville une menace moderne, celle des terroristes et des groupuscules religieux, montré l’inefficacité de la force politique face à cette menace, et réécrit un Dark Knight Returns où le Batman en armure, cette fois, ne l’emporte pas, avant de remettre le compteur à zéro. Face à un adversaire “actuel”, de notre époque, Batman redevient jeune, Batman redevient lui aussi actuel, pertinent, comme si l’idéal qu’il défendait était encore d’actualité dans un monde où les vilains ne sont plus seulement des gangsters et des super-méchants, mais bien ceux de notre univers à nous (ou en légèrement différents). Comme d’habitude toute en symboles, l’écriture du couple Miller/Azzarello est un enchevêtré de mises en abymes sur le rôle et le statut du héros, et un auto-hommage permanent aux oeuvres passées.

Parce que là où Miller perpétue son cycle et continue de justifier comme se doit l’existence de ce Dark Knight 3, il va aussi puiser chez son amour des récits grecs déjà emblématiques d’une autre de ses grandes oeuvres la seconde partie du numéro. Qui n’est que mise en scène et grandeur, et un peu de boucherie (on va dire). Sur-interpréter la civilisation Amazone selon Frank Miller reviendrait à dire “voilà, voilà le monde tel que le bonhomme imaginerait la race humaine fantasmée”, sauf que c’est plus compliqué que ça. Il admet lui même parler de magie, et en présentant son monde de femmes l’auteur ne cherche pas le propos mais juste l’hommage à sa propre tradition de femmes fortes (très) et à l’auto-référence, en plus d’imprimer de jolies pages qui ne font que densifier les enjeux en rappelant à tous le style mythique et silencieux de ses anciennes épopées.

Qu’ajouter à ça ? Non, le dessin n’est toujours pas terrible, oui, le mini-comic est toujours dispensable (et moche). Mais arrêtez de mettre dans un étau les burnes de DC avec le fascisme des auteurs ou la prétendue absence de fond de ce récit, vu le taro’ en vigueur vous feriez mieux d’arrêter de l’acheter pour vous plaindre et laisser la plèbe des fanboys aveuglés prendre leur pied gaiement.

Hé, vous avez vu ? Un seul numéro et j’deviens un peu fasciste, moi aussi.

– Corentin

Note : 9/10

HARLEY’S LITTLE BLACK BOOK #6

review HARLEY'S LITTLE BLACK BOOK #6

Scénario : Amanda Conner, Jimmy Palmiotti Dessins : Simon Bisley

ENFIN ! Bon sang ! Ce numéro était prévu depuis quoi ? Décembre ? Avant ? Je ne sais plus, mais il est enfin là. Et je suis plutôt très partagée.

D’un côté j’ai adoré, mais alors adoré vous n’imaginez pas à quel point. Voir mes deux amours réunis (c’est le cas de le dire) pour ces quelques pages dans une aventure inédite avec des passages complètement sordides et loufoques et débiles et romantiques ?( Wait what ?). Retrouver Simon Bisley et son style sale bien typé qui nous rapportent aux meilleures histoires du Main Man version 90’s. Se replonger dans les absurdités du chasseur de prime et son adorable Dawg avec en guest la bécasse bavarde instoppable Harley Quinn qui se pose là. Franchement, j’aurais voulu avoir une histoire de cette trempe depuis bien longtemps. Et je trouve qu’Amanda Conner et Jimmy Palmiotti se débrouillent plutôt assez bien à l’écriture de ce numéro, en rendant hommage à Lobo, pas comme le travail d’un certain Cullen Bunn qui voulait tout révolutionner.

Mais de l’autre côté, certains aspects 90’s ne plairont pas à tout le monde et m’ont pas mal agacée aussi. Cette obsession de déshabiller complètement Harley Quinn, (bon Lobo aussi sur presque l’intégralité du numéro), cette obsession de la rendre assez naïve / love love / tout ça… Je ne suis pas fan. Et malheureusement, Simon Bisley en joue beaucoup et depuis toujours, avec des positions langoureuses, des formes voluptueuses. Mais ici, c’est un peu de trop. Peut-être car ces temps là sont révolus et qu’on est passé à autre chose. Peut-être car il y en a un peu trop. Mais bon, on a aussi de la paire de fesses masculine et des réflexions vaseuses concernant l’anatomie des deux protagonistes. Du coup je suis très partagée entre le côté j’ai adoré les voir réunis et lire ce numéro et je suis agacée par la sexualisation de la demoiselle qui a le feu aux fesses et aux vêtements. Bon, j’avoue, laissez moi encore un peu rêver de ce grand n’importe quoi et de cette alliance improbable entre mes deux amours.

– Harley

Note : 7/10

JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #3

review JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #3

Scénario : Steve Orlando Dessins : Diogenes Neves, Marc Deering

Je n’étais pas ultra enthousiaste sur les débuts de cette Justice League of America mais je trouve que ça s’améliore. Déjà, malgré le nom « interventionniste » de cette équipe, de les voir proposer leur aide en toute humilité aux résistants d’Europe de l’Est qui doivent subir le joug des Extremists, ça change un peu dans la façon de faire, avec des super-héros qui se mettent au service des gens normaux, et non pas qui agissent en pensant ce faire ce qui est bien sans demander d’avis extérieur. Alors oui, l’enchaînement d’affrontement après est à prendre sans trop d’extase, bien que quelques plans soient franchement bien fichus (il faut avouer que ça fait foutrement du bien de revoir un Lobo avec une telle classe) et quelques surprises bienvenues (du côté de Ray). Même dans les plans du vilain, de le voir allier des manigances politiques à sa force de frappe bute, ça donne une dimension plus intelligente à ce qui ne s’apparentait qu’à un arc de rentre-dedans. Et comme l’ensemble est vraiment très joli, grâce aux dessins de Diogenes Neves, ma foi, pourquoi se priver d’un titre d’équipe sympathique avec des personnages DC qu’on n’a pas l’habitude de voir plus souvent ?

– ArnoKikoo

Note : 7/10

SUICIDE SQUAD/BANANA SPLITS SPECIAL #1

review SUICIDE SQUAD/BANANA SPLITS SPECIAL #1

Scénario : Tony Bedard, Mark Russell Dessins : Ben Caldwell, Howard Porter

Je ne connais pas les Banana Splits donc je ne saurais émettre de mot de fan là dessus ; sur le principe le crossover est en effet loufoque puisque ce groupe de musique animal est dépêché par Waller pour aller sauver la Suicide Squad. Ca reste bas du front, pas super drôle malgré quelques petites touches qui réussissent parfois, et l’intérêt est surtout de voir la Skwad sous le coup de crayon de Ben Caldwell, qui m’avait vraiment beaucoup manqué. De là à justifier la lecture du numéro ? Pas tant que ça. Petit back-up en revanche foutrement chouette dans lequel Mark Russell réinvente Snagglepuss – et en fait presque un auto-portrait tant on reconnaît son humour et son discours (oui, parce que je suis le monsieur sur les réseaux sociaux) dans le personnage. Un back-up qui pourrait être amené à continuer de plus ? Je signe directement, surtout avec Howard Porter, qui dessine toujours aussi bien. 

– ArnoKikoo

Note : 6/10

TITANS ANNUAL #1

review TITANS ANNUAL #1

Scénario : Dan Abnett Dessins : Minkyu Jung

On casse le préjugé du numéro Annual fait rapidement et sans intérêt. On peut même dire que ce numéro est l’un des meilleurs du titre depuis son arrivée avec Rebirth. Et je ne parlerai pas uniquement du bien fou qu’il a procuré par la simple absence de Booth mais surtout l’écriture de Dan Abnett. Ce numéro avait tout pour nous faire peur. La couverture en elle-même qui suggère un affrontement entre les deux équipes, et dès les premières pages les membres des Titans enfermés avec leurs mentors. Une forme de hui clos très intéressant dont les motivations sont biens mystérieuses. Et si j’ai pu reprocher à de nombreuses reprises le soucis d’une équipe soudée sans marques d’affection entre les membres, le scénariste semble porter bien plus d’attention sur ce point dans ce numéro. De même, il souligne la différence entre Titans et la Justice League actuelle, tout comme les différentes relations mentor/sidekick. Sans aller jusqu’à tirer une larme, Dan Abnett impressionne et rappelle qu’il est capable de bien mieux. On pourra également remarquer que l’humour qu’il essaie d’attribuer à Garth et Wally fonctionne bien mieux, et profite également de la présence de Barry.

S’ajoute à ça un teaser très intéressant quant au cliffhanger de fin, nouveau fil rouge du titre, en plus d’une révélation pour l’équipe. Minkyu Jung tient le poste de dessinateur et est un jeune talent à suivre ! On a pu le remarquer il y a quelques mois sur Nightwing #15 et réalise un travail épatant avec ce numéro. L’ensemble est très soigné, son point fort étant les positions des personnages – notamment lors des scènes d’action – leur procurant une force ressenti à l’aide de petits effets comme une onde de choc traversant  un corps et s’amplifiant au dos de celui-ci. Un annual qui redonne espoir pour le futur du titre Titans.

– Watchful

Note : 8/10

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ArnoKikoo

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2 Commentaires
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Joff
7 années il y a

une date de sortie pour la vf de DKIII siouplait ?

Roybean
Roybean
7 années il y a

Super review de DK3 (ma seule lecture de la semaine).
J’ai beaucoup aimé ce numéro, mais j’avoue ne pas avoir super bien compris le propos sur la magie.

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