Les points positifs :
Les points négatifs :
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Numéro précédent : Justice League Univers #6 | La suite dans : Justice League Univers #8 |
Alors que la suite de Darkseid War se poursuit dans votre kiosque DC, c’est le titre JLA qui prend une pause dans ce nouveau Justice League Univers avec en compensation, une double dose de Flash ! Retrouvez l’ensemble de nos avis sur ce magazine disponible depuis le 9 septembre pour la somme de 5,60€.
Justice League #47
- Scénario : Geoff Johns – Dessins : Jason Fabok – Couleurs : Brad Anderson
Vous n’avez pas lu le Justice League Univers Hors Série #2, comme moi ? Vous avez eu tort. Parce que pour comprendre pourquoi Green Lantern est revenu auprès de Batman, c’est là-bas que ça se passe. La Justice League doit gérer SuperGod grâce à Wonder Woman qui démontre encore une fois qu’elle a des pouvoirs de dingues. Et Mister Miracle et son équipe vont libérer le Syndicat du Crime ou ce qu’il en reste, mais voilà, ça ne va pas se passer comme prévu, bien au contraire jusqu’à l’arrivée d’un personnage dont j’attends le retour depuis sa dernière réplique dans Forever Evil. On n’oublie pas l’arrivée de Moebius.
Ce qu’on pourrait retenir, c’est que l’arc traîne un peu en longueur, mais il fait intervenir tellement de personnages et d’enjeux que ça peut se comprendre. On peut facilement se perdre. N’hésitez pas à lire le court résumé que nous propose Urban, ça peut servir. Ou alors, vous vous faites une relecture totale. Graphiquement, je ne vois pas comment m’éterniser pour dire que c’est du Fabok. Je ne peux pas concevoir que l’on n’aime pas son trait. Rien que ça suffit à lire la série. Ici, on en a aussi pour le scénario donc, du tout bon. Peut-être les dialogues qui ne sont pas toujours au top. Assez brefs souvent, ce qui peut fonctionner, mais pas toujours. Mais ça, c’est pour chercher la petite bête. Vraiment une bonne série.
-James Edge Grayson |
Note : 8,5/10 |
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Flash #46-47
- Scénario : Robert Venditti, Van Jensen– Dessins : Brett Booth, Vicente Cifuentes, Alé Garza – Colorisation: Andrew Dalhouse
Champagne ! Pourquoi ? Ben parce que c’est la fin de ce très très long arc sur Zoom et sa petite armée qui tentent de dézinguer Flash. Non pas qu’il fut vraiment mauvais, mais tellement long et cousu de fil blanc, que dés les premières pages j’ai deviné quelle en serait la conclusion. Et devinez quoi ? Boum ! C’est pile ce qui est arrivé. Forcément quand on réunit une équipe sur un mensonge, qu’arrive-t-il ? Ben voilà, tu as deviné l’alpha et l’oméga de cet arc, finalement pas tellement besoin de faire autant de numéros sur ce sujet…
Les dessins sont plutôt correct, mais tellement chargés qu’ils provoquent chez moi un rejet. Est-il besoin de faire autant d’éclairs tout le temps ? Et des yeux rouges qui dépassent d’une armure presque plus imposante que celle d’Ezra Miller dans le DCEU ? Non je ne pense pas. J’aime Flash quand il est plus dépouillé et là il est pour le moins chargé.
D’ailleurs j’aime les dessins simples et les scénarios complexes (pas nécessairement compliqué, hein ?), et bien là j’ai le contraire et ça me plait moyennement. Le scénario est simpliste et ne fait pas tellement avancer le schmilblick et les dessin chargés jusqu’à l’écœurement. Ce n’est pas une purge, mais ça ne reste franchement pas dans les annales et Flash mérite tellement mieux.
-Darthfry |
Note : 4/10 |
Green Arrow #47
- Scénario : Benjamin Percy – Dessins : Patrick Zircher, Fabrizio Fiorentino – Colorisation: Gabe Eltaeb
Tout avait commencé avec une origin story sur le chien, Georges. Et tout ça pour dire qu’il avait une force en lui. Et Green Arrow aussi, en tant que super-héros sans super-pouvoirs, mais on n’en saura pas plus pour ça. Ici, on nous explique qui est le méchant avant de l’expédier. Et finalement, c’est à la fois bateau et simple mais ça marche. C’est même la meilleure partie de l’épisode. Parce que le reste, c’est l’amour d’un homme pour un chien qu’il vient tout juste de rencontrer et d’un crush avec une voleuse. Et c’est tellement mal amené, ça aurait pu transpirer pendant l’arc (Green Arrow) mais non.
J’espérais un retour de Patrick Zircher au dessin vu qu’il avait commencé l’arc, mais finalement on reste sur le remplaçant (définitif, ou pas) et il se débrouille plutôt bien. L’ambiance est là, l’action est bien retransmise avec les effets de surprise et de retournement, le dégueulasse est là aussi. Ça fait son petit effet. Bien joué. Une bien meilleure conclusion que le début de l’arc, ça m’a fait plaisir. Une bonne lecture.
-James Edge Grayson |
Note : 7/10 |
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Wonder Woman #47
Scénario : Meredith Finch – Dessins : Miguel Mendonça – Colorisation: Brad Anderson
Un numéro résolument peu utile ce mois-ci dans les pages de Wonder Woman – paradoxalement plus supportable que les débuts, fins ou milieu d’arcs habituellement proposés par Finch, celui-ci est un one-shot en toute logique moins emprisonnant et donc moins horripilant. Y compris sur le dessin d’ailleurs, puisque c’est l’artiste Miguel Mendonça qui récupère, amenant plus de simplicité et d’élégance que le trait “pimp” de David Finch à l’éternelle saveur 90’s.
Dans l’ensemble, rien à retenir de tout ça, sinon que même dans ce genre de micro-récit Meredith Finch arrive à ne pas comprendre la mythologie Amazone, en repassant par dessus les origines de l’île différemment que ce qui était jusqu’ici considéré comme canon (quoi que la version New 52 soit déjà assez différente de celle de Marston au départ, donc mettons que tout marche comme prévu). Rien à retenir, ni d’utile ni d’intéressant, à part un combat anecdotique avec Cheetah et des dialogues de la lourdeur d’un kraken, mais pour ce genre de séries « fond de panier », on a tendance à applaudir la simple inutilité au détriment du médiocre, puisque l’un dans l’autre, l’effort constitue un net progrès.
-Corentin |
Note : 5/10 |
Euh mais c est fabok qui dessine le 47 et pas manapul
C’est toujours pas expliqué pourquoi Steppenwolf est présent depuis le début de cet arc alors qu’il a été tué sur Earth 2 ?
On appelle ca un je m en fous de ce que les autres ont fait
Disons aussi que la Darkseid War était déjà au moment de sa parution compliquée à positionner dans la continuité qui était en vigueur vis-à-vis des autres séries régulières du DcYou (Batman était Jim Gordon, Superman n’avait plus d’identité secrète et n’avait plus tous ses pouvoirs, Green Lantern renégat…).
Et Convergence a peut-être ressuscité des héros et non héros. Mais de toute façon des incohérences au cours de cet arc il doit y en avoir quelques unes (niveau dessin j’avais relevé qu’à un moment Cyborg a son allure du DcYou et l’épisode d’avant il était encore en version New52). Donc bon on s’arrêtera pas à ça.
Bah DC à un Multivers, non ? Enfin, je dit ça comme ça… J’ai pas encore lu ces comics.
Dans le numéro de Multiversity Guide, Highfather explique que Darkseid a de nombreux visages et il tente de reconstruire sa divinité (penser comme l’essence d’un Dieu en fait) avec ces nombreux visages. Il se reconstruit parce qu’il a été battu par la Ligue de Justice au début des new 52. Il était pas sur la Terre 2 lors de l’attaque initiale, parce qu’il était en train de se reconstruire pour ainsi dire pour retrouver son pouvoir. Donc on peut dire que Steppenworlf c’est reconstruit aussi ?
ça m’a fait rire pour la réviews du #7 où il est précisé :
« Numéro précédent : Justice League Univers #6 »
« La suite dans : Justice League Univers #8 »
Des fois qu’il y en ai qui ont du mal avec les chiffres…☺☺☺
Tu sais quoi, en plus il y a même des liens vers les reviews, au cas où tu ne saurais pas trouver toi même non plus ! ;)
En fait, ce serait plutôt un point positif que WW soit moyen, vu ce qu’on a eu avant…
Le plus triste c’est que c’est vrai…
Je suis content du boulot de Geoff Johns sur JLA. Le mec donne l’impression de faire un gros doigt à Snyder et autres en leur disant « faîtes votre Bat-chapie et votre Sup en T-Shirt, moi je respecte les fans ».