[Review Express VO] Semaine #126

review express vo
Le Coup de Cœur de la semaine

  • Earth 2 Annual #2

Le Top de la semaine

  • All-Star Western #27

Le Flop de la semaine

  • Teen Titans #27

Bienvenue sur ce nouveau numéro des Review Express VO qui est particulièrement chargé. En effet, en plus de sorties « normales » côté New 52, DC Comics a également publié une nouvelle vague de numéros Annual, gonflant ainsi sa liste de sorties single de cette semaine. S’ajoute à cela un seul titre côté Vertigo et quelques séries dans le groupe Beyond de DC Comics. Malheureusement quelques retards à noter également pour les séries Forever Evil et Superman Unchained ainsi que le dernier numéro pour la série The Green Team. Bonne visite et n’hésitez pas à réagir !


VERTIGO

 

DEAD BOY DETECTIVES #2

Dead Boy Detectives #2 review

Ce second numéro de Dead Boy Detectives nous permet de rentrer de manière plus précise à St. Hilarions et de nous confronter aux sujets principaux. Nous découvrons une partie de l’équipe qui maltraite les pensionnaires, nous suivons Crystal et sa nouvelle amie lors de son enquête en apprenant quelques petits détails sur elle, et nous suivons les investigations de Charles et Edwin. L’ambiance est toujours au rendez-vous, fidèle aux premières apparitions des garçons dans la série The Sandman, avec même un clin d’oeil joliment exécuté. Un titre très plaisant à lire, qui n’augure rien de bon pour les personnages. Tout est propre dans ce titre, que ce soit l’écriture fluide, l’histoire qui nous berce ou encore les planches qui sont tout à fait correctes et correspondent bien à l’ambiance.

En clair, c’est chouette, et puis l’univers des fantômes instillé par Neil Gaiman à la base est toujours agréable à retrouver, lorsqu’il est comme ici plutôt fidèle à l’original.

– Harley

Note : 7/10

Je rentre dans l’histoire ! Bonne nouvelle. Le numéro reste un peu confus dans sa narration (cela doit être réellement propre aux créateurs), mais reste cependant bien plus clair pour moi que le précédent. Le problème étant le changement très courant de point de vue, qui est véritablement indiqué à travers le style des bulles de pensée, mais qui des fois est un peu perturbant. Rien de dommageable car je commence vraiment à me passionner pour l’histoire ! De plus, on s’approche énormément de la jeune fille, Crystal, qui a décidé d’enquêter sur la mort des Dead Boy Detectives dans leur ancien pensionnat. Pensionnat vraiment pas clair du tout soit dit en passant. Bien sûr, les gamins sont infects et rejettent les filles un peu geekettes (clichés et compagnie sont de sorties), mais au delà de ça, la caractérisation des personnages principaux est assez passionnante et offre un contraste entre Crystal, fille du présent, et les Dead Boy Detectives, enfants du passée. La science-fiction et l’horrifique commencent à prendre une place assez remarquée dans la série et ce n’est pas pour me déplaire. Les dessins sont quant à eux fort à-propos, mais si l’agencement des cases participe à mon sens à la confusion que peut avoir le titre par moment. Dans l’absolu, cela reste une bonne lecture.

– Freytaw

Note : 7/10


BEYOND

 

ADVENTURES OF SUPERMAN #40

ADVENTURES OF SUPERMAN #40 review

Jock et Landis pour nous raconter la rencontre intemporelle entre le Joker et Superman. C’est avec une grande impatience et un peu de réticence que j’attendais ce premier chapitre d’une histoire qui n’en comptera que deux. Après lecture j’avoue être très partagé, ne sachant pas vraiment sur quel pied Landis voulait jouer. En fait, l’ensemble du numéro est une discussion entre le Joker et Superman. Une discussion rondement menée avec un Superman indéfectible, usant et jouant de sa patience pour mettre à mal le clown déjanté. L’issue de cette conversation se devine à cinquante kilomètres et il n’y a donc pas de surprise.  Pourtant bien écrit mais j’ai comme l’impression que les propos du Joker s’adressent à nous, et que ces derniers le concernent lui. D’ailleurs au final, pour moi, Superman représente en  quelque sorte le lecteur qui se rend compte que ce n’est que brasser du vent alors que je pense toujours que les interactions entre les deux sont vraiment bien jouées. On ne peut pas ne pas parler de Jock et du travail fourni puisque, pour peu que l’on apprécie le travail de l’artiste, c’est très stylisé. On ne s’encombre pas de décors tout juste minimalistes, représentés par des éléments disparates mais représentatifs du lieu alors que les personnages sont parfaitement reconnaissables. Jock rend également hommage à presque toutes les différentes facettes physiques du Joker sans que cela ne nuise à la lecture, ajoutant même un peu de folie à ce dernier.

– Nathko

Note : 7/10

 

JUSTICE LEAGUE BEYOND 2.0 #12

JUSTICE LEAGUE BEYOND 2.0 #12 review

La Justice League Beyond est toujours aux prises avec un Brainiac presque surpuissant et sans l’arrivée des forces Atlantes dans la bataille, on se demande bien comment elle s’en sortirait ! Christos Gage dépeint comment chaque membre de la Ligue affronte les armées de Brainiac et se sert de ces passages pour dépeindre un peu plus la personnalité de chacun d’eux, évoquant également des éléments de leurs passés ; une façon habile de faire de l’exposition et de l’action en même temps, même si ça peut paraître un peu forcé. Reste une pseudo-traîtrise un peu grossière qui fait tâche avec le reste mais le cliffganger est là, complètement fou, et c’est cool de voir Gage en faire des tonnes de cette façon. Aux dessins, Iban Coello nous a donné l’habitude d’avoir des dessins vraiment beaux lorsqu’on est dans des gros plans et bien moins détaillés dès qu’on a des vues d’ensemble. L’action reste tout de même très lisible et la coloration, très vive, participe toujours autant à l’atmosphère futuriste de la série.

– ArnoKikoo

Note : 7/10

 


NEW 52

 

ALL-STAR WESTERN #27

ALL-STAR WESTERN #27 review

On va encore dire que je m’emballe, que je suis un fanboy, mais bon sang, ce que font subir Gray et Palmiotti à notre Jonah Hex est juste incroyable. Et leur manière d’utiliser Superman, c’est juste fantastique. Le dialogue entre les deux protagonistes s’avère des plus succulents, alors que je manquais de confiance, bêtement je dois dire, j’avais peur d’un affrontement brutal et idiot. Il remet en perspective la place et le comportement de l’un et l’autre dans le monde, une rencontre magnifique. Majestueuse, percutante, vibrante. Et les scénaristes ne s’arrêtent pas là, ce fameux dialogue avec Superman n’étant que la première partie du numéro. Dans la suite, Gina (la nana qui colle aux basques d’Hex depuis plusieurs numéros) emmène Hex dans un musée… qui raconte une partie de son histoire. Paye ta remise en perspective de la vie quand on te la raconte et qu’on te colle devant une effigie de cire à ton image, avec tes fringues en plus ! La réaction d’Hex tombe juste. A la fois étonnante, touchante, et solide. Ce numéro nous offre vraiment des passages d’anthologie. Et ça sent la fin pour la croisière d’Hex dans le futur. Il est maintenant temps. Il faut le ramener messieurs, je pense qu’il faut revenir aux bases, après ce numéro magistral qui justifie à lui tout seul ce voyage dans le futur, bravo ! Et Moritat, que dire si ce n’est que son travail est juste de plus en plus sublime ! Son Superman a bien la classe et un je-ne-sais-quoi de bien rétro !

J’ai hésité à remettre un 10 alors que je viens tout juste d’en poser un la semaine passée… mais je n’y peux rien si en ce moment DC Comics me fait plaisir ! Ce numéro est pour moi un must-have absolu, autant pour les fans de Jonah Hex, que pour les fans de Superman (avec toute la déformation émotionnelle que cela implique, bien entendu). Je ne peux pas ne pas mettre cette note ! Ca serait un mensonge. Et mentir, c’est mal !

– Freytaw

Note : 10/10

 

AQUAMAN #27

AQUAMAN #27 review

On prend les mêmes et on recommence. C’est un peu comme ça que l’on pourrait décrire ce nouveau numéro d’Aquaman. Il s’agit là de la suite directe du précédent et globalement ce n’est qu’un gros combat. Les gros monstres qui sortent de la mer sont un peu plus à la mode depuis Pacific Rim et là ce n’est pas un robot géant qui sert d’adversaire mais bien notre héros. L’organisation derrière le réveil de cette créature se dévoile un peu plus dans ce chapitre et des têtes connues réapparaissent. La créature amène évidemment elle aussi son lot de petites surprises et de nouveaux mystères histoire d’enrichir encore le tout. Aquaman #27 donne moins dans le verbe que les précédents et commence à se positionner plus « aventure », ce qui n’est pour l’instant, pas un mal. Paul Pelletier est une fois de plus accompagné par Netho Diaz. C’est toujours aussi agréable autant pour l’un que pour l’autre mais leurs styles sont trop différents pour être juxtaposés de cette manière. Heureusement cette fois-ci Rod Reis s’occupe des couleurs pour les deux artistes ce qui laisse tout de même une certaine continuité.

– Nathko

Note : 7,5/10

 

BATMAN AND ROBIN ANNUAL #2

BATMAN AND ROBIN ANNUAL #2 review

Peter J. Tomasi et Doug Manhke délaissent dans cet annual le couple Batman/Damian pour aborder la première semaine de travail en tant que Robin de Dick Grayson. Une bonne occasion pour une virée empreinte de nostalgie dans laquelle nous retrouvons ce jeune Dick, impétueux, pressé de démontrer son savoir-faire à Batman (c’est une manie, vraiment), très grande gueule, bien entendu. Face à un Bruce à la limite du désagréable, beaucoup trop protecteur. On a également droit à un ennemi au design franchement impressionant, et c’est avec plaisir qu’on suit ce Dynamic Duo l’affronter. Mais c’est surtout dans son introduction et sa conclusion que j’ai aimé ce récit puisque, en doutiez-vous ?, il sera bien évidemment fait référence à Damian, qui reste toujours un élément clé de la série malgré sa disparition il y a quasiment un an. Les dessins sont quant à eux vraiment propres, il n’y a guère que sur quelques planches que j’ai trouvé les corps dessinés de façon un peu étrange, et Damian a connu de meilleurs jours sous les traits d’autres artistes, mais bon. On ne peut pas tout avoir !

– ArnoKikoo

Note : 7,5/10

Batman and Robin Annual #2 est totalement différent du premier. Ici, ce n’est pas Damian qui en est le héros, quoique… Nous revenons sur la premier semaine de Dick Grayson en Robin, suite à la découverte d’un paquet qui lui est adressé par Damian. On retrouve un Dick intrépide, jeune, qui n’a de hâte que d’enfiler le costume de Robin et aller botter les fesses des méchants, cela vous rappelle-t-il quelqu’un ? C’est amusant de le retrouver comme ça alors qu’on a plus l’habitude de le voir assez sage (j’ai dit assez, pas totalement hein) dans sa série car plus expérimenté. C’est vraiment une lecture sympathique même si elle n’est pas hyper passionante. Cela dit, Peter J. Tomasi s’applique à caractériser les personnages qu’il travaille et cela se sent. On sent aussi qu’il aime Damian et lui rend encore une fois un hommage touchant en fin de numéro.

Aux planches on retrouve Doug Manhke, un artiste qu’il n’est nul besoin de présenter. Son talent est bien là et bien mis à profit sur cette histoire. On peut y voir des pages splendides, même si certains visages laissent parfois perplexes.

– Harley

Note : 7,5/10

 

BATMAN : THE DARK KNIGHT #27

BATMAN : THE DARK KNIGHT #27 review

Seconde partie de l’histoire complètement silencieuse (à part quelques brèves onomatopées). Gregg Hurwitz peine à faire démarrer l’histoire, avec un début un peu confus, mais s’en sort bien mieux après quelques pages. Et si l’histoire reste classique, elle n’en reste pas moins efficace et c’est surtout grâce au travail que livre Alberto Poncitelli sur le numéro. L’artiste présente en effet plusieurs moments réellement impressionnants, que ce soit par l’angle abordé, la mise en scène, ou simplement ce qui nous est présenté. Sur presque chaque page, il apporte une petite idée qui fait mouche dans ce cadre un peu expérimental, et il faut rajouter qu’il maîtrise très bien son encrage et s’amuse beaucoup avec les effets d’ombre. Tout ça ne suffit pas à rendre le numéro inoubliable, mais on a tout de même un moment de lecture sympathique.

– ArnoKikoo

Note : 6/10

 

CATWOMAN #27, tie-in Gothtopia

CATWOMAN #27 review

S’il est bien une surprise cette semaine, c’est bien la qualité de ce numéro. Oui oui la qualité de Catwoman, écrit par Ann Nocenti. Cela dit, c’est normal, Gothtopia est un arc il se passe des choses hors du commun, dans un Gotham complètement renversé, fou, heureux. Du coup, Ann Nocenti peut se faire plaisir et écrire une histoire qui n’a ni queue ni tête, elle peut exagérer les personnages autant qu’elle le souhaite quitte à ce qu’on ait du mal à les reconnaitre. Mais le final rend plutôt bien. Il est agréable de retrouver Batman et Catbird in love, de voir la bataille psychologique qui fait rage dans l’esprit de Catbird/Catwoman. Ce numéro est bel et bien un bon moment de Gothtopia dans lequel la signification du nom est exposée. De plus, les évènements prennent la suite de Detective Comics #27 en une suite plus ou moins logique pour l’arc, ne comparez pas à la continuité en cours et aux personnages habituels sous peine de vous rendre fous tous seuls.

Aux planches, nous pouvons découvrir le travail de Patrick Olliffe et Cliff Richards. C’est un bon travail, la colorisation colle également bien à l’ambiance. Merci Gothtopia de m’éviter de me suicider ; remarquez, j’aurais peut être rencontré Selina Kyle au passage… Ah non, nous ne sommes pas à Gotham

– Harley

Note : 6,5/10

Je dois être un peu maso pour me lancer dans un tie-in écrit par Ann Nocenti. Il faut bien quelqu’un pour accompagner notre chère HarleyHuntress et Gothtopia est un évènement que je trouve attrayant, alors je me suis dit, pourquoi pas ? Alors oui, c’est parfois un peu forcé dans la caractérisation, mais il faut dire que le contexte aide aussi un peu à cet état de fait. Gothtopia est un genre d’illusion pour tout le monde, illusion que Selina Kyle embrasse complètement en tant que maîtresse de Bruce Wayne la nuit et side-kick de Batman le jour, en tant que Catbird (oui, les justiciers officient de jour dans ce nouveau Gotham). Le parallèle est amusant et permet de mettre en lumière la vie fantasmée de Catwoman. Reste par contre, son rêve et sa confrontation avec la réalité qu’elle refuse de voir, qui se matérialise dans un combat entre Catbird et Catwoman. Je sais pas vous, mais moi, personnellement, même si on sait que c’est Catbird qui délire, j’ai trouvé les propos de Catwoman juste affreusement mauvais. Jouant sur la corde raide de la liberté et du besoin insatiable de voler, mais la faisant aussi ici passer pour une dégénérée sans cœur. Aux dernières nouvelles (même si ça fait un bye que je n’ai pas lu cette série), je ne pensais pas que Catwoman était ce personnage… Sinon, le numéro est très joli, et vraiment brillant, dans le sens premier du terme, Gothtopia oblige. Et l’intrigue est bien tie-in à l’event principal et annonce un revirement assez imposant pour le personnage dans le prochain numéro de Detective Comics. C’était pas mauvais… Et c’est en soi un exploit !

– Freytaw

Note : 6/10

 

DAMIAN : SON OF BATMAN #4, dernier numéro

DAMIAN : SON OF BATMAN #4 review

Bon bon bon, et bien voilà… Fin de la mini-série. Enfin fin… Oui oui fin. Non en fait cette mini-série, j’y avais mis beaucoup d’espoir, espoir qui s’est peu à peu perdu dans les méandres de la bêtise d’Andy Kubert. Au fond, c’est pas nul nul, mais tout ça pour ça, je suis déçue. Déçue des méchants choisis, déçue de la fin qui pour moi n’est pas une fin car du coup on a l’impression que tous les numéros lus ne servent à rien car on revient presque exactement au même point de départ. Oui on voit l’évolution de Damian et le fait qu’il réalise qu’il a une promesse à tenir, mais franchement, je sais pas, il manque un bon coup de pied au scénario. Et puis, le coup du chat, je ne m’en remet toujours pas. Certes, un chat peut regarder un écran d’ordinateur ou de télé (vécu à la maison) mais analyser des scènes de violence car ce n’est pas un chat comme les autres, non.

En fait, le scénario est comme les planches, pour un bon moment, il y a du mauvais derrière. Cette inconstance est pénible, et rend la lecture plutôt lourde.

Je suis déçue, j’ai l’impression d’avoir lu 4 fois le même numéro. Et même si c’est badass, que le visuel du personnage est là, le fond n’y est pas.

– Harley

Note : 4/10

Je ne sais très sincèrement pas quoi penser de ce numéro qui sert de conclusion à cette mini-série, sûrement parce que le dernier numéro m’avait laissé très, très, très amer par son grand n’importe quoi. Alors là, on peut trouver que c’est légèrement mieux (mais ce chat, CE CHAT !!!) sauf qu’au final, Andy Kubert ne raconte pas grand chose. On peine à voir réellement l’évolution du personnage pour devenir celui qu’on avait vu dans Batman #666, et comme dit, après 3 numéros aussi frustrants, je n’attendais plus grand chose des ces 20 dernières pages. Reste qu’aux dessins, l’ambiance est conservée, et la colorisation assez vive donne un certain cachet. Mais c’est pas tellement beau non plus, sans être laid, hein. Puis franchement. Même le retour d’un personnage, qui aurait véritablement pu me mettre sur le cul, ne m’a fait lever qu’un sourcil hésitant. C’est dire si l’auteur/artiste m’a blasé. Comme je le répétais quelques phrases avant, je n’ai pas su quoi penser…

– ArnoKikoo

Note : 5/10

 

EARTH 2 ANNUAL #2

EARTH 2 ANNUAL #2 review

La grosse surprise de ce numéro devait être la révélation de l’identité du nouveau Batman apparu dans Earth 2. Toutefois, un spoiler débile mené par la gamme jouets est venu gâcher la fête. Je ne divulguerai pas son identité pour les quelques rares précautionneux encore vierges de son identité, histoire qu’ils gardent un peu de secret et de mystère. Dans cet Earth 2 Annual #2 c’est donc toute une origin story que Tom Taylor décide de nous raconter. Les origines de ce nouveau Batman. Je ne peux malheureusement pas en dire plus sous peine de vraiment vous donner trop d’indices sur son identité. Sachez cependant que l’ensemble bien écrit puisque le Batman de l’époque sonne et agit comme un véritable détective plus que comme un pseudo justicier. Les échos à d’autres histoires pas si anciennes rappelleront forcement des souvenirs à pas mal d’entre vous. La construction est également maitrisée et ne nous assomme pas de va-et-viens entre deux époques, se concentrant sur « l’avant ». Un récit touchant, surtout lorsque l’on est fan du personnage de Batman, qui nous dévoile le conflit moral d’un *bip* tourmenté, incarnant l’héritage de *bip* *bip* pour lui faire honneur. Les dessins ne sont pas assurés pas les Scott, mais Robson Rocha s’en sort très convenablement avec des personnages très expressifs.

– Nathko

Note : 8/10

 

THE FLASH #27

THE FLASH #27 review

Ce numéro débute un arc en trois parties dans lequel Brian Buccellato revient pour boucler les pistes qu’il avait lancées au cours de son run. L’histoire se déroule avant Forever Evil et Flash, arrêtant un cambriolage commis par Chroma et Tar Pit, découvre un « cimetière » comportant dix-sept cadavres, entreprenant dans la foulée de découvrir qui est l’assassin de toutes ces personnes.

Buccelato nous livre une histoire bien différente du ton auquel il nous avait habitués : il se concentre bien plus sur Barry que sur son alter ego, et nous dresse un portrait psychologique du plus célèbre policier scientifique de Central City : torturé par le décès de sa mère, Allen se persuade que la résolution de l’enquête qu’il vient de débuter le mettra sur la voie de la vérité et lui permettra de découvrir qui a réellement tué Nora, sa mère, afin d’innocenter son père. L’écriture du numéro est fluide et l’ambiance polar s’installe sans problème, ce qui nous laisse présager du bon, voire du très bon sur Detective Comics, que l’auteur rejoindra bientôt. Les dessins de Patrick Zircher sont eux aussi efficaces, aussi bien dans la première partie du numéro, consacrée à Flash, que dans la seconde où l’ambiance est radicalement différente, plus lourde et davantage centrée sur les expressions faciales des personnages, exercice dans lequel le dessinateur excelle.

– Zeppeli

Note : 8/10

 

FOREVER EVIL : A.R.G.U.S. #4

FOREVER EVIL : A.R.G.U.S. #4 review

Numéro un peu plus mou ce mois-ci. On ne peut pas être au top chaque semaine. En fait, jusque là, avec cette série, c’est un sur deux. Mais mou ne veut pas dire mauvais, ni qu’il ne se passe rien (même si objectivement, il s’est passé plus de choses pendant ma pause déjeuner d’aujourd’hui mais bref). On se concentre avant tout sur Killer Frost et son ambiguïté (qui a décidé de rejoindre Steve Trevor, car elle a besoin de retrouver Firestorm, qui pourrait éventuellement la soigner de sa condition). Le professeur Stein, qui fait sa grande entrée dans le DC Universe New 52 via cet event dévoile aussi quelques-unes de ses ressources. A noter tout de même, que les vilains pas beaux tombent une fois de plus sur Steve et ses amis et que la baston générale est déclarée. Mais bon, ils ont pas envoyé l’équipe de Deathstroke cette fois, mais l’autre, l’équipe des nulles. Pour le coup, bon, on peut dire que c’est expéditif. Reste un mystère de plus distillé dans la chambre verte, dans laquelle sont enfermés en sécurité le président et Etta Candy (parlant avec un étrange personnage). Un épisode de transition, qui donne enfin une direction définitive dans l’action de Steve Trevor (comprendre par là que le reste du temps, il n’a fait que perdre son temps…). Épisode en demi teinte donc, qui souffre finalement de la durée de l’event. Mais ne vous tracassez pas, cela reste sympathique à lire. Niveau dessins, c’est correct, avec des visages travaillés et expressifs, on a vu bien pire sur cette même série.

– Freytaw

Note : 5/10

 

GREEN LANTERN CORPS ANNUAL #2

Green Lantern Corps Annual #2 review

Lire ce Green Lantern Corps Annual #2 est une nécessité si vous voulez suivre le reste de l’histoire sans vouloir être perdu. Il s’agit en fait d’un numéro classique de Green Lantern Corps mais les auteurs profitent du nombre plus élevé de pages pour donner à chacun son petit quart d’heure de gloire. Cela permet aussi au lecteur d’avoir une plus grande appréciation de qui sont les protagonistes de l’histoire puisque le casting s’élargit avec de nouvelles tête importantes. C’est d’ailleurs ces nouvelles têtes qui vont être à l’origine d’un des plus grands changements que le Corps va vivre depuis l’explosion de vous-savez-qui. Une donne qui change encore plus lorsque l’on apprend qu’un ancien groupe de Lantern espion sont encore dans la nature et qu’en plus l’un des leur n’est autre qu’un *bip*. Évidemment on assiste à de la grosse castagne en bonne et due forme, normal après tout. Toutefois, je me suis trouvé relativement perdu lors de lecture avec les allers et venues dans le temps pas toujours très clairs. Rien de bien méchant cependant, Green Lantern Corps est obligatoire, et ce n’est pas une punition.

– Nathko

Note : 7/10

 

THE GREEN TEAM : TEEN TRILLIONAIRES #8

THE GREEN TEAM : TEEN TRILLIONAIRES #8 review

Dernier numéro de The Green Team, où l’on retrouve l’équipe là où on l’avait laissée, au milieu d’un combat contre les Riots Clones, qui se répandent un peu partout dans la ville. L’ensemble du numéro sera consacré à ce combat, rythmé et parsemé de petites touches d’humour comme Baltazar et Franco en ont le secret. Dommage que le numéro manque d’unité graphique, pas moins de quatre dessinateurs s’enchaînent sur cet épisode, sans que cela ne soit réellement justifié. En dépit du fait qu’il s’agisse de la toute fin de The Green Team, la fin nous laisse penser que l’équipe subsistera dans l’univers DC, une piste étant lancée avec l’apparition inattendue des Teen Titans.

Une conclusion en demi-teinte pour la série, qui avait du potentiel mais a été gâchée par une écriture trop humoristique à mon goût et l’absence du côté « politique » qui fait tout le sel de sa série « sœur », The Movement.

– Zeppeli

Note : 5,5/10

 

JUSTICE LEAGUE DARK #27, tie-in Forever Evil « Blight »

JUSTICE LEAGUE DARK #27 review

L’évènement Blight continue dans ce numéro, et il est peu dire que nous assistons à un twist plutôt bien maîtrisé même si un peu gros. Les pièces étaient en place, il fallait l’élément déclencheur, mais je ne suis pas tellement convaincue par le tournant que prend l’histoire de Blight (le personnage). C’est tout de même intéressant. Les dynamiques entre les personnages sont bien travaillées et tout le monde va au bout de soi-même pour venir à bout de Blight, mais je ne sais pas, j’ai l’impression qu’il manque quelque chose. L’âme mystique de J.M. DeMatteis est bien là et on le ressent page après page, je pense qu’il est vraiment le meilleur auteur pour cette histoire. Et j’ai vraiment hâte de découvrir la suite car les dernières pages ont piqué ma curiosité au vif.

Que dire d’un numéro de magie qui n’a pas les planches qui vont avec ? Hé bien que ce n’est pas le cas ici ; même si tout n’est pas parfait dans les planches, Mikel Janin et ses encreurs livrent un beau travail.

– Harley

Note : 7/10

D’entrée, je vous le dis, autant cet arc me passionne, autant j’ai (une nouvelle fois) été un peu déçu par la facilité avec laquelle la situation de ce numéro se règle. Rien d’illogique, ou d’incohérent, c’est juste que les explications mystiques qui amènent à un tel résultat, ben, elles sortent un peu du chapeau de DeMatteis. Alors les références distillé ça et là au cours du run et surtout de celui du Phantom Stranger (la plupart religieuse et mythologique, donc faut être calé sur le sujet, ce qui n’est pas forcément mon cas en fait), permettent rapidement de faire le lien avec les évènements en cours. Reste Pandora, qui a perdu son armure de chevalier du zodiaque, je suis un peu déçu. J’espère qu’on la reverra ainsi prochainement ! Dans tout les cas, ce numéro reste important car il donne naissance à une nouvelle entité du DC Verse (à la manière du Spectre ou du Stranger) avec des pouvoirs propres. Mais je ne vous en dirais pas plus. Reste que maintenant, le titre prendre aussi un nouveau virage des plus surprenant, à tel point qu’il nous laisse quelque peu incrédule face à la situation, un peu comme Constantine, parfaitement désabusé mais qui se ressaisit après coup pour donner la marche à suivre. Les traits de Mikel Janin sont quand à eux, toujours aussi sublime ! Il fait un travail exemplaire depuis le début de JLD, pourvu que ça continue !

– Freytaw

Note : 6/10

 

LARFLEEZE #7

LARFLEEZE #7 review

Ce numéro promettait du fight et du lol. Et c’est ce que nous avons ! Des situations rocambolesques pour la présentation des derniers membres de cette famille de dieux complètement fous. Avec la déesse du désespoir et de la désolation qui rentre en combat avec sa soeur, la déesse du chaos. Mésentente cordiale et violente entre membres d’une famille acceptable… Et quand Larfleeze se jette dans la mêlée pour retrouver son serviteur Stargrave (parce qu’il déteste perdre ce qui lui appartient), ça ne peut aller que de mal en pis. Et c’est franchement une explosion d’action fun et décomplexée, avec des dialogues totalement absurdes et des retournements de situation rocambolesques que l’intrigue se poursuit. Tandis que Stargrave et sa nouvelle maitresse changent une nouvelle fois d’avis sur leur quête, parce que finalement, le conseil de la famille ennemie aux « dieux » met un peu trop de temps à se décider. Oui, c’est important de débattre sur la couleur des vêtements des intervenants avant un entretien avec ces derniers ! Bref, vous avez compris l’idée ! Le plus drôle étant que une fois que larfleeze est intervenu, la famille alors en guerre, décide de se réunir pour le combattre. C’est du grand délire, du grand n’importe quoi assumé et décomplexé, et le tout magnifié par un Scott Kolins qui a tout compris à l’esprit du titre. Larfleeze, c’est bon, mangez-en !

– Freytaw

Note : 8/10

 

RED LANTERNS #27

RED LANTERNS #27 review

Déjà, je suis désolée de vous le dire mais ce numéro s’appelle Hot and Cold, donc bien sûr je me retrouve avec du Katy Perry dans la tête et les aventures des Red Lanterns auront fort à faire pour s’imposer. Malheureusement, lors de la lecture je n’ai pas du tout l’impression de lire du Red Lanterns. Où est passée la rage ? Où est passée la violence ? Ce numéro suit le groupe séparé en deux, Bleez et Rankorr d’un côté pour aller chercher l’héritier de l’anneau de Ratchet, Guy Gardner (en look rebelle) avec le reste de l’équipe sur Terre. Une invasion ? Une vengeance ? Non, une histoire d’amour et de regrets de la part du Roukinou envers Ice. Franchement, c’est inintéressant. Le seul point qui attise l’intérêt est malheureusement la dernière page qui donne le top au numéro spécial Green Lantern/Red Lanterns #28. Je trouve que Charles Soule adoucit trop le titre, les Red Lanterns ne sont pas des zozos plein d’amour. Alessandro Vitti qui officie sur les planches livre un travail équivalent aux précédents numéros. Aux traits brouillons et à la qualité moyenne. Dans l’ensemble cela se laisse lire et regarder, mais n’en espérez pas plus.

– Harley

Note : 4/10

 

SUPERMAN #27

SUPERMAN #27 review

Superman, Superman, Superman… Le grand malheur de ma vie depuis l’arrivée des New 52. Pourtant, parfois, il arrive que de tous ces numéros qui sentent le vomi de chat malade des petites surprises jaillisses. Superman #27 est de celles-là. Loin de vous dire que c’est une excellente lecture, il reste néanmoins tout à fait agréable et divertissant. Il faudra toujours faire avec les problèmes de Lobdell comment l’insupportable envie de mettre des bulles de pensée partout alors que ce n’est pas toujours nécessaire, c’est irrépressible sensation que l’auteur adore s’entendre parler pour ne pas dire grand-chose et jouer sur ce que les années 90 ont fait de plus mauvais. Si l’on parvient à passer ces quelques défauts, présents mais complètement de trop, l’histoire se révèle tout ce qu’il a de plus honnête. Encore un peu de mal à placer le titre chronologiquement mais je pense qu’il faut abandonner cette idée pour de bon. L’autre point qui doit pas mal aider le titre c’est Ed Benes au dessin. J’aime le style détaillé et dynamique de ce mec. Par moment j’ai l’impression d’avoir un savant mélange entre du David Finch et du Jim Lee.

– Nathko

Note : 6/10

 

TALON #15

Talon #15 review

Le temps d’un numéro, c’est Marguerite Bennett qui fait un bond dans le passé et nous retrace le parcours d’une jeune initié qui va rejoindre les rangs de la Court of Owls. L’originalité tient dans le rythme de la narration “à l’envers”, qui fera grandement penser à Irréversible (de Gaspard Noé) à ceux qui l’ont vu. Un procédé de narration plutôt ingénieux, et assez risqué, mais Marguerite s’en sort vraiment bien, avec certains éléments présents au départ et dont on comprend la réelle signification un peu plus loin. Jorge Lucas aux dessins, c’est réellement parfait pour l’ambiance poisseuse qui se dégage du tout, et le bougre nous offre même quelques tableaux de pure folie (en double-pages), des visions cauchemardesques qu’on a pas forcément l’habitude de voir par ici, et ça vaut vraiment le coup d’oeil. Reste à voir maintenant comment Tim Seeley livrera sa conclusion sur les deux prochains, et derniers donc, numéros.

– ArnoKikoo

Note : 8/10

 

TEEN TITANS #27

TEEN TITANS #27 review

Encore quelques numéro à tenir et j’en aurais terminé avec Teen Titans et rien que pour ça c’est avec plaisir que je lis ces derniers numéros. Attention, ce n’est pas un plaisir de lire juste pour le lire, parce que bon, Scott Lobdell ne se réinvente pas du tout et continue le procès du fameux Bart. Un Bart aux yeux rouges (parce que quand on est vilain on doit avoir les yeux rouges sinon t’es un faux vilain !) un peu schizo sur les bords, et qui essaye même de piquer un peu au Joker. Classiquement, dans l’exécution c’est encore une franche débâcle puisque comme toujours, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle, ça parle pour ne rien dire. Un peu comme ce que je viens de faire en fait, sauf que lui est payé pour le faire ! L’autre problème c’est qu’au bout de #27 numéros, c’est tellement n’importe quoi dans cette série qu’à chaque numéro, il est obligé de nous raconter ce qui s’est passé dans les précédents parce que même ceux qui lisent régulièrement, ne doivent rien comprendre à son truc… Bref, c’est triste.

– Nathko

Note : 4/10

 

WORLDS’ FINEST ANNUAL #1

WORLDS' FINEST ANNUAL #1 review

Retour dans le passé avec ce premier numéro Annual pour la série Worlds’ Finest dans lequel Paul Levitz nous invite à contempler Huntress et Power Girl alors qu’elles n’étaient que les Robin et Supergirl d’Earth 2. Une histoire en trois chapitres, le premier étant assez anecdotique pour l’histoire, mais qui s’attarde à la caractérisation de Robin, qui, comme tous les Robin, veut faire preuve de zèle et montrer qu’elle est à la hauteur de la tâche, aors que son Batman de père la croit trop jeune pour pouvoir assurer complètement ses arrières. Mais la jeune Robin possède bien des ressources cachées. En second plan, nous observons Supergirl qui subit les affres de l’adolescence et s’éprend d’un jeune homme avec qui elle va devoir affronter le fardeau du destin. Enfin, la 3ème partie et la plus intéressante, nous montre un personnage qui sera, je pense, d’une importance capitale pour le crossover “First Contact” ou bien qui sera ré-utilisé par la suite dans la série Earth 2 ! Si on peut déplorer qu’il faille une quarantaine de pages pour introduire très brièvement ce personnage, le découpage en chapitres fait son effet et la narration est plutôt bien menée. Aux dessins, c’est Diogenes Neves qui remplace R.B. Silva sur ce numéro, et force est de reconnaître que les traits sont quand même plus gracieux, et la coloration moins agressive. Un premier annual plutôt réussi donc !

– ArnoKikoo

Note : 7/10

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Julien

Julien

Fan de l'univers DC depuis mon enfance, j'ai lancé en 2012 ce projet avec Nathko dans un seul but : rendre l'univers DC Comics plus accessible à toutes et tous, à travers l'actualité, dossiers, guides et chroniques.
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8 Commentaires
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mavhoc
10 années il y a

Comme d’habitude, j’aime lire les avis de ce que j’ai acheté et déjà dévoré.
Que ça soit pour Damian ou Batman&Robin je suis globalement d’accord. La seule nuance est peut être la dureté de mon avis. Puisque effectivement j’ai trouvé Batman & Robin Annual sympathique mais sans avoir une histoire extra (et le dessin de Damian est effectivement pas ce qu’on a vu de mieux). Mais comme dit par Arno et Harley ça reste sympa.
D’autant plus qu’en moins de 5 planches où il apparaît Damian est plus « présent » que dans Son of Batman qui se finit de manière nulle, sans fin réelle, sans rien apporter, sans rien créer. C’est, à mon sens, le pire numéros de la mini-série (pire encore que le #3 avec son WTF total) dans le sens où là, il n’y a même pas de tension finale pour savoir ce qu’il y aura après, là il y a juste la tristesse de voir une série avec un potentiel se faire massacrer ainsi !

Tohubahut
Tohubahut
10 années il y a

Merci Freytaw pour m’avoir fait découvrir All-Star Western. J’ai acheté le premier TPB il y a pas mal de temps et je me suis pris le 2e et 3e ce mercredi et que dire a part que j’adore juste. Du coup j’ai vraiment super hâte de voir tout ce voyage vers le futur, quand je lis toutes les reviews je me dis que ça met trop longtemps à arriver en TPB ! Et j’ai vraiment hâte également de lire le Larfleeze, ces deux séries sont en fait les quasi seule 2 séries que je lis en VO, et quand je lis ça j’ai juste envie de foncer a mon magasin pour les lire !

Freytaw
10 années il y a
Répondre à  Tohubahut

Encore une fois, de rien ! Je suis content de te donner encore plus envie ! J’espère que ce changement de contexte pour la série ne va pas trop te perturber car elle change un peu la donne c’est sur. Mais cela reste super bien écrit… A noter que la série redeviendra une série réellement Western en avril (avec le retour des back-up) :)
Dans tout les cas, cette arc dans le « présent » me parait particulièrement important pour le développement du personnage, et puis bon sang, qu’est-ce que c’est fun !

crazy-el
crazy-el
10 années il y a
Répondre à  Freytaw

 »Dans tout les cas, cette arc dans le « présent » me parait particulièrement important pour le développement du personnage, »

Voilà j’allais justement te dire la même chose lol Je rajouterais que DC fait un hommage important à Hex, lui donne sa place qui lui revient dans l’Univers DC par le biais de la Timeline du New 52. Dans le passé, quand DC envoyait un personnage en le faisant voyager dans le futur, c’est qu’il le mettait dans cet immense Univers temporel de DC. Comme ça on était certain qu’il ne serait pas oublié. Je rappelle que l’animé Justice League Unlimited a réalisé un épisode en 2 parties sur Johna Hex, c’est de cette manière que la JL a intégré Hex à la JL.

Freytaw
10 années il y a
Répondre à  crazy-el

Il me semblait que ces épisodes était dans Batman TAS, avec Ra’s Al Ghul ? A moins qu’il y ai les deux… J’ai un trou de mémoire là ^^

MobRule
MobRule
10 années il y a

Tu t’es trompé de cover pour Forever Evil: ARGUS, ça ressemble plutôt à du Red Hood ATO ;)

Herbefol
9 années il y a

Ah, cet annual de Earth 2 est une belle claque pour moi. Cela faisait un moment que j’attendais de savoir qui se cache derrière Batman et j’avoue que ça a été une vraie bonne grosse surprise, du genre que j’aimerais bien trouver plus souvent chez les New 52. :-)

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