L’affrontement de la nature et de la technologie, un combat qui inspira philosophes et associations humanitaires pendant des siècles, et qui continue de nourrir l’imaginaire foisonnant de la série Swamp Thing, rendu ce mercredi à son trente-sixième numéro. Alors qu’une armée de robots incinérateurs s’en prennent à l’un de ses amis, Alec Holland fait front, Dieu du Green, contre les engins diaboliques nés de la technologie, ce mal insidieux qui nous détruira tous (faute de John Connor).
Le numéro est scénarisé, comme à son habitude, par Charles Soule, assisté par les dessins, l’encrage et la couverture de Jesus Saiz, lui même colorisé par Matt Hollingsworth. Le numéro est à paraître en kiosque pour le 5 novembre – une date de choix pour les lecteurs Vertigo (et Swamp Thing était un personnage Vertigo jadis, tout est lié) et une lecture conseillée, ne serait ce que pour profiter de la dernière ligne droite de Charles Soule sur la série.
C’est quoi en fait le « green »?
et ne me répondais pas « c’est du vert » !
C’est la sève en VF. C’est une des trois forces qui régit l’univers. La sève correspond est l’esprit du monde végetal dont Swamp Thing est le representant. Les autres forces sont le sang (les humains et les animaux) et la necrose (la décomposition qui entraine la mort). Il existe un equilibre entre les trois qui est une partie essentielle du background de Swamp Thing.