Review TV – Crisis on Earth-X

Après le crossover Invasion! de l’an dernier, beaucoup se demandaient comment la CW pourrait en proposer un nouveau plus ambitieux encore. En effet, quoi de plus gros qu’une invasion alien, surtout en tenant compte du budget relativement restreint de la chaîne ? La réponse nous a été donnée il y a plusieurs semaines : ce nouveau crossover mettra en scène une invasion de nazis venus d’une autre terre, comptant dans leurs rangs les versions maléfique de certains de nos héros. Son nom : Crisis on Earth-X. Et c’est cette semaine que nous est parvenue cette nouvelle réunion de héros, la plus grande jamais menée sur un écran en live-action.

Une ambition débordante

Plus qu’aucun autre, ce crossover a valeur d’événement. Tout d’abord parce qu’il est la conséquence d’une construction longue de cinq ans, l’univers CW s’élargissant d’années en années, introduisant toujours plus de personnages. Cette expansion se traduit également par une barre placée toujours plus haut, une ambition qui lui est proportionnelle. Cette année, le mot est lâché : il s’agit de proposer un spectacle digne d’un film. Pour cela, les frontières entre les différentes séries sont effacées, les quatre épisodes ne formant qu’un découpage d’une seule histoire où chacun trouve sa place. Cette promesse est respectée et participe grandement à livrer un spectacle sans précédent à l’échelle de la télévision. En effet, tout prend en volume ici, à commencer par l’événement qui réunira la grande majorité de nos héros : le mariage de Barry et Iris. De par son importance parfaitement retransmise aussi bien par la mise en scène que par la musique, la fibre comic-book se fait ressentir plus que jamais : comme nous le dit un nouveau personnage semblant provenir du futur (Dawn Allen ? XS ?), c’est un mariage qui marquera l’histoire de cet univers.

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Cette grandeur se retrouve aussi et surtout dans l’ambition de l’histoire racontée. Il ne s’agit pas simplement d’une invasion de quelques vilains venant d’une terre parallèle, mais des leaders de toute une planète unie sous le même régime totalitaire. De plus, comme le second épisode le fait remarquer à juste titre, le challenge est d’autant plus important qu’il est ici question d’affronter les doubles d’Oliver et de Kara, tout aussi redoutables que leur version héroïque et dont la relation se veut aussi fusionnelle que dangereuse (et intéressante). Ceux-ci se voient accompagnés du pire ennemi de Flash : notre propre Eobard Thawne, un choix réellement étrange, d’autant plus si l’on considère le visage qu’il prend ici. Au delà de ces choix, ce qui rend la menace bien réelle est aussi le soin apporté à définir Earth-X. Que ce soit par la théorie apportée par Harry Wells, qui nous explique que cette Terre est comptée comme la cinquante-troisième car personne ne s’y rend tant elle représente un cauchemar, ou par la cristallisation de cette atmosphère apocalyptique, notamment lors du passage de nos héros qui fait comprendre au spectateur qu’il a de quoi croire au danger qu’affrontent nos héros.

Le scénario, lui, se fait cependant moins ambitieux. En effet, rien de très original ou d’audacieux puisqu’il s’agit d’une invasion d’une terre sur une autre, ce à quoi tout le monde s’attendait. Cependant, cette superficialité du récit n’est-elle pas ce qui est le plus légitime compte tenu de la menace choisie ? Une menace qui ne sert de prétexte qu’à permettre une réunion entre tous nos héros. Cela est d’autant plus vrai que les showrunners avaient indiqué leur envie de rendre hommage au Silver Age et à ses concepts étranges. On assiste en réalité à un hybride entre cette volonté d’hommage et une certaine inscription dans l’ère du temps en prenant les enjeux très au sérieux : le pari est réussi. De plus, ce manque d’originalité est à relativiser puisque la CW reste la seule à proposer en live-action des concepts aussi loufoques, aussi propres aux comics. Finalement, l’intrigue se fait double : au-delà d’une invasion prévisible s’ajoute un enjeu plus personnel pour les vilains, un enjeu tout droit sorti d’un grand récit de Grant Morrison.

Des scènes d’actions massives mais inégales

Bien entendu, l’un des points majeurs attendu au tournant pour un arc narratif de cette ampleur, c’est le rendu des scènes d’actions, que ce soit par la chorégraphie ou la mise en scène. Et c’est peut-être là où les frontières des différents épisodes se font visibles : chacun dispose d’un réalisateur différent, avec des capacités et des sensibilités différentes. Ainsi, un metteur en scène se démarque particulièrement : Larry Teng, qui signe la réalisation du premier épisode. C’est en parti grâce à sa mise en scène que le mariage dispose de cette aura, Teng sachant mettre en valeur son image et la coupler à la musique aux moments opportuns. Son talent ne s’arrête pas ici puisqu’il livre ce qui est probablement la meilleure scène d’action du crossover et l’une des meilleures de l’univers, celle de l’invasion des nazis au mariage. S’il faut accorder un crédit particulier aux chorégraphes sans qui rien ne serait possible, il n’est pas donné à tout le monde de savoir valoriser leur travail. Grâce à un découpage efficace, à des plans ni trop serrés, ni trop éloignés, et une caméra qui sait rester à sa place, Teng réussit à livrer une très bonne séquence qui voit nos héros travailler en équipe comme jamais à travers de jolis et inventifs combos, chacun disposant de son moment héroïque (même Wally).

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Cela ne veut pas dire pour autant que les séquences d’actions qui suivent sont mauvaises, mais force est de constater que jamais elles n’atteindront l’efficacité de celle-ci. En effet, dans le second épisode, c’est James Bamford qui est à la caméra, un coordinateur de cascade qui est passé derrière la caméra depuis deux ans. Comme souvent avec ce réalisateur, on sent une volonté de livrer des scènes dynamiques disposant d’une certaine ampleur. Cela se traduit tout d’abord par des plans très (trop) rapprochés et mouvementés, accompagnant les acteurs dans leurs mouvements, mais ne permettant pas une quelconque visibilité. A l’inverse, Bamford aime également livrer des plans très éloignés ayant pour but de dévoiler le champ de bataille dans son intégralité, ce qui ne fonctionne pas très bien avec des décors relativement vides dont les personnages n’utilisent pas tout l’espace. Sans que cela soit mauvais, les combats restant tout de même bien appréciables par le nombre de héros impliqués, le côté événementiel qu’arrivait à apporter Teng ne se retrouvera que difficilement et rarement. On peut tout de même noter la bonne idée de voir le champ de bataille du point de vue d’un blessé à terre confus, ce qui donne l’impression d’être plongé dans une guerre, ce qui colle bien à l’invasion nazie.

Ainsi, sans toujours avoir les capacités ou le budget nécessaire à atteindre le plein potentiel de cet univers, une envie de grandeur se fait tout de même bien ressentir à travers chaque combat. Là où cela se fait le plus marquant, c’est tout logiquement dans la bataille finale qui n’est pas sans rappeler celle du film Avengers à bien des égards. En plus de cette inspiration légitime, on pourra saluer le faux plan-séquence qui circule entre chaque héros à travers tout le champ de bataille, que ce soit dans les airs ou sur la terre, à vitesse normale ou du point de vue de Flash et sa Némésis.

Un temps de présence à l’écran globalement bien réparti

L’autre point d’importance avec une telle réunion, c’est bien entendu les interactions entre les héros, la dynamique qui se dégage de cette alliance. L’avantage qu’a le crossover de cette année, c’est de ne pas avoir à présenter les personnages entre eux, la très grande majorité s’étant déjà rencontrée précédemment. Débarrassée de cette étape, les scénaristes peuvent alors s’atteler à jouer avec les particularités de chacun, faire évoluer les relations déjà établies et en créer de nouvelles. On pensera notamment au duo Alex/Sara, qui pourrait paraître artificiel mais fonctionne très bien. Il participe avec le duo Leo/Ray (deux nouveaux personnages) à un message de tolérance homosexuelle, ce qui se veut pertinent au vu de la répression menée par les nazis. Au delà de ce message fort et important, la diversité de caractère qu’offre le roster de héros permet notamment de livrer un récit homogène, de jongler entre différentes ambiances. Tout le spectre d’émotion y passe : le rire avec Mick Rory, les larmes avec les au revoir de Martin Stein, l’acteur quittant la série, la nostalgie par le retour d’un personnage longtemps disparu, ou encore la joie avec le mariage de Barry et Iris.

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Il faut dire que même l’agacement est présent avec une Felicity qui se montre bien trop envahissante, cherchant toujours à tirer le rideau vers elle au détriment d’autres, comme White Canary, Vixen ou Isis que l’on aurait aimé voir d’avantage. Il est en effet quelque peu dommage de déplorer une trop grande place donnée à certaines intrigues et personnages, souvent pour se montrer répétitif. Là où cela devient vraiment problématique, au delà du soucis d’agacer les spectateurs (dont la majorité y est cependant habituée), c’est que cela empêche l’intrigue principale de s’installer à son plein potentiel. Ainsi, un certain nombre d’éléments se retrouvent inexpliqués, comme la raison de s’en prendre à cette version d’un personnage en particulier (no spoil), d’attendre qu’il se trouve sur Terre-1, ou encore la réelle utilité de l’arme fatale, son potentiel n’étant jamais exploité. Cependant, même si certains bénéficient de plus de temps d’écran, comme notre trinité ou Firestorm, la plupart des personnages a droit à un temps de présence correct.

Et après Crisis on Earth-X ?

Tout comme l’an dernier, on ressort de ce crossover en se demandant comment la chaîne pourra aller plus loin encore l’an prochain. Une telle ampleur a été donnée cette année qu’un réel événement a été créé, dépassant les frontières de la fan-base habituelle si l’on en croit les réseaux sociaux. La déception Justice League n’y est peut-être pas étrangère : là où le DCEU peine encore à construire son univers, la CW, elle, fournit un travail de plus en plus solide au fil des ans, et procure la satisfaction de voir un réel grand univers DC prendre vie en live-action. Cela dit, la chaîne se voit toujours limitée par son budget (quand ce n’est pas par son écriture pour certains), et il sera difficile de livrer un spectacle allant plus loin que cette année. Serait-il préférable, comme Mark Waid dit l’avoir demandé à Marc Guggenheim, de s’arrêter ici ? Le pour et le contre se pèse, mais il serait tout de même bien dommage de s’arrêter en si bon chemin, alors que les possibilités scénaristiques se font toujours plus nombreuses.

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En effet, l’univers continuera de s’agrandir dès le mois de janvier avec la série Black Lightning, et même s’il a été annoncé qu’elle ne prendra pas place sur Terre-1, les crossovers nous ont prouvé que cela n’empêchait pas de l’inclure au grand tout formé jusqu’ici. On pourra aussi penser à Constantine, qui aura droit à sa série animée très bientôt, et qui reviendra dans deux épisodes de Legends of Tomorrow, ou encore à Superman et Martian Manhunter qui sont déjà installés et ne demandent qu’à s’intégrer à tout ce beau monde. Sans aller jusqu’à chercher des personnages d’autres univers, Crisis on Earth-X a fourni des pistes plutôt intéressantes pour la suite en nous affirmant que chaque Terre disposait de sa Krypton, de sa Kara. Cette idée restera-t-elle au simple stade d’espoir lancé au fan, ou ira-t-elle plus loin ? Eobard nous a déclaré avoir affronté Superman dans le futur, et Oliver a prouvé que Terre-1 disposait elle aussi de kryptonite : des éléments qui renforcent cette idée. Les deux autres membres de la trinité originale n’ont toujours pas été introduits, mais les références se multiplient et laissent espérer une possible arrivée. La série Titans, elle, même si non programmée sur la CW, pourrait très bien participer à offrir de nouvelles opportunités pour agrandir l’univers. Et même si un lien ne s’effectue pas avec elle, la jeunesse DC est déjà plus ou moins présente à travers Wally, Roy ou Thea. Finalement, on peut aussi constater dans la série Supergirl, ou même par ce crossover, que la Legion of Super-Heroes arrive elle-aussi. Bref, les possibilités sont encore infinies, et un avenir assez radieux semble s’offrir à la CW qui réalise grâce à Crisis on Earth-X ses meilleurs chiffres d’audience depuis le dernier crossover, ce qui tend à montrer un certain désir chez le public de voir cet univers s’agrandir toujours plus et proposer des projets aussi ambitieux que celui-ci.

 

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golthorr
golthorr
6 années il y a

Je voulais le regarder….Et puis je suis tombé sur le mariage de Olishity….

The Obsessive
6 années il y a

J’ai tenu jusqu’à la scène ou les personnages féminins de la série se font les ongles. Grosso modo 7 minutes, en fait.

knightwing
6 années il y a
Répondre à  The Obsessive

XD, j’avais complètement oublié ce moment !

Arkham Luci1
Invité
Arkham Luci1
6 années il y a
Répondre à  knightwing

J’ai sauté cette partie de manière immédiate, je suis directement passé au mariage.

knightwing
6 années il y a

Je suis tellement pas d’accord avec toi sur plein de choses…
Le scénario comme tu l’as dit est plutôt simple mais passe, même si le pourquoi du comment reste un peu flou.
L’action, elle, je l’ai trouvé globalement moyenne. La première au mariage est plutôt pas mal, c’est vrai. Mais par exemple la scène du plan-séquence du dernier épisode est immonde !
Mais les vrais problèmes de ce crossover sont les dialogues et les acteurs. On y est pourtant habitué avec la CW, mais dans les crossovers je trouve que ces défauts se voient encore plus, je sais pas à quoi c’est dû.
Les dialogues sont en gros du même niveau qu’habituellement dans ces séries, c’est à dire pas terrible.
Mais par contre les acteurs… Ceux qui sont déja pas terrible dans leur série sont encore pire dans les crossovers ! Melissa Benoist en Supergirl, avec ses « poses de super-héros », est déja agaçante mais en antagoniste nazi c’est une catastrophe ! Purcell et Miller, qui je pense se défient pour savoir qui surjoue le mieux, sont à la limite d’en devenir des personnages de cartoons. Mais la palme de l’acteur vraiment merdique (pardonnez le terme employé) revient à Jackson (j’ai plus le nom de l’acteur), le gars qui arrive même pas à tirer une larme alors qu’il perd quasiment littéralement une partie de lui-même, cette scène est du coup le moment le plus gênant de ce crossover. Et le pire, c’est qu’il doit le refaire plus tard parce qu’il va rendre visite à la famille pour leur annoncer la nouvelle !
Voilà, et à cause de tous ces problèmes je n’arrive pas à vraiment m’impliquer dans ce qu’il se passe, et tous les moments d’émotions ou les moments épiques (si il y en avait parce que j’en ai pas vraiment qui me viennent en tête là tout de suite) ne fonctionnent pas sur moi.

knightwing
6 années il y a
Répondre à  Mocassin

J’ai discuté avec quelques personnes qui ont vu le crossover, et tu es la première personne qui me dit que le jeu d’acteur de Franz Drameh (ouai j’ai retrouvé son nom), à ce moment là, passe ;-)

SaraLance
SaraLance
6 années il y a
Répondre à  Mocassin

Pareil pour moi au sujet de Franz Drameh, je n’ai rien remarqué et j’ai été émue en voyant la scène

Arkham Luci1
Invité
Arkham Luci1
6 années il y a

J’ai attendu ce crossover et je n’ai pas été déçu. Très ambitieux et vraiment, sympa avec de bons rapports entre les persos (sauf pour Felicity, ça devient urgent de la tuer là vraiment, le comprends pas pourquoi les producteurs et scénaristes s’évertuent à la mettre en avant) et ce que je trouve vraiment bien, c’est qu’ils sont allés à fond dans le délire nazi (vocabulaire, iconographie, etc).
Seul point où j’ai vraiment été déçu SPOILER le « retour » de Tommy. J’ai été déçu, un combat, une scène de parlotte et c’est finit. J’aurais vraiment voulu le voir en vrai Prometheus dans la saison précédente, ça aurait été génial. Et là j’aurais aimé le Tommy de Terre-1, ça aurait été plus émotionnel.
Après j’avoue effectivement qu’il y a de grosses opportunités après ce crossover. Le multivers peut vraiment permettre de créer un immense univers étendu avec toutes ces mentions à WW (Themyscira), Batman et tout le reste, on peut se prêter à rêver. Après tout, on a eu un Ra’s Al Ghul mais avec toutes ces Terre, on pourrait avoir le « vrai ». La référence d’Eobard m’a vraiment fait plaisir. Bref, un bon crossover très ambitieux avec des surprises spoiler Quentin), de bons persos (j’ai beaucoup aimé les nazis, cela fait-il de moi un fasciste ? ^^), des scènes d’action excellentes, bref vraiment bon.

thekomkiller
thekomkiller
6 années il y a

alors trop de felicity , le début un peu longuet , et il manque Overman
sinon ya la question de eobard comment ce mec est encore vivant ?
et ou oliver a trouvé de la kryptonite ?

sinon dans l’ensemble c’est pas mal et la mort de stein apporte vraiment un truc au crossover , je pense que ces crossover utilise trop de personnage , la team arrow na servi a rien

quant au multivers c’est bien si il est exploité je pense que on peut utiliser un supermane t une supergirl sur terre une mais pas forcement avec les meme acteurs c’est pas parce que ya 53 kara ou 53 clark qu on doit utiliser tjr les meme acteurs c’est le multivers la génétique peut etre differente et peut donner du coup des gens different de ceux qu on connait

darkcorbac
6 années il y a

Quand j’étais petit, je jouais avec mes jouets et j’avais à peut près les mêmes histoires (sans les nazi je savait pas ce que c’était). Du coup je trouve ca bien de revenir a une histoire simple alors que dans leurs propre série ca part souvent en nimortequoi en 2sec mais y aurait pu tuer qqn d’autre genre félicity par exemple

Vittorini
6 années il y a

Merci pour cette critique très complète qui m’a permis de relativiser pas mal de choses, même si je ne serai pas aussi bienveillant. Il y a pas mal de soucis mais, ouai, c’est quand même cool d’avoir ce genre de productions, plutôt qu’un truc bien sage, bien gentillet. Reste que la fameuse Felicity plombe incroyablement bien cet effort de 4H.

Pedro Squalito
6 années il y a
Répondre à  Vittorini

Non mais il faut arrêter de dire que ça dure 4h. Chaque épisode dure moins de 45 min, donc il fait même pas 3h ce crossover. u.u

Vittorini
6 années il y a
Répondre à  Pedro Squalito

Le Requin, j’arrive déjà pas à compter le nombre exacte de jours de détention de la Snyder Cut, alors ne me demande pas de commencer à compter avec exactitude des heures et des minutes. Tu vas me tuer.

Pedro Squalito
6 années il y a
Répondre à  Vittorini

Sans parler de la Snyder Cut de CoEX. u.u

Vittorini
6 années il y a
Répondre à  Pedro Squalito

Ou de la Snyder Cut de Avengers.

Pedro Squalito
6 années il y a
Répondre à  Vittorini

Whedon à encore tout gâché. ?

Vittorini
6 années il y a
Répondre à  Pedro Squalito

Toujours. On me murmure qu’il est également à l’origine du cut de Green Lantern et Catwoman.

Pedro Squalito
6 années il y a

Pour le prochain crossover il faut élargir l’enjeu. Je pense qu’effacer littéralement un personnage de la timeline agrandirait l’impact émotionnel. Et pas un personnage de second plan, mais genre l’un des premiers de ce multivers, apparu avec la saison 1 d’Arrow. Oh ! Et ce serait bien qu’on voit le truc genre teasé dans un crossover précédent, genre comme quand Eobard a annoncé à Felicity qu’elle ne faisait pas partie de l’histoire pas exemple. u.u
Mmmmh ! Qui est-ce qu’on pourrait trouver à effacer ?

Potyroky
6 années il y a
Répondre à  Pedro Squalito

Un truc à effacer de la timeline qui aurait un énorme impact ? L’explosion de l’accélérateur de particules par exemple. Ainsi Barry ne serait pas encore Flash, Cisco, Caitelin et même Dinah ne serait pas des métha-humains et il n’y aurait jamais eu de Firestorm, avec tout ce que cela implique (Leur rôle dans Legends of Tommorow); Supergirl ne connaitrais pas les héros de Terre-1; la team Green Arrow serait donc la seul équipe de justiciers.

SaraLance
SaraLance
6 années il y a
Répondre à  Pedro Squalito

Effacer Felicity me paraît être une excellente idée, oui !

TheHolyBat
6 années il y a

General, would you care to step outside ?

Creek031
Creek031
6 années il y a

dommage qu’avec bad kara ils n’ont pas abordé la thématique de la mort pour un dieu en fin déesse

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