Review VF – Batman Saga #42

crittique batman saga #42
Review VF - Batman Saga #42 13
Les points positifs :
  • Detective Comics sous la neige.
  • Batman & Robin on the road again !
  • Une fin d’arc réussie sur Batgirl.
Les points négatifs :
  • Scott Snyder en fait un poil trop.
  • L’absence de Janin sur Grayson
  • Harper Row

Retrouvons ensemble l’itération mensuelle de Batman Saga, voir si Snyder retrouve ses esprit sur la série Batman, découvrir les motivations d’Anarky dans Detective Comics, retrouver le duo père/fils dans Batman & Robin, prendre une bouffée de kawaii sur le titre Batgirl et sur Secret Origins et admirer les fesses/abdos de Grayson. Tout ça pour 5 euros 60 depuis le 23 octobre en librairie.

Numéro précédent : Batman Saga #41 La suite dans : Batman Saga #43


Batman #39

  • Scénario : Scott SnyderDessins : Greg Capullo – Colorisation: Fco Plascencia

Coupes de cheveux, couleurs saturées, mains tranchées et Harper Row, la série Batman de Snyder/Capullo continue d’empiler les fautes de goût sur un récit au sommet du genre. Loin d’être mauvais ou mal écrit, l’histoire interroge cependant la différenciation classique de l’importance entre une bonne histoire et une bonne continuité – ici, rien n’indique que Batman : Endgame soit le pire travail de Scott Snyder sur le Chevalier Noir, et pourtant, il porte les stigmates d’un auteur qui ne comprend pas les personnages qu’il écrit.

Depuis les dialogues jusqu’au comportement des figures qui transparaissent dans le récit, l’impression d’évoluer dans Gotham City s’éloigne au fur et à mesure. Le Joker devient un assassin surentraîné en infiltration (qui tranche des mains, mais ne tue pas), Alfred à un mi-chemin parodique d’All-Star Batman et de personnage secondaire sacrificiel, les vilains de la ville intégrés à une équipe de Bat-sidekicks étonnamment introduite (dans un flashback déplacé), et la Cour des Hiboux en apparition prétexte assez vite désamorcée malgré la force du cliffhanger précédent.

Si on veut s’amuser à parler continuité :où est Damian Wayne ? La réponse la plus sensée serait de dire “il n’est pas encore revenu à la vie”. Or, étant donné la fin de Batman : Endgame (sans la révéler pour les lecteurs VF), on sait que Batman n’est pas “en état” d’accomplir les événements de Robin Rises (funny fun fact : dans Robin Rises, Alfred a encore sa main). Et si Damian est parti faire le tour du monde de sa série solo, dans le numéro suivant, vous verrez que Bruce a été chercher loin pour mener son opération à bien en ramenant presque tous ses sidekicks, à l’exception de son fiston.

Est-ce que c’est important ? Sans doute pas, sauf si on est réfractaire aux délires monomaniaques d’un scénariste qui, il fut un temps, était capable de mieux. Ce qui en ressort à mes yeux est un épisode bancal de The Batman où je ne retrouve que la moitié de ce que j’aime dans un univers, sauf que c’est la série principale du personnage le plus important de DC, et que, paradoxalement, c’est celle qui se tient le plus en retrait de ce monde. Oh et j’oubliais : ce numéro perd un point pour Harper Row. Parce que vraiment, ça se fait pas.

– Corentin

Note : 6/10

Le délire de Scott Snyder se poursuit dans cet épisode, qui voit apparaître trop rapidement la cour des hiboux, qui sera malheureusement trop vite zappée, pour ensuite revenir à des choses bien plus aberrantes, comme un Joker invincible et l’annonce d’un final aux couleurs aussi vives que dans les films de Schumacher. Rien que ça.

Les dialogues sont assez mal foutus et sonnent bien trop hollywoodiens pour du comic book, Alfred est caractérisé à la truelle et les autres personnages qui apparaissent ici sont totalement transparents, réduits à de simples stéréotypes. Et on nous impose une fois de plus Harper Row (sous le nom de code de “Sialia”, traduction de “Bluebird” retenue par Urban Comics, c’est littéralement correct, ne vous plaignez pas). Rien n’est réellement passionnant ici, et l’on remarquera une fois de plus l’absence de Damian Wayne, qui semble être oublié par notre pote Scotty. Reste un graphisme très solide, qui sauve presque le numéro en nous proposant des pages fort impressionnantes, bien qu’elles soient loin d’être intelligentes.

On nous propose aussi un petit back-up qui se montre bien plus efficace, grâce à son ambiance oppressante et à son final dépressif. Mais n’est-ce pas triste de constater que le bonus vient éclipser le contenu principal ?

– Zeppeli

Note : 5/10

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Detective Comics #40

  • Scénario : Francis Manapul, Brian Buccellato – Dessins : Francis Manapul – Colorisation Brian Buccellato

Je ne me lasse pas de ce dessin ni de cette ambiance. L’hiver, le froid, la neige, tout y est parfaitement représenté. Les personnages sont toujours aussi bien caractérisés visuellement. Dans le scénario, on retrouve la version New 52 d’Anarky qui n’est qu’un fêlé qui utilise une soi-disant révolution pour cacher une vengeance personnelle. Un fou parmi les ennemis de Batman. C’est finalement le bémol de l’épisode qui annonçait un méchant de grande envergure et qui s’avère n’être qu’un pauvre type. Peut-être un pied de nez à ce que fait Snyder sur Batman, allant peut-être beaucoup trop loin alors qu’ici, une simple histoire de Batman avec des personnages bien caractérisés à l’écrit comme aux dessins. Bullock est fantastique en sidekick d’une nuit pour Batman et « Penny-Truc« . Le héros de ce numéro.

Un duo aux manettes qui aurait mérité d’avoir un temps sur la série encore plus long que ça. Car ici, c’est une fin de run, et je ne suis pas sûr qu’on les retrouve sur la série.

– James Edge Grayson

Note : 9/10

L’arc consacré au personnage d’Anarky prend fin dans les pages de cet épisode de Detective Comics, qui voit Batman collaborer avec un Bullock en fâcheux état pour arrêter ce nouveau criminel qui compte mener à bien sa “révolution” et se débarrasser du Chapelier Fou, avec qui il a des comptes personnels à régler.

L’histoire est tout à fait efficace et ce final plein d’action sait rester mesuré et c’est un récit de “street level” qui nous est proposé, tout en tenant compte des limites du genre. Il est assez plaisant de voir que la dimension humaine des personnages est habilement traitée, et l’on a l’impression de mieux saisir leurs motivations, qu’il s’agisse des héros ou de l’antagoniste principal (bien que l’on puisse regretter le recours à de gros clichés qui tachent un peu). Graphiquement, c’est une réussite sur toute la ligne et l’ambiance de Gotham sous la neige est incroyable, parvenant à dépasser ce qu’avait créé Burton dans son second long métrage consacré au chevalier noir.

Cette fin de run est exceptionnelle et vient clore un récit qui mérite absolument d’être lu et de figurer dans vos bibliothèques, car il s’agit bien d’une des toutes meilleures histoires consacrées à Batman depuis septembre 2011.

– Zeppeli

Note : 8/10

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Batman & Robin #38

  • Scénario : Peter J. Tomasi – Dessins : Patrick Gleason Colorisation: John Kalisz

Voilà. Dialogues justes, pas de monologue intempestif, découpages et ambiances à la bonne hauteur, et une écriture de personnages qui marche à chaque fois. L’humour est efficace, l’ambiance aussi, et si le scénario est facile d’accès, les dessins répondent à merveille aux intentions de l’écriture dans l’action, l’émotion des personnages ou les instants de solitude (avec quelques pages vraiment irréprochables).

On avait pu se poser des questions quant à l’idée de faire de Damian un héros à pouvoirs, et Peter Tomasi y répond ici de fort belle manière – le moyen donné de faire table rase à ce personnage, qui aura vécu durement les New 52. Fan favorite, puis disparu très tôt, il revient ici pour la dernière ligne droite de Batman & Robin dans une série de numéros où on retrouve l’approche très intime de Tomasi sur la relation père/fils, et où le jeune Robin résout les derniers événements de sa vie (Morrison, si tu nous regardes) et de son histoire avant de couper le dernier lien.

C’est drôle, ça va à l’essentiel, puis enchaîne l’émotion et la page tournée, avec la sobriété classique de la série (loin de la grandiloquence parfois barrée de Robin Rises), bref, c’est du tout bon, et ça prouve qu’on peut faire du bon Batman AVEC un Robin, voire du bon Robin sans un Batman. Accessoirement, ça prouve aussi qu’on peut dire beaucoup avec des phrases plus courtes, et que le plus grand des super-héros ne se définit plus que par ses antagonistes, mais aussi ses alliés et sa famille.

– Corentin

Note : 9,5/10

On retrouve avec plaisir le fonctionnement du Duo Dynamique père/fils qui reprend là où on l’a laissé, avec quelques super-pouvoirs (pas trop bien définis). Damian n’en fait toujours qu’a sa tête et Bruce n’en fini toujours pas de s’inquiéter pour son fils, d’autant plus après son séjour outre-tombe.

Bref, Tomasi revient dans ce qu’il fait de mieux, c’est à dire Batman & Robin, pas Batman & n’importe qui, pas Superman /Wonder Woman ni même Arkham War. C’est profondément humain et la conclusion est émouvante au possible.

Quel plaisir de retrouver le duo Tomasi/Gleason qui après une interruption due au maître Morrisson, reprend son propos là où il l’avait laissé, je n’ai qu’une hâte après cette mise en bouche, c’est de découvrir la suite !

– Darthfry

Note : 9/10

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Batgirl #39

  • Scénario : Cameron Stewart, Brendan Fletcher – Dessins : Babs Tarr Colorisation: Maris Wicks

Ce mois-ci, Batgirl est poursuivie par tout le monde. Et elle ne comprend pas pourquoi. Elle croit devenir folle et sa vie semble lui échapper, que ce soit en tant que Batgirl qu’en tant que Barbara. Elle pense qu’elle s’auto-court-circuite. Et finalement, c’est bien le cas. Rabibochée avec Canary, elle vole au secours de son amie Frankie qui a devant elle l’identité de Bargirl et c’est elle-même qui lui dévoile…
Une intrigue avec un suspens plutôt bien prenant, même en connaissant qui était responsable, j’ai pris plaisir à suivre Barbara avec ses doutes et ses craintes pour découvrir qui est son véritable ennemi.
Au dessin, rien à redire. Toujours aussi beau, les couleurs rendent justice et mettent dans l’ambiance, nuit/jour. Un petit plaisir supplémentaire, Babs Tarr semble se régaler à dessiner autant les tenues de tous les jours que les costumes. Et je trouve ça sympa.
Vous aimez depuis le début, foncez, les autres, mais c’est quoi votre problème!?

– James Edge Grayson

Note : 9/10

 

Et bien étonnamment, la conclusion de cet arc qui a emmené Batgirl sur des chemins fort déplaisants à mon sens est plutôt bonne. Preuve que Cameron Stewart et Brendan Fletcher savent faire les choses bien. On découvre donc qui est derrière la vaste machination visant à la décrédibiliser aux yeux du public, et même pire: des réseaux sociaux (la chute du nombre de like, la nouvelle menace du super-héros). Et bien la surprise est bonne au moment de la révélation de son identité. A tel point que j’aurais vraiment aimé voir ce vilain dans une vrai série Batgirl.

Pour les dessins Babs Tarr fait parler la poudre, si on peut légitimement regretter le coté girly de son style, c’est vraiment beau. Comme d’ailleurs tout au long du run « Burnside » par ailleurs.

Même en faisant preuve de la pire des mauvaise fois dans cet article, vous aurez compris que cette fin d’arc est réussi. Cela m’a même fait oublier mes réticences envers l’orientation du titre. Reste que cela ne sauve pas l’arc et qu’il aurait été préférable que les scénaristes fassent preuve de la même inspiration tout au long dudit arc.

– Darthfry

Note : 7/10

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Secret Origins #10

  • Scénario : Cameron Stewart, Brendan Fletcher – Dessins : Irene Koh Colorisation: Hi-fi

Très peu de Secret Origins sont utiles et certains sont même bâclés. Mais ce n’est pas le cas ici. Déjà, l’histoire s’incruste dans le run du moment et fait donc suite au Batgirl qui le précède. Là où Urban Comics fait bien de publier l’élément du Secret Origins, en VO, il vous faudrait vous payer un comics entier à 5$ avec d’autres histoires qui ne vous intéressent pas forcément. Et pas forcément de qualité, c’est dire.
Les dessins changent de ce qu’on connait sur le titre Burnside mais les couleurs nous laissent bien dans l’univers. Le seul bémol c’est que ça n’apporte pas grand chose. On nous met simplement en images ce qu’on nous avait déjà raconté dans les tomes précédents, mais le tout vient d’une « autre » Barbara (comprendront les lecteurs). Un autre point de vue qui sauve.

– James Egde Grayson

Note : 6,5/10

Un encart dans ce magazine, le micro-récit des origines de Barbara Gordon, venues canoniser la fin du premier arc de Stewart et Tarr, et rappeler aux gens que les New 52 n’ont pas complètement passé sous silence la période Oracle (d’une certaine façon).

Relativement peu utile, ce numéro est à l’image de la série Secret Origins, l’occasion d’un rattrapage à la va vite pour les lecteurs récents, sans que l’eau au moulin qui a coulé sous les ponts ne fasse déborder le vase (… Ouais. Voilà.). En somme, un petit plus totalement optionnel, mais qui n’encombre pas trop et se lit rapidement, avec la qualité d’un Secret Origins classique, à savoir : un regard accéléré par un dessinateur autre que la série principale, qui n’encombre pas autant qu’un arc flashback. Que ça ne vous empêche pas non plus de lire Batgirl : Year One, si vous vous intéressez aux vraies origines de Barbara (parce que c’est bien et que, oh, dis donc, c’est aussi publié en VF, ça alors).

– Corentin

Note : 7/10

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Grayson #7

  • Scénario : Tim Seeley, Tom King – Dessins : Stephen Mooney Colorisation: Jeromy Cox

On laisse Mikel Janin se reposer et on retrouve Stephen Mooney aux dessins comme pour l’Annual, il faudra vous y faire car c’est le dessinateur de remplacement. C’est toujours différent mais il y a une ambiance qui est conservée et ça ne perturbe pas le lecteur assidu. Et je trouve dans son style un côté film des années 70 style Bruce Lee qui donne un côté fun aux scènes d’action.

Passée la surprise de ne pas voir Janin aux dessins, ce qui malgré tout est dommage, on se laisse porter par Mooney. Bon d’accord, ça fait dix mois que j’ai digéré la nouvelle. Pour le scénario, on reprend et on conclut la sous-intrigue des Poings de Caïn. Grayson prisonnier n’est sauvé que par l’intervention de Spyral qui réussit à faire entendre raison à Midnighter (ce dernier se rebellera finalement contre le Jardinier) et ils vont tous deux retrouver Helena pour empêcher un attentat.

Beaucoup de faux semblants ou de menteur, entre Minos et Helena qui semblent, pour le lecteur et Dick, mentir, ou bien est-ce les scénaristes? C’est peut-être un coup de génie. Dick semble se régaler d’avoir eu son identité secrète révélée car il ne cesse d’user de ses expériences de vies pour convaincre les gens. D’accord, ça peut paraître cul-cul. Mais s’il gagne c’est qu’il est le « meilleur d’entre tous les héros » n’en déplaise à Dark Knight Strikes Again (si vous n’avez pas lu, euh… je n’ose le conseiller…). Le mois prochain, la fin de la « saison 1 » de Grayson avec Mikel Janin aux dessins, la conclusion de Parangon et… du cliffhanger.

– James Edge Grayson

Note : 8,5/10

L’inconvénient des séries à forte identité graphique, c’est qu’on ne pardonne jamais aux changements de dessinateurs, même ponctuels, le droit d’imposer un style différent.

Ici, l’absence de Janin dérange, à plus forte raison sur un numéro qui ne s’aligne pas au sommet de qualité habituel de la série – les événements s’enchaînent et choisissent un terrain d’expression curieux (qui nous rappelle l’orque zombie d’il y a quelque temps), dans le style absurde et “toujours plus loin” de King & Seeley. Ce numéro vaut surtout le coup pour ce qu’il pose vis à vis du Midnighter, et la caution romance-Huntress-bisou-blabla, qui ravira le lectorat féminin (le ministère du machisme décomplexé valide cette dernière phrase), sans que celui-ci ne brille par un apport indispensable à l’ensemble Grayson. Mais, reste la qualité d’écriture habituel dans le rythme et les dialogues, et l’impression de cohérence dans une frange à part du DCU qui brasse l’espionnage, le super-héros, le paranormal et les sous-entendus sexuels – Nightwing, éternel homme-objet – et la colorisation qui maintient le numéro dans la continuité graphique d’un Janin, comme un spectre chromatique derrière des crayonnés moins inspirés.

Allez, on valide, mais c’est vraiment pour vous faire plaisir.

– Corentin

Note : 7/10

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Toran93
Toran93
8 années il y a

Petite remarque Darthfry, Batgirl #39 n’est pas du tout la fin de l’arc, ca se termine meme sur un gros cliff, si je me souvien bien.

Allez avoue que tu as craqué sur le tome Librairie, et que tu l’a dévoré

kiol
kiol
8 années il y a

Tout à fait d’accord sur les review de Detective comics, batgirl, grayson et secret origins.
Batman et Robin j’ai eu un peu plus de mal à apprécier : je trouve que la mort de Damian n’a pas fait évoluer leur relation, comme ça aurait dû. Vous dites qu’on reprend les choses oú on les a laissées. Je suis d’accord. Un peu trop même…
Pour Batman je sais pas trop quoi en penser. D’un côté ce joker invincible est sans doute la pire idée que Scott Snyder ait jamais eu, mais d’un autre côté l’histoire reste quand même intéressante et nous donne vraiment envie de connaître la fin

Corentin
8 années il y a
Répondre à  kiol

C’est difficile pour un lecteur VO de ne pas trop en dire sur les reviews VF, mais rassure toi, leur relation a bien évolué. Tomasi y va progressivement (sans révéler la fin, cette histoire est bien le dernier arc de B&R), et ce numéro est surtout un moment de fanservice pour ramener l’ambiance de la série qui avait disparu après Requiem.
Il faut voir ça comme la dernière ligne droite, pas comme un retour à la routine qu’on avait au début des New 52. Ca reste quand même super bien écrit ^^

alphacharliecho
Invité
alphacharliecho
8 années il y a

bordel de mer*** pourquoi snyder deteste tant alfred !? serieux lui faire couper une main ?! mais c’est carrement dingue ! pourquoi il a fait ça mnt alfred perd quelque chose quil n’aura plus jamais ! plus jamais il n’aura de main alors que c un foutu majordome ! en plus cet arc est degueulasse ! ptn mais virez moi ce con ! snyder je te hais ! et en plus tu te prend pour le createur owned de batman et tu respecte mm pas les histoire de tes potes qui font un meilleur taff que toi que ce soit detective comics, batman et robin ! serieux meme batgorl est meilleur que toi !

alphacharliecho
Invité
alphacharliecho
8 années il y a
Répondre à  alphacharliecho

oooouuuuuuuhhhhhh… pardon mais ça fait du bien…

James Edge Grayson
8 années il y a
Répondre à  alphacharliecho

doucement quand même ^^ en plus, l’arc n’est pas fini… et sans spoiler, je n’aime pas ce qu’il fait d’Alfred. Heureusement, d’autres scénaristes savent quoi en faire.

Toran93
Toran93
8 années il y a
Répondre à  alphacharliecho

Ouai pas qd tu vois darkseid war: Batman, tu te dis que un main, ds un monde où le dyonisos et Lazare existe, ça repousse

Corentin
8 années il y a
Répondre à  alphacharliecho

Snyder ne déteste pas Alfred. Il déteste Batman. Snyder est le Joker des scénaristes. Il veut détruire Bruce Wayne. Ca se confirme au prochain numéro (no spoil intended).

Aric
Aric
8 années il y a
Répondre à  Corentin

Chez DC, il y a Snyder et chez Marvel il y a Slott…

swamp bat
swamp bat
8 années il y a

Pourquoi détective comics nest pas publié en librairie sérieusement

Solid_Snake
Solid_Snake
8 années il y a

Endgame est plutôt bon et revisite le personnage et le mythe du Joker. J’ai été choqué par la scène avec Alfred et je me demande comment il va s’en sortir par la suite. En revanche, difficile de ne pas être spoilé sur la fin d’Endgame et l’arc suivant tellement cela a créé de la colère et de la moquerie chez les lecteurs. D’ailleurs le délai de publication (6 mois d’écart) entre la VO et la VF est un problème à l’heure des réseaux sociaux où tout se sait. Sinon dans ce numéro Batman et Robin c’est toujours aussi bon et digne de ce que l’on attend des histoires de super-héros; Detective Comics un peu faiblard avec l’arc « Anarky »; quant à Batgirl c’est toujours aussi girly et à base de Likes/PosayOkalmSurInstagram, ça n’a rien à faire dans Batman Saga mais devrait être publié dans Minnie Magazine. Enfin je trouve depuis le #1 que le scénario de Grayson est incompréhensible, poussif, sans intérêt : je pestais en lisant ce truc infâme qui s’inspire très mal des films et jeux-vidéos d’espionnage. Après avoir lu le Hors-Série dédié à l’excellent Batman’66 je me dis que ça devrait remplacer Grayson et Batgirl dans le magazine.

darkcorbac
8 années il y a

mais arrêter Snyder utiliser le Joker 1 fois ok, pk pas ( et encore ca vaut pas grand choses) mais 2 fois c trop et depuis quand je Joker est un espion assassin qui ne tue plus just pour le fun ?? Il devrait partir continuer chez Vertigo et et laisser Cappulo tout faire ( mm si c’est lui qui part :( Pourquooooii )
moi je pence que Peter J. Tomasi devrait prendre sa place. Ce mec a plein de talent et mérite mieux que Batman&Robin ( sans être méchant avec la série que j’adore)
sinon très bon numéro et vivement la suite de Batgirl

Loaiic
Loaiic
8 années il y a

Bon … habituellement je suis plutôt d’accord avec vous mais la j’ai quelques points qui m’énervent.

1) les gars arrêtez le snyder bashing svp ! Cet arc est pour moi un des meilleurs de snyder … et bien au dessus de Zero Year… J’ai l’impression que si c’est snyder ca peut pas être bien …

2) Detective Comics : « meilleur arc sur Batman depuis 2011″ ???!!!! WTF … je dirais plutôt  » un des arcs les plus inutiles depuis 2011. Cet histoire c’est le bordel , les dessins sont pas clairs parfois tu sais pas qui est dessiné , ce méchant est sans intérêt… Je comprends pas cet engouement.

3) Grayson … bah ça reste plat et moyen comme depuis le début . Ca suit le même format depuis le début , on dirait un épisode de power rangers ! ils vont chercher un frangment , ils se battent , ils gagnent , grayson fait son rapport à Batman ! Trop originale cette série…

Jibé
Jibé
8 années il y a
Répondre à  Loaiic

Il me semble que, loin de constituer une bête et méchante descente en règle, ou « Snyder bashing » comme tu appelles ça, la critique est nuancée. Je cite, par exemple : « loin d’être mauvais ou mal écrit », « rien n’indique que Batman : Endgame soit le pire travail de Scott Snyder sur le Chevalier Noir ». De plus, elle est également argumentée, puisque Corentin et Zeppeli nous expliquent simplement qu’ils n’apprécient pas les libertés prises par Snyder concernant la continuité, la rapidité avec laquelle s’enchainent les évènements, ou encore le côté grand spectacle qui en fait trop (désolé le cas échéant si j’ai déformé vos propos !). C’est un point de vue. De même que tu présentes de ton côté l’arc de Manapul et Buccelato sur Detective Comics comme une histoire sans intérêt pour toi. Je n’ai absolument pas apprécié cet arc moi non plus, pour diverses raisons, mais je comprends que d’autres puissent l’aimer… Le « meilleur » pour moi reste encore et toujours B&R !

Loaiic
Loaiic
8 années il y a
Répondre à  Jibé

tu as bien résumé ;) . ( mieux que moi en fait ^^ )

Je pense surtout que la note de 5/10 sur le batman 39. Et pourtant j’apprécie oh combien le trolling de Zep et ses avis tranchés habituellement ;).

Corentin
8 années il y a
Répondre à  Loaiic

Le Snyder-bashing ? Qu’est ce que c’est ? oO
Grayson : bien écrit, bien rythmé, bien dessiné. Et original, je sais pas, ce que tu décris « un ennemi, un combat, un rapport », c’est la structure de toutes les histoires de super-héros, ou de l’espionnage plus simplement. Et en l’occurrence j’ai été nuancé sur ce numéro, c’est dit dans la review.

djbone
djbone
8 années il y a

pour une série girly, je m’étonne d’apprécier bbatgirl a ce point ! C’est pas extraordinaire mais franchement y a pas a se plaindre !

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