Le Coup de Cœur New Super-Man #19 |
Le Top Mister Miracle #6 |
Le Flop Wildstorm : Michael Cray #4 |
Qui dit nouvelle semaine, dit nouvelles lectures de singles VO. Que ce soit des titres digitaux ou non, cette semaine est plutôt riche en sorties. Mais si la quantité est au rendez-vous, qu’en est-il de la qualité ?
Voici donc nos avis en version express, et n’hésitez pas à nous partager vos avis, vos coups de coeur, et vos tops/flops dans les commentaires !
BEYOND DC UNIVERSE
BOMBSHELLS UNITED #21
Les choses s’accélèrent dans le titre cette semaine, nous atteignons un point final important qui nous place dans un doute certain. Au fil des pages, les héroïnes se révèlent, en passant par le sacrifice de rédemption. C’est rythmé, intéressant et surtout très beau. Que ce soit dans le sens premier du terme avec un travail artistique adapté ou par le sens des actes de certains personnages. Maintenant, je suis clairement curieuse de voir comment va évoluer le personnage qui fait son retour, surtout connaissant son caractère original et la raison de sa disparition.
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GOTHAM CITY GARAGE #19
Cette semaine le numéro est tout en puissance. On découvre l’histoire de Black Canary, qui suite à des désillusions finit sous les ordes de Ra’s al Ghul pour devenir son héritière. Alors que les forces de Lex préparent leur prochain mouvement et que Harley Quinn tente de venir chercher de l’aide. C’est beau, certaines planches en gros plan sont superbes, les compositions sont très réfléchies et cela donne un rendu très agréable pour la lecture. Vivement la suite.
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INJUSTICE 2 #40
Après un final choquant au dernier numéro, Injustice revient avec un nouveau numéro toujours riche en émotions. Certes, il vient quelque peu désamorcer la situation dans ses premières pages, mais tout évolue très vite et la tension fait son retour en force. Comme toujours, les personnages sont bien écrits et le scénario est tout à fait cohérent. Ajoutez à cela des dessins d’une qualité tout à fait décente et vous obtenez un comic book digital first de bonne facture, qui mérite de figurer dans votre pull list.
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SCOOBY-APOCALYPSE #21
Vous voyez The Walking Dead ? Normalement, à plus forte raison si vous trainez sur des sites de comics, évidemment. Eh bien imaginez que les zombies soient des monstres de l’enfer et vous avez une idée de l’ambiance oppressante et apocalyptique de ce numéro. Les dessins par ailleurs ne sont pas en grande forme, sans être désagréables non plus, bien qu’ils aient le mérite de bien retranscrire la tension qui se dégage de la ville en crise. Là où le titre nous avait habitué à une myriade de détails, le tout s’avère donc assez brut de décoffrage par moment. Pour le reste, l’histoire continue et c’est toujours un plaisir de voir nos héros évoluer, surtout Daphné, bien qu’il soit possible de se demander comment les auteurs vont se débrouiller pour conclure cet arc.
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DC UNIVERSE
ACTION COMICS #995
L’action prend une petite pause pour s’intéresser à une thématique toujours intéressante : la paternité. Ce numéro d’Action Comics, en plus de raconter l’histoire de Booster Gold, pour ceux qui ne la connaissent pas, fait un focus sur le père de chacun des héros, et surtout celui de Booster Gold. Superman fait face à un dilemme moral lui qui a toujours eu deux pères pour l’aider à se faire son propre chemin, et doit donc venir en aide à Booster Gold qui lui ne veut plus entendre parler de son paternel – assez compréhensible vu le mal qu’il a commis (bien expliqué par les flashbacks). Pendant que Lois continue sa petite enquête pour retrouver son père, Booster Gold retrouve sa mère pour un moment émotion qui fait son petit effet, lui qui a tout sacrifié pour l’aider. Ce numéro est une sorte d’interlude avant de revenir à de l’action pure (on imagine) teasée par la fin. Seul point noir au tableau, les dessins de Brett Booth qui ne sont pas au niveau de Dan Jurgens surtout dans les traits des personnages principaux : Superman et Booster Gold. Malgré le manque de divertissement, l’écriture rend la lecture intéressante. On veut plus de Booster Gold.
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BATGIRL AND THE BIRDS OF PREY #18
Les Birds of Prey s’offrent une petite virée à Paris dans ce numéro proposant une courte histoire complète. Nous avons droit à un récit à la Mission: Impossible plutôt divertissant, mais qui n’a naturellement pas le temps d’approfondir la relation entre les personnages outre mesure. On soulignera également des dialogues bien plus acceptables que d’habitude et les planches de Marcio Takara, qui sont agréables à regarder et collent très bien au titre. C’est donc une lecture sympathique que nous avons là, mais qui ne marquera personne pour autant. Mais bon, c’est toujours mieux que l’arc précédent.
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DEADMAN #4
Le brouillon absolu. Alors oui, on en apprend plus sur l’histoire de la famille Brand, sur l’implication de la League, avec en guest le Spectre. C’est honnêtement pas très agréable à lire, pas très agréable à regarder. Je ne sais pas comment aborder ce titre depuis les débuts et ce n’est pas ce numéro qui aide. Vraiment pas.
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DETECTIVE COMICS #972
Clairement ce numéro sert à faire grimper la pression jusqu’au climax de dernière page, avec un rappel plutôt amusant (à mon sens) à Night of the Monster Men. Que d’autres pourront faire passer par un manque d’originalité, mais remettre Clayface et sa dualité au centre de l’histoire et des enjeux des autres personnages n’est pas une mauvaise idée. En parallèle, le Victim Syndicate poursuit ses plans, et Tynion fait bien attention à donner un agenda à chacun des protagonistes, ce qui à force commence à sonner comme une fin de l’équipe du Chevalier Noir après tant de numéros passés ensemble. Ce qui ne doit pas être innocent au vu du titre de cet arc. Graphiquement, on est également dans un rendu plus que correct, le trait encré proprement de Miguel Mendonça étant assez irréprochable – notamment pour son Clayface monstrueux, et seul un découpage un peu simple et un certain manque de décor pourront rebuter pour une partie artistique malgré tout de qualité. Pour ceux qui suivent Detective Comics depuis quelques temps, c’est une recette qui fonctionne encore bien cette semaine.
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HAL JORDAN AND THE GREEN LANTERN CORPS #36
Ganthet radote, les Controllers sont trop faibles, le combat final est médiocre et le final est prévisible. Heureusement que les quelques interactions entre les Lanterns et les dessins de Jack Herbert sont là et que le numéro a au moins son utilité, notamment sur le rôle des Guardians et sur le teasing d’une prochaine menace que tout le monde avait devinée. Mise à part ces quelques points, nous avons là une conclusion bidon à un arc finalement pas très brillant, comme Venditti sait si bien le faire.
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HARLEY QUINN #34
Harley Quinn revient dans un numéro tout aussi dispensable et inutile que les précédents. L’équipe créative est totalement à bout de souffle et l’on sent une certaine lassitude dans l’écriture et dans le dessin. C’est dommage car l’idée de départ de ce numéro est intéressante : Harley Quinn rend visite à sa famille, accompagnée de Poison Ivy. On aurait pu s’attendre à quelque chose d’émouvant, mais tout tombe malheureusement à l’eau, tant c’est fait par dessus la jambe. Restent quelques répliques réussies et un postulat de départ tout à fait sympathique. Comme trop souvent, c’est l’exécution qui pose problème, et c’est regrettable. Je ne demande qu’à aimer Harley Quinn, qui incarne enfin l’image de la femme forte qui a su s’émanciper, mais elle n’a toujours pas droit à des scripts à la hauteur de son potentiel.
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JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #22
La ligue reste debout tant bien que mal après les derniers bouleversements et ceux en arrière plan toujours en cours. On s’intéresse ici à Caitlyn et son changement d’état soudain. Il y a bien anguille sous roche, et c’est sans surprise qu’on découvre ce numéro. On apprécie néanmoins les références et ce modèle de réécriture pour lequel Steve Orlando continue d’opter. Très inspiré des numéros du titre JLA des années 90, le scénariste semble remonter les époques à travers quelques récits et méchants de l’univers de la ligue. Il reste bien dommage de ne pas laisser une plus grande part à la création. L’insertion de ces références sont surprenantes et le lecteur y adhère, mais le titre ne se démarque que par son système de relations entre membres et par l’implication des personnages. Un potentiel réside derrière ce titre qui pourrait s’élever bien plus haut qu’à ce simple statut de réécritures. Tout en étant une bonne lecture, Justice League of America laisse le lecteur sceptique. Si Steve Orlando plait par ses références, il serait plus que temps qu’il tienne pleinement son rôle de créateur.
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MISTER MIRACLE #6
La grande claque. Ce numéro virevolte entre discussion de couple et affrontement pour arriver à la pièce finale, à la révélation finale. Tom King manie la plume avec brio une fois encore et cela doit être redondant pour vous de ne lire que des éloges sur ce titre, mais pourtant il est d’une justesse et d’une beauté folle. Les découpages sont originaux et s’adaptent parfaitement à la construction du récit en lui donnant encore plus de force. Mais malgré tout, il émane des pages une douceur, une nonchalance qui nous entraîne à l’empathie totale envers les personnages. C’est un grand oui, un grand coup de coeur, un grand coup de massue pour la révélation, et franchement, ne passez pas à côté de cette lecture, ce serait bien dommage.
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NEW SUPER-MAN #19
Cette semaine on revient dans le passé juste après la fin du premier arc pour se concentrer sur Laney Lan, sa vie et son job de journaliste. Si ce numéro est un coup de cœur c’est grâce à sa simplicité et sa bonne écriture. Laney y est bien caractérisée, entre son boulot, sa famille, les secrets qu’elle doit garder et les compromis qui s’imposent à elle. Un personnage enfin développé dans un numéro fill-in qui fait le job. Il faut encore approfondir cette caractérisation afin de proposer un personnage qui pourra s’insérer dans être de trop dans l’histoire de la League. Mêmes sans véritables enjeux, cette histoire est très agréable et permet de faire une bonne pause loin des combats et des destructions. Les dessins de Peeples sont satisfaisants mais auraient pu être davantage détaillés. Cependant, l’encrage de Richard Friend et les couleurs de Hi-Fi donnent un rendu tout à fait convenable et permettent d’avoir des dessins agréables. Hâte de lire le prochain numéro qui présentera Aqua-Man de Corée du Nord (non ce n’est pas une blague). La série continue donc de préparer le changement de titre qui promet d’être intéressant.
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RAGMAN #4
Ragman revient pour un quatrième numéro très intéressant (outre le côté momie qui a toujours du mal à passer). Les personnages sont touchés personnellement pendant que Rory / Ragman continue son entrainement aux côtés d’Etrigan le démon. Notons au passage que la rime d’Etrigan est ici bien plus travaillée que dans sa propre mini-série. On a un condensé d’action qui se finit sur un cliffhanger qui annonce des moments bien difficiles pour la suite. Ce qui est intéressant c’est que l’on en apprend plus sur l’histoire principale du côté des vilains et de la menace, le tout sur des planches d’une beauté dingue. Le duo Inaki Miranda / Eva de la Cruz fonctionne toujours et livre des planches qui touchent clairement à l’horreur et au morbide sanglant tout en offrant une once de mystique en restant majestueux et très agréable à regarder.
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RED HOOD AND THE OUTLAWS #17
Ah pour le coup ça redevient intéressant ! L’intrigue redémarre et se recentre sur les cachotteries de Bizarro. Un joli numéro tant scénaristiquement que visuellement et qui arrive à convaincre là où le dernier épisode était assez laborieux à lire. Avec un humour plus maîtrisé, des relations somme toute bien écrites, des personnages intéressants, et une histoire assez intrigante, le numéro de cette semaine redonne un plaisir à la lecture qui manquait. De plus, comme dit plus haut, c’est visuellement réussi grâce au bon travail de Sandoval. Malgré quelques petits défauts ici et là, une lecture agréable cette semaine.
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SUICIDE SQUAD #33
Si l’on pouvait s’attendre à une bouffée d’air frais avec l’arrivée d’une nouvelle équipe, il n’en n’est rien. Et ce n’est pas l’idée d’importer des volontaires pas volontaires totalement incompétents dans la Suicide Squad qui tient de l’idée de génie. Mais alors vraiment pas. On se focalise sur Juan, le nouveau venu, qui n’est qu’une victime d’ambitions trop hautes, puis d’élan de courage qui l’entraîne vers une mort certaine, enfin on s’y attend, ou alors ils en feront un héros émergeant. Mais pour l’instant, c’est pas fameux, et ce n’est pas non plus très joli à voir. Je ne peux rien dire d’autre si ce n’est que je ne suis pas du tout confiante pour la suite.
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SUPERGIRL #17
Nouvel épisode pour Supergirl qui s’attache toujours à son format “Monster of the week” fortement inspiré par sa (très médiocre) série TV. C’est clairement écrit à la truelle et l’on sent une volonté de nous coller des éléments issus du show, notamment la présence importante du DEO et la manière dont notre pauvre héroïne est considérée comme une menace potentielle. C’est franchement regrettable et il est évident que la cousine du dernier fils de krypton mérite bien mieux. Seuls les dessins viennent un tant soit peu sauver la donne, mais ça ne suffit clairement pas. Ajoutez à cela un cliffhanger bas de gamme qui nous annonce un nouvel antagoniste, et vous obtenez un comic-book bâclé, vendu trop cher pour ce qu’il est.
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SUPERWOMAN #18 – Dernier Numéro
Contrairement à Supergirl, Superwoman est un titre de qualité, qui mérite qu’on le lise. Malheureusement, il touché à sa fin et c’est bel et bien le dernier numéro que nous avons entre les mains cette semaine. Lana se retrouve confrontée à Midnight pour la dernière fois, et tente de l’affronter sur le plan des idées et des sentiments plutôt que d’échanger gratuitement des super mandales. Le numéro est intelligent et bien écrit et nous avons droit à une conclusion intéressante et efficace pour ce titre sous-estimé du groupe Superman, qui a le mérite de mettre en vedette une héroïne assez peu exploitée et de venir grandir un peu la mythologie du kryptonien. Dans l’ensemble, ce titre est une réussite, qui, sans être un futur classique, saura intéresser ceux qui aiment les comics “à l’ancienne”, façon fin 90’s / début 2000. Les dessins ont toujours été à la hauteur et le scénario sait être à la fois intéressant sur le plan intimiste et sur l’aspect mythique des exploits de sa protagoniste. C’est dommage de voir que Lana Lang tire si tôt sa révérence, mais ce n’est probablement qu’un au revoir.
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THE FLASH #38
Fin de l’arc « A Cold Day in Hell » dans ce nouveau numéro de Flash qui se trouve plutôt agréable à lire. Bien que Cold commet des actes qui, à mon sens, ne correspondent pas à sa psychologie, le reste des personnages évoluent bien. Je pense notamment à Godspeed, mais surtout Barry qui va enfin accepter certaines choses et changer de comportement, car on ne va pas se le cacher, il s’est comporté comme un débile pendant bien un an et demi. L’écriture de ce numéro est simpliste, mais arrive à conclure cette histoire de manière honnête et marquera la fin de tout un acte du run de Williamson sur Flash. Quant aux dessins, je les trouve insuffisants, surtout comparés à ses prédécesseurs qui y mettaient plus de style.
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TITANS #18
L’épisode porte bien son nom. Mais du coup il met en évidence au premier abord d’un problème récurent, à savoir l’âge de nos héros. Ils ne sont plus Teen, mais sont considérés comme jeune. Et là sont traités comme des adolescents par la Justice League. Mais finalement, même si certains personnages vont penser que ce n’est qu’un problème de légitimité, ce n’est pas leur place en tant qu’adulte qui est mise en avant mais en tant qu’amis. Un propos judicieux qui met en évidence le choix de faire équipe avec un ami qui pourrait ne pas être suffisamment compétent pour qu’on lui confie notre vie. A la fois épisode transitif entre deux arcs, j’espère que la discussion reprendra par la suite pour clarifier les choses. Il faut se rappeler qu’à l’époque, Nightwing avait démantelé les Titans car ils n’étaient pas une équipe mais une famille et que ça avait coûté la vie de plusieurs d’entre eux. Du moins, selon lui. Un épisode très proche de ce qu’on pouvait trouvé pour l’équipe lors de leur âge d’or. Un véritable problème et une confrontation avec leurs aînés. Une porte est ouverte il s’agira de bien la fermer. Les dessins de Paul Pelletier, à la fois mainstream et avec sa patte bien à lui, sont de bonnes factures. Peut-être même plus digestes pour certains que les dessins habituels de Booth. Une lecture, donc, pas terrible au premier abord mais qui prend un bon virage avec le dialogue entre Batman et Nightwing. Ce qui fait prendre à l’épisode tout son sens. Pourvu que ça dure.
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WILDSTORM : MICHAEL CRAY #4
Putain mais là… D’habitude, même si certains styles graphiques ne sont pas ma tasse de thé ou que certains visages apparaissent clairement comme faits à la va-vite, je ne porte jamais de jugement très dur contre ceux-ci, ayant le recul de me dire que je n’ai absolument pas le talent de faire la moitié de ce que réalisent ces dessinateurs, surtout dans le rush. Mais là, c’est juste une blague. N. Steven Harris n’est même pas fichu d’adapter ses dessins au cadre, et les faciès mutent de vignettes en vignettes. Pour la première fois, j’ai l’impression de pouvoir dire “Non mais moi aussi je peux le faire!”, et c’est un peu triste lorsque l’on sait que lui, c’est son métier. Ah, et pour le scénar, comme d’hab, du Ellis au rabais, et c’est un peu dommage lorsqu’on comprend qu’il y avait bien mieux à faire sur ce personnage.
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WONDER WOMAN #38
C’est le début d’un nouvel arc pour notre chère Wonder Woman. Fini les histoires de dieux, et c’est tant mieux étant donné que l’exécution n’était pas à la mesure de l’ambition. On revient ici à quelque chose de finalement très simple puisque le numéro se concentre en grande partie sur la relation qu’entretient une fille avec sa sauveuse, Wonder Woman, au fil des ans. Ce regard très terre-à-terre est plutôt plaisant puisqu’il permet de s’inscrire dans une certaine réalité, et de mettre en avant l’héroïne qui est ici bien plus qu’une simple sauveuse : elle continue à passer du temps avec la petite fille qu’elle a sauvé et établit une relation d’égale avec elle. Une humanité qui fait du bien en somme. Néanmoins, cette vision s’obscurcit lorsque Wonder Woman interrompt ses visites au moment où la fille retrouve l’usage de ses jambes : sans excuse donnée par l’auteur, tout laisse à croire que Diana se donnait simplement bonne conscience. Il est encore trop tôt pour que cela compte comme un point négatif puisqu’une réelle excuse sera vraisemblablement donnée plus tard dans le récit, et que cela permet le basculement vers le côté obscur pour Vanessa (la fille), qui se fait cependant de façon trop brusque. De plus, on avait vu à peu de choses près la même chose il n’y a pas si longtemps avec The Flash #25, le charme du voyage temporel en moins ici. En parallèle de tout cela, le frère de Diana s’acclimate à sa manière à la vie citadine, ce qui créera un dilemme peu intéressant pour le moment, le personnage étant insipide depuis son apparition.
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Mister Miracle <3 C'est LA série à lire en ce moment !
C’est vraiment gentil l’avis sur Action Comics … Sans Booster Gold il n’y a rien à sauver du numéro :/
Sauf que Booster Gold est tout aussi important que Superman dans cet arc, donc c’est normal que l’histoire tourne pas mal autour de lui
Faut vraiment que Neal Adams arrête de scénariser quoi que ce soit, son style old school dans le dessin passe encore même si c’est fouillis, mais tout ce qu’il écrit est une catastrophe…
Vivement le TPB de Miracle… ^^
Une coquille dans le Wonder Woman : c’est bien le #38 qui est sorti mais c’est la critique du #36 que vous avez publié ^^
Je me disais aussi, je ne comprenais pas la critique avec le numéro 38 haha
Ouais mais tkt le #38 est pas meilleur à mon immense désespoir ! D’ailleurs après 13 purges post-Rucka, j’arrête la série, je peux me permettre d’attendre que ça reparte.
Quand à Action Comics, je préférais quand Jurgens dessinais mais c’est clair que la série redevient agréable et intéressante avec Booster !
J’ai la chance de me permettre de continuer la série même si elle n’est plus trop au top. En plus ça m’embêterait de ne pas avoir la série complète haha
Du coup la critique n’a pas été modifiée… J’ai l’impression que tout le monde s’en fout des comics en fait ?!
Je sais pas, askip les gens ont parfois une vie à gérer, n’ont pas toujours le temps, et effectueront les modification plus tard dans l’après-midi ou ce soir…
On dit majestueux…Harley , du mot Majesté .