The Script Of #5 : Roy Thomas

Chapitre Un

Chapitre Deux

Chapitre Trois

Chapitre Quatre

Le poids des responsabilités

Le départ de Kirby est soudain, et c’est à Roy Thomas de reprendre les rennes de ce qu’il réalisait sur les Inhumains dans Amazing Adventures avec Neal Adams. Comme tout artiste devant remplacer Kirby sur ses titres en cours, il n’aimait pas avoir ce sentiment de copier cet artiste. Ce ne fut que le temps de deux numéros. La grande nouvelle de 1971 était le départ de Stan Lee vers un projet de film qu’il devait co-écrire avec Alain Resnais : The Monster Maker. Stan, de plus en plus rapproché du rôle de business-man que de passionné de comics, fini par confier le titre le plus rentable de la boîte à Roy Thomas. Une fois n’est pas coutume, il est accompagné de Gil Kane, qui travaillait déjà avec Stan Lee sur le titre. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, Roy Thomas ne resta pas longtemps sur le titre et s’en débarrassa. Stan Lee devra revenir dessus assister John Romita Sr. devenu dessinateur avant que Gerry Conway commence son long run sur le personnage de Spider-man.

Roy Thomas était plus attiré par de nouvelles choses. Il créa avec Marvel Feature #1 l’équipe des Defenders, avec l’artiste Ross Andru. Il laissera l’équipe aux mains de Steve Englehart avec un titre à leur nom. 1971 est une année rude. Le remplacement de Stan Lee a été difficile. Les ventes baissaient, et les productions ne répondaient plus aux attentes d’un lectorat habitué au style de Stan. Roy avait besoin de créer l’événement chez Marvel. Il réinvente le personnage d’Adam Warlock, une autre création de Jack Kirby dans Marvel Premiere. Toujours dans la réutilisation de créations passées, Roy réussit à obtenir l’autorisation d’écrire une histoire sur plusieurs numéros (ce qui ne se faisait pas à l’époque) et créé le premier crossover Kree/Skrull War dans le titre des vengeurs. Un crossover qui s’étalera dans Avengers #89-97. C’est une réussite. Cette histoire sous-entend la présence d’un univers cosmique et d’un univers partagé possible entre toutes les séries dans l’esprit des fans.

Nous sommes en 1972, et les supérieurs de Stan Lee craignent que celui-ci ne finisse par quitter Marvel pour DC. Ce qui peut paraître invraisemblable connaissant ses liens avec les personnages et sa crainte de comics de moins bonne qualité. Pour autant, le Man a bien changé et semble avoir de moins en moins d’attache, si ce n’est avec les revenus. Ils lui offrent donc une promotion en tant que directeur en chef de Marvel Comics. Son poste étant donc libre, Stan se tâte à laisser son ancienne place qui devint un réel problème avec le temps. Il la cède donc à Roy Thomas, sans surprise. De même Thomas doit à son tour trouver un remplaçant. Devant choisir, il décide de céder sa place à Marv Wolfman et Len Wein, oubliant une promesse faite à Gerry Conway qui lui en voulait de ne pas l’avoir tenue. Roy Thomas était devenu Chef Editorial. Et son calvaire commença.

Selon une politique de l’ancien Directeur de l’entreprise, les prix des comics ont du passer de 15cents à 25cents en Novembre 1971 avec pour justification de publier des numéros en Oversized. Plus tard, l’éditeur baisse le prix à 20cents et revient à un numéro de taille normale. Au même moment, Nixon demande une fixation des prix des biens dans le pays. Un contrôle des prix apparaît et met mal à l’aise l’éditeur concernant le prix de 20cents pour un numéro de 32 pages. Ce contrôle fait pression pour que l’éditeur justifie cette augmentation des prix de ses biens. Roy Thomas devenu chef éditorial insère un supplément de trois pages dans le Fantastic Four #128, dont il est également le scénariste, et y ajoute une courte lettre où il explique la situation et l’apparition soudaine de ces trois pages.

Après plus de 70 numéros, Roy Thomas laisse la place à Steve Englehart sur The Avengers. La raison est qu’après tant d’années sur le titre, Roy était fatigué et son nouveau titre le pesait dors et déjà. Les chutes des ventes sont une pression constante à laquelle il doit faire face, ce qui ne l’empêche pas de multiplier les essais. On lui doit donc les célèbres What If, explorant les diverses possibilités sur des événements passés. Mais aussi le concept de Ghost Rider, idée qu’il doit à l’annonce d’Enie Knievel projetant de sauter au dessus du Snake River Canyon en moto. Avec Gary Friedrich et Mike Ploog, ils créent ensemble le personnage.

D’une autre manière Roy se retourne vers ce qui a fait le succès de Marvel dix années plus tôt et tente d’adapter ses titres à des phénomènes de sociétés actuels. Il lance le concept du héros noir à louer avec Luke Cage, un résultat mitigé auprès des lecteurs. Dans le courrier des fans, de nombreuses féministes disent aimer le personnage de Black Widow dans Daredevil, par sa force, son indépendance revendiquée par plusieurs oppositions au héros de la série. Une image de la femme qui plaît aux femmes, comme aux hommes. Roy décide de lancer une vague de titres mettant en avant des super-héroïnes écrites par des femmes. Stan Lee veut créer les personnages ainsi que le contexte et laisse Roy s’occuper du choix des scénaristes qui s’occuperont de ces titres. Sa femme Jean qui s’occupera de Night Nurse, Linda Fite qui s’occupera de The Cat et Carole Seuling, qui écrire Shanna the She-Devil. Les féministes sont furieuses. Ces séries enferment la femme dans des contextes dans lesquelles elles se retrouvent et qu’elles dénoncent. Ces titres ne font, à leurs yeux, en rien évoluer leur situation. Ce qui se comprend concernant la vision de la femme à travers les yeux de Stan Lee, qui écrivait discrètement pour le magazine Playboy à l’époque.

Après quatre numéros, Night Nurse est annulé. Et Jean annonce à Roy qu’elle le quitte. Avec ce nouveau poste, Roy travaillait énormément et plusieurs mois auparavant, Jean cherchait du travail. Stan avait accepté de lui offrir un poste de secrétaire, suite à la demande de Roy. Parmi les artistes, la rumeur selon laquelle ce poste n’était qu’un moyen pour Roy et Stan de les surveiller. Ce manque de confiance énerva Roy qui demanda à Stan de refuser le poste à Jean. Suite à cette histoire Jean aurait demandé à Roy plusieurs fois de quitter Marvel pour un autre éditeur où ils seraient, ensemble, mieux traités. Roy laissa sa demande sans réponses jusqu’à ce jour où elle le quitta. Cette histoire laissera une profonde cicatrice dans l’histoire de Roy chez Marvel et marque un premier pas décisif vers la sortie.

Ces créations n’ont pas toute cette unique fonction de vendre plus ou d’attirer un public.  Roy dira plus tard qu’il était dommage d’arrêter ces séries et que la seule raison est qu’il était difficile de vendre « de vendre des comics à des Blancs, dont les héros étaient Noirs. Et il était encore plus difficile de vendre à des hommes des comics mettant en scène des femmes« . Invaders sera sa création préféré chez l’éditeur. Il remet aux goûts du jour les personnages Marvel du Golden Age dans leur situation qui était la seconde guerre mondiale. Une équipe qu’on pouvait retrouver dans le titre All Winners, mettant en scène Namor, les Torches humaines, et bien sûr, Captain America et Bucky. On remarque qu’involontairement, il pose les bases qui feront le succès de All-Star Squadron au même titre que pouvait être la série Firestorm avant le succès de Fury of Firestorm pour Gerry Conway. Il ne quittera le titre que lors de son départ, en 1979.

De son côté, Stan reçoit une demande d’un producteur qui tourne un film de science-fiction en Tunisie pour adapter son film en comics. Stan y voit un échec cuisant et une perte d’argent. Roy en entend parler. A l’époque, Marvel multipliait les adaptations de films (Dark Crystal, 2001 Space Odyssey, etc.). Roy est intéressé, et en prend la responsabilité. Après tout, c’est lui qui a fait le succès de Conan, ils ne pouvaient pas le lui refuser. C’est ainsi que Roy se retrouve sur l’adaptation de Star Wars chez Marvel et adaptera le premier volet en trois numéros pour ensuite développer l’univers de la célèbre licence. Malgré quelques larges libertés, que ce soit sur les races extra-terrestres parfois ridicules (un lapin vert, chasseur de prime), Roy ne faisait, après l’adaptation, que boucher les trous et laissera le titre à Archie Goodwin après le dixième numéro. On lui devra tout de même une adaptation devenue un classique, et des aventures très étranges de Han Solo. Avant son départ, on notera une apparition de Roy dans Amazing Spider-man #126 aux côtés de Stan Lee. Roy ayant obligé Gerry Conway, le scénariste du numéro à ajouter la Spider-mobile imposée par Stan pour vendre des produits dérivés.

Entre la forte pression de son rôle et le manque de respect des nouveaux artistes, comme des anciens le voyant comme un jeune chanceux ne méritant pas son poste, Roy Thomas est fatigué. Il finit par ne plus supporter son quotidien et décide de quitter Marvel. Stan le retient et lui propose de le décharger du poids qui lui pèse et de n’écrire uniquement Conan et Invaders. De même, il lui promet de ne plus avoir de compte à rendre si ce n’est à Stan lui-même. Roy accepte et laisse sa place de chef éditorial à Gerry Conway qui laissera la sienne à Jim Shooter. Et ce dernier posera de gros problèmes.

Le Peuple Migrateur

The important thing to me was never whether my name, or Stan Lee’s, or whoever’s, was listed as « editor. » What I wanted, always, was simply the authority to guide the contents of comics I wrote, so I could tell the stories I wanted to tell and make certain that the artist-with as much leeway for creativity as I could give him/her-did a good job on the illustrations.

And in that respect, DC had done well enough by me.

Dans les années 70, Roy Thomas est contacté par Carmine Infantino, pour rejoindre DC. Il refuse, mais pense à quitter Marvel. Il avouera être resté chez Marvel pour une forme de fidélité envers Stan Lee. En 1975, il est contacté par Jenette Kahn future éditrice de chez DC Comics, qu’il connaissait déjà par l’intermédiaire de Vinnie Colletta (directrice artistique pour DC Comics) et pour avoir eu, ensuite, plusieurs rendez-vous auparavant suite à sa séparation avec sa femme, Jeanie. Lors d’un de l’un de ces dîners, il se souviendra d’une discussion concernant le poste d’éditeur/scénariste qu’elle trouvait ridicule, alors qu’elle disait admirer son travail en prenant en exemples des titres où Roy était justement éditeur et scénariste. Il précisera que malgré ces deux façons de penser, ils s’entendaient très bien, et ont évité de traiter de ce sujet pour conserver cette bonne entente. Ces divers contacts lui assuraient une place chez DC Comics, quand bon lui semblerait. Il gardera cette idée en tête.

Les tensions chez Marvel avec Jim Shooter n’aidaient pas. Alors que Roy allait renouveler son contrat, Jim Shooter devenu chef éditorial modifie les termes de ce contrat, selon lesquelles tous les travaux et toutes les modifications apportées devront passer la bureau de Shooter et seront corrigés. Roy refuse de renouveler son contrat. Stan essayera de le retenir de nouveau, mais rien n’y fait. Un jour, alors qu’il déjeunait avec Stan Lee et Carmine Infantino, il entend Stan échanger le prix à la page selon les artistes chez Marvel. Carmine fait de même, selon les dires de Stan, ce que démentira le directeur de DC Comics de l’époque. Roy laisse un mot sur le bureau de Stan expliquant qu’il trouvait cela immoral et certainement illégal. Stan comprend qu’il s’agit d’une lettre de démission. Roy Thomas claque la porte et appelle Paul Levitz, nouveau responsable de DC Comics.

Il signe chez DC un premier contrat de trois ans. Il débute en tant que dialoguiste pour assister plusieurs scénaristes sur divers titres dont Action Comics, Batman, Green Lantern et autres, dont les DC Comics Presents #31-32 scénarisés par son ami Gerry Conway. DC veut marquer le coup et inclure le nom de Roy Thomas sur un grand nombre de numéros, pour se vanter de sa toute dernière acquisition. Il écrit ensuite le titre Legion of Super-Heroes pour remplacer Gerry Conway, ainsi que Jimmy Janes remplace Steve Ditko sur ce même titre. Gerry assiste Roy en lui laissant le plot prévu pour Legion of Super-Heroes #277-278 qu’il scénarise. Roy n’apprécie pas cette série et se sent forcé d’écrire jusqu’au #283. Il bénéficie néanmoins d’une qualité qui lui permettra de se démarquer : sa capacité à écrire correctement un titre mettant en scène une équipe. Fruit de son expérience sur les titres Marvel comme X-men, qui a été son premier exercice concernant cette écriture, mais surtout Avengers.

Il est de suite connu pour avoir des projets concernant la Justice Society of America. Il émet l’idée de replacer cette équipe à l’époque de la seconde guerre mondiale. L’idée plaît, mais le projet d’un retour de la JSA n’aboutit pas. Il profite que son ami Gerry Conway tienne le poste de scénariste sur le titre DC Comics Presents pour écrire une histoire lui tenant à cœur mettant en scène Superman et Shazam. Le titre a pour but de mettre en avant une rencontre entre deux héros de la licence, et Roy compte bien profiter de cet avantage. Cette idée vient de bien plus loin. Depuis son arrivée, Roy est venue avec des tas de projets pour Dr. Fate et Shazam entre autres. DC refuse ces deux propositions, l’éditeur ayant d’autres plans, que nous verrons par la suite, pour le scénariste.

L’affrontement entre les deux héros n’a pourtant rien d’inédit, Gerry Conway est connu pour s’occuper de ce genre d’opposition entre les personnages issus d’univers différents. L’intention de Roy va plus loin, il cherche à transmettre sa vision du comics, continuer à faire vivre la magie du comics de son enfance perçue comme ridicule, déjà en 1981. Pour cette raison, on remarquera la présence de Gerry Conway au scénario du DC Comics Presents #33 et son absence du suivant. Gerry cède sa place à Roy le temps de se numéro avant que DC ne fasse revenir les scénaristes suivants (Martin Pasko et Jim Starlin). Pour plus d’informations concernant l’histoire, je vous laisse savourer un Showcase concernant le second numéro de cette histoire.

En pleine écriture de Legion of Super-Heroes, et s’occupant de dialogues de plusieurs numéros de diverses séries, Roy Thomas prend malgré tout le soin de s’associer avec des artistes qu’il connait ou apprécie lorsque l’éditeur ne lui impose pas un artiste choisi au préalable. C’est ainsi que Roy Thomas a travaillé avec Ross Andru – ami dessinateur que Roy a connu chez Marvel avec Sub-mariner et a travaillé longtemps avec Gerry Conway sur Spider-man – pour DC Special Series #26. Une aventure de Superman dévoilant les secrets de la Forteresse de Solitude. C’est ainsi que se termine le long périple de 1981, année de l’insertion de Roy Thomas chez DC Comics, avant l’arrivée des grands projets pour lesquels nous le connaissons aujourd’hui.

Arak : Le Guide du Barbare

Le succès de Conan dérange et l’éditeur souhaite contrer ce succès, mais aussi profiter de ce nouvel atout acquis, en proposant un univers semblable. Roy Thomas était le moteur de la série Conan, dont ses derniers numéros de Sword of Conan venaient d’être publié en 1981, alors que le film, qu’il a lui-même scénarisé avec Gerry Conway, sort en salle. Roy Thomas réfléchit à ce projet. Entre temps, l’arrivée du scénariste chez DC ne faisait plus la une. Le succès de Marv Wolfman et George Perez sur New Teen Titans avait pris le dessus. Roy juge qu’il a énormément co-écrit jusque là, et voit ce projet comme un moyen de pouvoir décider d’un personnage qu’il peut créer lui-même allant cependant contre son éthique de l’anti-création de personnages appartenant ensuite à l’éditeur, et non à l’artiste-créateur. Roy est un peu lassé de l’héroic-fantasy. Il a écrit le scénario de Conan le Barbare en 1980, ce qui l’empêchait d’écrire (faute à la signature d’un contrat avec Ed Pressman – producteur du film) cette même année le scénario d’un nouveau projet de film réalisé par Ralph Bakshi : Fire and Ice. Le projet sera repoussé et sera finalement écrit par Roy Thomas et Gerry Conway pour sortir deux ans plus tard, en 1983. De même, Roy assiste Gerry pour la première série de comics Atari Force, chez DC.

Les années 80 étaient donc marquées sous le signe de la barbarie, des muscles de Mister Univers et de l’héroic-fantasy. Néanmoins, Roy cherchait une forme d’originalité dans ce projet. Il a l’idée d’utiliser un héros de Robert E. Howard (auteur des romans de Conan, Kull, Solomon Kane, entre autres) : Cormac Mac Art. Un héros peu connu, pirate dans un univers mélangeant beaucoup d’éléments et événements historiques. La chose n’aboutit pas, mais on retiendra cette notion de voyage et d’événements surnaturels bien plus proches de ces imprécisions qu’on retrouve dans les aventures du personnage que dans de l’héroic-fantasy classique. C’est sa fiancée, Dannette Couto, qui lui donnera l’idée d’un amer-indien qui part à la découverte de l’Europe. Roy est très sceptique concernant cette idée. L’idée mûrit et Roy finit par l’accepter. Trente ans plus tard, Roy avoue que ce voyage n’était censé durer près de 80 numéros, mais que l’essence même du personnage d’Arak est d’être nomade. Rien ne pouvait le maintenir à un même endroit. Roy sera accompagné de Ernie Colon au dessin, un artiste que le scénariste a connu alors qu’il travaillait sur Savage Sword of Conan chez Marvel en 1979. L’éditeur n’est autre que Dick Giordano, laissant libre le scénariste qu’est Roy Thomas pour pouvoir donner vie aux aventures du natif américain. Nous sommes en 1981, et Roy épouse Dannette, appelée Dann, en Mai.

Dann jouera un rôle non négligeable dans la construction du personnage, de son univers, et des directions prises par le personnage. Malgré une aide importante apportée à son mari, elle ne sera crédité qu’à partir du douzième numéro pour le back-up accompagnant les aventures d’Arak : Valda, The Iron Maiden. Son nom figurera aux côtés de son mari à partir de Arak #18, alors que le personnage arrive à Rome. Dann joue un rôle de plus en plus important dans l’écriture des scénarios de Roy à l’approche de leur mariage. Ayant prévu de passer leur lune de miel à Paris, liant ainsi l’envie de voyager et recherches concernant l’évolution de Arak, Roy doit prendre de l’avance sur ses scénarios. Ayant beaucoup discuté d’Arak avec sa futur femme, il lui demande d’écrire le scénario d’Arak pour lui alors qu’il s’occupera de All-Star Squadron, dont on parlera ensuite, mais qui avait débuté exactement en même temps qu’Arak. Roy Thomas précisera qu’il ne souhaitait absolument pas se débarrasser de Arak, mais de le confier à sa femme pour avoir le temps de bien faire et soigner son travail « pour en faire plus ».

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Rédacteur depuis 2015, j'écris dans le but de partager ma passion pour les comics et entretenir ce sentiment de découverte. Bercé par Batman, mon cœur se dirige toujours vers l'éditeur aux deux lettres capitales.
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