Review Express VO – Rebirth Semaine #95

 

Le Coup de Cœur

   Detective Comics #977

Le Top

Doomsday Clock #4

Le Flop

Bombshells United #32

Après ce week-end de pâques, il est temps de digérer le chocolat, éviter l’overdose et s’installer pour nos reviews de la semaine passée en nous livrant vos propres reviews !


 BEYOND DC UNIVERSE

BOMBSHELLS UNITED #32

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : Marguerite Bennet Dessins : David Hahn, J. Nanjan

Non, juste non, ce n’est pas bien. Les dessins sont presque bâclés même si la colorisation sauve un peu l’ensemble, et le scénario est inconsistant au possible, proposant une fin rushée comme jamais. Ce genre d’happy ending tellement niais qu’il donne envie au lecteur que tout ne se soit pas passé si bien et que quelques unes des héroïnes y aient laissé des plumes. Tout le monde se serre dans les bras de façon caricaturale au possible, Oliver est la pire victime du game, et The Riddler, fringué comme Clark Kent fait peine à voir tant il est inconsistant. Marguerite Bennett, vous êtes capable de mieux, et vous le savez.

– Blue Note : 4/10

 

THE RUFF & REDDY SHOW #6

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : Howard Cheykin Dessins : Mathew Reynolds

Comme d’hab, nouvelle semaine, nouvelle critique de la presse et de la télévision en général. Si vous n’avez pas encor commencé cette série, laissez-vous tenter. Toujours la même acidité, toujours le même ton grinçant, et des références à foison qui pourront parler au plus expert comme au néophyte. Voilà, rien à ajouter.

– Blue Note : 6,5/10

 

INJUSTICE 2 #51

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : Tom Taylor Dessins : Bruno Redondo

Injustice, John Wick style. La gamine de Batman fait des siennes et menace de butter le bébé chien du manoir Wayne -enfin, lui ou Alfred-. On sent chez l’auteur la volonté de faire tirer son histoire en longueur, mais le tout commence à lasser. Ce long flashback n’amène rien de nouveau hormis rendre l’antagoniste encore plus détestable. Sérieusement, même les plus grands méchants de DC ne menacent pas de tuer un chiot gratuitement… Le début du numéro par ailleurs réussit à rendre la relation Connor/Harley Quinn touchante, et constitue la seule véritable qualité de cette vingtaine de planches, à l’exception des dessins.

– Blue

Note : 5/10

 

SUICIDE SQUAD HELL TO PAY #2

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : Jeff Parker Dessins : Matthew Dow Smith

Très mitigé. Graphiquement, alors que le trait de Dow Smith était de bon aloi pour retranscrire la noirceur du numéro précédent, les choses se gâtent ici. Certains visages sont brouillons et la colorisation vous fera potentiellement faire une overdose de couleur bleue -et c’est moi qui dit ça, c’est pour dire-. Ces quelques planches se concentrent sur le recrutement et la présentation de la nouvelle Suicide Squad qui, plus que jamais, est composée d’énormes loosers. Passés une Harley Quinn façon Warner Bros et un Boomerang toujours aussi stupide, le reste du cast est assez intrigant entre Ms Clay et Coyote. A voir où tout cela va nous mener.

– Blue

Note : 4,5/10

 


                          DC UNIVERSE

BATGIRL  #21

review BATMAN #26

Scénario : Hope Larson Dessins : Scott Godlewski

Bon, pas entièrement désagréable ce numéro, mais complètement anecdotique. Barbara est sûrement l’héroïne du Batverse la plus inutile en ce moment et quand on lit ce genre d’histoire, on comprend aisément pourquoi. Batgirl et le commissaire Gordon font équipe pour retrouver qui attaque des femmes dans leur salle de bain et les plonge ainsi momentanément dans le coma. Outre le fait que l’intelligence de Jim Gordon soit fortement mise en doute (sérieux, s’il reconnaît pas sa fille ici…) et l’absurdité de l’histoire en elle-même qui est pourtant vécue par les protagonistes comme complètement normale et sensée, il faut avouer que ça a de petites touches sympathiques ici et là. Ce n’est clairement pas fou mais vu la qualité globale de la série c’est mieux que rien. Les dessins quant à eux sont pas mal même si les visages sont parfois étranges… C’est quand même moins bon que ce qu’on avait les semaines précédentes. Un peu l’un des seuls points qui rendaient le titre plus agréable. Bref, ce numéro est passable. Il y a eu pire mais ce n’est toujours pas convaincant.

– The Bat

Note : 5,5/10

BATMAN BEYOND #18

review BATMAN #26

Scénario : Dan Jurgens Dessins : Phil Hester

Sous couvert d’un long affrontement qui prend place tout le long du numéro, Dan Jurgens éclaircit les dernières pistes d’ombre concernant le retour de Payback – avec un twist ma foi, qui fonctionne plutôt bien. C’est un peu léger pour justifier d’une vingtaine de pages d’un numéro, dans une allure assez décompressée qui entraîne une lecture rapide, mais le payoff répond également présent du côté du frère de Terry, Matt, qui va enfin prendre les responsabilités qu’on nous faisait miroiter depuis quelques numéros. D’un côté, l’univers Beyond et son histoire continuent de s’étendre au-delà de ce que le dessin animé avait laissé fixe ; de l’autre cette évolution reste assez facile et pourra ne pas convenir à tous. On attendra les prochains numéros pour juger de la pertinence, encore qu’un tel nouveau Dynamic Duo pourrait se montrer intéressant. Du côté de Phil Hester, rien à redire de particulier, le style correspond à l’ambiance graphique du dessin animé, mais un effort sur les couleurs, et plus de nuances, ne seraient pas malvenus.

– Arnokikoo

Note : 6/10

 

DARK NIGHTS: METAL #6

review BATMAN #26

Scénario : Scott Snyder Dessins : Greg Capullo

Tout commence par un concert de kid metal pour finir en concert de kid metal. Au passage, on sauve les héros, on devient des sortes de super-super héros, les souvenirs affluent, l’univers se brise, l’homme sous les bandages sorti de nulle part est encore plus gros que prévu, un duo inédit s’invite. Si l’on pourrait à une vaste invention ou blague de ma part, il n’en est rien.

Si certaines planches sont jolies, l’auteur prend beaucoup de raccourcis, puis s’attarde sur d’autres parties moins intéressantes. On dirait que Snyder s’est dépêché à finir son histoire pour lancer No Justice par la suite. Je reste très perplexe sur le développement général de cet event et encore plus sur l’exécution ou les répercussions. Mais au moins, c’est fini et peut-être qu’une relecture complète plus tard avec plus de recul de l’event entier permettra une nouvelle vision.

– Harley

Note : 5/10

DETECTIVE COMICS #977

review BATMAN #26

Scénario : James Tynion IV Dessins : Alvaro Martinez, Raul Fernandez

Tim Drake est confronté au trauma qui mènera sur la voie du lui-futur qu’il a rencontré il y a quelques mois. Ulysses tente de le convaincre de rejoindre sa cause, clés en mains, alors que l’équipe de Batwoman s’apprête à intégrer la Colony pour de bon. Les clans se forment, Drake tente de faire avec ce qu’il a, et le numéro présent de Detective Comics sert de build-up assez efficace dans cette intrigue qui va mener au climax final. L’efficacité du numéro vient aussi de son long flashback, justifié par une différence de partie artistique pour laquelle on retrouve les compositions de Barrows, avec cette alternance de couleurs numériques et de peinture du plus bel effet, ainsi que des compositions dans le découpage travaillées. A côté, le style de Javier Fernandez compense son côté moins blockbuster par sa patte plus marquée, et le tout amène donc un numéro de bien bonne qualité, comme la plupart des Detective Comics des semaines passées.

– Arnokikoo Note : 8/10

DOOMSDAY CLOCK #4

review BATMAN #26

Scénario :Geoff Johns Dessins : Gary Frank

Après une longue pause, Doomsday Clock nous revient pour un numéro quasiment interlude. En effet, Johns continue de prendre son temps pour dérouler ses idées et préfère ici se concentrer sur les origines de ce nouveau Rorschach. Loin de lui l’idée de lui donner une origine tirée par les cheveux, Johns garde les pieds sur terre en s’ancrant dans l’oeuvre de Moore de façon respectueuse. Certes, le choix du visage derrière le masque pourra sembler être artificiel pour certains, mais à la vue de l’exécution donnée ici, il paraît sage d’affirmer qu’il est quelque part le plus logique. A l’aide d’un Gary Frank à qui l’on ne pourra en aucun cas reprocher le retard de publication tant ses planches sont superbes, Johns livre un numéro complet, faisant de son nouveau Rorschach un pur héritage de l’oeuvre de Moore. Difficile de voir où l’auteur se dirige réellement le numéro est riche et l’intrigue n’avance pas, mais le soin apporté aux plus petits détails de l’ouvrage fait toujours autant plaisir à voir.

– Mocassin Note : 8,5/10

HAL JORDAN AND THE GREEN LANTERN CORPS #41

review CYBORG #14

Scénario : Robert Venditti Dessins : Brandon Peterson

L’arc opposant le GL Corps à Zod se termine comme prévu, avec Hal Jordan obligé de laisser les Kryptoniens tranquilles, mais cette histoire n’aura pas totalement servi à rien puisqu’elle tease des plans pour le général. Certains râleront à juste titre que le Green Lantern réussit à vaincre Zod tout seul, en plus de se comporter comme un con, ou en tout cas pas comme un héros ou un policier. Le combat n’est pas fantastique, mais profite des dessins de Peterson, plutôt bon sur la plupart des pages et bien aidé par les couleurs de Tomeu Morey. Ce récit n’est donc toujours pas très fin et les quelques bonnes idées ne prennent pas assez de place, il reste donc très moyen et l’arrivée de la grosse baston contre les Darkstars ne risquent pas de changer la donne.

– Sledgy7

Note : 5/10

JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #27

review GREEN ARROW #26

Scénario : Steve Orlando Dessins : Hugo Petrus

Le titre n’en finit pas de surprendre et met en avant le personnage de Chronos, ennemi de longue date de Ray Palmer. Le numéro va jouer sur divers thèmes, et tiendra un rythme assez rapide car engage de nombreux éléments divers. Un manque de fluidité dans la narration s’en ressent. On se laisse pourtant charmé par ce récit particulier auquel se mêle un trait de caractère de Atom. Mettre en retrait les autres membres est bien dommage, à croire qu’il aurait mieux valu consacrer un numéro entier à l’introduction – No Justice doit certainement troubler les plans de Steve Orlando. On reprochera à Hugo Petrus un manque de décors sur certaines planches, et quelques visages assez étranges – en particulier un Atom aux lèvres et regards douteux. Loin d’être le meilleur numéro qu’a pu nous livrer le titre, cette Justice League reste toujours un plaisir régulier dont on ne se lasse pas.

– Watchful

Note : 7/10

MERA: QUEEN OF ATLANTIS #2

review CYBORG #14

Scénario : Dan Abnett Dessins : Lan Medina

Le premier numéro de cette série nous servait d’introduction afin de comprendre l’exil de Mera sur Terre et découvrir la nouvelle vie de Orm. Cette fois-ci, nous assistons à la rencontre musclée entre les deux personnages. On distingue leurs caractères bien trempés, leur force, leur fougue, leur respect pour Atlantis. Si bien des aspects les opposent, il plane une vague ressemblance entre les deux personnages. Le twist final reste assez surprenant et engage le lecteur à légèrement anticiper le prochain numéro.

– Harley

Note : 7/10

MOTHER PANIC: GOTHAM A.D. #1

review CYBORG #14

Scénario : Jody Houser Dessins : Ibrahim Moustafa

Quel dommage ! Suite à l’event Milk Wars, Mother Panic se retrouve propulsée avec sa nouvelle sidekick dans une nouvelle ville, une nouvelle époque. L’ambiance n’est pas aussi prenante que dans la première partie. Même si c’est dur de comparer en un seul numéro. Les personnages croisés ne sont pas quelconques et l’on peut reconnaître un certain potentiel. Reste à voir ce que donnera le développement de l’histoire mais pour l’instant, je m’attendais à mieux.

– Harley

Note : 6/10

MYSTIK U #3

review CYBORG #14

Scénario : Alisa Kwitney Dessins : Mike Norton

Après la romance, c’est la nécromancie qui s’invite dans ce titre. Les personnages continuent à se développer doucement, et la romance précédemment entamée reste assez discrète. Le numéro permet d’avoir un aperçu de la maleviolence, mais honnêtement c’est très vite expédié et la menace qui s’annonçait impossible disparaît bien trop rapidement. La suite ne m’enchante guère, mais j’aimerais qu’on continue de développer les personnages secondaires autour de Zatanna.

– Harley

Note : 5/10

RAVEN: DAUGHTER OF DARKNESS #3

review GREEN LANTERNS #26

Scénario : Mark Wolfman
Dessins : Pop Mhan

Ce troisième numéro qui nous amène à mi-chemin dans l’histoire nous offre un joli condensé. On y retrouve de l’action, des développements autour des capacités de Raven, autour du Baron Winters, mais aussi un twist qui bien que prévisible depuis le dernier numéro permet d’imaginer de nouvelles surprises et révélations à venir quant au passé de Raven.

L’auteur s’amuse avec la mythologie et les origines du personnage de manière sympathique. De plus, il est accompagné par un artiste qui malgré quelques visages duckface pas très esthétiques parvient à rendre le tout très plaisant.

– Harley

Note : 6,5/10

SUICIDE SQUAD #38

review JUSTICE LEAGUE #24

Scénario : Rob Williams Dessins : Tom Derenick

Nous avions rencontré brièvement The Wall précédemment. Maintenant nous savons quel est vaguement son but. Amanda Waller se retrouve déposséder de tout ce qu’il lui restait. Franchement, il va falloir faire mieux car nous sommes toujours dans le schéma du serpent qui se mord la queue et c’est encore et toujours pénible. Cependant, la présence de Tom Derenick rend les choses plus agréables avec des planches assez jolies.

Au prochain numéro, la Suicide Squad revisite le mythe Cellulaire de King. Stephen King.

– Harley

Note : 4/10

TEEN TITANS #18

review NIGHTWING #24

Scénario : Ben Percy Dessins : Scott Eaton

Pas mauvais, mais trop anecdotique pour marquer. Tout commençait bien avec un arc centré sur Beast Boy, mais l’écriture assez lourde due à la nécessité pour l’auteur de terminer son histoire au plus vite vient gâcher le potentiel du récit. Et oui, il est triste d’avoir la confirmation, après les récentes news sur l’avenir du titre, que ce dernier n’a été qu’une vaste blague utilisée comme fourre tout d’events tous aussi oubliables les uns que les autres, ne laissant au scénariste l’occasion de rien faire. Et c’est triste… Heureusement, quelques bonnes idées visuelles viennent relever le niveau.

– Blue

Note : 5,5/10

THE DEMON: HELL IS EARTH #5

review SHADE, THE CHANGING GIRLS #11

Scénario: Andrew Constant
Dessins : Brad Walker, Paul Hennessy

On approche de la fin. Et cela se sent. Les personnages arrivent en fin de course, manquent d’options. Belial continue son ascension et Lucifer en prend pour son grade.Les planches restent globalement épique livrant des combats assez beaux. Cependant on arrive à un twist qui n’augure pas grand chose de réaliste et deux choix s’offrent à nous : le miracle, ou la fin de tout sans impact sur le DCEU (une histoire globalement dans le vent).

– Harley Note : 5/10

THE FLASH #43

review HARLEY QUINN #23

Scénario: Joshua Williamson Dessins : Carmine Di Giandomenico

Pour cette cinquième partie de « Perfect Storm », l’auteur propose un combat idéologique intéressant mais entouré de maladresses d’écriture. Barry change enfin de comportement mais un peu trop brutalement, Grodd est placé comme une victime et ça ne fonctionne pas, sans oublier les quelques raccourcis scénaristiques autour de la Lightning Wand et la Lightning Rod et le monologue scientifique de la première page qui ne sert pas le propos et qui me rappelle l’agacement que j’éprouvais en lisant certains numéros de Scott Snyder sur Batman. Certains discours restent intéressants, comme celui sur la famille qui reste la force de Flash et le récit est plutôt divertissant tant dans le déroulement du conflit que visuellement. Di Giandomenico est en effet particulièrement bon ici avec de bonnes idées de mise en scène, beaucoup de dynamisme et les couleurs d’Ivan Plascencia sont de très bonne qualité également. Le quatrième acte que l’on verra dans le prochain numéro est sorti de nulle part, mais reste plaisant, à l’image de cet arc divertissant mais qui gère mal son développement de personnage, bien qu’il ait au moins le mérite d’exister.

– Sledgy7 Note : 6,5/10

 

THE HELLBLAZER #20

review NIGHTWING #24

Scénario : Tim Seeley Dessins : Davide Frabbri

D’un côté, le tandem Constantine/Huntress est intrigant à observer, de l’autre, le mélange des deux univers est moins passionnant à observer que prévu, d’autant que Fabbri n’est pas à son meilleur, même si heureusement sauvé par une colorisation de qualité. L’histoire avance, mais doucement, et accuse quelques lenteurs qui plus est. Constantine est bien caractérisé, mais Huntress s’avère trop caricaturale pour être appréciable. Pour être une femme forte, nul besoin d’agresser tous les autre protagonistes. Bref, tout ça est un peu dommage, mais le récit a l’air de savoir où il va et se laisse apprécier.

– Blue Note : 6,5/10

THE SILENCER #3

review HARLEY QUINN #23

Scénario : Dan Abnett Dessins : John Romita Jr.

On peut dire que ça décoiffe dans cet épisode où à elle seule, Silencer devient l’équivalent de l’Agence Tout Risque, experte en démesure totale. Et les ennemis en viennent à agir de la sorte. C’est totalement barré, aussi barré que Silencer apparaît comme un Grobill, mais juste assez et donc ça finit par marcher. Les auteurs semblent pouvoir étirer l’histoire aussi longtemps qu’ils veulent, pour l’instant ça fonctionne alors on continue. J’aime assez toutes les idées de comment se servir du pouvoir de zone silencieuse, mais elle a aussi un paquet de gadgets à faire pâlir Batman. D’ailleurs, elle en est tellement proche dans ses compétences que ce sont de puissants ennemis à lui qu’elle va avoir en travers de la route. Épisode qui se suffit à lui-même mais qui a le luxe de mettre une dernière page qui donne envie d’en avoir encore. Romita toujours fidèle à lui-même, néanmoins un peu brouillon dans la grosse baston. Mais n’est ce pas volontaire tant ça devient un combat brouillon?

– James Edge Grayson Note : 8,5/10

 

THE TERRIFICS #2

review HARLEY QUINN #23

Scénario : Jeff emire Dessins : Ivan Reis

Les Terrifics poursuivent sur leur lancée, toujours dans l’objectif unique de présenter l’équipe et son concept. L’aventure est assurée par un espace inconnu, et à la manière d’une série animée japonaise mal ficelée, les personnages passeront d’un élément à un autre sans le moindre lien, rapport ou simplement, logique. Aucune loi n’est établie, aucun concept, un fait est présent, les héros font face à une situation ou une menace et doivent s’en sortir coûte que coûte. Le problème majeur est le repère dans cet espace. D’un fait à un autre, on perd très facilement le fil des actions réalisées, la faute à une mise en scène et des plans – et surtout l’écriture d’un lieu qui restera inconnu – qui n’aident en rien la compréhension de certaines scènes. Ce qui n’empêche pas Ivan Reis de rendre un aspect visuel agréable. Son travail est toujours soigné, et la palette de couleurs utilisées s’intègre plus facilement, s’éparpille moins. Le numéro amène une progression. Mais c’est le déroulement du numéro vers cet objectif visé, les chemins pris par l’histoire, qui dérangent. Le final rappelle une autre équipe de chez Marvel, et ce mélange de concepts est aussi étrange qu’intéressant, mais ne relève que de peu le plaisir eu à la lecture. Ce qui est assez décevant lorsqu’on connaît le potentiel de Lemire.

– Watchful Note : 6/10

 

TRINITY #20

review HARLEY QUINN #23

Scénario : James Robinson Dessins : Jack Herbert

Je suis confus, j’ai peur que l’auteur se soit perdu en chemin, et les dieux égyptiens mécaniques contre lesquels la Trinité se bat durant l’intégralité du numéro semble corroborer ma version des faits. Une sorte de gros crossover un peu étrange entre DC, le dernier bouquin de Christian Jack, et Transformers. Le tout n’est pas déplaisant à lire, quoique virant parfois au gros nanard, mais sort brusquement de l’ambiance des derniers numéros. La partie graphique reste dans l’ensemble de qualité mais certains choix de character design font légèrement peur à voir comme cet Anubis portant des tourelles automatiques sur ses épaules.

– Blue Note : 5,5/10

 

WONDER WOMAN #41

review HARLEY QUINN #23

Scénario : James Robinson Dessins : Marco Santucci

C’est un numéro légèrement meilleur que les précédents que nous livre ici Robinson. L’auteur continue ici d’avancer ses pions pour un affrontement inévitable contre Darkseid dans le prochain numéro. Étrangement, alors que tout reste classique, l’amorce de ce combat fonctionne plutôt bien, tout comme la surprise de fin de numéro. Le numéro fait aussi la part belle aux échanges, avec tout d’abord Steve Trevor et Jason qui ont une vrai conversation de bonhommes où les deux expriment leur amour pour Diana. Un sentiment de suspicion se crée néanmoins à l’égard de Jason, et si l’on en croit la scène qui ouvrait le run de Robinson, il y a bien anguille sous roche. L’échange entre Diana et les furies, même si porté sur le combat, est également appréciable dans le sens où l’héroïne préfère laisser le choix à ses adversaires plutôt que de les soumettre au sien. Pas fou, mais sympathique.

– Mocassin Note : 5/10

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mavhoc
6 années il y a

Totalement d’accord avec Moca pour Doomsday Clock qui souligne parfaitement le côté interlude, les choix très bons et ne cache pas pour autant les aspects artificiels. Vraiment une bonne remarque où je suis totalement en osmose.
A côté de ça, je suis globalement d’accord avec Arno sur Batman Beyond et Detective Comics même si dans les deux cas, je le trouve légèrement trop généreux. Surtout que Batman Beyond reste très évident, très simple et trop prévisible.
Mais bon

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