Review Express VO – Rebirth Semaine #76

Le Coup de Cœur

      Justice League of America #18

Le Top

Mister Miracle #4

Le Flop

Action Comics #991

Bon, ne lisez pas Action Comics, voilà, c’est tout ! Continuez de lire et nous dire ce que vous en avez pensé !

 BEYOND DC UNIVERSE

BOMBSHELLS UNITED #12

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : Marguerite Bennett Dessins : Sandy Jarrel, Kelly Fitzpatrick

Vous savez quoi ? J’adore quand une série, un numéro décrit parfaitement le titre de notre lecture. C’est ici le cas. Nous retrouvons beaucoup de nos Bombshells qui doivent s’unir contre une nouvelle menace. Et du coup, cette menace est si grande que nous avons droit à l’émergence de deux nouvelles héroïnes en devenir. Pour être honnête l’introduction des personnages est assez brutale mais très efficace. On ne se perd pas en dialogue inutile, on les découvre aussi rapidement qu’elles découvrent l’avenir qui les attend. C’est hyper sympa à lire, et cela me donne une grande hâte de découvrir tout le reste. Cet univers est clairement hyper positif, fort, et je pense qu’en ce moment, nous en avons clairement besoin.

– Harley Note : 7/10

GOTHAM CITY GARAGE #10

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : Collin Kelly et Jackson Lanzing Dessins : Carmen Carnero, Trish Muhivihill

Et si ce numéro était la bonne surprise ? J’ai pu être enjouée par cette mini-série, puis déçue, cela dépendait des arcs et des numéros, et surtout des personnages exploités. Ici, les nouvelles amies de Kara viennent lui offrir une porte de sortie alors qu’elle n’a voulu en faire qu’à sa tête après une tendre retrouvaille avec sa soeur. On en apprend toujours un petit peu plus, mais cette fois, l’écriture semble moins forcée. Les actions des personnages semblent naturelles, et pour le coup, ceci rend le numéro bien plus crédible et bien moins détestable, surtout du côté de Kara.

Malheureusement, il y a toujours des éléments un peu trop gros, des éléments qui ne surprendront que peu de monde, et j’aurais préféré ne pas les avoir révélés aussi vite. Cette série manque de secrets, manque de discrétion. Les éléments teasés deviennent bien trop gros pour laisser un peu suspens aux lecteur•rices.

– Harley Note : 6/10

 

INJUSTICE 2 #31

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : Tom Taylor Dessins : Juan Albarran, Daniel Sampere

Cette fois, c’est la guerre. Kara vient à peine de débarquer sur Themyscira, mais elle est bien décidée à changer les choses sur cette île, puisqu’elle ne supporte pas l’idée de voir Diana, ancienne alliée de son cousin, détenue dans une cellule et privée de ses armes. La révolution commence, et c’est l’occasion pour Taylor de nous livrer une grande scène d’action, afin de redynamiser sa série. Le ton est résolument épique, et l’on comprend bien vite que les amazones ne sont pas là pour plaisanter. Certes, le numéro peut se résumer en deux phrases, mais il n’en reste pas moins crucial pour le déroulement de l’intrigue, et il marque enfin une prise de décision de Kara, qui cherche toujours sa place dans cet univers qu’elle découvre petit à petit. Les dessins sont de bonne qualité, et l’épisode rend ainsi justice à la série, qui mérite d’être lue.

– Zeppeli

Note : 7/10

 

SCOOBY-APOCALYPSE #19

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : Keith Giffen, J.M. DeMatteis Dessins : Rick Leonardi, Ron Wagner

Ça va aller très vite, de toute façon, pour ceux lisant déjà la série, sa qualité n’est plus à démontrer, et pour les autres, soit vous attendez la VF, soit vous ne vous intéressez pas à autre chose que du DC Classique vu que depuis dix-huit numéros nous passons notre temps à vous répéter que cette série est bien. Des fractures commencent à se former dans le groupe entre une Daphne déjà mise en avant le mois dernier, et le reste de l’équipe voulant un peu goûter à la tranquillité. Sans réinventer le genre, l’intrigue nous propose une belle réflexion sur une entité n’étant monstrueuse que de par son apparence, et la tentative de cette dernière de se lier d’amitié avec un jeune homme dont les parents ont été tués par des créatures plus ou moins démoniaques. Giffen et DeMatteis vont au bout de leur idée et concluent cette aventure avec une fin froide et sans concession, assez choquante, surtout lorsque l’on se rappelle que nous sommes toujours sur un titre Scooby-Doo. Sinon, pour la partie graphique, c’est toujours aussi beau.  Vivement le numéro de Noël !

– Blue Note : 8/10

 

TEEN TITANS GO ! #49

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : Sholly Fisch Dessins : Lea Hernandez

Quand les Teens Titans GO! doivent tenter de recréer l’esprit et l’histoire de Chanukah suite à l’arrivée d’un membre de la Legion venu du futur, on obtient un numéro qui se voudrait fun mais finit par en manquer cruellement. C’est dommage. On ne retrouve pas l’esprit bon enfant, l’esprit vraiment drôle de numéros passés. Maintenant, on peut s’instruire un minimum quant à cette fête et cela permet une approche sympathique pour les plus jeunes. Mais pourtant, nous n’avons pas cette alchimie particulière, ce ton bien unique du titre.

Cela dit, mention toute spéciale pour les ugly sweaters qui font leur retour en cette période automnale / hivernale.

– Harley Note : 4/10

                          DC UNIVERSE

ACTION COMICS #991

Review Express VO – Rebirth Semaine #76 19

Scénario : Dan Jurgens Dessins :Viktor Bogdanovic

Oz Effect, c’est enfin fini ! Comme on pouvait s’y attendre, rien d’exceptionnel, si ce n’est du teasing en rapport avec un bonhomme tout nu de couleur bleu toujours pas décidé à se montrer. Si Viktor Bogdanovic réalise un travail en dents de scie, tantôt appréciable, tantôt brouillon, c’est encore une fois Dan Jurgens qui nous blesse. Ce numéro est d’une idiotie débordante. Les dialogues sont abrutissants, d’un niveau rarement atteint. Les personnages en viennent à dire explicitement ce qu’ils font, ce que l’artiste a représenté. Sans parler de la dimension familiale critique, d’un Jon qui n’est plus naïf mais souffre d’une sacrée perturbation émotionnelle pour croire à ce point le premier kryptonien du coin qui lui dira être son grand-père ou sa tante. Jon, qui aurait bien besoin d’un mini-Trump sur son épaule lui crier “Fake News !” à longueur de journée, dans l’espoir de lui créer un jour un semblant de réflexion. Le problème de l’écriture ne se limite pas à ça, non. Ce numéro se clôt sur un affrontement entre Oz et Superman. Affrontement ridicule, au dénouement sans effet, ni conséquence, retournements de situation qui ne font pas sens, cette conclusion est dénuée de toute émotion, toute sensation. Ce numéro est au podium des incohérences, à se demander comment un numéro comme celui-ci a pu voir le jour. Oz Effect, c’est terminé, oublions ça au plus vite.

– Watchful

Note : 1/10

BATGIRL AND THE BIRDS OF PREY #16

review BATMAN #26

Scénario : Julie & Shawna Benson Dessins : Roge Antonio

Les sœurs Benson continuent l’aventure des héroïnes de DC dans une Gotham où les hommes sont tous infectés par une sorte de grippe. Ce numéro accentue les défauts de leur écriture habituels, c’est à dire du fan-service, des dialogues peu inspirés et trop nombreux, un scénario basique et un grand manque de caractérisation, dû à la présence d’autant de personnages. Les scénaristes essaient de faire passer un message sur l’égalité des sexes en affrontant une groupe de femmes misandres, mais tout le potentiel féministe n’est pas utilisé à son maximum ou semble parfois mal amené. Cependant, l’attention est là et le tout n’est pas si catastrophique, c’est à un niveau d’écriture d’un épisode d’une série de jeunes adultes en somme. Quant aux dessins, Roge Antonio livre du meilleur travail qu’à ses débuts sur le titre, mais quelques visages ne sont toujours pas très au point.

– Sledgy7

Note : 5/10

DETECTIVE COMICS #968

review BATMAN #26

Scénario : James Tynion IV Dessins : Alvaro Martinez, Raul Fernandez

Conclusion satisfaisante malgré un retour au statu quo (ou presque) qui semble un peu facile. Le numéro de cette semaine est assez bavard et reste assez cryptique dans son propos, le Tim Drake du futur passant pas mal de temps à répéter le discours qu’on lui connaît depuis pas mal de planches. Le déroulé est assez riche en action et permet quelques scènes un poil grandiloquentes mais l’impression de trop en faire ne franchit pas non plus une certaine limite, ça reste dans l’acceptable. On reste du coup surtout content d’avoir Tim de retour pour amorcer une nouvelle dynamique pour l’équipe de Detective Comics. Aux dessins, Martinez et Fernandez sont toujours performants malgré des visages un poil tordus et un ensemble de planches en dessous de ce qu’ils sont capables de faire. Bien que les effets de peinture pour symboliser l’hypertime soient réussis. Vivement la suite.

– Arnokikoo Note : 7/10

HAL JORDAN AND THE GREEN LANTERN CORPS #34

review CYBORG #14

Scénario : Robert Venditti Dessins : Ethan Van Sciver et Liam Sharp

J’avoue être assez dubitatif devant l’absence d’utilité de ce numéro. Il s’ouvre sur un flashback que je ne trouve pas pertinent avec un message vu des centaines de fois dans Green Lantern, puis nous assistons à l’affrontement entre Hal Jordan et The Dawnbreaker. Cependant, le combat n’apporte rien aux personnages ni à l’avancement du récit vu le résultat final. Il n’y a aucune raison valable à ce que Hal ait plus d’exposition que les autres, surtout que son auteur n’en fait rien. Les dessins d’Ethan Van Sciver sont quant à eux plutôt bons, bien que ce ne soit pas son meilleur travail, mais il ne sauve pas cette troisième partie d’un arc qui ressemble de plus en plus à un simple bouche-trou dans le planning de l’event Metal.

– Sledgy7

Note : 4,5/10

HARLEY QUINN #31

review DEATHSTROKE #21

Scénario: Amanda Conner, Jimmy Palmiotti Dessins: John Timms

La course pour devenir maire s’intensifie et tous les coups bas sont bons pour parvenir à cette fin. Bien que le concept soit une fois de plus débile ce numéro a quelques qualités. Il mélange bien plusieurs genres et n’est pas constamment dans le ridicule et fait ressentir une certaine tension. Cependant les gimmicks scénaristiques habituels et les copains d’Harley sont toujours présents et le tout semble un peu vain. On ne sait pas vraiment quel ton donner à ce récit qui oscille entre fun vu et revu maintes et maintes fois dans ce titre et moments d’intensité. Sans être affreux le tout n’a pas la chance d’être servi par des dessins à la hauteur. John Timms rate souvent ses visages et les proportions sont souvent…étranges. Le tout donne une lecture assez indigeste où l’on sent que l’équipe créative n’a absolument plus rien à raconter malgré quelques fulgurances. Dispensable, comme toujours.

– MFW

Note : 4/10

JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #18

review GREEN ARROW #26

Scénario : Steve Orlando Dessins : Hugo Petrus

Après un arc dans l’ensemble troublant, le dernier numéro nous a nourri d’espoirs, et en voici le résulat. Steve Orlando nous lance dans un huis-clos qui, je l’espère, saura conserver cette ambiance travaillée ici, suite à une introduction des plus efficaces. Une écriture qui rappelle celle de Morrison, et je ne dis pas ça uniquement pour l’arrivée de l’une de ses grandes créations dans ce numéro, mais bien d’une ambiance où les héros sont chassés. L’arrivée de ce personnage tombe à pic, ou plutôt se trouve de bonnes justifications dès les premières pages. L’écriture de Steve Orlando semble justement pointer les failles de l’équipe pour la rendre le plus vulnérable possible. On pourrait trouver le tout assez exagéré, mais pas tellement, les réactions des personnages sont différentes, et expose le mélange de caractères liés par cette équipe tenu par une seule et unique figure. Orlando prend son temps depuis dix-huit numéros déjà, mais pourrait bien lancer, ici, une péripétie qui changera la donne. Il est accompagné d’un nouvel artiste, fabuleux, Hugo Petrus, au style très sobre, rappelant les comics du début des années 2000. Avec des couleurs Hi-Fi très claires, son travail se démarque et des artistes précédents, et des artistes présents sur les autres titres DC Comics. Au final, Justice League of America #18 est un numéro qui confirme ses promesses, en espérant que ça continue en ce sens.

– Watchful

Note : 8/10

MISTER MIRACLE #4

review GREEN LANTERNS #26

Scénario : Tom King
Dessins : Mitch Geralds

Cette série, c’est clairement un plaisir. On se doute qu’un bon moment de lecture à la fois dur et tendre nous attend. Ici, Tom King nous délivre un numéro très juste. L’humanité de Scott Free, le procès, les émotions de Barda, tout sonne juste. Le duo formé par Barda et Scott me touche toujours autant et j’ai de la peine pour ce qui va arriver par la suite que je crains légèrement. C’est beau, c’est prenant. Franchement, et au risque de me répéter, cette série est l’une des meillleures actuellement, celle que l’on a envie de lire de suite, mais qu’on aimerait aussi garder pour la fin de sa pile à lire pour se dire que de la sorte on aura le meilleur pour la fin. Franchement, merci Tom King.

– Harley

Note : 9/10

NEW SUPER-MAN #17

review JUSTICE LEAGUE #24

Scénario : Gene Lien Yang Dessins : Joe Lalich

Après une brève rencontre avec la JL, les membres de la JLC se séparent et c’est à Kong Kenan de remplir sa mission en compagnie de Superman qui va essayer de le raisonner. Or, il se trouve que pour réussir, Super-Man doit entrer par effraction chez…Lex Luthor. Finalement, ça reste toujours sympa à suivre même si ça pourrait être un peu mieux. La force de la série réside encore une fois dans ses personnages que l’on suit toujours avec plaisir. Bien que Kong ait évolué depuis le début de la série, on se rend bien compte qu’il reste du chemin à faire avant qu’il ne soit aussi réfléchi que son équivalent américain. Ce numéro est illustré sans grands efforts pour un résultat satisfaisant, sans plus. Bref, sympa.

– The Bat

Note : 6/10

RAGMAN #2

review NIGHTWING #24

Scénario : Ray Fawkes Dessins : Miraki Miranda, Eva de la Cruz

Quel bonheur. Mais quel bonheur de retrouver les planches mystiques du duo formé par Inaki Miranda et Eva de la Cruz. Bien sûr, certaines cases utilisent les mêmes effets d’ombres que précédemment dans Coffin Hill, cependant, ça fonctionne très bien. J’ai un réel coup de coeur pour le travail de ce duo, qui permet ici de sublimer l’utilisation des entités inconnues pour nous guider à travers leur histoire et comment Rory est devenu Ragman. Malheureusement, le récit de Ray Fawkes est parfois un peu brouillon et l’on peut se perdre au fil des cases avec l’histoire qui oscille entre tous les personnages. Le numéro se lit assez bien, et la fin nous permet du mieux comprendre les parallèles, comprendre les enjeux, et faire le bilan de la situation en même temps que le personnage principal. Mais il manque une fluidité certaine.

Maintenant, le premier numéro ne m’avais pas vraiment convaincu, et celui-ci reste dans la même lignée, mais il a su quand même me redonner un peu plus envie de lire la suite.

– Harley

Note : 7/10

RED HOOD AND THE OUTLAWS #16

review SHADE, THE CHANGING GIRLS #11

Scénario : Scott Lobdell
Dessins : Dexter Soy

Ça devient laborieux. Il n’y a plus trop de plaisir à suivre les aventures des Outlaws, notamment quand la Suicide Squad est de la partie. C’est lourd, malgré quelques moments sympathiques. C’est pas vraiment mauvais, mais on est loin de certains des très bons numéros qui ont précédé. Espérons une remontée, mais avec l’équipe de Waller qui tape l’incruste pour la suite, c’est pas gagné. Il reste les dessins de Soy assez bons dans l’ensemble qui permettent d’apprécier un minimum la lecture.

– The Bat Note : 4/10

SUICIDE SQUAD #29

review HARLEY QUINN #23

Scénario: Rob Williams Dessins : Barnaby Bagenda, Jay Leisten, Wilfredo Torres, Adriano Lucas

Bon alors. Souvenez-vous, pour le dernier numéro, je vous disais qu’on allait se retrouver dans une construction classique avec Amanda Waller qui a toujours un as dans sa manche. Et bien, une nouvelle fois, elle parvient à avoir un coup d’avance sur la situation pour en réchapper en manipulant les membres de l’équipe à ses côtés. Sur la Lune, les choses se compliquent dans un final qui était somme toute assez prévisible. Et puis on découvre encore un autre pan de l’histoire de la Task Force X, pour étoffer le côté espace, menace, tout ça. Franchement, ce n’est pas bien. Soyons honnête. A la fin du numéro je me suis dit chouette, c’est nul mais ça se lit vite, mais non, car il restait le back-up. Peut-être que l’histoire est plus digeste lue d’une traite en volume collecté, mais en single c’est une plaie. Il y a pire, mais je m’en passerais bien.

– Harley Note : 3/10

 

SUPERGIRL #15

review NIGHTWING #24

Scénario : Jody Houser, Steve Orlando Dessins : Daniel Henriques, Robson Rocha

Nouvel arc pour la série Supergirl, qui peinait à se détacher de sa version TV signée the CW. Cette fois, même si des éléments sont toujours présents et que l’influence du show se fait sentir, on sent que l’écriture a beaucoup gagné en maturité, dans la mesure où le conflit principal n’est pas entre notre héroïne et un monstre quelconque et/ou un membre de sa famille, mais bel et bien entre Kara et Supergirl. C’est en effet une véritable introspection qui nous est proposée, et notre héroïne se rend compte qu’elle est aussi crainte qu’adulée. Les scénaristes en profitent pour développer sa caractérisation, non sans un certain talent. Supergirl faiblit à la fois physiquement et moralement dans ce numéro, qui annonce une histoire classique de déconstruction / reconstruction de l’héroïne, ce qui peut être intéressant. Le graphisme est à la hauteur de nos attentes, et l’on se trouve enfin face à un produit honnête, qui a le mérite de nous intéresser un peu plus que ses prédécesseurs. Vivement la suite.

– Zeppeli Note : 6/10

SUPERWOMAN #16

review HARLEY QUINN #23

Scénario : K. Perkins Dessins : Art Thibert, Stephen Segovia

Superwoman revient cette semaine, et l’on peut dire qu’elle a fort à faire. En effet, elle doit faire face à Midnight, sa nouvelle ennemie, qui détient John Henry Irons, son petit ami. Lana aura bien des difficultés dans cet épisode, où elle découvrira les origines de Midnight, qui sont liées à l’un des arcs précédents, où notre héroïne livrait bataille contre Lena Luthor. Le numéro est plutôt intéressant et l’on sent la volonté de créer une véritable mythologie autour du personnage de Superwoman, ce qui est franchement une bonne idée. On assiste à la création d’un nouveau pan de l’univers de Superman, et c’est loin d’être une mauvaise chose. La fin du numéro fait monter le suspense et l’on attend déjà la suite. Le tout est servi par des dessins réussis, ce qui fait de Superwoman un titre à suivre, pour ceux qui aiment l’entourage du plus anciens des super-héros.

– Zeppeli Note : 7/10

 

THE FLASH #34

review HARLEY QUINN #23

Scénario : Joshua Williamson Dessins : Michael Moreci, Pop Mhan

The Flash commence un nouvel arc nommé « Black Hole Rising » avec le retour de Meena Dhawan que Barry croyait morte depuis un certain moment. Le récit commence donc avec des retrouvailles qui amèneront son lot de dialogues introspectifs peu intéressants par leur manque d’originalité et encore moins naturels. Le problème est que cela prend la quasi-totalité du numéro, mis à part un court passage chez ses collègues policiers ou une petite démonstration de la Negative Speed Force et bien entendu la révélation finale qui n’en est une que pour Flash, puisque les lecteurs sont au courant depuis un bail. Ce dernier point n’aide évidemment pas à apprécier la lecture quand on sait que Meena va bien finir par profiter de notre héros et que tout ce qu’on est en train de lire n’est que du baratin. Par contre, le style de Pop Mhan aux dessins est très agréable, rejoignant un peu celui de Porter par moment, avec des traits appuyés et de belles couleurs.

– Sledgy7 Note : 5,5/10

 

TITANS #17

review HARLEY QUINN #23

Scénario : Dan Abdnett Dessins : Minkyu Jung 

Avec la série Titans, ça monte et ça descend. On veut aimer la série pour ce qu’elle peut nous apporter tant cette équipe a une histoire importante.
Et dans cet épisode ça monte bien. Évidemment, c’est autour de la mal aimée des New 52 qui sera au centre de cette intrigue qui va nous mettre du voyage dans le temps dans la figure ce qui n’est pas pour me déplaire et bien sûr pour enfoncer le clou de la méchante Troia, des avenirs pas du tout radieux et ça vous mettra aussi mal à l’aise. « Mais non c’est pas vrai! » « pas lui! » ou toute autre question du genre que vous fera vous poser le scénariste.

Aux dessins, Minkyu Jung revient, ce n’est toujours pas pour me déplaire même s’il est en plus petite forme que sur l’annual de cette série, et c’est rafraîchissant par rapport à un Brett Booth qui nécessite du repos entre ses œuvres. On pourra reprocher les décors assez vide, on en oublie l’endroit où on se trouve néanmoins, les pages de flashback, si l’on puis dire, sont plus détaillées. A l’image du Batman Tim du futur, on aimerait voir ces histoires plus détaillées.

Un arc qui remonte le niveau et qui maintient le suspens quant à Flash. Seul bémol, le cliffhanger assez mainstream.

– James Edge Grayson Note : 7,5/10

WILDSTORM : MICHAEL CRAY #2

review HARLEY QUINN #23

Scénario : Bryan Hill Dessins : N. Steven Harris

Ok, le numéro ose certaines choses que je ne pensais pas qu’il se permettrait. Pour le reste, ce n’est vraiment vraiment pas fou fou. Hill conserve les problèmes d’écriture entrevus le mois dernier en tentant tant bien que mal de faire du Warren Ellis sans y arriver, là où il pourrait laisser libre cours à son imagination, et le phénomène de série au rabais semble aussi toucher la partie graphique avec un N. Steven Harris, pourtant capable de belles prouesses, tentant comme il peut de faire du Jon Davis-Hunt, la qualité en moins. La plupart des planches ne sont que peu inspirées là où il y aurait matière à faire, certains visages sont plus que limites, et l’ensemble donne l’impression d’avoir été fait à la va vite, bien que l’artiste se  réveille quelque peu sur la fin à l’occasion du combat opposant Mr Cray à l’archer vert.

– Blue Note : 5,5/10

 

WONDER WOMAN #34

review HARLEY QUINN #23

Scénario : James Robinson Dessins : Sergio Davila

Cette semaine, retour à l’intrigue principale où Diana retrouve déjà son frère Jason. Autant dire que pour un secret caché aussi longtemps, il n’a pas fallu longtemps pour retrouver sa trace. Soyons honnête : le titre Wonder Woman est de pire en pire numéro après numéro. Aucune subtilité, des dialogues mal écrits et auxquels on ne croit pas, des retrouvailles bien trop niaises (bien que cela soit justifié en fin de numéro), on est à des années lumières de ce que Rucka pouvait nous proposer. Et c’est fort dommage, puisque comme à l’instar de son travail durant la première année de Rebirth, on touche là à quelque chose qui est censé toucher Wonder Woman en son coeur. Diana est censée avoir découvert la vérité, mais cet arc donne l’impression de naviguer à nouveau en plein mensonge. Heureusement, les dessins, bien que très imparfaits, permettent de sauver les meubles. Sans dire que ce numéro est un naufrage, car il y a toujours moyen de faire pire, c’est clairement une déception.

– Mocassin Note : 3/10

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Winterwing
6 années il y a

Darkseid is. <3

Vakarian
Vakarian
6 années il y a

Tim Drake <3 !!!

Bilalbey
6 années il y a

Mon top de la semaine: Mister Miracle et Scooby Apocalypse.
Par contre faut faire quelque chose pour WW et Action Comics. Ça en devient ridicule.

placebo
placebo
6 années il y a

Au fait une question que le précédent n° de Wonder Woman m’avait fait me poser et que ce n° ne répond toujours pas : c’est quoi la logique de ce que fait Grail ?
Ce personnage pour le coup m’est incompréhensible et je le trouve en fait nul…

Dans la Darkseid War elle souhaitait tuer son père puis en faire un bébé qu’elle va élever. Ok on suppose donc qu’elle veut le façonner pour le contrôler. Et là maintenant elle tue les enfants de Zeus pour permettre à Darkseid de regagner sa pleine puissance et le Darkseid présenté dans le numéro de Wonder Woman précédent est ce qu’il était avant Darkseid War (pas contrôlé, ni rien du tout… juste Darkseid enfant). En fait toute la Darkseid War elle a servi à quoi par rapport à aujourd’hui ce qu’on veut faire de Darkseid? J’ai loupé quelque chose depuis qui explique mon interrogation ?

Sinon ce numéro était à l’instar de cet arc pour le moment… vraiment bof.

Winterwing
6 années il y a
Répondre à  placebo

En fait, dans les tous derniers instants de Darkseid War, Grail trouve une sorte de « rédemption » tordue. Diana convainc Myrina que la guerre est contraire aux principes des amazones. Myrina va donc voir Grail et lui sort en gros « c’est bien, t’es méchante, donc fais un truc méchant pour te purifier, tue-moi, ça te montrera à quel point je t’aime » (oui c’est complètement débile). Grail tue donc Myrina et disparaît avec bébé Darkseid.

Donc à la fin de Darkseid War, Grail n’a plus de haine envers son père. Au contraire, elle décide même de l’élever et de l’aimer tout comme sa mère l’avait élevée et aimée elle. Et dans Children of the Gods, Robinson nous apprends que pour élever un New God, faut déboîter du héros grec.

CQFD ! Je crois…

placebo
placebo
6 années il y a
Répondre à  Winterwing

Ok, tordu et peu satisfaisant. L’idée et la façon dont cela est scénarisé j’entends, pas ton résumé qui m’est bien clair. Merci ! :)

mavhoc
6 années il y a

Bravo Watchy ! C’est fini, c’est fini ! On a survécu à Oz Effect, le gros pétard mouillé de Rebirth qui aura fait passer Trinity War pour une oeuvre honnête. Espérons que le retour de Booster Gold soit mieux utilisé par Jurgens.

Sinon, d’accord totalement avec Arno sur Detective Comics : titre un peu facile pour le retour du statu quo, un peu trop répétitif mais sympa malgré le fait qu’il soit juste bon en comparaisons des précédents numéros, qui étaient très bons eux.

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