Parmi la tripotée de nouvelles équipes créatives sur de grands titres DC figurent ceux de G. Willow Wilson et Cary Nord, respectivement prochains auteure et dessinateur du titre Wonder Woman.Le premier numéro de cette collaboration est prévu pour le 14 novembre (Wonder Woman #58), mais le site Hollywood Reporter a pu s’entretenir avec le duo et révéler les premières pages de ce nouveau run.
Un run qui devrait faire plaisir aux lecteurs de longue date
Pour le pitch, rien de nouveau sous le soleil, mais l’auteure s’est néanmoins exprimé sur la structure de son récit, qui démarrera d’une façon très classique avec la disparition de Steve Trevor pour partir sur un twist donnant une toute autre direction, et qui devrait satisfaire les lecteurs de longue date tout en livrant une bonne porte d’entrée. C’est notamment cet aspect qui plaît particulièrement à Wilson : avec les comics, il y a possibilité et même obligation de jouer avec tout un historique, ce qui est aussi satisfaisant pour les auteurs et les fans notamment quand un personnage non utilisé pendant longtemps ressort enfin du tiroir.
Un lien étroit avec les fans
L’auteure connue pour son titre Ms. Marvel semble en effet accorder une certaine importance aux fans, qu’elle souhaite contenter et avec qui elle espère tisser une relation aussi forte que celle qu’elle a pu créer en écrivant chez Marvel. Elle critique même positivement l’apport des réseaux sociaux, permettant aux lecteurs de réagir le jour même de la sortie d’un numéro et à l’auteur d’avoir donc un retour rapide avec lequel il pourra composer pour la suite tout en ne se laissant pas trop influencer.
Les grands noms de Wonder Woman qui influencent
Finalement, quand lui est demandée ses inspirations parmi la ribambelle de grands auteurs ayant travaillé sur le personnage, elle répond qu’elle apprécie particulièrement ce qu’a créé Greg Rucka, que ce soit pour la création de Veronica Cale ou pour avoir ancrer les Amazones dans le monde réel avec une Ambassade. Mais les travaux de William Moulton Marston, le créateur de Wonder Woman, l’inspire également dans le sens où pendant le Golden Age, les auteurs ne s’imposaient pas de limite de créativité, n’avaient pas peur de créer des concepts complètement fous pour raconter leur histoire ou pour marquer un point. Elle regrette ainsi l’idée actuelle selon laquelle il faut absolument être le plus sérieux possible pour livrer un message.
Cette claque au fesse !
Finch c’etait fait defoncer quand sa Wonder Woman avait une apparence de gamine et là bizarrement tout le monde est en extase devant ces planches alors qu’elles ont ce même défaut sur le personnage ! Et cette scenariste avait fait une Miss Marvel niaise au possible avec une serie trop surcotée. Donc perso je ne suis pas emballé, j’attends de voir le scénario entier.