Review VF – Batman : La Résurrection de Ra’s Al Ghul

Critique de Batman - La Resurrection de Ra's Al Ghul
Les points positifs :
  • L’héritage de Neal Adams
  • Voilà, on a tout le Batman de Morrison
  • Belle galerie de personnages…
Les points négatifs :
  • …hélas ceux-ci sont mal travaillés
  • Une mauvaise coordination pour un event artificiel
  • Inconstance graphique

« C’est toujours aussi barbant ces réunions de famille. » – Dick Grayson / Nightwing


  • Scénario : Paul Dini, Peter Milligan, Grant Morrison, Fabian Nicieza, Keith Champagne
  • Dessin : Tony Daniel, Dustin Nguyen, Jason Pearson, Freddie E. Williams II, Don Kramer, etc.

Tué par sa descendance dans l’excellente mini-série Death And The Maidens de Greg Rucka et Klaus Janson (dont vous pouvez retrouver la review sous ce lien), Ra’s Al Ghul, à cause de son charisme prodigieux et le défi qu’il pose à Batman par son existence, se devait de réapparaître un jour ou l’autre. On doit l’idée au génial et très estimé Dan DiDio (puisse-t-il vivre mille vies d’homme), dont le plan, par chance, a plu au timonier en date du titre Batman – à savoir Grant Morrison. Pour marquer le coup, les éditeurs ont décidé de mettre en place tout un cross-over le temps d’un mois sur les titres de la Bat-Family pour réintroduire le personnage, plutôt que de le faire apparaître dans un simple arc.

Avec La Résurrection de Ra’s Al Ghul, vous trouverez donc chez Urban les deux ultimes numéros de Batman par Grant Morrison qui compléteront parfaitement son travail sur la chauve-souris depuis Arkham Asylum ; ceux-ci se glissent entre les premiers et deuxième tome de la série Grant Morrison Présente Batman. Mais pour les raisons éditoriales décrites plus haut qui menèrent à la conception de l’event, le talent de Grant Morrison ploie sous le joug de la coordination avec les autres auteurs, collaborateurs dont la profusion dissimule encore davantage l’inspiration de l’Écossais – ainsi il est difficile d’attribuer telle bonne idée à Morrison ou à un autre auteur. Car ce n’est pas le seul nom à porter l’event : entre son compatriote Peter MilliganPaul Dini docteur ès chauve-souris depuis la série animée, et Fabian Nicieza, qu’on connaît plutôt pour son travail chez les X-Men, cet event profite d’un casting solide. Pour quel résultat ?

Contenu : Batman #670-671 + Annual #26, Detective Comics #838-840 + #842, Robin #168-169 + Annual #7, Nghtwing #138-139.

Ça semble trop incroyable pour être vrai : Ra’s Al Ghul va revenir d’entre les morts ! Pour préparer son arrivée, Talia et le mystérieux Spectre Blanc accordent un grand soin à initier Damian aux secrets de son aïeul. Mais peuvent-ils réellement compter sur le fils de Bruce Wayne et Talia Al Ghul, ou risque-t-il de les trahir et de rallier son père pour le prévenir du retour de son ennemi juré ? Avec ou sans le soutien de DamianBatman aura fort à faire pour affronter un nouvel fois un de ses ennemis les plus coriaces. Heureusement, dans sa quête, il pourra compter sur l’aide de ses alliés de toujours, Nightwing et Tim Drake. Le temps est compté !

Comme annoncé dans ce résumé concis, par son étendue à tous les titres de la Bat-Family, cet event a le premier avantage de réunir tous les alliés de Batman dans une seule histoire. Les auteurs redoublent d’efforts à leur manière pour mettre en avant de manière égale Dick GraysonTim Drake et Damian WayneDick Grayson s’en sort le mieux d’une manière très classique, en endossant le rôle responsable de ‘l’original’, qui lui confère une aura et une autorité sur les deux plus jeunes. Rajoutez-y ses combats chorégraphiés de manière moins générique que ceux de ses alliés, pour justifier son passif d’acrobate, et les fanboys et fangirls (suivez mon regard) du ténébreux Dick seront contents de le voir en si grande forme.

Tim Drake et Damian Wayne remettent le couvert

Le bilan est plus mitigé du côté des deux autres. Les différents auteurs essaient toujours d’appuyer les tiraillements de Damian Wayne entre ses deux héritages, entre sa nature belliqueuse et sa filiation à Batman ; ça offre des scènes plutôt sympathiques – particulièrement celles où il accorde sa préférence à Bruce plutôt qu’à Talia. L’idée de le pousser à prévenir Batman du retour de Ra’s va dans cette idée, et son arrivée au Manoir, avec la tendresse qu’il marque pour Alfred, est plutôt bien réalisée, à l’énorme exception d’une confrontation entre Tim Drake et Damian Wayne. Celle-ci est tout d’abord inutile parce qu’elle tombe dans une redite totale avec celle observée dans le premier tome de Grant Morrison Présente Batman, et dessert le personnage de Tim Drake en lui prêtant le caractère impulsif de celui qui frappe avant d’essayer de comprendre. Les confrontations basées sur des quiproquos sont rarement crédibles auprès des lecteurs, les scénaristes devraient y prêter garde !

Pour sauver Tim Drake de l’anonymat, les scénaristes, et Peter Milligan particulièrement, tentent de lui construire une sous-intrigue en l’exposant à la tentation de ramener des êtres chers à la vie (son père, Stephanie Brown et Superboy). En soi, pourquoi pas, bien que la tension soit artificielle puisqu’il y a une sorte de règle tacite dans les comics qui a décrété que seuls les méchants avaient le droit de ramener des gens à la vie – ou alors c’était qu’ils n’étaient pas vraiment morts. Le dilemme, en somme pas si profond que ça d’ailleurs, qui tiraille Damian manque donc d’enjeu. Pour en rajouter, Peter Milligan croit bon de faire intervenir Dick, qui lui, grâce à son expérience, sait encore mieux que c’est une super mauvaise idée de plonger un copain dans un puits de Lazare, et tente de convaincre Tim Drake à coups de bâton de ne pas courir le risque de voir papy Drake sortir du puits comme un possédé. S’ensuit un duel assez stylisé entre les deux sidekicks, qui fait écho à celui quelques pages plus tôt entre Tim Drake et Damian sans que cet écho ait un sens particulier.

Tim et ses dilemmes philosophiques

Ce duel perd cependant tout son sens lorsque Dick Grayson déclare finalement : ‘Tim… Il n’y a pas de réponse facile… Mais tu as le droit de choisir toi-même.‘ Ensuite de songer intérieurement : ‘Pas le choix. Si je l’arrête, je n’ai pas confiance. S’il le fait, il ne mérite pas ma confiance.‘ Finalement, évidemment, Tim Drake renonce, et Dick le réconforte en disant : ‘Je t’ai laissé choisir seul… parce que je savais que tu ferais le bon choix.’ Alors qu’il ne l’a pas laissé choisir seul ! Il a débarqué en disant explicitement qu’il comptait bien l’empêcher de toucher au puits, par la force si c’était nécessaire, créant une incohérence directe avec ses propos ultérieurs. Pour cette instabilité et son manque de consistance générale, cette sous-intrigue autour de Tim Drake paraît à la fois superflue et mal exécutée, et constitue un petit passage à vide au centre de l’event.

L’autre grand perdante de l’event, c’est probablement Talia Al Ghul. Cantonné au rang de figurante tout au long du récit, les auteurs peinent malgré leurs efforts visibles à la partager entre son rôle de mère pour Damian et son attachement pour Batman puisque, dans les faits, elle se contente de tailler du ninja en arrière-fond tandis que l’essentiel du scénario se déroule au premier plan. C’est par ailleurs étonnant que les différents membres de la Bat-Family ne s’offusquent pas de la voir user de force létale, surtout que la soumission au principe de ne pas tuer est rappelée lors d’une scène où Dick Grayson choisit de laisser Tim et Damian se faire kidnapper pour sauver les vies de trois vilaines d’une importance guère plus conséquente que ces ninjas anonymes.

Trois donzelles au goût de ringardise assumé

Ces trois vilaines, d’ailleurs, sont des oubliées du Silver Age ramenées par Grant Morrison. À l’origine alliées de Poison Ivy, ces trois donzelles appelées LibelluleHalisidote, et Aranéide (DragonflyTiger Moth et Silken Spider en vo) se cantonnent elles-aussi à une figuration amusante, se distinguant du vide uniquement par leur ringardise, sur laquelle les auteurs insistent à foison. Leurs répliques sont dotées d’ailleurs d’une traduction particulière, caractérisée par l’emploi de mots inattendus (‘Faites péter la verroterie, les rupins !‘) servant, on l’espère, à appuyer leur côté has-been. Justement à cause de leur maigre importance, on s’étonnera toutefois de les voir entrer si facilement dans le secret de la double-identité de Batman lorsqu’elles sont dépêchées au Manoir Wayne pour aller récupérer Damian, lors d’une scène où la bâtisse vénérable est prise d’assaut par une armée de ninjas – une scène qui ne va pas sans rappeler une autre similaire dans le film Batman Begins. L’occasion de signaler au passage une autre petite incohérence sans gravité lorsque les ninjas fondent sur le manoir puisqu’ils indiquent avoir reçu l’ordre de ramener Damian et de tuer tous les autres, or ils finissent par repartir avec Tim Drake, encore en vie.

Autre élément made in Morrison, on assiste à la première apparition dans ce tome des Septs Messagers de la Mort (Seven Men Of Death en vo). Il s’agit d’un groupe d’assassins chevronnés recrutés par la Senseï pour mettre les bâtons dans les roues de son concurrent dans la domination de la Ligue des Assassins Ra’s Al Ghul. Sur ces sept personnages, deux seuls ne sont pas des créations inédites : Merlyn, la némesis bien connue de Green Arrow, et Hook, le meurtrier de Boston Brand – qui a permis en fait à l’acrobate de devenir Deadman – ramené ici sans explication d’entre les morts puisque Neal Adams l’avait tué dans le Strange Adventures #205. S’agissant de Neal Adams, tout cet arc renvoie allègrement au travail du prodigieux artiste dans les années ’70, car si le run de Morrison, surtout à ses débuts, s’inscrivait dans un hommage au duo de Dennis O’Neil et Neal Adams notamment à travers la combinaison de leur héritage (Man-Bat et Ra’s Al Ghul), ici c’est davantage au second nommé que Grant Morrison témoigne sa gratitude en mettant en avant des créations complètes de Neal Adams : Hook, le SenseïRama Kushna et Nandar Parbat, etc. À ce titre on s’étonnera de l’absence de Deadman malgré la présence d’un grand nombre d’éléments issus de sa mythologie. Ces références à foison sont évidemment délicieuses pour qui les saisira, ce que le lecteur de cette review sera en mesure de faire maintenant !

Neal Adams, notre senseï

Concernant le Senseï, c’est également un plaisir de retrouver la guerre de clans l’opposant à Ra’s Al Ghul dans le contrôle de la Ligue des Assassins que Grant Morrison récupère ici de la Saga du Démon originelle de Dennis O’Neil et Neal Adams – toujours inédite chez Urban, un véritable scandale ! Les auteurs reproduisent la surprise qui traverse le lecteur lorsqu’il découvre que ce petit vieillard inoffensif cache une maîtrise sans égale des arts martiaux. Encore une fois, c’est là un élément récupéré des années ’70. Dans la catégorie des autres trucs cools de Morrison autour du personnage du Senseï, on relèvera le fait que Grant Morrison, comme pour Hook ou la Batwoman d’origine, l’a ramené d’entre les morts sans aucune sorte d’explication ; c’est peut-être une manière de signifier que les personnages de comics ne meurent jamais vraiment, une règle confirmée définitivement par les résurrections successives de Jason ToddBarry Allen ou encore… Ra’s Al Ghul lui-même ! Amusant donc de constater que dans un event créé éditorialement (néologisme) uniquement pour ramener Ra’s Al GhulGrant Morrison ressuscite ni vu ni connu le Senseï sans s’encombrer d’explications internes, marquant avec subtilité une forme d’ironie vis-à-vis de la démarche entière du cross-over. Dans la foulée enfin, l’Écossais lie définitivement le Senseï à Ra’s Al Ghul en faisant du premier le père du second, un élément dont ne tiendra pas compte le créateur du Senseï lui-même, à savoir Neal Adams, lorsqu’il l’utilisera dans ses deux mini-séries récentes Batman : Odyssey puisqu’il renversera précisément les rôles, plaçant Ra’s dans le rôle du père du Senseï.

Pour revenir aux points négatifs de l’event, on pourra lui reprocher son scénario assez décousu, qui fait défiler devant les yeux du lecteur les différents plans de Ra’s pour revenir d’entre les morts : d’abord il pense se mettre dans le corps d’un de ses sbires, puis il veut se mettre dans le corps de Damian parce qu’apparemment la réincarnation a des effets secondaires peu désirables si l’hôte n’est pas du même sang, ensuite il propose à Batman de choisir entre Damian et Tim Drake celui qui sera l’hôte de son esprit (une proposition qui entre en conflit avec la première explication du sang), ensuite Batman lui propose d’aller à Nandar Parbat pour n’avoir besoin de se réincarner ni en l’un ni en l’autre, mais une fois à Nandar Parbat apparemment ça suffit pas et il veut quand même se réincarner en Damian, mais face au manque de coopération de Damian il décide de se réincarner finalement en un personnage insignifiant présent depuis le début de l’intrigue – le Spectre Blanc – créé probablement dans le seul but de fournir une clé à cette intrigue sans queue ni tête, et souffrant d’un manque de développement accablant. À ce scénario compréhensible mais alambiqué s’ajoutent des incohérences locales comme celles soulignées dans les paragraphes précédents, et d’autres, comme l’allure de Ra’s Al Ghul qui change drastiquement d’un numéro à l’autre, passant sans crier gare et sans explication d’un moine chauve, à un moine avec la coupe de cheveux Ra’s Al Ghul, puis à un moine avec la coupe de cheveux de Ra’s Al Ghul mais un corps zombifié. Ce n’est pas le même genre de confusion ‘calculée’ qu’on peut trouver dans certains récits de Morrison, ça relève davantage de la mauvaise conception initiale à laquelle s’ajoute probablement une mauvaise coordination entre les différentes équipes créatives.

Quel beau sourire, Batman

Cette faiblesse est doublée d’une inconstance graphique générale, qui, si elle profite à de rares endroits des interventions salvatrices de Don Kramer sur la série Nightwing ou le temps des deux derniers numéros des talents de Dustin Nguyen au style anguleux si caractéristique (fort apprécié de ma très estimée collègue Harley Huntress), elle se contente surtout en général d’une moyenne basse, ponctuée de planches carrément hideuses, citons notamment David Baldeon dans une direction un peu cartoon maladroite et de fort mauvais goût, ou Ryan Benjamin (voir juste au-dessus de ce paragraphe), qui donne parfois l’impression d’avoir gardé un pied dans les années nonante, parfois de tenter sans succès d’imiter Jim Lee, et souvent de foirer ses expressions faciales.

Pour conclure, glissons un mot sur les numéros qui cerclent l’event en tant que tel. Il y a tout d’abord deux préludes, le premier, du Batman Annual #26, à l’approche très didactique, qui annonce avec la subtilité d’un éléphant bodybuilder le retour de Ra’s Al Ghul, et qui ne réussit pas à créer aucune forme de tension lors d’une lecture en tpb, là où il aurait pu faire grand bruit en single lorsqu’il aurait fallu attendre quelques semaines avant de mettre la main sur la suite. Le second prélude, tiré du Robin Annual #7, se loupe dans l’autre sens : là où le premier prélude mettait de manière trop visible les pieds dans l’event, cet annual de Robin tombe dans l’anecdotique complet et paraît complètement superflu à la lecture de l’event. Les deux numéros situés en épilogue s’en sortent mieux, peut-être parce qu’ils sont moins pressés par des visées utilitaires. Le premier, du Detective Comics #842, reprend un élément mineur introduit dans l’event – à savoir une armure cédée par Talia à Batman – et dans un style très Milligan qui ne va pas sans rappeler le Dark Night, Dark City, parvient à fournir une mini-histoire complète intéressante, honnêtement construite et visant juste dans la psychologie de Batman. Le second, le Detective Comics #840 (sorti deux mois avant le premier épilogue mais glissé après ce dernier dans l’édition d’Urban), de Paul Dini, est très old-school dans sa manière d’introduire un vilain classique caractérisé par une obsession. Il s’agit du Globe, nom qu’il doit à sa corpulence quasiment sphérique d’obèse, et à son obsession pour les cartes et les mappemondes. On aurait souhaité le voir réapparaître par la suite tant il bénéficie de ce charisme simple des vilains classiques. Hélas son introduction ne sert que de prétexte à une confrontation d’apogée entre Ra’s et Batman, marquant le terme de l’event, tout en amenant Batman à décider du sort final, peu enviable, du maître de la Ligue des Assassins, d’une manière plutôt curieuse qui pourrait prêter à la controverse.

Des trucs chouettes et des trucs moins chouettes pour ce cross-over étendu à toute la Bat-Family. Il est effectivement vendu par le nom de grands auteurs, mais ceux-ci se marchent un peu dessus et noient leurs bonnes idées dans une moyenne en somme pas mirobolante. Si on est tenté de se le procurer pour compléter sa collection du travail de Morrison sur Batman chez Urban, il faudra garder à l’esprit que l’auteur est ici bridé par les visées assez utilitaires de l’event. Ses autres travaux font preuve d’une subtilité à la limite de l’incomparable avec ce qui se fait ici, mais ce n’est pas pour autant qu’on hurlera ‘Abandonnez le navire’. Pour être franc, en débutant cette review je partais d’un bon sentiment, et c’est en le retournant dans ma tête que l’event m’est paru moins réussi que le goût qu’il m’avait laissé. C’est donc possible que chacun y trouve son compte.

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7 Commentaires
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Mandalorwarrior
Mandalorwarrior
8 années il y a

Je l’ai bien aimer, malgré les incohérences. Par contre, truk que j’ai trouvez très con, c’est quand Nightwing préfère sauver les 3 filles psychopate plutôt que Damian et Tim.

Ares
Invité
Ares
8 années il y a

Moi qui comptait le prendre, je vais sûrement passer ma route.

Mandalorwarrior
Mandalorwarrior
8 années il y a
Répondre à  Ares

Si tu aime la Ligue des Assassin et Ra’s (logique xD) je te le conseil. En plus, il à certains personnages mineur que l’on ne vois que très peu, voir jamais, cher les lecteur VF (comme moi) et qui peut être intéressant à faire connaitre (Le Sensei, Le Spectre Blanc, I-Ching, ectr) + des Flashback du passée du potentielle Ra’s assez intéressent et sympatoche. L’histoire aussi est vraiment Sympa, bref je vais pas trop spoiler.

Ares
Invité
Ares
8 années il y a
Répondre à  Mandalorwarrior

Effectivement, ce sont des bons arguments que tu me proposes là, mais après avoir lu la review, j’ai été vachement refroidi xD
Mais c’est pas impossible que je le prenne ^^

laurentbikou13
laurentbikou13
8 années il y a

Avec la review, j’hésite à le prendre maintenant et vu que le mois de mai est extrêmement chargé en sorties intéressantes pour ma part, je vais y réfléchir.
En fait ce n’est pas un indispensable?

pioupiou
pioupiou
8 années il y a

Pas ma meilleure lecture DC de ces dernières semaines, mais je ne regrette pas mon achat pour autant.

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