Geoff Johns revient sur Doomsday Clock

Doomsday Clock est enfin terminé (la review arrive bientôt promis) et c’est donc le moment pour Geoff Johns de s’exprimer. C’est donc avec Newsarama que le scénariste nous parle des thématiques qu’il développe, du futur de DC et de ses futurs projets.

Geoff Johns parle de Doomsday Clock

Newsarama : Geoff en lisant le douzième numéro l’une des choses qui m’a frappé est l’idée d’une troisième possibilité

Geoff Johns : Oui

Nrama : Cela semble très pertinent aujourd’hui.

Johns : Ça l’est.

Nrama : C’est l’aboutissement de toute cette histoire, n’est ce pas ? Toute cette histoire est construite vers ce moment pour que Dr. Manhttan, pour que Jon Osterman, choisisse la troisième possibilité. Pendant tout ce temps il pensait que son histoire avait deux fins possibles. Sa mort, ou la mort de l’univers. Mais il a choisi une troisième voie.

Johns : le monde d’aujourd’hui est fondé sur des possibilités duales. Nous sommes dans cette manière de penser quasiment inconsciente de choisir l’une ou l’autre. Et cela amène des divisions et une perspective limitée du monde, de la réalité et des autres. On est programmé pour choisir un camp.

Je pense que les gens doivent parfois s’arrêter et se dire, peut-être qu’il y a une autre solution. Un autre chemin. Un autre choix. Au lieu de laisser tout le monde nous dire qu’il n’y a que deux façons de penser. Superman trouverait toujours une autre possibilité. Il trouverait la meilleure. C’est son plus grand super pouvoir. Ce n’est pas de pouvoir voler ou d’avoir une super force, ou des lasers. C’est de connaitre la meilleure option, connaitre le choix.

Les gens demandent « Mais comment tu poses des problèmes à un personnage avec toutes ces capacités ? » Mais ce n’est pas du tout à propos des capacités. C’est à propos de lui à faire des choix et le faire aller plus loin que l’un ou l’autre. C’est un pont. C’est l’inspiration personnifiée. Et nous avons besoin de ça. Nous avons toujours besoin de ça. Tout le monde a besoin de ça.

Toute cette thématique est filée tout le long du livre.

Je ne veux pas expliquer tout le livre au lecteurs, parce-que je pense qu’ils doivent le faire eux-même, s’ils le veulent.

Mais le rôle de Superman était de voir plus loin.

Nrama : Donc vous dites que le thème de voir plus loin est filé tout au long du livre ?

Johns : Vous voyez ce que vous voulez voir. Et Dr. Manhattan voit plus loin que ce les autres voient du DC Universe. Cette thématique de voir au delà de quelque chose et ne pas être capable de voir quelque chose ; de Dr. Manhattan qui n’est pas capable de voir au-delà a du mur de néant, à Nathaniel Dusk qui n’est pas capable de voir la vérité au-delà du crime qu’il essaye de résoudre, à Rorschach qui n’est pas capable de voir qui est réellement Ozymandias et ce qu’il fait réellement, à Mime et Marionette qui ne sont pas capable de voir où est leur bébé.

Le thème de l’aveuglement est partout, un masse qui obscurcit ta vue, des éclats de verre qui obscurcissent ta vision, du moment où le Comédien est jeté par la fenêtre, jusqu’à l’univers se brisant. Tout ça est filé ici.

C’est quelque chose dont je ne voulais pas parler plus tôt, car vous voulez que les gens le trouvent et le voient. Et vous voulez que les gens tirent ce qu’ils veulent de ce titre.

Certaines personnes pourraient lire Doomsday Clock et juste vouloir voir les personnages de Watchmen rencontrer les personnages DC. Et ce n’est pas grave.

Ils pourraient se concentrer sur la « continuité » ou les bouts d’ »avenir » plantés ici et là. Et certains pourraient y voir une histoire plus profonde, où l’on explore un peu plus ces personnages et ces thèmes. Et chaque point de vue est valable, quelque soit la raison. Vous pouvez même le lire juste parce-que vous adorez les dessins de Gary Frank.

Mais chacun voit ce qu’il veut voir. Nous vivons dans une chambre d’écho de la réalité. Nous devons nous en échapper. Et toute l’idée est, est-ce que tu peux t’évader un petit peu  plus ? Peux-tu voir un peu plus ? Peux-tu essayer, au lieu de crier sur l’autre côté et de ne voir que sa destruction alors qu’ils répondent.

C’est de là que vient la troisième possibilité.

Nous avons tous besoin d’un peu d’aide pour voir plus loin que l’indiscernable. Nous avons tous besoin d’un peu d’aide pour savoir que peut-être nous pouvons faire un différent choix.

L’idée d’avoir besoin de quelqu’un comme Superman pour nous mener là est tout le propos de cette série.

Nrama : Carver Colman, dont nous avions parlé lors de notre dernière interview, a aussi le droit à une nouvelle fin. Il a trouvé sa troisième possibilité.

Johns : Ouais, il a le droit à une nouvelle fin, celle qu’il méritait.

Nrama : Une fin influencée par Dr. Manhattan.

Johns : En fait, Superman influence Dr. Manhattan et ensuite Dr. Manhattan influence Carver Colman. Si Superman peut tendre la main et aider quelqu’un, celui-ci pourra tendre la main et aider quelqu’un d’autre. C’était très important d’avoir ça ici. Superman est un branche d’olivier. Reggie explique comment le monde a oublié ce que c’est. Je vois l’intolérance aujourd’hui et je me demande où est cette branche.

Nrama : Je suppose que c’est pourquoi Superman est au centre du Metaverse. Mais je trouve ça intéressant qu’Adrian savait ce dont Jon avait besoin.

Johns : Oui. Il le savait.

Nrama : Il s’y prend mal, mais il est assez intelligent pour savoir ce dont Jon a besoin.

Johns : Il est si intelligent que ça. Et il sait que, ok, quelqu’un doit l’aider. Et je ne peux pas.

Vous savez, il n’y a pas de vilains, ou du moins je ne les appellerai pas vilains dans notre livre. Il y a juste des gens. Je ne veux pas que Dr. Manhattan et Superman s’échangent des coups. Il n’y a rien d’intéressant pour moi dans qui est le plus fort. Tout est à propos de qui ils sont et quel est leur point de vue et comment ce point de vue reste, est réaffirmé ou change.

Une partie de ça est de voir plus loin que ce que tu peux voir, voir plus loin que le prochain crossover. En terme de comic book, ce livre ne regarde pas vers le prochain crossover. ce livre regarde vers l’ensemble de DC Comics. Vers l’avenir de ce que DC est.

Nrama : Vous rendez l’étendue de ce livre claire dans la scène où le Metaverse se reforme autour de Superman et Jon commence à voir l’avenir. Il voit l’event de 2020, mais aussi 2025, 2026, 2038, cela va d’années en années.

Johns : Oui. tandis qu’il apprend et voit la vérité derrière ce que Superman va accomplir.

Et d’ailleurs, je crois profondément que c’est une des raison pour lesquelles Superman existe.

Nrama : De quoi, nous donner de l’espoir pour l’avenir ? C’est ce que vous voulez dire ?

Johns : Nous inspirer. Il le fait. Le symbole du « S » est partout autour du globe.

Nrama : Ok, Geoff, je comprends ce que vous m’avez dit la dernière fois que nous avons parlé que le but de cette histoire est plus grand que juste comment cela va mener au prochain crossover. Mais à l’intérieur de cette sorte de macro, il y des micros changements pour le DCU. Par exemple Ma et Pa Kent. Nous avions déjà remarqué des indices dans le DCU que Jonathan et Martha Kent seraient en vie à la fin de cette série. Donc ils sont de nouveau en vie, n’est-ce pas ?

Johns : Oui. Nous avons établis ça très tôt, dans le premier numéro, nous avons parlé de la mort de Ma et Pa Kent. Il y a des choses spécifiques que l’on montre qui seront utilisées dans d’autres histoires.

Nrama : Comme le retour de la Legion et de la Justice Society

Johns : Oui, si l’on regarde ce qu’il s’est passé et comment cela a changé dans cette histoire, cela a tout à voir avec la grande histoire du DC Universe. Le grand héritage de la Justice Society et Wonder Woman, à Superman, en passant par la Legion of Super-Heroes, jusqu’à Superboy.

Tout est lié ensemble. Et tout cela aide à se supporter.

Cela résonne et s’étend de Superman vers toutes les directions, du passé à l’avenir.

Mais il est en plein centre de cela. Et il le sera pour toujours.

Nrama : Une autre nouveauté dont vous parlez c’est que toutes les histoires du passé sont toujours là. Comme Earth-1985 et Earth-52, mais l’histoire a aussi de vrais espoirs pour le l’avenir. Vous avez joué avec cette idée pendant toute la série, le ”passé et l’avenir” pas seulement avec les sauts dans le temps de Dr. Manhattan, mais aussi spécifiquement avec Johnny Thunder et Saturn Girl. Tout cela fait partie de cette fresque à laquelle vous faites référence, n’est-ce pas ?

Johns : Oui. C’est célébrer tout ce qui est arrivé avant et ce qui arrive dans l’avenir.

Ecoute, Earth-2 est arrivée il y a une belle période de DC Comics qui doit encore exister et être là, parce-qu’elle le mérite.

Et c’est vrai aussi pour le Silver Age. Je pense qu’au moment où Crisis on Infinite Earths a crée cette nouvelle terre principale, il y a une Earth-1985 quelque part qui existait avant la crise et qui a continué sa vie et a évolué Qui sait à quoi ce monde ressemble maintenant ? C’est probablement un monde très intéressant à explorer.

Et c’est la même chose pour Earth-52.

Et d’ailleurs, en allant de l’avant aussi. Le DCU changera. Il continuera de changer, parce-que c’est sa nature.

Et le Multiverse a été construit et a été créé en premier pour la préservation et l’existence de cette première époque, le Golden Age. C’est ce pourquoi cela a été créé originellement et cela s’est étendu à partir de là. Et il continue de le faire.

Donc, chaque époque que l’on a eu, on peut toujours la revisiter. Cela continue.

Nrama : Vous avez appelé un personnage Nostalgie, qui je pense va avec cette idée.

Johns : C’est le cas.

Nrama : Je pense que j’ai envie d’avoir plus d’histoires avec elle. Pas vous ?

Johns : Et bien, j’espère pouvoir raconter cette histoire à un moment, avec celle de Mime, Marionette et leur famille. Et si les lecteurs et les gens veulent voir cette histoire, alors peut-être que moi et Gary allons la raconter.

Nrama : Je voulais parler brièvement à propos d’une autre conclusion dans ce numéro. L’histoire a de nombreuses référence aux marionettes, ce qui semble contraster le concept de « contrôle » et de « liberté ». Même la Supermen Theory semble faire partie de ça, avec son emphase sur les personnages se faisant contrôler.

Johns : Oui.

Nrama : Nous avons parlé plus tôt de comment ce numéro dit que « le passé et l’avenir sont libres » et comment cela libéré des histoires. Mais, est-ce que tout ça est lié ensemble.

Johns : Eh bien, l’idée que le passé et l’avenir sont libérés et libres pour moi est personnifié en Johnny et Irma, deux personnages que j’adore. L’idée est que vous ne devriez pas essayer de contrôler et de mettre trop de règles sur ces choses et dire cela sera pour toujours, parce que cela va et cela doit évoluer et changer.

Célébrons ça. Embrassons le.

Ne mettez pas de règles là dessus. Et je ne veux pas dire des règles comme… Je veux dire tu peux essayer de l’enchaîner, mais Superman finira par briser ces chaînes à un moment.

Nrama : Et le thème des marionnettes est lié à ça.

Johns : Oui. Encore une fois je veux dire les gens essayent de contrôler les choses comme des marionnettes et ces personnages sont au-delà d’être des marionnettes. Jon pensait être une marionnette. Il a appris qu’il n’y a pas de ficelles.

Mais il y a plus que ça ici, il y a tellement de thématiques. Je ne veux pas donner chaque petit détail.

Et les gens verront ce qu’ils veulent voir. Les gens peuvent voir un crossover, merveilleusement dessiné par Gary Frank, avec des personnages de Watchmen et DC.

Ils peuvent un autre genre d’histoire. Cela dépend de chacun.

Mais comme le suggère, vous pouvez aussi voir plus au-delà.

Nrama : Parlons de la fin du douzième numéro. Le garçon, Clark. Nous avons parlé de comment Superman était le tournant, l’inspiration pour que Jon trouve la troisième possibilité. Mais il y avait aussi une grainé plantée au début avec cet enfant quand Jon le remarque pour la première fois dans le ventre de Marionnette. Je pense que vous dites quelque chose à propos de Jon trouvant l’espoir pour l’avenir, se déversant dans cet enfant, autant littéralement que figurativement.

Johns : Eh bien, c’est un peu passage de génération à quelqu’un qui, et il le dit, recevra l’amour dont un enfant à besoin, pour qu’il puisse le rendre.

Il n’a jamais vraiment eu ça dans sa vie.

Et bien sûr Superman l’a reçu.

Donc avec un peu de chance, Jon a créé cette héros, cet être humain, qui pourra faire ce que lui ne pouvait pas.

Et l’espoir est chez les enfant. C’est notre avenir. Les enfants ne choisissent pas de côtés. On leur apprend à le faire. Je pense que les enfants ont des points vue si purs. Ils sont si honnêtes. Et ensuite ils apprennent comment agir par les autres.

Notre plus grand espoir est que la nouvelle génération rendra les choses meilleures.

Et c’est vraiment, définitivement le sens de ça aussi. Aller de l’avant, changer et permettre le changement.

Autant que, comme vous l’avez mentionné, la nostalgie fait partie de ça, c’est aussi un regard tourné vers le futur.

Nrama : Je sens que l’on ne pourra qu’effleurer la surface de la signification de l’histoire dans cette interview.

Johns : Il y a beaucoup de choses que les gens trouveront. Aujourd’hui ou demain.

C’est une histoire très importante pour moi. Une histoire tes personnelle.Est une histoire très éclairée. Et c’en est une que Gary et moi ne pouvions raconter qu’avec ces personnages et que de cette façon.

Et nous sommes vraiment fiers de ce livre, car c’est exactement ce que nous voulions faire. Il n’y a pas eu de changements ou de réécritures. Il n’y avait pas d’ordres que l’on nous a imposé. On a fait l’histoire que l’on avait pitchée, que l’on voulait raconter, à notre façon.

Nous sommes très fiers de ce livre. Nous espérons que les gens l’aimeront.

Nrama : C’est intéressant que vous dites qu’il n’y a pas eu d’ordres ou changements, parce que vous avez eu beaucoup de retards. Pouvez-vous en parler ?

Johns : Je sais qu’il y avait des retards sur le livre pendant qu’on travaillait dessus. Ce n’était pas par manque de travail. Ce n’étais pas à cause d’un manque d’importance ou quoique ce soit. Ce livre a demandé beaucoup de travail. Moi, je ne voulais pas rusher les scénarios, je ne pouvais pas. J’aurais adoré si nous avions commencé le livre en avril, mais ils le voulaient  en novembre. J’aurais aimé le lancer en avril.

Mais au bout du compte je dois me concentrer sur la qualité du livre, plutôt que de me presser, ou d’avoir quiconque d’autre que Gary pour le dessiner.

C’était aussi une année bien pleine pour moi, diriger Stargirl et finir Wonder Woman 1984. Avec tout ce sur quoi je travaillais, je voulais être certain que ce soit aussi parfait que je pouvais le faire.

Donc pour tous les lecteurs frustrés par les retards, je comprends et m’excuse. Mais je voulais être certain que c’était la meilleure chose que je pouvais livrer.

Nrama : Pouvez-vous expliquer la signification derrière les pancakes.

Johns : Eh bien, parfois les pancakes sont seulement des pancakes. Well, sometimes a pancake is just a pancake. [Rire.]

Nrama : [Rire.] Après toutes ces significations, tous ces thématiques, ce sont simplement des pancakes…?

Johns : Parfois les choses simples de la vie sont plaisantes et nous devrions en profiter.

C’est un bon moment.

C’est bien que les pancakes existent.

C’est ce dont les pancakes sont à propos.

Nrama : Le numéro commence avec « rien ne dure pour toujours ». Et cela termine avec l’espoir que quelque chose durera.

Johns : Oui. Je pense… oui, je ne veux pas le sur-expliquer.

Nrama : Mais c’est l’espoir, n’est ce pas.

Johns : Le livre l’explique mieux que moi.

Nrama : Qui a imaginé les concepts des couvertures ? Vous et Gary, ensemble ?

Johns : Oui, moi et Gary. Ceux basés sur les panels viennent des panels et les autres nous en avons parlé avec Brian Cunningham et Amedeo Turturro chez DC.

D’ailleurs, laissez-moi vous dire que j’ai travaillé avec la meilleure équipe des comics : Gary Frank, Brad Anderson, Rob Leigh, Amie Brockway-Metcalf, Brian Cunningham, Amedeo. Pour sortir quelque chose comme ça, travailler sur quelque chose qui demande autant de travaille. Ce n’était pas chose facile pour toutes ces personnes impliquées. C’était tellement plus compliqué et exigeant que tous les livres sur lesquels j’ai travaillé.

Et tous ceux qui ont travaillé dessus, tout le monde voulait faire honneur à l’héritage que l’on reprend et vraiment donner tout ce que l’on a.

Gary Frank est le seul artiste qui pouvait réussir ça. Émotionnellement, ses détails, son storytelling. Je veux dire il n’y avait personne d’autre qui pouvait faire ça.

C’est un livre vraiment magnifique et pas une seule fois nous avons fait de compromis sur la partie artistique. Pas une seule fois.

Brian et Amedeo savaient que que l’on prenait plus de temps que ce qu’ils attendaient, mais ils supportaient la qualité du livre. C’était vraiment important pour nous de faire ça et nous avions la meilleure équipe. Par exemple Amie est venu et a fait tout cette matière noire et on était éblouis. De la façon qu’elle l’a désigné et qu’elle l’a expliqué. C’est un travail vraiment  merveilleux.

Nrama : Pour finir, voulez vous parler aux gens des projets sur lesquels vous travaillez ? De nouveaux comics à l’horizon ? Et bien sûr vous avez mentionné plus tôt vos projets TV et cinéma que vous faites avec Mad Ghost Productions. Il y a des choses excitantes à venir pour vous.

Johns : C’est une année très excitante pour avoir terminé Doomsday Clock. Je fais plus de comics. Le trailer de Stargirl est sorti. Celui de Wonder Woman arrive. Et beaucoup de travail avec Green Lantern en dehors des comics dont j’espère que vous entendrez bientôt parler.

Je me sens très, très chanceux de travailler sur ces personnages avec les personnes avec qui je travaille. Je ne pourrais pas être plus chanceux et cela a été une année intensive et éprouvante, mais une bonne année.

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Claygan

Claygan

Amoureux de la culture sous à peu près toute ses formes. Grand fan de Green Arrow (et de crêpes), je suis tombé dans cet univers infernal que sont les comics il y a de cela maintenant plusieurs années, cela sans doute un peu grâce aux films. Vous pourrez me retrouver pour parler (ou râler) de DC en long, en large et en travers, dans les podcasts, ou dans mes articles.
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