Review Express VO – Rebirth Semaine #62

Review Express VO - Rebirth Semaine #62

Le Coup de Cœur

Nightwing #26

Le Top

Superman #28

Le Flop

Everafter : from the pages of Fables #12

Soixante-deux semaines, ça commence à faire un sacré chiffre pour le dernier relaunch en date de DC Comics. Comme d’habitude, pas mal de titres plus que sympathiques, mais aussi deux trois catastrophes. Lisez, découvrez, et n’hésitez pas à nous faire part de votre avis, cet article est fait pour vous !


VERTIGO

EVERAFTER : FROM THE PAGES OF FABLES #12

review EVERAFTER : FROM THE PAGES OF FABLES #11

Scénario : Lilah Sturges, David Justus
Dessins : Travis Moore

Pfffffffffffffffffff… Si vous avez lu Transmetropolitan -non, je rigole, c’est du Vertigo, personne ne lit ça- vous devez vous rappeler de cet article écrit par l’auteur incendiaire et connu pour être quasi-intégralement composé du mot “f*ck”. Vous avez mon avis. Alors que le dernier numéro de Fables était sobrement nommé Farewell, témoignage empli de prescience du fait que la série aurait du s’arrêter là, ce dernier épisode de Everafter pourrait quant à lui être renommé le Baisodrome : une histoire bâclée. Parce que oui, sur les vingt planches proposées ici, la majorité ne présenterons que les héros s’embrasser au minimum ou pratiquer le coït pour l’occasion -c’est d’ailleurs les seuls éléments développant notre héros principal. Pour le reste, il y a un bouquetin géant qui… Oh, et puis pourquoi développer ? Franchement, pas la peine d’aller plus loin ! Ne retenez qu’une chose, Lilah Sturges est une tarée narcissique qui a fait ressortir ses problèmes personnels sur une série qui n’en avait pas besoin, et Travis Moore est un dessinateur talentueux qui mérite mieux que ça. DC Comics, vous savez qui virer !

– Blue

Note : 1/10

SAVAGE THINGS #6

review SAVAGE THINGS #5

Scénario :Justin Jordan Dessins :Ibrahim Moustafa, Jordan Boyd

Il reste encore quelques numéros avant de voir cette mini-série se conclure, et l’auteur en profite d’un côté pour asseoir les liens difficiles entre Cain et Abel avec un flashback plutôt prenant, tout en continuant l’action dans le présent. Une action qui se laisse là aussi suivre, bien qu’on ne soit plus dans la hargne sauvage qui caractérisait les premiers numéros. Plaisant, mais assez quelconque à la lecture, Savage Things #6 profite toujours de dessins d’Ibrahim Moustafa assez convenables, avec une certaine idée de la mise en scène qui aide à surprendre le lecteur lors des divers retournements de situation d’une part, et aussi à appuyer les moments les plus climatiques. Savage Things ne répond peut-être pas à son potentiel, mais reste un titre assez agréable à découvrir, pour les fans de polar hard-boiled.

– Arno Kikoo

Note : 6,5/10


BEYOND DC UNIVERSE

INJUSTICE 2 #17

review INJUSTICE 2 #13

Scénario : Tom Taylor Dessins : Juana Albarran

Cette semaine, c’est à une opération nocturne secrète de certains membres de la “team Batman” que nous assistons dans les pages de la série Injustice 2. Une fois n’est pas coutume, la série semble se passer de ses A-Listers pour se recentrer sur des seconds couteaux. C’est intéressant de voir que le scénariste ne se repose pas sur ses lauriers et tente de diversifier un peu son casting afin de renouveler le récit. Fort heureusement, Taylor maîtrise la caractérisation de tout son roster, et on s’amuse à cette lecture, qui a le mérite de mettre en avant le personnage de Plastic Man, qui vient apporter un petit vent de fraîcheur à la franchise (on aimerait beaucoup le voir dans les jeux, à bon entendeur). Je ne peux que vous conseiller de lire cette série, qui mérite de figurer dans votre pull-list virtuelle, puisqu’il s’agit d’un excellent titre digital first (si, comme moi, vous êtes fétichistes du papier, attendez une sortie physique, mais préférez les TPB aux pseudos singles, qui compilent quelques numéros). Ne laissez pas tomber Injustice, la série semble avoir de beaux jours devant elle.

– Zeppeli

Note : 7/10


DC UNIVERSE

BANE : CONQUEST #4

Review Express VO - Rebirth Semaine #62 13

Scénario : Chuck Dixon Dessins : Graham Nolan

Sentiment de meh cette semaine pour la 2e partie de la mini-série Bane : Conquest. Autant on rentre dans le vrai vif du sujet puisqu’il n’est plus question de team-up avec Batman, autant l’intrigue de Dixon est vraiment faible et pas du tout à la hauteur de ce qui était annoncé dans les sollicitations. Et ce n’est pas le second caméo du titre (Catwoman) qui vient sauver les choses. En résulte une histoire dont on se fiche assez rapidement par manque d’enjeux et parce que, si la dualité entre la force brute et l’intellect n’est pas inintéressante, elle ne s’accorde pas à Bane puisqu’il est justement censé combiner ces deux approches. Les dessins de Graham Nolan continuent de se rapporter à cette vieille vibe période Knightfall et on supposera que les inconditionnels de cette époque seront dans le kiff. Pour le reste, malgré la caution nostalgie, ça reste assez vieillot aussi et pas franchement intéressant visuellement. Vous aurez donc compris le message : même si vous êtes fan de Bane, il y a des choses plus intéressantes à lire chez DC cette semaine.

– Arno Kikoo

Note : 4/10

BATMAN #28

review BATMAN #26

Scénario : Tom King Dessins : Mikel Janin

Les numéros se suivent et se ressemblent un peu trop du côté de la War of Jokes and Riddles. L’action se fait très passive du fait de sa narration, et Tom King ne ménage pas forcément le lecteur. Il se passe pourtant des choses censées être graves et avec une dimension importante, mais on a du mal à ressentir malgré tout les enjeux, alors que l’opposition entre Joker et Riddler devrait être un phénomène en soi. De plus les bouleversements proposés tombent généralement à plat puisque l’évolution du schéma narratif ne change pas. On appréciera l’interlude avec Catwoman non seulement pour son look à la A Long Halloween, mais pour le lien avec le présent qui est établi. Mais ça reste à peu près tout ce qu’on peut retenir. Heureusement que Mikel Janin relève le niveau avec ses planches et le travail du bonhomme est magnifique de bout en bout. Dans le découpage proposé, qui sert du coup la narration, les double-pages bien bien folles, ou encore le duel entre deux tireurs d’élite célèbres, il y a de quoi s’en mettre plein les rétines. Et si l’habit ne fait pas le moine, clairement, ici, ce sera plus l’artiste qui fera le numéro.

– Arno Kikoo

Note : 7/10

CYBORG #15

review CYBORG #14

Scénario : John Semper, Jr. Dessins : Will Conrad

L’équipe créative de Cyborg ne semble pas comprendre que son titre n’intéresse presque personne et persiste à nous livrer des numéros tous plus inintéressants les uns que les autres, et ce n’est pas l’épisode de cette semaine qui viendra résoudre ce problème. On nous propose, comme toujours, un scénario qui présente Cyborg aux prises avec de méchants robots, alors qu’il est accompagné par son ami Beast Boy, histoire de nous rappeler maladroitement la glorieuse époque des Teen Titans, qui est bien loin derrière. C’est franchement affligeant de lire toujours la même chose et on ne peut que constater que l’on ne fait que perdre du temps en lisant ce comic-book, qui n’a pour seule qualité ses dessins, qui relèvent un tout petit peu le niveau. Et que dire de cette fin de numéro, qui ramène péniblement, une fois de plus, les Metal Men, qui valent clairement mieux que ça. Oubliez ce titre, et lisez autre chose, pour votre bien.

– Zeppeli

Note : 2/10

DEATHSTROKE #22

review DEATHSTROKE #21

Scénario: Christopher Priest Dessins: Diogenes Neves

Titre toujours aussi bon mais incroyablement déconcertant par moment. Priest met lentement en place les pièces qui lui vont lui permettre de livrer un arc qui promet d’être original. Evidemment la question de savoir si Slade a oui ou non abandonné sa carrière de mercenaire se pose toujours et est d’autant plus développée lors de l’échange qu’il a avec le Dr Light. Un dialogue parfaitement maîtrisé : bien écrit tout en restant intrigant. En même temps, histoire de pas s’ennuyer non plus, la nouvelle équipe de Deathstroke fraîchement nommée Defiance combat une armée de soldats de lumière, le tout servi par des dessins relativement bons cette fois. Cela permet de se rendre compte du potentiel que possède cette équipe, tant sur le plan de la puissance que sur le plan scénaristique. De plus, il reste l’intrigue de fond qui gagne peu à peu de l’importance mais qui est des plus absconses. Deathstroke reste un titre à lire en espérant que Priest reste dessus un bon bout de temps.

– The Bat

Note : 8/10

GREEN ARROW #28

review GREEN ARROW #26

Scénario : Ben Percy Dessins : Juan Ferreyra

Pour le troisième chapitre de sa traque du Ninth Circle, Green Arrow se rend à Metropolis pour y rencontrer Lex Luthor, même si Superman est évidemment dans le coin et nous aurons évidemment droit à un team-up rapide. Ce numéro partait bien, déjà avec le retour de Juan Ferreyra aux dessins, qui est encore une fois excellent et s’adapte bien au Man of Steel et à sa ville dans ses ambiances. Superman y est bien écrit, leur duo fonctionne et la double narration en première moitié de numéro est agréable. Quant au long dialogue entre Oliver et Luthor, de bonnes choses en ressortent également, mais c’est aussi ce qui en découle qui régresse la qualité du numéro. La réaction des gens touchés par l’attaque du Ninth Circle (qui prend encore de l’ampleur) semble vraiment exagérée et la résolution l’est tout autant, voire plus avec la niaiserie du message qui s’ajoute. Sans ce discours tourné au ridicule, ce chapitre serait vraiment efficace en termes d’art et de narration, mais je me vois obligé de lui enlever des points, en croisant les doigts pour que Batman n’aura pas le droit au même traitement au prochain numéro de Green Arrow.

– Sledgy7

Note : 6,5/10

GREEN LANTERNS #28

review GREEN LANTERNS #26

Scénario : Sam Humphries Dessins : Julio Ferreira, Eduardo Pansica

On peut apprécier que Sam Humphries se lance dans une sorte de quête pour approfondir à mort le lore du Green Lantern Corps. Nos héros se retrouvent dans un lointain passé avec ce qui semble être les premiers membres de ce crew, qui découvrent alors les anneaux verts et ne savent pas encore les utiliser. Jessica et Simon, pourtant nouvelles recrues, vont en fait servir de mentors à l’organisation qui les recrutera dans des milliards d’années. Vous voyez l’artifice scénaristique, est-ce pour autant intéressant ? Pas vraiment parce que Humphries a des tics d’écriture agaçants et notamment dans les cases de pensées qui font du remplissage pour pas grand chose. Mais aussi parce qu’on perd une bonne partie du numéro avec, comme toujours, des personnages qui préfèrent se taper dessus au lieu de discuter. Au moins, les planches sont plutôt belles et l’artiste fait preuve, plutôt, de créativité pour la représentation des divers personnages, accentuant un côté SF déjà bien prononcé au naturel. Pour les fans, il y a peut-être de quoi se sustenter, mais je ne vous cacherai absolument pas l’ennui qui m’a parcouru au long de ces 20 pages. C’était assez fatigant.

– Arno Kikoo

Note : 5,5/10

JUSTICE LEAGUE #26

review JUSTICE LEAGUE #24

Scénario : Bryan Hitch Dessins : Fernando Pasarin

C’est le dernier arc de Hitch ! ENFIN ! Après avoir bousillé l’équipe phare de DC pendant plus d’un an il s’en va ! Mais avant ça parlons donc de l’introduction de ce nouvel arc. Cela commence avec de la bonne grosse destruction (pour changer) afin de nous présenter les enfants de la Justice League. Dans le but d’annuler ce futur apocalyptique, ils retournent dans le passé afin de rencontrer leurs parents qu’ils accusent d’être la cause du malheur dans lequel ils vivaient. C’est un numéro moyen. Il hérite certes de pas mal de défauts présents depuis le début ce run mais il reste une histoire assez intrigante mais complètement oubliable également. Pasarin nous délivre des planches moyennes malgré quelques bonnes tentatives. La Justice League quant à elle se plaint des ravages de la guerre avec quelques dialogues mal écrits. Bref, rien de nouveau, aucun sursaut de qualité mais pas dégueulasse non plus.

– The Bat

Note : 5/10

NIGHTWING #26

review NIGHTWING #24

Scénario : Tim Seeley Dessins : Javier Fernandez

Nouvel arc sous la plume de Tim Seeley quinous montre une fois encore qu’il est l’homme de la situation sur le titre. Il retrouve pour l’aider au dessin Javier Fernandez. Vous retrouverez donc ici un épisode qui fait suite au drame du meurtre de l’ami de Dick. Notre héros recevra la visite de son ex partenaire et patronne, Huntress. Ils vont enquêter sur le meurtre et navigueront dans le milieu de la mafia italienne, l’ennemie d’Helena. Ce qu’ils vont découvrir va plus que les surprendre et amener un cliffhanger plutôt pas mal. Mais dans se trame principale, Seeley n’oubliera pas Shawn. L’auteur a des projets bien précis pour notre héros. Seeley soigne parfaitement ses débuts d’arc et ses trames de fond et ça, ça me plait. Inutile de revenir sur la qualité des dialogues.

Au dessin, vous en prendrez plein les yeux sur plusieurs pleines pages que ce soit pour la voltige vers la fin ou pour les abdos au début, fan ou pas de l’anatomie, la scène est pas mal. Fernandez jongle encore sur de l’excellent et du moins bien. Quelques cases ne sont pas folichonnes du tout du tout mais d’autres avec les expressions faciales font pencher la balance du bon côté. Et ses dessins accompagnent aussi bien l’action que les moments d’émotion.

Fan de Nightwing comme moi, vous êtes servis. Les autres, vous trouverez un comics qui montre un potentiel très bon. Mais la continuité étant de rigueur, ayez du bagage.

-James Edge Grayson

Note : 8/10

SHADE, THE CHANGING GIRLS #11

review SHADE, THE CHANGING GIRLS #11

Scénario : Cecil Castelluci Dessins : Ande Parks, Marley Zarcone

La chute libre continue pour la série Shade qui réussit l’exploit, cette semaine, d’apparaître bien trop lente dans le développement de son projet narratif global et trop brève et éparpillée dans ses scènes clés. En résulte le sentiment de lire un récit qui avance à vue et qui peine à trouver son rythme en se perdant dans un enchaînement de scènes sans aucun travail au niveau des transitions de la part de Cecil Castellucci. Avec ce traitement pénible, il devient, en plus, difficile de ne pas perdre toute connexion avec les personnages. Malgré quelques grosses révélations, la série a donc tous les problèmes d’une oeuvre à bout de souffle, qui ne doit son salut que pour sa partie artistique souvent inspirée. Même si les planches sont généralement assez épurées, le mariage entre le trait de Marley Zarcone et les couleurs de Kelly Fitzpatrick fonctionne toujours. Hélas ce n’est pas suffisant et, pour faire simple, Shade The Changing Girl #11 est un sacré bordel et a fini d’épuiser ma patience pour le titre.

-n00dle Note : 3/10

SUPERMAN #28

review NIGHTWING #24

Scénario : Peter Tomasi & Patrick Gleason Dessins : Scott Godlewski

Derniers jours de vacances pour les Kent, dans leur road-trip culturel, amusant, sans avoir cet effet de bourrage de crâne. Les scénaristes touchent à de nouvelles thématiques d’une certaine actualité, sans jamais pointer du doigt ou reprocher, l’interprétation a sa place ici, ce qui créé un parfait parallèle entre passé et présent. Une certaine redite dans le traitement de la guerre, et de l’histoire du pays à travers ces grandes étapes meurtrières, mais une accumulation et une petite histoire à la fois bien mise en scène, et touchante malgré sa courte durée. Quelques questions soulevées, mais rien de réellement problématique, ce n’est pas ce qui est recherché, mais il est dommage de ne pas avoir creusé légèrement plus en s’arrêtant à l’énumération de faits connus ou non selon le lecteur. Godlewski est très bon, je ne trouve rien à lui reprocher. Sa représentation de Clark/Superman massive est impressionnant, plusieurs pages marquent l’esprit dans le découpage des cases. Le numéro est très fluide, où seul de longs dialogues pouvant paraître, pour certains, pour un effet de lourdeur, reste un effet réaliste. Puisque les informations trouvent leur pertinence dans la transmission. Exemple d’aventure sous forme de simple voyage efficace et réussi, qui a su ne pas tirer sur la corde, et s’arrêter quand il le fallait.

-Watchful Note : 8/10

THE NEW GODS SPECIAL #1

review HARLEY QUINN #23

Scénario : Shane Davis, Walter Simonson, Jack Kirby Dessins : .Shane Davis, Walter Simonson, Jack Kirby

Woaw ! C’était… violent ! Attention, non pas que je sois un individu facilement choquable, loin de là, mais au début de ma lecture, je dois bien avouer que je ne m’attendais pas à ce niveau de brutalité dans les combats. Alors que dire de ce numéro spécial qui se compose en trois parties. La première, de Davis, présente un Orion partant se battre contre Kalibak et… c’est à peu près tout. Les dessins sont travaillés et l’ambiance est là, mais pour être honnête, à part quelques planches d’exposition permettant de présenter en outre Forager, la suite reste juste une grande baston générale dans laquelle les personnes détestant le fils de Darkseid trouveront leur compte. La partie 2 est composée de peu de planches et n’a quasi aucune utilité scénaristique, à tel point qu’il est possible de se demander pourquoi celle-ci a été incluse. Néanmoins, la partie 3, réédition d’un numéro d’époque et centrée sur Lonar fait toujours plaisir à voir, et permet de contenter les fans purs et durs de Kirby tout en  remettant sur le devant de la scène l’artiste. Et ça, rien que pour le côté historique de la chose, les nouveaux lecteurs ayant du mal à se pencher sur du old-school, cela fait toujours plaisir à lire. Dommage que cette mini-histoire s’avère trop courte. Par ailleurs, il est possible de se sentir mitigé à la fin de cette lecture. En effet, ce numéro ne prend pas le temps et tout semble terriblement rapidement expédié, alors que la première histoire, constituant le coeur de ce Special, aurait gagné à être plus consistante et mieux développée. En bref, ce numéro est un bel hommage mais a du mal à se trouver autant dans sa forme que dans son contenu.

– Blue Note : 6,5/10

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LPU
LPU
6 années il y a

Je viens d’entamer Justice League avec le #26 et je viens aussi de découvrir The Authority. J’avais lu l’an dernier Age Of Ultron (Bendis/Marvel) et tout concorde… Ce mec (Hitch) est l’empereur du destruction porn, il ne sait faire que ça. Blagues à part un premier numéro pour cet arc est curieux mais dangereux. Ca sent le « après moi le déluge, démerdez-vous avec ça Didio & Co… ». (Et précision : Authority est excellent – son run sur Stormwatch aussi ; Age Of Ultron est plutôt naze – et je suis tout sauf un hater de Marvel).

Sinon cet arc Green Arrow est assez faible, peu cohérent graphiquement mais la série reste solide et rafraichissante. Percy se cherche et en même temps se fait plaisir avec les autres personnages DC. C’est capilo-tracté mais pas inintéressant, en espérant que la série reparte de plus belle par la suite (et qu’elle ne souffre pas trop du raz-de-marée Metal).
Quant à Superman, c’est toujours parfaitement bien écrit mais non : Godlewski n’est pas bon.

Enfin le One-Shot sur Kirby est décevant dans le sens où il a un gout de pot pourri sous forme d’hommage forcé. Le récit de Davis est sympa mais franchement tout ça pour quoi ? Ouais 4,50€ plutôt mal dépensés en l’occurrence.

LPU
LPU
6 années il y a
Répondre à  LPU

HS : Sinon vous avez vu ça : https://www.amazon.fr/dp/2365779026/
????

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