Après avoir perdu Zola, kidnappée par Hadès, Wonder Woman n’a plus qu’une seule chose en tête : aller en enfer pour y reprendre sa protégée. Mais avant de faire une chose aussi folle, il faut qu’elle s’équipe en conséquence.
Quoi de plus naturel alors que d’aller à la rencontre du forgeron attitré des dieux, Héphaïstos lui-même ?
Azzarello continu de nous faire découvrir le nouvel univers de Wonder Woman, bien plus sombre et plus glauque. Le monde de Wonder Woman se découvre un peu plus à chaque numéro et c’est un vrai plaisir de découvrir des noms connus réinventé par le duo. Ici, Eros est un clubbeur qui se ballade pieds nus et qui se moque de ce que ses actions peuvent engendrer. Wonder Woman découvre aussi de la bouche du forgeron ce que ces sœurs font des enfants qui ont le malheur de naitre garçon. Une nouvelle loin de ravir la guerrière qui entreprend alors une action qui pourrait mettre en péril son voyage sur les terres d’Hadès.
Une fois de plus Chang nous offre de très belles planches qui donnent à l’univers de Wonder Woman une saveur très particulière. Ce #7 est un bon numéro, qui se lit simplement, avec un bon équilibre entre action et révélation.
Whaou la premiere review de dc planet