Les points positifs :
Les points négatifs :
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Nouveau magazine et….. Mêmes séries finalement. La seule différence c’est que le relaunch correspond à la période, bientôt enterrée en VO, du DC You et plus précisément dans les séries de la Bat-Family de celui qui a gagné le nom de Bat-Chappie. Après la disparition de Batman après son duel contre le Joker la municipalité de Gotham prend une initiative originale… Découvrez le reste dans Batman Univers #1 dans les kiosques pour 5,60 euros pour la couverture régulière et 6,50 euros pour les variantes.
Numéro précédent : Batman Saga #45 | La suite dans : Batman Univers #2 |
Batman #41
- Scénario : Scott Snyder– Dessins : Greg Capullo – Colorisation: Fco Plascencia
Le lectorat de comics est affreusement conservateur. Combien de cris d’orfraies n’ai je entendus à propos du Bat-Chappie, initiative désespérée de la mairie de Gotham pour pallier à l’absence de Batman, qui ne répond plus aux appels. Mais d’abord il va falloir trouver un pilote pour la machine. Un candidat semble tout indiqué, mais celui ci refuse de rentrer dans la boîte de conserve. Franchement il n’y a pas de quoi se rouler par terre. L’initiative du nouveau Batman est bien amenée et si c’est n’est pas l’idée du siècle, il n’y a rien de scandaleux. il y a même quelques bonnes idées comme le nouveau look du commissaire Gordon, dont on découvre l’âge avec stupeur, ou le choix de la couleur de l’armure qui fait un ou deux clins d’œil aux histoires passés du Bat justicier. Comme quoi, des fois un bon coup de tondeuse et ça fait la blague. Pour résumer: une histoire correcte, quoi.
Pour ce qui est du graphisme on retrouve le couple Capullo aux dessins et Plascencia à la colorisation… Tout est dit, non ? Non ? Bon, il parait qu’il y en a qui n’aiment pas… Si, si ! Moi j’adore en tout cas. On retourne d’ailleurs au côté très coloré de l’ère « Zero Year » que j’aimais beaucoup.
Bref une entrée qui justifie le choix du Bat-Chappie avec un certain brio. Certains voudrait sûrement que le titre Batman raconte toujours la même histoire, mais Snyder continue de tracer sa propre voie, aidé avec talent par Greg Capulllo et du coloriste Fco Plascencia. Une bonne introduction, j’attend avec impatience ce qu’il va en être fait.
– Darthfry |
Note : 7/10 |
Qui dit nouveau magazine, dit début d’un nouvel arc. Ceux qui s’attendaient à découvrir de nouvelles aventures de Bruce Wayne se sont laissés abuser par la couverture mensongère de ce Batman Univers #1, puisque l’on nous propose ici de découvrir les débuts de Jim Gordon sous le costume (ou plutôt le scaphandre de combat, spéciale dédicace à X-Or, le shérif de l’espace) de Batman. En effet, suite à la conclusion d’Endgame (“Fin de Partie” en VF) Bruce et son ennemi juré, le Joker, sont laissés pour morts et l’on découvre que la société Powers (Batman Beyond, anyone ?) décide de recruter Gordon pour en faire un Batman qui collabore avec la police.
L’idée n’est pas spécialement mauvaise, même si j’avoue y avoir été fort réticent lorsque j’ai abordé ce numéro à l’époque. Il faut avouer que Scott Snyder parvient à nous faire accepter la chose, ce qui parait presque impossible à priori. Cependant, il est évident que la caractérisation de l’ancien commissaire est bien différente de celle à laquelle on est habitué, et c’est d’ailleurs la plus grande faiblesse de la chose. L’auteur nous livre plus ou moins sa version de Knightfall, et l’on comprend assez vite ce qu’il veut faire lorsque l’on découvre la dernière page de ce numéro.
C’est donc sympathique sans être transcendant, et l’on se plaît tout de même à découvrir cette nouvelle version de Batman, en dépit de son design assez étrange. En ce qui concerne le graphisme, Capullo est toujours au top et ses pages sont très réussies, on apprécie les scènes d’action, fort réussies, ainsi que certains designs, qui parviennent à rattraper la bêtise de l’armure et de la nouvelle coupe de cheveux notre ami Jim.
– Zeppeli |
Note : 6,5/10 |
Detective Comics #41
- Scénario : Francis Manapul, Brian Buccellato – Dessins : Francis Manapul, Fernando Blanco– Colorisation : Brian Buccellato
Le sneak peek envoie du bois, les auteurs nous annoncent une intrigue bien spéciale. Comment Bullock va en arriver à vouloir tuer sa partenaire en demandant l’aide de Bat-Chappie ? Et aux dessins, Manapul ! Mais juste pour ces quelques petites pages, dommage.
L’épisode quant à lui nous explique comment Bullock est recruté pour faire partie de l’équipe spéciale qui va accompagner Bat-Chappie. Mais il refuse, il ne veut pas de cet usurpateur. C’est amusant car il n’aimait pas spécialement l’original, et il cherche à le retrouver. Et il ne sait pas qui est le nouveau Batman, avant la fin. Donc on se doute bien que cette révélation va le faire accepter l’emploi. La fin nous révèle aussi ce qui pourrait pousser Bullock à vouloir tuer sa partenaire. Même si, connaissant les auteurs, ça sera bien plus compliqué, d’autant plus que Harvey sort avec…
Ça fait franchement du bien de se mettre de nouveau dans cette série. On est proche des policiers à la manière d’un Gotham Central. On retrouve un passage dans un bar pour nous montrer un peu leur quotidien. Les dessins ne sont pas mauvais du tout, à part la scène d’action du début un peu moche. Mais n’est-ce pas parce qu’on vient de finir du Manapul juste avant? Et les couleurs de Buccellato sont parfaites. Un bon début.
– James Edge Grayson |
Note : 8,5/10 |
Il y a plein de qualités au run de Manapul et Buccelato sur Detective Comics. Le premier était le dessin (mais mettons ça de côté). L’autre était un focus sur Bullock, véritable héros de la série aux côtés de Batman, et figure du vieux flic fourbu dans les nuits d’une Gotham chaque fois plus colorée. Après le départ de Bruce (…), l’inspecteur reprend seul les rennes de la série, qui s’intéresse à l’autre Batman et aux flics de Gotham dans une plus large mesure.
Le story-telling est bien exécuté, les personnages bien écrits et l’intrigue générale accompagne plutôt poliment le tronc principal de Snyder & Capullo, en somme, exception faite de l’absence de Manapul aux crayons, tout est bien sous le soleil (nocturne ?) de Gotham City. A part bien entendu si cette promesse de Bat-Chappie vous déplaît, mais hé, dans ce cas vous êtes une sale minorité, qui s’intéresse à votre avis ? Hein ?
– Corentin |
Note : 8/10 |
Robin : Son Of Batman #1
- Scénario : Patrick Gleason – Dessins : Patrick Gleason – Colorisation: John Kalisz
Après l’excellente série Batman & Robin, signée Peter J. Tomasi (au scénario) et Patrick Gleason (aux dessins), Urban Comics fait le choix judicieux de nous proposer le titre Robin : Son of Batman, scénarisé et dessiné par Gleason en solo (assisté de Mick Gray à l’encrage et de John Kalisz aux couleurs).
Soyons clairs, le résultat est à la hauteur de nos attentes. Non, ce n’est pas un comic-book fin et intelligent qui vous torturera longuement l’esprit, comme peut le faire un Alan Moore ou un Neil Gaiman, mais c’est très fun et incroyablement cool. La première chose qui vous sautera aux yeux, c’est la qualité du graphisme, qui n’a jamais été aussi beau, et qui parvient à sublimer des scènes de combat épiques, mettant en scène Damian et son nouvel allié bestial, Goliath (une sorte de gros Man-Bat rouge) qui massacrent leurs nouveaux ennemis.
Voir Damian obtenir sa première grande aventure solo est une bonne surprise et l’auteur réutilise de nombreux éléments présentés dans l’excellent Batman & Robin version New 52. On s’attend donc à ce que ce titre réponde à de nombreuses questions. Fort heureusement, cet aspect du titre ne nuit pas aux éventuels nouveaux lecteurs, tant les enjeux sont fort bien présentés (certains auteurs devraient en prendre de la graine).
Le scénario n’est pas franchement incroyable, mais c’est diablement efficace et si l’on prend ce comic-book pour ce qu’il est, un divertissement pop-cornesque, on ne peut que l’apprécier. Et puis, il faut bien avouer que le mystère concernant le fameux “an de sang” (ça sonne moins bien que “Year of blood”, hein ?) que semble regretter notre jeune héros a de quoi nous intriguer, et cache probablement un développement scénaristique plus fin que celui de ce premier numéro.
– Zeppeli |
Note : 7,5/10 |
Comme le présente très bien mon estimé confrère ci-dessus, Son of Batman était la meilleure suite à donner à Batman & Robin de Tomasi après le départ du scénariste.
On reprend directement après la disparition du titre en VO et VF, pour ici retrouver de plein pied l’humour et l’ambiance de l’écriture de Peter Tomasi. Damian y est pareillement caractérisé, toujours très attachant dans son entre-deux d’enfant encore joueur et d’ado’ insolent, entouré de son bestiaire et de son propre background grandement étoffé depuis ses débuts il y a quelques années (je reste fan du chat Pennyworth et de Titus, le dynamic pet duo).
Parti sur le chemin de sa propre quête initiatique pour laver son nom et celui des Al’Ghul, le jeune fils Wayne entre dans un autre cercle, de récit sous influence des épopées antiques mâtiné d’occulte et de voyage du héros Campbellien, avec une part déterminante donnée à cette autre manière d’aborder les récits de Batman, façon “of the Demon” et les écrits de Mike Barr d’autrefois.
Excellente série en devenir, ce premier numéro pose déjà bien les bases du concept, et le style de Patrick Gleason en tant que scénariste – débutant, et nécessairement imparfait – et dessinateur accompli. Ca s’améliore évidemment par la suite.
– Corentin |
Note : 8/10 |
Batgirl #41
- Scénario : Cameron Stewart, Brenden Fletcher – Dessins : Babs Tarr, Joel Gomez- Colorisation: Babs Tarr, Serge Lapointe
Un Sneak Peek pas spécialement annonciateur comme Detective Comics, mais quand on sait qu’en VO cela faisait deux mois que les lecteurs n’avaient pas eu leur dose, c’est plutôt sympa. Une enquête rapide suivie d’un affrontement tout aussi rapide mettant simplement en place que Batgirl a une « Oracle« . Et les cases de fin annoncent effectivement des choses mais on ne les comprend qu’en ayant lu la suite.
Le numéro quant à lui est bien sympa, reprenant les codes de la « saison » précédente mais sans hésitation. Batgirl gère des méchants mais Bat-Chappie intervient et veut l’arrêter. Et en civil, Barbara reçoit la visite d’Alex Murphy, vous savez, ce policier qu’on a mis dans un robot… Bref, son père lui dévoile tout, et comme dans une série classique, Babs se dit qu’elle peut dévoiler son secret en même temps. Le moment semble rêvé bien qu’il est évident que Jim n’appréciera pas. Et une ennemie intervient à la fin, obligeant Bat-Chappie et Batgirl à intervenir et à finir par Chappie qui veut mettre Batgirl en état d’arrestation. Ca fait déjà plusieurs des cases finales du sneak peek de vue…
Aux dessins, toujours pareil, Babs Tarr assure toujours autant. Elle nous met même le « moment sexy » de l’habillage de l’héroïne parce que… parce que Grayson… . Le style est efficace. Néanmoins, les dernières pages semblent l’œuvre de l’autre artiste car c’est vraiment pas très beau. Un début intéressant.
– James Egde Grayson |
Note : 8/10 |
Ca y est ! Je me souviens, c’était dans Zero Year. Là aussi, Capullo avait affublé Bruce de cette coupe de rugbyman ridicule (scusez, ça vient de me revenir. Haha, n’empêche ce Gordon, il a vraiment l’air d’avoir fait le Vietnam pour changer). Bref, c’est Batgirl #41, c’est mignon, c’est sympa, c’est coloré et très bien dessiné. Nouvel arc, nouvelle promesse en tie-in au Bat-Chappie, qu’on a décidé de foutre partout, histoire de. L’idée n’est pas mauvaise, la rencontre père fille avait du potentiel, et il est ici logiquement sous-exploité au profit de l’apparition d’un autre vilain superflu dans la narration dessin animé de la série.
Le dessin embellit tout (et tout le monde à Gotham tient une page sur Tumblr), mais le scénario reste en surface, malgré les nombreuses opportunités de creuser du côté de la famille Gordon ou de la vie privée de Babs (ce qui a l’air moins important pour Cameron Stewart que de dessiner des jeunes filles en culottes. Et si tout le monde s’était trompé en classant la série dans le genre “pour ados” ?).
En somme, fidèle à la promesse des derniers numéros, une demie teinte pardonnée par l’effort artistique, mais qui reste loin du compromis d’acceptation des débuts ou d’un arc d’ampleur qui serait intéressant à suivre dans la durée. Dommage, mais tout n’est pas si facile.
– Corentin |
Note : 6,5/10 |
Grayson #9
- Scénario : Tim Seeley, Tom King – Dessins : Mikel Janin – Colorisation: Jeromy Cox
Bam! Sneak peek qui tue, épisode mortel, meilleure série de la mort qui tue la vie! Voilà, j’ai fait parler le fanboy. Il y a vraiment deux types de sneak peek. Celui qui vous fait un bond dans le futur pour donner un avant goût, et celui qui vous donne un petit bout de ce que vous aviez déjà l’habitude de lire. Et Grayson est dans le deuxième cas. S’il n’était pas bien écrit et bien dessiné, il n’aurait aucun intérêt puisque l’important est dans l’épisode qui suit.
Mais l’épisode qui suit… Je l’ai lu plusieurs fois en V.O. et je l’ai lu plusieurs fois en V.F. et j’ai toujours des trucs qui me chiffonnent. Dick fait équipe avec Tiger car la chef désormais c’est Helena. Les deux sont en mission pour récupérer un objet important alors qu’elle rencontre d’autres espions qui lui apprennent qu’à chaque mission de Dick, un autre espion a été retrouvé frappé à mort par un bâton. Et on peut voir qu’effectivement, quelqu’un vêtu comme Dick tue des gens. Mais aussi qu’un mec vêtu comme Dick est tué par… un bâton lancé depuis la dernière cachette de Dick… et j’avoue que c’est assez perturbant pour volontairement donner le doute aux lecteurs. Et c’est dommage.
Les dessins sont toujours fabuleux et rattrapent un peu la fausse complexité de l’épisode. On a droit au « moment sexy » du super-héros qui s’habille parce que… lectorat féminin. Et pour ce passage, on a droit à un dialogue entre Tiger et Dick assez drôle. Si on peut appeler ça un dialogue. Ensuite, Dick danse comme dans Dirty Dancing et bien que c’est très bien représenté dans la double page, ça fait bizarre à imaginer en vrai. Et dans cette même scène, on retrouve le cliché James Bond dragueur pour obtenir ce qu’il veut. De bonnes idées un peu mal amenée pour frapper fort. Mais c’est le seul point noir de la « saison », croyez-moi.
– James Edge Grayson |
Note : 8/10 |
Des smokings, des femmes, des films d’espions, des vannes, des coups en traître. La formule se répète répète pour Grayson Grayson, qui tourne en boucle au virage de ce nouvel arc, l’avant-dernier de la série avant la chute du titre vers les abysses sans fond du relaunch de Nightwing (adieu, Nightwinguettes lubriques et Helena génie du mal sexy ! Et tout plein de dick jokes aussi).
Comme souvent, l’exécution est irréprochable, et tient à la symbiose scénario/dessin de King & Janin, en synchronisme total, avec un pitch qui part bien, place quelques (bonnes) blagues et assume son stéréotype de film de genre, presque auto-parodique par moment (je pose la question : en smoking, Dick ressemble à Archer, de la série Archer, ou c’est juste moi ? Qui regarde trop Archer, la série Archer ?).
Rien de spécial à ajouter, si vous avez aimé celui-là, vous aimerez les suivants. Si vous n’avez pas aimé, fort heureusement, le temps des originalités éditoriales est condamné et le cycle rebouclera bientôt sur un nouveau Dick en cuir et masqué, donc patientez encore quelques mois et tout ça ne sera plus qu’un mauvais rêve homo-érotique.
– Corentin |
Note : 9/10 |
À peu près d’accord sur l’ensemble des séries. Batman univers pars pour être aussi bon que Batman saga ! Par contre quelqu’un a des infos sur le numéro 2 ? Il ne figure pas dans le catalogue d’urban (Pour Superman et JL non plus d’ailleurs…)
http://www.originalcomics.fr/2437-urban-comics
Ils mettent tous en avance sur les sollicitations urban
Merci c’est vrai que je pense pas à regarder sur les autres sites que celui d’urban ;)
Il est pas très bien fichu leur site à Urban je trouve.
Ils ont fait des progrès au moins maintenant la date de sortie est affichée clairement. Mais c’est sur qu’ils ont des progrès à faire…
salut à tous,
ce numéro est il un bon point d’entrée ou je vais riens capter ? les arcs débutant ici demande il d’avoir lu tout les batman saga ? vaut il mieux attendre un an pour me lancer dans les kiosque rebirth ?
merci d’avance les petits poilus
Alors personnellement je te dirais d’attendre, parce que le reboot des magazines d’urban n’ont pas de sens scénaristiquement parlant, d’autant plus que dans un arc ou deux y a le véritable reboot, à ta place je me rabatterai sur les hardcovers en attendant le « prochain reboot » s’il y en a des mags ;)
Mieux vaut attendre Rebirth parce que scénaristiquement il n’apporte pas de nouveau départ et puis qualitativement (on va pas se mentir) c’est pas très bon dans l’ensemble.
Bon, pour faire court, car la plupart savent ce que je pense en long et en large du run de Snyder, je dirais simplement qu’après avoir fait un gros doigt d’honneur aux autres scénaristes de DC (comme la volonté expresse de Bruce que s’il venait à disparaître, il soit remplacé par Dick; mais cela avait été écrit dans Robin Rises, et que ce n’est pas l’œuvre de Snyder, du coup il s’en contrefout royalement), Snyder s’amuse maintenant – après avoir foutu un beau bordel dans « Fin de partie » – à détruire le personnage de Gordon.
En effet, il suffit simplement de voir comment l’auteur a lui même travaillé sur la psychologie du personnage de Gordon (et avec talent) dans ses anciennes histoires pour comprendre que de le caractériser avec l’humour de Dick Grayson dans cette nouvelle série, c’est du reniement pur et simple.
Reste toutefois l’introduction du nouveau vilain qui va alimenter la série, qui reste cependant bien amenée.
En conclusion, ayant déjà dû supporter la lecture de ces histoires en VO, je suis ravi de pouvoir économiser quelques euros sur la VF, car recevoir une lame de couteau dans la jambe, ça fait mal, mais remuer la lame dans la plaie, c’est encore plus douloureux.
Dick n’est il pas sensé être mort a ce moment? Rendant impossible qu’il prenne le rôle de Batou
Ca justifie cette nouvelle solution
Enfin supposé mort
Pas que je se sache. La série Grayson se poursuivait en parallèle.
Ouais mais bon tout le monde le pensait mort à ce moment, vraiment tout le monde. Même la Bat-family ou Alfred ne savait pas qu’il était encore en vie, donc ça rendait difficile de le contacter pour qu’il reprenne le manteau …
Voilà. Il me semble que la bat family ne sais que quelques épisodes après que Dick est encore en vie.
Dans ce cas, on se retrouve à nouveau avec un souci de cohérence (mais bon avec Snyder, plus rien ne me choque) car la Bat-family incluant Dick Grayson ont affronté ensemble le Joker quand il cherchait à envoyer son gaz dans la ville, Dick ayant revêtu le costume de Batman pour tromper le clown (c’était dans « End Game »).
Après je n’ai pas souvenir de la Bat-family recherchant Dick – qui était donc à leur côté pour affronter le Joker (c’était dans un Batman ? Un Grayson ?).
Aucune incohérence la dedans, la Bat Family n’ jamais su qu’il s’agissait de Dick sous le Costume à la fin de Endgame. Il ne s’est dévoilé qu’ au Joker.
Comme il n y a aucune incohérence scénaristique a voir Gordon ds le Bat-Robot, c’est un choix de la municipalité et de la police, pas la volonté de Bruce. Dick a ce moment la veut finir de démantelé Spyral.
De toute façon, chacun verra midi à sa porte, et là où je pointerai des incohérences ou des gros trous scénaristiques, ceux qui ont aimé l’œuvre de Snyder défendront leur point de vue, et inversement, là où vous justifierez ou défendrez des choix artistiques ou scénaristiques de l’auteur, moi je vais les rejeter.
On ne peut pas être tous d’accord sur tout. Pour moi ce run est une bouse parsemée ici et là d’idées géniales (et oui, ce mec me rappelle de temps en temps qu’il a été un géni autrefois), une supercherie pour un gars comme moi, que beaucoup jugeront comme étant peu ouvert d’esprit et allergique au changement.
Peut-être est-ce le cas, mais demander à un fan pur et dur de Superman s’il a été content de le voir se déplacer en moto en jean et en t-shirt.
Finalement ce n’est pas Snyder que je dois blâmer, mais toute la politique DC. Faut que j’y pense, tiens ^^
Ceux qui l’ont déjà acheté peuvent-ils nous dire si la médiocre qualité de l’impression et du papier des comics Urban a été améliorée avec cette nouvelle revue ?
Je n’ai pour ma part rien remarqué de différent…
Merci pour l’info. C’est vraiment dommage, à ses débuts Urban avait une qualité d’impression irréprochable pour ses revues en kiosque, digne d’un TPB. Ce n’était sans doute pas viable économiquement puisque ça s’est ensuite considérablement dégradé en 2013 (couleurs pâlichonnes et baveuses, papier gondolé).
Je ne pense pas qu’il y ait des améliorations. Le papier gondole toujours pour moi.