– Oh geez Blue, ces couleurs, mes yeux, ça brûle !
– Fallait prend des lunettes de soleil, je t’avais prévenu !
– Mais tu m’as rien dit !
– Peu importe ! Nous voilà dans une nouvelle aventure, essaye d’être heureux, c’est toi qui m’a forcé à venir ici.
– Mais on y serait allé de toute faç…
– Chut Billy ! Réjouis-toi, l’Australie c’est pas si mal, apprécie le paysage.
– Dis Blue, il est où Barry Allen ?
– Il existe pas…
– QUOI ? Mais tu as menti aux gens !
– Ouaip, ça arrive, deal with it !
– Il y a bien un Flash au moins ?
– Bien sûr !
– Ahhhh tu me rassur… Pourquoi tu souris comme ça ? Arrête tu me fais peur !
– Tu connais Lorie ?
– Oui malheureusement, pourquoi ? Quel rapport avec Flash ?
– Bienvenue sur Earth 6
Dans un bunker secret, la méchante Andréa Zakara tente de faire fonctionner un portail temporel. Malheureusement, depuis des mois, la formule étant incomplète, elle ne fait que sacrifier en vain des membres de son organisation.
Pendant ce temps là à l’université de LA, Mary Maxwell rêve de devenir une super-héroïne et se plaint de l’attitude de son père, scientifique de génie, qui ne cesse de s’enfermer de plus en plus dans son garage, à l’abri du monde.
Une fois rentrée à la maison, les méchants ne tardent pas à débarquer. Phillip utilise les défenses placées autour de la maison et la petite famille s’enfuit à bord de sa Citroën voiture du futur, en déployant des propulseurs arrières.
Pendant ce temps, notre grand méchant, Dominic Daark – suivez un peu – continue de comploter.
Alors qu’ils sont cachés depuis plusieurs jours en Australie dans une maison en bordure de plage, Mary se décide enfin à demander des explications à son père. Ce dernier lui révèle qu’il était, à une certaine période de sa vie, chercheur pour Andréa Zakara et qu’il avait pour mission, avant de s’enfuir de l’organisation, de modifier l’ADN humain afin de permettre à l’Homme de résister au voyage temporel. Des cris sur la plage se font entendre et la montagne de muscle ayant tenté de tuer nos héros précédemment débarque dans la maison à une vitesse ahurissante, leur laissant à peine le temps de s’enfuir.
Alors qu’ils quittent la côte à bord d’un hors-bord, très vite, un gaz verdâtre se répend et les Maxwell se rendent compte que toute la vie à été éradiquée aux alentours. En effet, tous les poissons autour d’eux sont morts sans explications. Mary en profite alors pour… tomber à l’eau ! Sa peau devient verte et un sentiment de fatigue l’assaillit alors que son père lui promet de trouver un remède, avant de repartir en direction du continent.
Après avoir vu un colibri voler, Phillip Maxwell décide de synthétiser l’ADN du volatile pour l’injecter à sa fille et voir le résultat #WorstDadEver
Malheureusement, des agents de l’organisation l’abattent au moment où l’aiguille s’enfonce dans la peau de Mary. Furieuse, les pouvoirs de la jeune femme se réveillent et celle-ci défait ses adversaires avant de retourner écouter les dernières paroles de son père, ce dernier lui conseillant de conserver le secret sur ses mystérieuses capacités – scène assez touchante, c’est à noter. Pendant ce temps, Andréa Zakara réussit finalement à percer le secret du voyage dans le temps. Néanmoins, dans une scène de charme de mauvais porno des années 80, la méchante décide alors de tuer son bras droit au C4, refusant de partager cette découverte avec lui.
À Los Angeles, Mary, après avoir testé sa super-vitesse, commence à se confectionner un costume qui est… comment dire ? Très années 2000.
Après avoir arrêté quelques ennemis, la jeune femme arrive à retrouver le QG des méchants tandis que Zorgul, le bras de Andréa refait surface. Flash est capturée et Mme Zakara manipule son ex-second afin de lui faire croire qu’il a essuyé une tentative d’assassinat.
Sur ces entre-faits, Mary arrive à s’échapper, et après avoir passé à tabac la quasi-totalité des ennemis, fait face à Zorgul. Ses coups ne lui faisant aucun dégât, la speedster le piège en l’électrocutant et le colosse s’effondre, mort.
Soudain, derrière la jeune femme, Andréa apparaît. N’ayant pas écouté les instructions d’utilisation de la machine temporelle, la méchante commence à vieillir de plus en plus vite avant de s’écrouler, morte elle aussi.
Le soir même, marchant dans les rues de sa ville, Mary ne se rend pas compte qu’elle passe devant la secte de son futur pire ennemi, Dominic Daark. Ce dernier l’observe en sachant qu’il la reverra, mais dans quelle circonstances ?
– Alors Billy, t’en as pensé quoi ?
– Mes… mes yeux sont en train de fondre Blue.
– Je parle du scénario, qu’est ce que tu peux être égoïste parfois !
– J’ai terriblement mal !
– Pffff, ok , ça va, j’ai compris, on se tire !
– Où est-ce qu’on va?
– On retourne voir l’amoureux transi qui se fringue en chauve-souris, il parait qu’il a recruté un gamin pour l’accompagner dans ses aventures ! Quel genre de taré fait ça ?
– …
– Un mot, rien qu’un mot et je te laisse là !
À SUIVRE
Merci de m’avoir lu et on se donne rendez-vous d’ici peu dans la suite de cette aventure et ce pari fou de fournir autant de chroniques. Lisez des comics, allez voir des films et à une prochaine fois !!!
Désolé mais rien à voir la chronique malheureusement mais je me demandais si ces oeuvres étaient intéressantes à lire ou pas ?
Sont-elles bonnes ? Sont-elles intéressantes comme objet de collection ? Où est-ce que ça vaut juste pas la peine ?
Merci beaucoup :)
– B…Blue, il a posé des questions sur ces aventures !
– Ouaip c’est bon, je sais lire ! Donc :
Sont-elles intéressantes ? Je ne dirais pas ça, mais elles sont véritablement dépaysantes pour quelqu’un cherchant quelque chose d’un peu décalé.
Sont-elles bonnes ? Globalement non, juste drôles de part leur côté nanardesque !
Sont-elles intéressantes comme objet de collection ? Non, pas pour le moment. Elles restent relativement facile à obtenir. Après, dans quelques années, elles prendront sans doûte pas mal de valeur, surtout que Stan Lee n’est plus tout jeune et on connait la tendance qu’ont les prix à augmenter lorsqu’un auteur disparaît ! En plus, les covers sont belles, en particulier certaines variant !
– Mais…Mais c’est horrible !
– Non Billy, c’est du capitalisme, tu peux pas comprendre !
Une chronique très tournée vers les années 2000. La question qui demeure après la lecture des écrits de Blue est : est-ce que Billy s’habille de la même manière que la Flash de cet univers ?
– Ouaip, Billy est un gosse influençable !
– Non, c’est…c’est pas vrai !
– T’as porté un pantalon patte d’eph pendant 3 jours !
– Ça…Ça n’a rien à voir !
– Mais bien sur, autant pour moi !
Appelez les hendecks !
Complètement taré le Stan. Bon on passe au suivant.