Review Express VO – Rebirth Semaine #43

Le Coup de Cœur de la semaine

  • Doom Patrol #5
Le Top de la semaine

  • Mother Panic #4
Le Flop de la semaine

  • Suicide Squad #14

Bonjour à toutes et tous et bienvenue dans votre rubrique des Review Express VO. Comme chaque semaine, cet article vous permet de retrouver les critiques du staff sur les dernières sorties DC Comics et Vertigo. Faites attention, des fois quelques spoilers peuvent se cacher dans nos reviews.

N’hésitez pas à laisser vos impressions, critiques et avis sur vos lectures de la semaine dans les commentaires ! Bonne lecture, et vive les comics !


BEYOND DC UNIVERSE

BATMAN ’66 MEETS WONDER WOMAN ’77 #9

review BATMAN '66 MEETS WONDER WOMAN '77 #9

Scénario : Jeff Parker, Marc Andreyko Dessins : David Hahn

Petit saut dans le temps cette semaine. On se retrouve en effet en 1977, et l’on découvre un Batman un peu vieillissant, ainsi qu’un Robin devenu Nightwing, alors qu’une nouvelle collaboration avec l’amazone se profile, afin de mettre fin aux plans de vils criminels. Je ne vais pas vous mentir  :  j’ai adoré cet épisode. L’univers prend un tournant radicalement différent de ce que l’on pouvait imaginer et certains personnages ont connu, durant cette ellipse d’une dizaine d’années, un destin tragique. C’est surprenant, mais on se laisse happer par cette épisode, qui soulève des questions, et l’on se demande vraiment quelle direction va prendre le titre, qui prend quelques libertés vis-à-vis de l’ambiance des shows dont il est tiré. Les graphismes sont toujours cartoony et soignés, mais l’on sent que l’ensemble s’assombrit un peu, et l’on ressort de cette lecture avec l’envie de se plonger dans le prochain numéro, que nous ne verrons que dans deux semaines.

– Zeppeli

Note : 8/10

FUTURE QUEST #11

review FUTURE QUEST #11

Scénario : Jeff Parker Dessins : Evan « Doc » Shaner

Future Quest en est à son avant dernier numéro, il était temps d’attaquer le gros du morceau. Et c’est tout ce qu’on espérait de ce numéro. Une préparation à la fois originale et dérangeante – car empruntant au genre cinématographique un style très critiqué, des dialogues qui sonnent comme un départ avec les quelques dernières rencontres, sans oublier les références. Jeff Parker n’omet rien, et lance avec ce numéro l’assaut final. Une boucle avec l’introduction du premier numéro. Doc Shaner en profite pour nous en mettre plein les yeux, même si on sent, sur certaines pages un problème de deadline à respecter. Ce titre reste incroyable, ne lui manque que le succès.

– Watchful

Note : 8,5/10


DC UNIVERSE

ACTION COMICS #976 – Superman Reborn, partie 4

review ACTION COMICS #976

Scénario : Dan Jurgens Dessins : Doug Mahnke, Jaime Mendoza

On pensait avoir vraiment tout vu avec ce retour du Superman New 52, mais il faut croire que les scénaristes gardaient le meilleur pour la fin avec un sacré teasing au futur event de Geoff Johns. Superman Reborn prend tout son sens dans ce retournement de situation sensationnel malgré une sacrée interrogation quand à la facilité avec laquelle Mxyzptlk est vaincu. Le dessin de Doug Mahnke reste assez étrange, tantôt impressionnant de par la force du regard de Superman, tantôt dérangeant par le sourire de Mxyzptlk – ses gencives sont vraiment affreuses. Des effets appuyant sur la difficulté à trouver une issue à cette situation qui reste encore assez mystérieuse. Quelques incompréhensions donc, qui se résument en un simple mot. C’est à la fois un défaut et une qualité. On reste dans le domaine du mystère et on retrouve cette forme d’inconnue et d’inexplicable qui faisait les beaux jours du Silver Age. Un certain charme, même s’il est certain que bon nombre de lecteurs cherchent une explication à chaque chose. Le crossover se conclut sur un cliffhanger des plus excitants, qui ne dévoile rien de plus, mais consolide les théories.

– Watchful

Note : 8,5/10

BATGIRL #9

review BATGIRL #9

Scénario : Hope Larson Dessins : Christian Wildgoose

Alors Batgeurle, ce mois ci, c’est du moitié moitié. D’un côté, la série continue d’essayer de diriger avec intelligence son propos sur le monde 2.0, la collecte du big data et la sous-couche des free-to-play. Quoi que tout ça ait des allures d’audit de prévention dans les classes de lycée (souvenez vous, « facebook a vos infos et les vend à Al-Qaida !! »), mais l’idée est bonne et assez judicieuse après la période Stewart, qui allait plus dans une optique « le numérique expliqué aux personnes âgés ». À côté de ça, c’est vraiment joli, et une naïveté dans le dessin ajouté à un scénario qui va à l’essentiel (jusqu’à l’emploi des bubulles de pensées) garde l’esprit frais et sincère qui manquait cruellement au personnage depuis que celle-ci s’est levée de son fauteuil. Tout ça n’excuse pourtant pas la redondance de clichés-brosse à dents ou du rapport éternellement raté de Babs aux garçons (parce que : c’est une fille, et ça suffit à tout justifier) ou à une intrigue qui cherche à aller trop lentement sans se ménager de grosses réservés sous la pédale. Bref, c’est plaisant, c’est sympa et ça reste abordable par le public cible, mais pas à la hauteur de la bonne reprise d’autres bat-titres à côté (sauf Batwoman, qui fait n’importe quoi).

– Corentin

Note : 7,5/10

BATMAN BEYOND #6

review BATMAN BEYOND #6

Scénario : Dan Jurgens Dessins : Bernard Chang

Numéro d’exposition pour ce nouvel arc qui ramène un ennemi bien connu des fans du Beyondverse, Curaré. Mais celle-ci est en position de difficulté (un vilain qui a toujours été un peu ambigu d’ailleurs) et a besoin de l’aide de Batman. De son côté Terry doit faire face au retour de Bruce et des révélations qu’il a faites à Dana. Un dialogue entre les deux tourtereaux assez interminable dans lequel il est fait été de poncifs qu’on a déjà lu des tonnes de fois, et dont l’ennui n’est briqué par la situation qui se déroule en parallèle avec Curaré. Malgré tout on se rend bien compte que la situation initiale nous est présentée de façon hyper sommaire et que Jurgens fait du remplissage sur les 3/4 du numéros. Assez déçu donc de cette surexposition mais les dessins de Changtoujours accompagnés d’une colorisation efficace de Maiolo, réussissent à faire passer un peu la pilule. Mais pas complètement.

– ArnoKikoo

Note : 6/10

BLUE BEETLE #7

review BLUE BEETLE #7

Scénario : Keith Giffen Dessins : Scott Kolins

J’ai bien envie d’être enthousiaste vis à vis de ce titre pour les raisons suivantes. L’intrigue avance enfin, et malgré ces retours incessants de Keith Giffen vers des personnages secondaires qui n’ont rien à voir avec l’action des héros, on a déjà un effet nostalgique avec le retour de l’un des plus grands sorciers de DC Comics, perdu et oublié depuis bien trop longtemps. Malheureusement il possède ici un statut bien limité, et l’écriture du personnage laisse à désirer. Tant il se réduit au méchant le plus basique pour le moment, car il sera certainement développé par la suite, du moins on l’espère. L’autre point positif est que Ted Kord sort enfin du Bug et trouve son utilité sur le terrain. Mais surtout, ce numéro voit un grand changement qui, j’espère, sera permanent. Seulement, vu l’audace et le peu de teasing autour, il est fort à parier que ça ne durera pas. Du côté des dessins, Kolins est très bon lors des scènes d’action, mais la lassitude des expressions de ses personnages est contagieuse. En somme, un numéro qui redonne vie au titre. Mais pour combien de temps ?

– Watchful

Note : 6/10

DEATHSTROKE #15

review DEATHSTROKE #15

Scénario : Christopher Priest Dessins : Carlo Pagulayan, Jason Paz

Plus travaillé à l’esthétique que le dernier numéro, ce Deathstroke a effectivement de quoi séduire. Sans sacrifier à l’aspect badass forcément archétypal du « héros », et malgré un feeling de série action/espionnage qui a ses limites, l’aspect organique de cet univers se révèle vraiment par le choix de construire dans l’arrière cour d’un héros secondaire un micro-univers vivant en se reposant sur tout un supporting cast réussi et pas juste là pour épauler. Les intrigues s’enchaînent avec énergie, et quoi que les dialogues restent un poil trop nombreux, le talent à l’écriture prouve (s’il en était besoin) que comme pendant le DC You, on peut ranimer l’essence d’un second couteau sacrifié pendant des années, et ça c’est cool. On espérerait presque un nombre restreint de spin-offs pour densifier cette sous-partie punchy de DC, si Priest ne risquait pas par la même occasion d’épuiser son rythme. Bref, lisez.

– Corentin

Note : 8,5/10

DETECTIVE COMICS #953

review DETECTIVE COMICS #953

Scénario : James Tynion IV Dessins : Christian Duce, Fernando Blanco

Un numéro relativement correct dans cet arc que je suis avec plaisir depuis les débuts. Toute l’équipe de Batman est mise au tapis petit à petit, alors que la quête de réponses de Cassandra Cain prend un tournant décisif. Le récit est dans l’ensemble bien maîtrisé et j’apprécie toujours autant, si ce n’est plus, l’humanisation faite de Clayface, petite perle du titre depuis le Rebirth. Et dans l’ensemble, le titre d’équipe réussit à avoir un certain équilibre entre tous ses protagonistes, le Chevalier Noir n’en occupant qu’une partie (et très souvent dernièrement, c’est pour se faire mettre des roustes). Alors seul le cliffhanger me laisse un peu sur ma faim, car j’aurais préféré que Tynion ne se concentre que sur Shiva – mais je ne suis, je l’espère, pas à l’abri d’une surprise dans le prochain numéro ? Graphiquement on tient là aussi un bon bout, et Blanco nous rappelle autant dans les dessins, que par ce qui nous est raconté, la période pendant laquelle il tenait Batman & Robin Eternal, ce qui n’est pas vilain.

– ArnoKikoo

Note : 7/10

DOOM PATROL #5

review DOOM PATROL #5

Scénario : Gerard Way Dessins : Nick Derington

Avec un bon mois de retard, la conclusion du premier arc de Doom Patrol se sera faite attendre mais, et c’est une bonne nouvelle, l’attente valait le coup. Autant le dire tout de suite, ce Doom Patrol #5 est très « généreux ». Aussi bien thématiquement que visuellement d’ailleurs, ce qui lui vaut parfois de sembler un peu bordélique. Il s’agit cependant d’un bordel organisé alors que Gerard Way sait faire preuve de beaucoup de talent pour remixer des idées et des concepts du passé pour offrir un récit et des personnages frais. L’ensemble est parfois au bord du ridicule tant il se nourrit d’influence qui viennent du Silver Age mais demeure à chaque fois assez malin pour convaincre et faire sens dans sa logique interne un peu folle. D’autant plus que la grande force de tout ça réside bien dans le fait que le scénario est porté par des personnages attachants, un sens du rythme indéniable et des dialogues plaisants. Aux dessins Nick Derington continue d’être impressionnant avec un trait absolument parfait pour le titre et parvient à « donner vie » à ses personnages à travers le langage corporel qui se dégage de chacun d’entre eux. Si on ajoute à ça des couleurs qui explosent à chaque page, Doom Patrol reste bel et bien une merveille visuelle. Frais, généreux, explosif, voilà donc ce qui définit ce numéro et ce premier arc de la série phare de Young Animal. Une série qui, au delà des apparences et malgré les adjectifs utilisés ici pour la décrire, est bien plus qu’une jolie sucrerie. En somme, voilà un numéro (et un comics) intègre, surprenant et réalisé avec passion.

-n00dle

Note : 9/10

HAL JORDAN & THE GREEN LANTERN CORPS #17

review HAL JORDAN & THE GREEN LANTERN CORPS #17

Scénario : Robert Venditti Dessins : Rafa Sandoval

Fini les combats et la quête du Blue Lantern, Robert Venditti nous offre cette semaine un récit de transition avant l’arc « Prism of Time », mais qui n’est pas dénué d’intérêt. En effet, le numéro contient un événement assez important que je ne spoilerai pas, mais prend également le temps de développer la situation des personnages et leurs relations, que ce soit celle du mentor et de l’élève entre Hal et Kyle ou celle de Guy qui semble ne se retrouver qu’en Arkillo, malgré le fait qu’ils viennent de faire le meilleur street fight de l’espace. John Stewart et Soranik sont par contre peu utilisés, et ne parlons du reste des deux Corps qui ne font que de la simple figuration, et c’est dommage avec un univers aussi vaste. Ce numéro plutôt calme est donc bien sympathique et annonce deux trois choses bien exploitables dans le futur, même s’il serait presque dispensable.

– Sledgy7

Note : 7/10

MOTHER PANIC #5

review MOTHER PANIC #5

Scénario : Jody Houser Dessins : Shawn Crystal

Alors là, je dis OUI ! L’histoire suit son cours tout en se compliquant et en livrant de nouvelles pistes de réflexions. Dans ce cinquième numéro, on a enfin les histoires qui commencent à se lier de façon solide et c’est très agréable. N’allez pas croire que c’est livré de façon toute téléphonée. Tout se lie subtilement mais solidement, et mon intérêt continuer d’être piqué et je veux en savoir plus, toujours plus. Violet est un personnage très complexe, dont on reste à la fois complice et distant. J’aime beaucoup cet effet. Sa vie n’est que mouvement, complications, vengeance, et passage éclair d’acolytes. J’aime le fait qu’il y ait comme un renouveau, une découverte de nouvelle facette à chaque numéro. Ici point de scène graphique à proprement parler hormis des scènes qui tiennent du cauchemar, et pourtant on avance bien, et le personnage de sa maman prend encore plus d’ampleur.  Quant au back-up, voilà qu’il pique lui aussi tout mon intérêt. Alors que je le trouvais faible sur les précédents numéros, il nous livre ici un cliffhanger assez inattendu qui nous promet une histoire plutôt intéressante en fin de compte.

Franchement, ce numéro est un réel coup de coeur. Je ne dirai pas qu’il est parfait car il présente encore des défauts avec quelques mouvements un peu trop rapidement exécutés sur l’histoire, mais j’aime beaucoup ce que je viens de lire et je suis frustrée de n’avoir qu’aussi peu de pages. C’est vraiment un bon travail de la part de Jody Houser qui livre des secrets au fil de l’eau pour toujours plus nous accrocher. Et puis, je ne le redirai jamais assez mais les planches de Shawn Crystal et Jean-Francois Beaulieu sont juste parfaites, j’aime tellement ce genre de planches.

– Harley

Note : 9/10

SUICIDE SQUAD #14

review SUICIDE SQUAD #14

Scénario : Rob Williams Dessins : John Romita Jr., Eddy Barrows

Oh non ! La déception ! Alors que je sentais que l’histoire allait partir en sucette, que tout allait une nouvelle fois merder dans tous les sens du terme tout en gardant un certain intérêt, je craignais que le twist majeur de cet arc ne soit qu’un pétard mouillé. Et je suis extrêmement déçue de voir que oui, j’avais raison d’avoir peur. Depuis les New 52 on nous vend une équipe qui se rafistole à chaque coup, qui vit vengeance après vengeance. Et bien, ici, c’est la même chose. Rebirth ou pas. On est encore dans le même schéma. On cogne, on se fait manipuler, on se pardonne, on re-cogne ensemble après s’être un peu cogné dessus. Je suis franchement blasée que Rob Williams n’aille pas au bout de son idée. C’était très culotté mais hyper plaisant et ça changeait la donne pour beaucoup de chose, sauf que non. En fait, c’était peut-être un peu trop dur à assumer. Je peux vous jurer que j’ai envie de prendre l’auteur par les épaules et le secouer comme un prunier pour lui remettre les idées en place.

Et en plus, on pourrait passer ce cliffhanger attendu à des kilomètres si le numéro était bien ficelé, bien beau. Mais Romita Jr. ne s’applique pas vraiment pour des pages qui ne me plaisent pas du tout. Il est vrai que la lecture reste fluide, que Harley et son caractère sont mis en avant, l’esprit d’équipe, mais, on tourne en rond, et ça devient très redondant à force.

– Harley

Note : 4/10

TEEN TITANS #6

review TEEN TITANS #6

Scénario : Ben Percy Dessins : Khoi Pham

Eh bien ça fait plaisir, vraiment ! La série se réveille enfin après des premiers numéros sympathiques et feel-good mais qui se laissaient lire sans pour autant être véritablement intéressants. En effet, l’intrigue n’étant jusqu’à présent qu’un prologue aux aventures des Titans, cette semaine revient avec une équipe enfin dans la place. Ces vingt planches se concentrent sur les relations entre les personnages, laissant cette fois ci une place à chacun, même à Flash qui était en retrait depuis le début. Les interactions entre Beast Boy et ses camarades sont hilarantes, en particulier avec Damian et le numéro se paye le luxe de développer Aqualad et les réactions de ses proches après la découverte de ses pouvoirs. Qui plus est, Khoi Pham, soutenu par une très bonne colorisation arrive à rendre des planches magnifiques. Il est bon de voir que Ben Percy préfère ce mois ci l’aspect slice of life pour enfin poser l’action avant le véritable premier arc de la série qui opposera les Titans à leur ennemi de toujours, Deathstroke. Ainsi, quelques détails sont dispersés ici et là sans pour autant rien révéler de la suite du récit. A noter que la série se laisserait sans doute plus apprécier en reliée qu’en single.  Pour résumer, avec ce numéro, Teen Titans revient plus en forme que jamais après avoir posé des bases solides et j’attend avec impatience la suite.

– Blue

Note : 8,5/10

THE FLASH #19

review THE FLASH #19

Scénario : Joshua Williamson Dessins : Jesus Merino

Flash, son sidekick et Captain Boomerang sont confrontés à un groupe de mercenaires, empêchant le duo de bolides de continuer à chercher le père de Wally et le numéro consistera à un combat pour que le super-vilain, ayant travaillé avec Daniel West dans la Suicide Squad, leur dise ce qui lui est arrivé. Le combat n’a pas vraiment d’intérêt, la menace étant minime et le dialogue qui s’en suit a quant à lui une charge émotionnelle qui s’atténue légèrement si vous avez lu New Suicide Squad Annual #1. Il reste un discours intéressant sur le rôle paternel que Barry a fini par récupérer auprès de Wally. Vous pouvez ajouter à cela une dernière page sans aucun rapport mais qui tease le crossover entre Flash et Batman qui arrive enfin, et vous avez un numéro vraiment partagé entre sa grande première partie ennuyeuse et la seconde bien plus appréciable mais plus courte.

– Sledgy7

Note : 6,5/10

THE HELLBALZER #8

review THE HELLBALZER #8

Scénario : Simon Oliver Dessins : Philip Tan

Peu de choses à dire cette semaine sur ce numéro de notre anglais préféré. Après les derniers événements survenus dans une mystérieuse bibliothèque, notre héros se retrouve jeté dans une cellule de commissariat. Pendant ce temps, Mercury – pas Freddy, l’autre-  continue de comploter dans son coin, laissant planer le doute sur son alignement. Il serait bon d’un peu plus en dévoiler pour tenir le lecteur en haleine. L’intrigue ne cesse d’emmener nos britanniques d’un endroit à l’autre de Paris et le nouveau personnage introduit s’avère intrigant. Pourtant, peu de choses ne se passent au final dans ce numéro et un sentiment d’être laissé sur sa faim se fait sentir. De plus, Philip Tan, contrairement au mois dernier n’est clairement pas à son meilleur, surtout au niveau des visages dont certains s’avèrent assez grossiers dans l’ensemble.

– Blue

Note : 5,5/10

WONDER WOMAN #19

review WONDER WOMAN #19

Scénario : Greg Rucka Dessins : Liam Sharp

Wonder Woman #19 est un chapitre qui va me forcer à la contradiction. Contradiction car malgré l’importance du récit au sein de l’oeuvre globale de Greg Rucka sur ce run, l’ensemble apparaît moins maîtrisé que d’habitude pour pleinement convaincre. Ce numéro se montre, en effet, assez bavard mais sans retrouver la qualité à laquelle nous a habitué l’auteur dans son écriture. On sort de tout ça avec l’impression d’une lecture qui fait trop dans l’exposition et qui oublie l’émotion. Malgré ça, le mix des genres fonctionne toujours au sein de l’histoire avec le côté espionnage moderne en parallèle des éléments mythologiques propres à l’univers du personnage. Ce mélange se retrouve aussi dans l’imagerie développée par Liam Sharp qui est souvent capable de livrer des planches intéressantes. Cependant, là aussi, tout n’est pas aussi abouti visuellement et le numéro souffre de quelques pages au découpage trop banal et de certains visages approximatifs. Au final, ce Wonder Woman #19 demeure un numéro correct et même important dans la compréhension globale des idées mises en avant par Rucka. Il lui manque, hélas, la petite étincelle qui ferait la différence dans le traitement. Tout ça jusqu’à une conclusion qui fait le job mais qui utilise un ressort narratif vu et revu en guise de cliffhanger.

– n00dle

Note : 6,5/10

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ArnoKikoo

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ian0delond
6 années il y a

Mother Panic, même si le changement d’artiste donne un ton plus cartoon au dessin, il devient aussi plus compréhensible ce qui est un plus pour la série qui était gérait mal son aspect éthéré.

Mortphine
Mortphine
6 années il y a

J’espere que urban va publier les titres young animals
Quelqun sais si ils en ont parler?

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