Review Express VO – Rebirth Semaine #72

                Le Coup de Cœur

            Detective Comics #966

Le Top

Mister Miracle #3

Le Flop

Action Comics #989

Pas si mauvaise que ça cette soixante-douzième semaine de Rebirth, plutôt bonne au final. Bon, par contre, on recherche toujours la qualité sur le titre Action Comics. Quelqu’un pour nous aider ?

BEYOND DC UNIVERSE

GOTHAM CITY GARAGE #6

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : Collin Kelly et Jackson Lanzing Dessins : Anneke, Kelly Fitzpatrick

Seconde partie de ce nouvel arc centré sur Harley Quinn. Si dans le dernier numéro nous avions beaucoup d’explications sur son passé et comment elle s’est retrouvé en dehors de la ville, ici, nous sommes face à de l’action du début à la fin. Le numéro se dévore case après case, page après page sans même que l’on ne s’en compte. Malheureusement, une fois encore, la fin du numéro nous propose l’éventualité d’un retournement de situation bien trop évident. Qu’on commençait même à entrevoir dans le numéro précédent, concernant Batgirl. Alors oui c’est intéressant, mais si cela se concrétise j’avoue que je trouverai assez lourd de retrouver à nouveau un scénario qui se répète. C’est dommage car on aurait pu avoir un numéro qui relâche la colère et qui augmentent les intérêts pour les personnages, mais ce n’est qu’une mise en scène pour ferrer le poisson, ou plutôt ici la chauve-souris. Reste à voir comment tout cela se mettra en place, mais je crains pour l’évidence à venir vraiment.

– Harley Note : 5/10

INJUSTICE 2 #27

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : Tom Taylor Dessins : Mike S. Miller

Cette fois-ci, les batailles épiques, les duels au sommet et les romances adolescentes sont au placard dans les pages d’Injustice 2, qui préfère se concentrer sur des personnages secondaires. Ce sont en effet Black Lightning puis Blue Beetle et Booster Gold qui sont au centre de cet épisode. Tom Taylor a toujours été doué pour mettre en lumière les seconds couteaux, et ce n’est pas ce numéro qui nous fera dire le contraire. Certes, on est face à une pause dans la grande intrigue opposant Batman à Superman, mais il est appréciable de passer un peu de temps avec ces personnages très humains, caractérisés avec talent par le scénariste. On peut toutefois regretter qu’aucune scène d’action ne soit présente et que, de ce fait, la tension retombe un peu trop rapidement, mais ça reste de bonne facture. Le tout est servi par un dessin efficace, qui a le mérite de bien mettre en relief les sentiments des héros, ce qui fait une fois de plus de ce titre une bonne pioche.

– Zeppeli

Note : 7,5/10

SCOOBY APOCALYPSE #18

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : J.M. DeMatteis, Keith Giffen Dessins : Ron Wagner

Toujours aussi bien, je n’ai pas grand chose à dire d’autre, vous connaissez déjà mon amour pour cette série. Plus porté sur l’action que le mois précédent, le numéro se concentre  sur Shaggy et la manière dont nos héros ont réussi à se tirer de la foule de monstres. Les combats contre les humains transformés sont ici plus violents, avec un Scrappy testostéroné se sacrifiant dans un déluge de violence. Bon, n’exagérons pas non plus, on reste au niveau d’un Vertigo soft, bien loin de ce qui peut se faire chez Avatar Press par exemple. L’histoire avance, portée par des dessins de qualité, quoique les planches perdent un peu en qualité vers la fin et qu’il manque une vraie double page iconique comme les autres semaines avaient pu nous en offrir. Sinon, du tout bon.

– Blue Note : 7,5/10

DC UNIVERSE

ACTION COMICS #989

Review Express VO – Rebirth Semaine #72 13

Scénario : Dan Jurgens Dessins : Viktor Bogdanovic

Après avoir détruit l’histoire de Superman, Dan Jurgens s’est dit que le petit Jon n’était peut-être pas un passé assez conséquent à détruire. Qu’à cela ne tienne ! On va pourrir son futur ! On observe des références massives avec Superman qui passe en arrière-plan façon Kevin Costner dans Man of Steel, au profit de Oz et l’application de son plan maléfique. On poursuit dans le néant déjà bien creusé/entamé qu’est Oz Effect. Pour autant, le cliffhanger pouvait être intéressant s’il avait été mieux amené, et j’aurais pu dire que Viktor Bogdanovic reléve le niveau si le dernier quart du numéro n’était pas aussi bâclé. Finalement, peu importe ce que sera Doomsday Clock, il faut que Oz Effect se termine, et vite !

– Watchful

Note : 2/10
Mention “À côté de ça, Cyborg c’est pas si mal”

BATGIRL AND THE BIRDS OF PREY #15

review BATMAN #26

Scénario :Julie & Shawna Benson Dessins : Roge Antonio

Nouvel arc pour Batgirl and the Birds of Prey, où tout Gotham est contaminé par une sorte de grippe qui ne touche que les hommes. Le scénario est propice à une bonne mise en avant du casting féminin de l’univers de Batman (principalement), et de ce côté, les sœurs Benson se sont fait plaisir, quitte à contredire la continuité, ce qui est pardonnable pour ce titre. Cependant, l’intrigue met du temps à se lancer alors qu’elle se précipite vers la fin, notamment lorsque l’équipe part à la rencontre d’autres alliées. Il y a donc un côté fan-service prononcé, des personnages à peine caractérisés et un scénario basique, mais le numéro reste efficace et l’envie de lire la suite est bien là. Roge Antonio revient aux dessins en forme quoique fainéant sur certains visages, accompagné par un nouveau coloriste, Marcelo Maiolo, qui apporte un style plus clair que le précédent, mais le tout est donc plutôt joli.

– Sledgy7

Note : 6,5/10

DETECTIVE COMICS #966

review CYBORG #14

Scénario :  James Tynion IV Dessins : Eddy Barrows, Eber Feirrera

Seconde partie de l’arc A Lonely Place of Living. Et malgré un cliffhanger douteux il y a deux semaines, ce numéro est un réel plaisir à lire. On craignait un bête affrontement mais le côté Doomsday est assez mis de côté pour laisser place à l’interaction entre Tim Drake et sa version du futur, James Tynion IV, maniant assez bien le dialogue pour expliciter les enjeux autour de leur emprisonnement, et continuer de tisser des liens de continuité avec notamment un arc de Teen Titans écrit par Johns il y a pas mal de temps. Un certain name dropping devrait aussi relever encore un niveau d’attention déjà bien haut, et l’auteur réussit brillamment son exercice de proposer une histoire entraînante avec une direction encore une fois changeante dans ses dernières pages. Clairement, on a hâte de découvrir la suite, et les dessins d’Eddy Barrows sont encore une fois une réussite, quelques visages exceptés. Mais sur Detective Comics, et ce depuis le début, le parti pris de mélanger dessins “classiques” et compositions en peinture est de toute beauté, et l’artiste ici s’étale à de nombreuses reprises dans des double-pages qui mettent en avant son sens du découpage et dynamisent la lecture tout en lui donnant un peu d’air. En définitive, que du bon pour cette reprise automnale de Detective Comics, vous auriez tort de passer à côté.

– Arno Kikoo

Note : 8/10

HAL JORDAN AND THE GREEN LANTERN CORPS #30

review DEATHSTROKE #21

Scénario: Robert Venditti Dessins: Patrick Zircher

Hal Jordan revient sur Terre dans ce nouvel arc nommé « Mind Games », où Superman a été témoin du retour de Sinestro. Le numéro débute avec une discussion entre les quatre Green Lanterns de la Terre juste sympathique, tandis que la seconde partie verra un combat expédié et sans grand intérêt entre Hal et le Man of Steel muni d’un anneau jaune. Une histoire qui commence bien mal pour un cliffhanger qui ne me chauffe pas du tout et en plus de cela, Patrick Zircher nous livre des planches intérieures très moyennes. De toute façon, on ne va pas se leurrer, il ne s’agit là que d’un récit bouche-trou en attendant le tie-in à Metal avant de recommencer quelque chose de plus sérieux.

– Sledgy7

Note : 4/10

JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #16

review DEATHSTROKE #21

Scénario: Steve Orlando Dessins: Felipe Watanabe

Le microverse est toujours en danger, et on est toujours bloqué dans les flashbacks. À se demander si Steve Orlando sait qu’il écrit des épisodes d’une équipe et non d’une ongoing Atom – même si je ne m’en plaindrais pas. Voilà un mois qu’on oublie totalement la Justice League dans son propre titre, ce qui est assez étrange, mais admettons. Le problème majeur est que Orlando mise sur des révélations déjà connues depuis un mois. Donc, rien ne fonctionne, mais nous touchons à des informations que nous attendons depuis le début de l’arc. Sans vraiment nous perdre, les éléments implantés dans le numéro précédent sur la vie de Ray Palmer sont, comme prévu, oubliés et ne seront plus jamais réutilisés. On a tout de même sur la fin un instant d’espoir avec un développement de motivations machiavéliques intéressantes qui, malheureusement, ne tiennent pas debout. Et ne comptez pas sur le cliffhanger pour redresser le  niveau, puisque plutôt que de rassurer il amène des craintes supplémentaires. Felipe Watanabe de son côté a un niveau inférieur à ce qu’il a pu nous servir jusqu’ici sur le titre. Plus le temps passe, plus la Justice League of America sombre. Il serait clairement temps de conclure.

– Watchful Note : 5/10

MISTER MIRACLE #3

review GREEN ARROW #26

Scénario :  Tom King Dessins : Mitch Gerads

Encore une fois, l’équipe à la tête de cette série livre un numéro très fort. Un numéro très humain. Un numéro qui bien que mettant en scène des personnages parmi les plus grands et les plus puissant reste sobre et touchant. L’équipe ne se perd pas en fioriture. On est avec Scott, on aimerait pouvoir faire quelque chose pour ce personnage. Il est écrit tel un héros de tragédie dans ce numéro bien sombre. On avance dans l’histoire et Tom King ne se livre pas d’avance. Il prend son temps. Il fait les choses bien. Et qui plus est, son travail est mis en valeur par le travail de l’artiste qui dépeint le héros déchu, celui qui est perdu et se pose des questions qu’il ne devrait pas se poser au risque de sa vie. Franchement cette série est un peu comme un ovni au milieu des titres DC en ce moment et ça fait du bien de le lire.

– Harley

Note : 8,5/10

NEW SUPER-MAN #16

review GREEN LANTERNS #26

Scénario : Gene Luen Yang Dessins : Richard Friend, Brent Peeples

Très bon numéro cette semaine. Le scénariste a décidé de s’attaquer au racisme dont les Chinois étaient victimes de la part des Américains au cours du XXème siècle, notamment dans les représentations artistiques. Il me semble que Yang a su jouer des premiers numéros de Detective Comics (avant Batman) ici pour nous proposer une première partie d’histoire assez géniale. Néanmoins, on retombe dans quelque chose de plus banal dans la suite même si ça reste plaisant, avec plein de petites références ici et là. Ce qui est dommage c’est d’aller (encore et encore) dans le héros vs. héros… Pour les dessins c’est vraiment intéressant dans la première partie de l’histoire, tout en restant assez joli dans la deuxième.

– The Bat

Note : 8/10

RED HOOD AND THE OUTLAWS #15

review JUSTICE LEAGUE #24

Scénario : Scott Lobdell Dessins : Dexer Soy

Bizarro continue de mener la danse en étant la nouvelle tête pensante des Outlaws. Cependant il semble qu’il y ait plus que ça qui se cache dans le cerveau de ce nouveau génie. Le numéro raconte en grande partie l’affrontement entre les Outlaws et l’équipe de Batwoman, présente dans Detective Comics. Beaucoup de baston, ça ne raconte pas grand chose. Un numéro très moyen finalement contrairement aux numéros précédents. Espérons une meilleure approche pour le prochain épisode, bien que le cliff ne donne absolument pas envie (encore la Suicide Squad ???). Il reste les dessins de Soy toujours beaux en ce qui concerne la représentation des personnages dans un mainstream assez plaisant.

– The Bat

Note : 6/10

SUICIDE SQUAD #27

review NIGHTWING #24

Scénario : Rob Williams Dessins : Barnaby Bagenda

Voici le début d’un nouvel arc dans ce numéro de Suicide Squad. Ici, nous reviendrons sur des têtes historiques, à la fois sur Terre et dans l’espace. C’est assez introductif, bien plus orienté explications et bilan de situation qu’action pour une fois. Je pense que l’idée peut être intéressante toutefois j’ai peur d’une énième manipulation de Waller qui n’avouera pas ses faiblesses et son passé et qui mettra tout le monde en danger encore. On se retrouverait ainsi dans le même schéma que tous les arcs précédents et j’aimerais un peu de nouveauté dans ce titre. Par contre, je ne suis pas très fan des planches de la nouvelle équipe artistique, avec des visages qui me gênent et des attitudes de personnages étranges. J’espère vraiment avoir du renouveau pour le titre. Vraiment. Et puis le coup de Croc qui vomit on en parle (à nouveau) ?

– Harley

Note : 5/10

SUPERGIRL #14

review SHADE, THE CHANGING GIRLS #11

Scénario : Steve Orlando
Dessins : Jose Luis

C’est pas mal, pas mal du tout même. Le numéro échappe à la lourdeur habituelle des crossover et évite l’écueil de faire affronter nos deux héros. Après, il est vrai que l’appréciation que vous aurez de cette lecture dépendra majoritairement d’à quel point vous entrerez dans le délire. En effet, bien que cela ne soit pas dit officiellement, Supergirl débarque chez le Superman asiatique afin d’apprendre à maîtriser le septième sens façon Saint Seiya. Du coup, un méchant débarque, Kara s’en sort, les gentils gagnent grâce aux nouvelles capacités, et notre héroïne retourne chez elle. Les dessins sont assez jolis et les univers des deux séries se combinent bien sans tomber dans le fan service. Seule l’introduction en mode « Je suis Kara, ma planète a explosé etc… », manque de finesse car vue et revue. Le récit a le mérite de développer les personnages. Même si vous ne suivez pas les deux séries, laissez-vous tenter.

– Blue Note : 7/10

SUPERWOMAN #15

review SHADE, THE CHANGING GIRLS #11

Scénario : K. Perkins
Dessins : Art Thibert, Stephen Segovia

Nouvel arc pour la série Superwoman, qui met en vedette Lana Lang, la meilleure amie de Superman. Cette fois, elle va devoir collaborer avec Lois Lane afin de combattre une certaine Midnight, sorte d’entité électro-informatique qui semble capable de prendre possession de certaines machines. C’est un début assez banal, mais qui a le mérite de se montrer plutôt efficace, en créant assez vite une tension tout à fait palpable et en dévoilant clairement ses enjeux. On regrettera toutefois la vitesse d’exécution, tant on ne nous laisse pas respirer dans ce numéro, qui semble vouloir avancer sans temps mort, ce qui ne permet pas au scénariste de développer la relation entre les deux héroïnes du moment. Le graphisme est à la hauteur de nos espérances et l’on a droit à un épisode tout à fait efficace, qui ne fait pas honte à la série, même s’il paraît un peu moins travaillé que les précédents. Espérons que la suite vienne vite nous rassurer, tant il y a du potentiel en cet arc.

– Zeppeli Note : 6,5/10

THE FLASH #32

review HARLEY QUINN #23

Scénario : Joshua Williamson Dessins : Christian Duce

Dans ce nouveau numéro de Flash, Barry commence son nouveau travail à la prison d’Iron Heights tout en continuant son entraînement avec Wally. La relation entre les deux speedsters n’est pas explorée en profondeur, mais c’est un début de les voir enfin travailler ensemble, tandis que Williamson place les pions de la grande menace à venir. La scène au pénitencier est bien plus intéressante, puisqu’on peut enfin découvrir le quotidien de ce lieu mythique et retrouver plein de super-vilains connus. Cependant, le personnage du directeur est caricatural et ne m’a pas captivé, et les règles qu’il impose dans sa prison sont trop étranges pour se laisser dire que le gouvernement accepte ce genre de comportements, même pour Iron Heights. Ce nouvel arc commence donc plutôt bien, avec un cliffhanger qui fera peut-être plaisir à ceux qui ont aimé celui du Black Hole – ce qui n’est pas vraiment mon cas – mais j’attends de voir comment vont agir Barry et Kristen dans les prochains numéros. Quant aux dessins, Christian Duce livre de jolies planches sans grand défaut et avec du dynamisme dans les scènes d’action, ce qui rend la lecture d’autant plus agréable.

– Sledgy7 Note : 7/10

WILDSTORM : MICHAEL CRAY #1

review HARLEY QUINN #23

Scénario : Brian Hill Dessins : N. Steven Harris

Bien, bien, bien… Après Midnighter et Apollo, un nouveau héros Stormwatch obtient son titre solo, qui plus est ancré dans l’univers DC, et ça fait plaisir. Alors, qu’est ce que ça vaut ? Meh… Faire un titre centré sur Deathblow est une très bonne idée permettant de mettre en avant le personnage bien qu’il ne soit pas extrêmement bien introduit ici. L’histoire est agréable à suivre, mais manque d’un petit quelque chose qu’une once de peps supplémentaire aurait pu amener pour un rendu beaucoup plus immersif. Néanmoins, comme à son habitude avec l’univers Wildstorm, le réalisme de l’action est l’un des points forts de la narration, et s’inscrit parfaitement dans le travail effectué sur The Wild Storm. De plus, le traitement de l’antagoniste est très particulier, ce dernier étant un héros de DC Comics, présenté ici comme un méchant. Par ailleurs, et c’est peut être le problème des spin-off en général, la sensation d’une tentative de copie de la série originale est bien trop présente. Brian Hill tente de faire du Warren Ellis au rabais, et au niveau des dessins, sans être désagréables à l’œil, il est possible de constater que Steven Harris est par moment vraiment à côté de ses pompes.

– Blue Note : 6,5/10

WONDER WOMAN #32

review HARLEY QUINN #23

Scénario : James Robinson Dessins : Sergio Davila

« Ah ! » Telle fut ma réaction en voyant que Robinson avait intégré à son récit l’équipe qui accompagne Diana dans son film. Un clin d’œil appuyé puisque l’action se passe pendant une partie du numéro à Paris. Une partie seulement, parce que ce second numéro de l’arc Children of the Gods nous fait beaucoup voyager, Diana suivant les traces laissées suite au meurtre d’Hercule dans le numéro précédent. Si on peut faire un reproche à ce numéro que n’avait pas celui d’avant, c’est qu’il va vite, un peu trop. Il ne laisse pas vraiment le temps de se poser sur le ressenti de l’amazone, d’insister sur l’importance des éléments rentrant en jeu, ou de donner l’ampleur que devrait avoir cet arc, c’est à dire un point marquant de l’histoire de Diana. Cependant, nous ne savons toujours pas comment l’auteur compte inclure cette histoire de frère jumeau dans la nouvelle origine établie par Greg Rucka, et la tâche semble assez difficile étant donné qu’à un moment, l’auteur affirme que Diana est la fille de Zeus, et à un autre, il mentionne bien le mensonge dans lequel elle a baigné durant les New 52.

– Mocassin Note : 5/10

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stingrayfell
stingrayfell
6 années il y a

Mais Rebirth c’est quoi à part le liens avec l’univers des watchmen (qui est encore obscure) et le fait de passer des numéros à réparer toutes les incohérences du New52 ? Parce que dans ce cas là je me concentre uniquement sur le DC Classique et je laisse tomber tout ça. New52 et Rebirth on dirait des saisons de trop dans une série tv qui était génial au début. C’est comme Marvel lorsqu’elle a créé Marvel Now et plus récemment le post Secret war.

Watchful
6 années il y a
Répondre à  stingrayfell

Je te rejoins là dessus, même si on ne peut cacher que dans tout ce tas de faux-espoirs qu’ont été New 52, et autres, on a eu droit à quelques petites surprises agréables. Pour utiliser ton image des saisons de trop, c’est un peu comme les épisodes qui te donnent l’espoir d’un gain de qualité, tout en sachant que ça ne redeviendra jamais comme avant.

Mortphine
Mortphine
6 années il y a
Répondre à  Watchful

Vous parlez de l’intrigue de rebirth ou de toute les series dans le rebirth?

stingrayfell
stingrayfell
6 années il y a
Répondre à  Mortphine

Les 2. Apres comme dit Watchful il y a de bonnes séries parmi ça mais pour moi c’est gâché par toutes ces séries qui passent leur temps à essayer de corriger tout ce qui a été fait à partir du New52 en faisant des séries, comme le dit Watchful, qui passent leurs temps à donner l’espoir d’un gain de qualité tout en sachant que ça ne redeviendra jamais comme avant.

Cielo
6 années il y a
Répondre à  stingrayfell

Ce sont des critiques apportaient par le site, je ne suis pas toujours d’accord avec, comme je le suis aussi, le mieux c’est que tu te fasses ta propre opinion au lieu de juger comme ça ^^. Il y a de mon point de vue plus de séries qui sont vraiment cool et sympa à lire que l’inverse.

Cielo
6 années il y a
Répondre à  Blue

Oui et je suis d’accord ^^, je réagissais simplement au fait que stingrayfell pense que Rebirth c’est seulement une lettre d’excuse et un crossover avec Watchemen ^^

stingrayfell
stingrayfell
6 années il y a
Répondre à  Cielo

Sur fond de question c’était bien ma propre opinion après avoir connu le DC Classique, lu pratiquement tout le New52 et ce qui ce fait chez Rebirth. Ce que j’ai dit n’est malheureusement pas un jugement hâtif, c’est pourtant bien le cas Cielo, c’est juste que tu ne t’en rend pas compte car tu t’aveugles avec les quelques séries qui sortent du lot.

The Bat
6 années il y a
Répondre à  stingrayfell

Il n’y a pas que quelques séries qui sortent du lot. Il y a pas mal de séries qui sont bonnes. Sans plusieurs mini-séries de qualité.

De plus un mea culpa n’entame en rien la qualité d’une série. Si c’est bon à lire, est-ce que le contexte de publication est vraiment important ?

Flycatcher
Flycatcher
6 années il y a

Pas convaincu non plus pour Michael Cray. J’ai trouvé ça très ennuyeux en plus de souffrir de la comparaison avec la narration très ciselée de Warren Ellis sur la série mère. C’est sûrement un tord d’aborder cette lecture avec une telle mise en parallèle, mais c’est difficile de s’en détacher. Et, au final, le fait d’incorporer des éléments pervertis de l’univers DC classique, Oliver Queen en l’occurrence, c’est une fausse bonne idée qui dessert le comics. Un ressort scénaristique qui fait office de gadget sans intérêt et dilue grandement le caractère très marqué qu’a su insuffler Ellis à Wildstorm, pour un résultat malheureusement ronflant.

mavhoc
6 années il y a

Couage Watchy, Oz Effect a fait plus de la moitié. Le plus dur/nul est derrière nous désormais !
Surtout qu’on voit, à côté, effectivement, un Detective Comics haut de gamme.

Vakarian
Vakarian
6 années il y a

Tim Drake assure, c’est clairement la renaissance du personnage, et pour ma part, ayant toujours été un grand fan de Drake, je ne peux qu’applaudir.

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