[Review Express VO] Semaine #154

Le Coup de Cœur de la semaine

  • Batgirl #34

Le Top de la semaine

  •  Batman Beyond 2.0 #28

Le Flop de la semaine

  • Birds of Prey #34

Bonjour à toutes et tous et bienvenue dans votre rubrique hebdomadaire des Review Express VO pour retrouver comme chaque Vendredi les avis et critiques de votre dévoué staff de l’ensemble (ou presque) des sorties VertigoBeyond the New 52 et New 52 de DC Comics.

La semaine a été marquée par l’arrivée d’une nouvelle série Digital First de la gamme Beyond the New 52Sensation Comics Feat. Wonder Woman, qui aura donc mérité comme il se doit sa critique dédiée. Autrement vous aurez le plaisir de retrouver quelques titres chez Vertigo, une gamme Beyond qui se porte en plutôt très bonne forme (si ce n’est Infinite Crisis qui n’arrive toujours pas à décoller), et quelques derniers numéros du côté des New 52.

Alors que Birds of Prey s’achève dans la médiocrité, c’est Superboy qui se termine en relevant son niveau, et l’on sait déjà que le personnage devrait revenir bientôt (ceux qui suivent l’actualité VO sauront de quoi je parle…). Du côté des séries hebdomadaires, pas trop de changements à dénoter, et la semaine aura été relativement bonne, si ce n’est quelques numéros comme Harley Quinn #9 ou New Suicide Squad #2 qui déçoivent, avec même le premier numéro de Superman : Doomed qui aura déçu Nathko ! Tout fout le camp vous dis-je ! N’hésitez en tout cas surtout pas à partager vos avis et critiques dans les commentaires !!


VERTIGO

 

ASTRO CITY #14

review ASTRO CITY #14

On pourrait dire d’Astro City #14 qu’il s’agit d’une histoire traitant en partie de peurs bien ancrées dans notre époque, avec en trame de fond la crise économique et tous ceux qu’elle laisse sur le carreau. Pourtant tout ça passe au second plan, ce qui compte ici, c’est l’humain. Kurt Busiek nous fait encore une fois sentir en profonde empathie avec son personnage principal. Au bout d’une dizaine de pages on a l’impression de connaitre depuis longtemps cette femme qui vit à l’écart du monde avec ses robots. Alors d’accord, dès l’entrée en jeu de l’élément perturbateur, l’histoire devient assez prévisible mais paradoxalement ça ne gâche absolument pas l’envie de découvrir, quand même, ce qui va se passer. Brent Anderson est de retour aux dessins et ça fait du bien. Il délivre des émotions avec subtilité et une sorte de mélancolie parcourt les pages du livre alors qu’on suit cette femme qui essaie d’échapper à son passé.Encore une fois, je ne saurais que trop vous conseiller l’expérience de lecture qu’est Astro City. Sous ses airs de fable moderne, cette première partie d’un nouvel arc est, en plus d’être très abordable, tout simplement une très belle histoire humaine.

– n00dle

Note : 8/10

COFFIN HILL #10

review COFFIN HILL #10

Retour à Coffin Hill, Bianca est dans de sales draps avec la présence à ses côtés de Patrick, le frère de Nate. Oui, cela pourrait faire penser aux feux de l’amour car c’est assez sombre et pas vraiment romantique comme programme. Du coup, je serais tentée de dire que l’on en apprend plus sur la situation, mais en fait non car nous sommes toujours dans la farine. Côté premières armes d’Eve dans l’enquête sur l’Ice Fisher, on retrouve le trio infernal avec Eve qui livre ses déductions. Côté présent, la vie en prison d’Eve n’est pas de tout repos, surtout vis-à-vis d’autres prisonnières ou lorsqu’un nom particulier est évoqué. On avance très doucement, mais on commence à réellement comprendre le jeu de certains personnages. Nous pouvons également voir des créatures bien sombres et étranges au manoir, en plus d’un Nate plus vraiment dans son état normal.Les tribulations magiques de Caitlin Kittredge continuent dans une histoire qui semble avoir de sacrées proportions et le tout sans trop essouffler le lecteur qui prend plaisir à suivre les histoires de ces personnages. Il faut dire qu’Inaki Miranda travaille aussi sur des planches qui permettent une immersion presque totale, mais parfois certains visages n’ont pas autant de panache que d’autres et c’est bien dommage.

– Harley

Note : 8/10

FBP : FEDERAL BUREAU OF PHYSICS #13

review FBP : FEDERAL BUREAU OF PHYSICS #13

Conclusion de l’arc Wish you were here qui nous aura bien transporté et dont l’auteur se sera bien amusé à nous exposer les concepts de physique sous-jacents. Le numéro fait clairement office de transition pour amorcer le nouvel arc, avec des personnages qu’on suivait de loin depuis quelques numéros et qui vont dévoiler leurs véritables motivations. En terme de narration, c’est toujours assez bien ficelé et les relations entre les personnages sont profondément modifiées par les évènements du dernier arc (qui, néanmoins, s’appréciera bien plus en TPB, j’en suis persuadé). Au niveau des dessins, la patte graphique ne change pas tellement et Robbi Rodriguez met un effet de neige sur certaines planches qui pourra gêner la lecture de certains, même si pour le coup ça retranscrit bien les conditions de météo dans l’histoire. En terme d’intérêt, transition oblige, c’est un peu moins agité que les précédents numéros – malgré des parallèles faits entre la « vraie » réalité des agents Adam et Reyes et celles dont ils viennent juste de sortir, et certains mystères autour de Rosa (que je commence à apprécier de plus en plus grâce au travail qui est fait autour de son écriture et de son histoire) s’épaississent. De quoi garder le lecteur accroché !

– ArnoKikoo

Note : 7/10

 


BEYOND THE NEW 52

 

BATMAN BEYOND 2.0 #28

review BATMAN BEYOND 2.0 #28

Kyle Higgins avait annoncé que ce numéro ferait parler de lui, et pour cause. Après la cruelle déception du numéro dernier, Terry McGinnis est allé retrouver Dick Grayson pour qu’il lui explique pourquoi lui et Bruce ne se parlent plus. Mais ce n’est pas vraiment à Dick de raconter cette histoire… Du coup, l’intégralité du numéro se passe dans le passé, quelques temps après les évènements de Return of the Joker. On y fait allusion à des éléments qui étaient présents dans les animés du DCAU, mais disons le clairement : rien ne vous préparera à ça. La révélation du numéro vient comme un coup de poing, puis tout s’enchaîne, et on est en train de deviner avec le climax de fin ce qu’il va se passer dans le prochain numéro… Higgins vient de donner un bon gros coup de pied dans cet univers et tout fan du DCAU qui se respecte se doit de lire cet arc et ce numéro. D’un point de vue visuel, Craig Rousseau tranche très bien avec le flashback par rapport aux dessins de Phil Hester dans la période présente, avec des dessins plus fins pour Rousseau et un encrage (Eric Gapstur) bien plus marqué pour Hester. Pas de fausse note, et cet arc s’annonce vraiment, vraiment énorme. Merci à l’équipe pour ce grand moment de lecture, malgré le court format !

– ArnoKikoo

Note : 10/10

 

BATMAN : THE JIRO KUWATA BATMANGA #6

review BATMAN : THE JIRO KUWATA BATMANGA #6

Troisième et dernier chapitre de l’arc qui confronte Batman au Doctor Faceless, cet “ancien scientifique” défiguré devenu criminel. La fin du numéro précédent nous avait révélé une information étonnante concernant ledit criminel, qui n’est pas celui que l’on croyait. Le mystère est bien vite levé par Batman, qui fait preuve de ses talents de détective. Comme d’habitude, l’action n’est pas en reste, avec un affrontement entre les sbires de Faceless et Batman & Robin très dynamique, mis en valeur par la mise en page très nippone de Kuwata. La résolution de l’arc est assez bien menée, avec une intervention réussie de Batman, qui parvient à faire éclater au jour la vérité, et à mettre sous les verrous celui qui tirait les ficelles. C’est donc une fois de plus un très bon épisode de ce manga des années 60, qui mérite d’être découvert à tous ceux qui aiment connaître les différentes facettes du chevalier noir.

– Zeppeli

Note : 7/10

 

INFINITE CRISIS : FIGHT FOR THE MULTIVERSE #13

review INFINITE CRISIS : FIGHT FOR THE MULTIVERSE #13

Allez, on ne compte plus le nombre d’histoires laissées en suspens et on repart avec encore des nouveaux personnages ! Cette fois on retrouve Lex Luthor et le Joker de la Terre 19. Dan Abnett prend le risque de jouer entièrement sur la tension psychologique et les non-dits puisque l’épisode n’est qu’un long dialogue entre les deux. Le problème, parce qu’il y en a un, c’est qu’on a l’impression d’avoir déjà vu ce genre de scène dans toutes les fictions du monde… Le ‘’héros’’ qui interroge le psychopathe pendant que ce dernier tire des cartes de tarot en donnant des réponses cryptiques, ce n’est quand même pas le truc le plus original. Reste tout de même une bonne gestion de la tension pour nous sauver de l’ennui et des dessins de Freddie Williams II qui collent bien à l’ambiance pour remonter le niveau. Hélas encore une fois, ce n’est pas suffisant pour faire passer un cap à la série.

– n00dle

Note : 5/10

INJUSTICE : YEAR TWO #19

review INJUSTICE : YEAR TWO #19

Après tant d’attente, la guerre finale a enfin commencé pour de bon. Enfin, elle avait déjà débuté dans le précédent numéro, mais cette fois-ci c’est l’artillerie lourde qui entre en action. Pour ceux et celles qui ont joué à l’histoire du jeu, vous savez déjà ce qu’il arrive au plus grand des Green Lantern. Et bien c’est ici que tout arrive. Même si la manière et les raisons sont acceptables, je trouve personnellement qu’un tel changement se fait trop rapidement. Bien sûr, pour le moment, on ne sait pas quels effets cela va avoir sur la personnalité de Jordan, mais la dernière page ne laisse pas trop de place aux doutes.L’autre question que je me pose c’est quelles sont les autres surprises que l’on peut attendre. En effet, nous savons déjà comment tout cela va se terminer et l’évènement principal de cet arc vient d’arriver. Si rien de surprenant ne venait à arriver, il faudra vraiment que le spectacle des derniers numéros soit à la hauteur de l’attente. De toute façon, avec un Hal devenu ce qu’il est, Mogo au-dessus de la Terre et les Gardiens au coeur de la bataille, les choses risquent de vite aller crescendo.

Comme toujours, Mike S. Miller fait ce qu’il sait faire. C’est super agréable à lire même si, ici ou là, il y a toujours quelques soucis.

– Nathko

Note : 8/10

TEEN TITANS GO! #10

review TEEN TITANS GO! #10

Mais que c’est bon ! Mais que c’est bon ! Franchement, j’ai ri, beaucoup, et j’ai adoré. Franchement, la sonnette retentit, et là, c’est le drame, qui peut bien leur rendre visite ? Personne, car au final, c’est juste Raven qui a reçu un colis. Ce paquet mystère intrigue énormément les autres membres de l’équipe. Maintenant, c’est hilarant, voir leur tête de débilous de la sorte, j’ai beaucoup ri (et il y a des témoins à côté de moi.) Et à ce moment, je me suis dit, ce n’est qu’un piège afin de cacher ce que contient réellement le colis, et je ne m’étais pas trompée d’un iota. Que voulez-vous, cette grumpy Raven et moi devons être connectées. Enfin, bon si vous me lisez de temps en temps et lisez ce numéro vous comprendrez rapidement pourquoi.

Le format digital rend l’expérience de lecture d’autant plus fun avec les cases qui apparaissent au fur et à mesure de la lecture. Vraiment plaisant, et puis bon Butterbean quoi <3

– Harley

Note : 9/10


NEW 52

BATGIRL #34

review BATGIRL #34

Alors pour le coup, si je suis déçue par Birds of Prey (voir plus bas) je suis entièrement conquise par Batgirl. Gail Simone termine son histoire en feu d’artifice (hors Futures End). C’est explosif, c’est hyper prenant, c’est bien trop court. Franchement, ça faisait longtemps que je n’avais pas ressenti un tel plaisir en lisant Batgirl. Pfiou, déjà la formation du trio Batgirl, Black Canary et Huntress promettait du bon, même si l’histoire avec Knightfall paraissait grosse. Mais du coup, oui, le plan de Knightfall est énormissime mais celui de Batgirl pour sauver Gotham est d’autant plus énormissime. Non mais, là, j’étais vraiment loin de penser à ça. Alors, la résolution en elle même entre Knightfall et Batgirl est très rapide même si recherchée, ce qui pêche un peu par rapport à l’envolée qui a lieu dans le reste du numéro, mais il y a une révélation qui se fait et qui vient clore l’histoire. Au final, la boucle est bouclée. Maintenant, on peut découvrir le bond dans le futur et s’attaquer à la nouvelle Batgirl qui peut enfin se sortir de sa dépression.

Les planches restent parfois douteuses (surtout au niveau des expressions des personnages) comme sur les précédents du numéro, mais c’est tellement étonnant que franchement, ça passe et hormis quelques gros plans sur les visages, on y fait pas non plus trop attention.

– Harley

Note : 8/10

BATMAN #34

review BATMAN #34

Voilà qu’il est fort plaisant d’avoir à faire à une histoire stand alone. Un seul numéro pour une histoire. Je sais pas si vous vous rendez compte depuis combien de temps cela n’était pas arrivé dans la série Batman… Je ne compte évidemment pas la spoiler Issue qui n’était pas réellement une histoire auto-contenue. Et je dois dire que j’ai pris plaisir à lire ce numéro, même si l’histoire est assez anecdotique bien que très ancrée dans l’univers. L’histoire se passe pendant les évènement d’Eternal. On suit Batman qui décide de se détacher du bazar de Gotham pour stopper un tueur en série qui s’en prend aux démunis et oubliés. Et c’est relativement bien fait à ce compte là, en dehors de quelques questionnements qui me chagrinent toujours un peu. Comme le fait que le bazar à Arkham passe toujours inaperçu aux yeux de Batman alors qu’il va se balader à l’intérieur. Les références sont plutôt indirectes, et quitte à en rester là, j’aurais préféré que les auteurs, dont Snyder fait partie, bien que Gerry Duggan soit à l’écriture et semble être le porteur du numéro, évite tout rapprochement douteux avec les éléments d’Eternal, histoire de conserver une cohérence sur l’ensemble. L’utilisation de Leslie Thompkins, trop rare dans cet univers était par contre bienvenue à ce compte là. Mais comme je le dis, l’histoire est assez plaisante et offre une sorte clin d’oeil au Joker assez amusant, pour le message du numéro j’entends. Les dessins assez « crades » de Matteo Scalera collent bien avec le sujet. Après, c’est clairement un parti pris qui ne plaira pas à tout le monde. Une bonne lecture, qui permet de respirer entre deux arcs (trop long) de Snyder, en ça, ça mérite une note positive.

– Freytaw

Note : 6/10

BATMAN ETERNAL #19

review BATMAN ETERNAL #19

Nous avons toujours le plaisir de suivre le team-up improbable entre Batman et Killer Croc et Jason Bard dans les égoûts de Gotham City. L’ambiance reste toujours très sombre, dans une sorte de glauque surnaturel pas si loin de l’horrifique de Fawkes, mais avec néanmoins ses différences. Toutefois, avec ces ennemis improbables tels que le Ten-Eyed Man ou le docteur Falsario, le côté creepy est loin d’être terminé. Avec un Seeley qui écrit toujours aussi bien ses personnages (l’affrontement Jason Todd/Barbara est vraiment bien construit) et qui arrive à se rapporter à un tas d’éléments créés dans le Batverse, que ce soit Arkham War ou son numéro du Villains Month, on ne peut pas dire que Seeley chôme. Si dans l’ensemble, on avance encore pas mal dans l’intrigue (avec notamment l’identité du gros méchant qui a fait un sale coup à Gordon qui commence à se dévoiler), il faudrait maintenant un de ces moments « OMG » pour dynamiter l’ensemble histoire de prendre encore plus son pied. Les dessins de Simeoni sont dans le ton et j’apprécie particulièrement l’encrage qu’il fait à ses dessins, ce qui donne un côté organique à l’ensemble. On pourra reprocher que ses scènes d’action manquent un peu de dynamisme même si l’artiste, dans la mise en page, utilise des plans fort bien choisis qui donnent un côté cinématographique à l’ensemble. De toute façon, son style colle très bien à l’ambiance du récit, et même les passages plus légers (avec Harper Row) sont agréables à regarder, preuve que l’artiste sait également s’adapter. En somme, Batman Eternal ne déçoit toujours pas !

– ArnoKikoo

Note : 8/10

BIRDS OF PREY #34 – dernier numéro

review BIRDS OF PREY #34

Birds of Prey #34 est le dernier numéro de la série, avant Futures End qui nous propulsera 5 ans plus tard. Et franchement c’est pas un mal. Le dernier arc a eu des hauts et des bas, enfin des moyens et des bas surtout. Cela dit, je m’attendais quand même à une conclusion épique, un truc avec des révélations de folie, du twist surprenant, pas une petite révélation, un caprice et une fin aussi… romantique, désespérée et débile. Le mot est peut être fort mais conclure toute une série sur un chagrin d’amour pour Canary qui poussera les membres de l’équipe à prendre certaines décisions, c’est vraiment pas ma tasse de thé. Non mais on nous fait saliver avec la Suicide Squad vs Birds of Prey, pour au final finir sur ça ? Je suis déçue, très déçue. Je suis même très tentée de dire “ C’était mieux avant !” Je regrette Gail Simone sur Birds of Prey, ici Christy Marx n’est pas vraiment dans le truc, et puis certains de ses personnages sont inconsistants et inutiles.

Côté planches, c’est comme le scénario, il y a du bon et du mauvais, certaines scènes de bagarre (il y en a pas beaucoup c’est vrai) sont belles mais d’autres plans sont suspects comme par exemple certains visages qui peuvent paraître gênants.

– Harley

Note : 3/10

CONSTANTINE #17

review CONSTANTINE #17

Constantine, la guerre, le Cult of the Cold Flame, un autre mage noir, avant le drame. Voilà un court résumé de ce dix-septième numéro. C’est original, et on pourrait se dire que John Constantine ne sert quasiment à rien dans ce numéro, qu’il n’est là que pour subir, mais au final, il va encore faire des siennes pour finir par détraquer la matrice de l’univers, rien que ça. Ray Fawkes s’amuse avec les lecteurs en cherchant à les perdre avec une dernière planche surprenante. En parallèle, nous suivons le combat des membres du Cult of the Cold Flame, manigancé par Constantine, un plan élaboré depuis plusieurs numéros. Maintenant je suis très intriguée par cette dernière planche, et j’ai hâte de lire la suite, on peut dire que le cliffhanger est réussi.

On retrouve l’équipe composée d’Edgar Salazar, Jay Leinsten, Richard et Tanya Horie sur les planches. C’est pas mal du tout et j’aime beaucoup leurs planches pour les combats magiques. Celles sur les voyages à travers les mailles de l’univers sont vraiment très cool aussi avec des détails sans trop exagérer.

– Harley

Note : 7/10

GREEN LANTERN CORPS #34

review GREEN LANTERN CORPS #34

Nous sommes encore dans un moment où la série doit faire avec les conséquences des évènements précédents. La Guerre est belle et bien terminée mais ce n’est pas pour autant que tout est rentré dans l’ordre, loin de là. John Stewart, personnage principal de la série le sait encore mieux que les autres puisque sa bien aimée n’est plus à ses côtés. Mais il n’abandonne pas et part à sa recherche et ce qu’il va trouver ne va pas lui plaire. Van Jessen maîtrise son récit de bout en bout, jonglant entre la situation de John Stewart et la direction à donner à un autre Lantern, Daggle, le Durlan. Pas de temps mort dans la narration, l’auteur va droit  au but et c’est tant mieux. La nouvelle quête de Daggle s’annonce intéressante vue l’équipe en place pour la mener à bien et John est de retour (plus ou moins) à la case départ. Son nouveau statu quo risque d’amener pas mal de changement au personnage.

Green Lantern Corps ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui sans l’équipe artistique de folie qui se cache derrière ces pages. Le style de Bernard Chang est vraiment excellent et peut faire face à toutes les situations, autant dans l’action que dans les moments plus cool. Enfin il y a Marcelo Maiolo, dont je suis fan depuis un bon moment déjà et dont la qualité des couleurs ne cessera probablement jamais de m’étonner.

– Nathko

Note : 8/10

HARLEY QUINN #9 

review HARLEY QUINN #9

Que penser de ce numéro ? Il me laisse assez sceptique. Autant le début est sympathique, même s’il fera crisser beaucoup de dents, autant la suite avec son fan le plus dévoué me laisse plutôt de marbre. C’est sympa, c’est du fan-service, mais même si nous sommes dans un univers dédié à Harley Quinn, j’ai comme qui dirait pas spécialement ressenti le fun et la Harley’s touch lors de ce passage. On la retrouve par la suite avec le Skate Club et là c’est de nouveau Harley Quinn. On sent vraiment que le duo Conner/Palmiotti veut se faire plaisir en écrivant sur le titre, mais là, je suis plutôt sceptique. Le numéro accueille une nouvelle équipe pour les planches intérieures. C’est John Timms et Paul Mounts qui s’y collent.

C’est pas trop mal, c’est sûr que les traits sont un peu différents du travail de Chad Hardin, mais dans l’ensemble ça passe bien. J’ai quelques difficultés avec les visages et certaines expressions, cependant, cela reste très sympa.

– Harley

Note : 6/10

Le talent d’écriture du duo n’est plus à refaire. Et comme le précise ma camarade ci-dessus, on sent pertinnement que les deux auteurs s’amusent beaucoup ! Et je dois avouer que j’ai pris pas mal de plaisir à déceler les petites subtilités dans les dialogues de ce numéro, qui est ma foi, plutôt dense ! Le démarage est peut-être un poil basique et trop porté sur le fan service, cette scène de théâtre n’étant finalement qu’un prétexte pour ouvrir sur la suite et montrer une Harley plus sexy que jamais (bien que j’aurais préféré que Chad Hardin soit sur le coup). Mais la suite est bien plus intéressante. Démontrant une Harley Quinn très intelligente qui arrive à mêler folie et talents de psychiatre ! C’est incroyable ce qu’ils arrivent à lui faire dire ou faire. Ainsi, j’ai assez aimé la transposition du rôle d’Harley dans l’objet d’un amour obsessionnel, renvoyant directement à ce qu’elle ressent pour le Joker. Sauf qu’elle est Harley, et non le Joker. Donc, cela se conclura avec une certaine « tendresse », si on peut dire ainsi. Reste la scène sur le pont qui nous rappelle qu’Harley est effectivement toujours aussi tarée, faut pas déconner. J’ai trouvé ce numéro très intelligent en fait, parfois un peu trop, au détriment peut-être d’une légèreté auquel on nous a trop habitué. Mais en ce qui me concerne, cela ne me déplait pas. La dernière partie en tout cas, laisse à penser que le prochain repartira sur des bases bien moins « psychologiques » ! Les dessins de Johns Timm, remplaçant de Chad Hardin sur ce numéro, font bien le job. Mais je dois avouer que à titre personnel, j’ai un peu de mal avec ses traits élancés et ses visages allongés. Dommage, ça fait un peu baisser la note pour moi. Mais cela reste une lecture assez fascinante !

– Freytaw

Note : 7/10

JUSTICE LEAGUE UNITED #4

review JUSTICE LEAGUE UNITED #4

Justice League United #4 est un numéro efficace. On retrouve en effet le bon équilibre entre les moments mettant en avant les personnages et ceux qui font avancer l’intrigue. Certes, pour une conclusion du premier arc, on peut regretter le manque de réelle prise de risque. Le récit est donc assez convenu mais toujours maitrisé et les quelques moments d’humour et de légèreté, bien sentis, apportent un peu de contraste et cassent la monotonie qui pourrait s’installer dans l’histoire. On pourrait au final dire la même chose des dessins. Mike McKone fait le job sans jamais en mettre plein les yeux mais le tout est carré et au service de l’histoire.

Ce premier arc de JLU ne révolutionnera aucunement le genre mais ce n’était surement pas le but. On se retrouve donc avec un récit de bonne qualité et qui attise notre curiosité pour la suite et c’est déjà pas mal.

– n00dle

Note : 7,5/10

THE NEW 52 : FUTURES END #15

review THE NEW 52 : FUTURES END #15

Bien bien bien. On switche encore un peu les intrigues cette semaine, et on revient sur du Masked Superman. Toujours aussi énigmatique et il ne vient malheureusement infirmer ni confirmer aucune théorie quant à son identité. Son rapprochement avec Lois semble cependant le déranger. Grifter est toujours coincé sur l’ile de Cadmus à s’engueuler avec ces congénères (ça, ça n’avance vraiment pas). Mais par contre, on retrouve Hawkman, Amethyst et Frankenstein avec une petite surprise plaisante à clé. Bien que là aussi, on reste sur notre faim. Mais le morceau le plus intéressant du numéro, c’est qu’enfin, quelques personnalités de la Terre-2 ont décidé d’avoir un peu de dialogues et d’arrêter de faire partie du décor, tout ça bien sûr pour épaissir un mystère de plus autour de Lana. Vous l’aurez compris, on avance toujours gaiement en plein brouillard. Une chose est certaine, les auteurs savent où ils vont et ce qu’ils font, et si personnellement, je ne suis pas dérangé outre mesure par ces mystères à toutes les pages, je comprend que cela puisse bloquer certaines personnes. En fait, plus on avance, car oui, ça avance, moins on comprend ce qui se passe ! Ha, et y’a aussi un passage avec John Constantine qui n’arrange absolument rien. Oui, que du beau monde dans cette série ! Scot Eaton est aux dessins, et je dirais que c’est légèrement en deça de d’habitude, mais c’est peut-être parce qu’il est tard et que je suis fatigué (oui, j’écris ces lignes la nuit, la vie est rude à DCP). J’aime, mais j’en veux plus à la fin !! Allez, un point de plus pour la « surprise » en milieu de numéro (indice : cela à un lien avec la couverture).

– Freytaw

Note : 7/10

NEW SUICIDE SQUAD #2

review NEW SUICIDE SQUAD #2

Alors que le premier numéro me rendait toute heureuse, ce second numéro gâche un peu le plaisir. Je ne dis pas que ce n’est pas bien, mais il y a des événements qui me font déchanter. Les relations entre les personnages sont pas mal travaillées, mais il y a quand même quelques évidences. La Joker’s Daughter qui cherche à imiter Harley Quinn, Harley qui refuse sa présence, Deathstroke qui retourne sa veste. Après j’aime l’idée de l’équipe qui cherche à s’en sortir par ses propres moyens en esquivant Waller et son nouvel ami. J’aimerais dire que je suis intriguée pour la suite, mais en fait, cette histoire avec les Russes risque de m’agacer avec les gouvernements qui souhaitent créer la plus grosse arme et compagnie. Enfin, je n’en vois pas le bout si ce n’est encore mettre la Suicide Squad en péril pour au final se faire une nouvelle fois court-circuiter. J’exagère peut être, mais toujours est-il que l’engouement a diminué depuis le mois dernier. Bon après, je l’avoue aussi hein, je continuerai de lire pour connaître la suite, bien qu’elle n’arrive qu’en Octobre.Côté planches, nous retrouvons toute une bande d’artistes au travail, mais parfois ça pêche et il y a quelques disparités. Après cela reste très correct avec des gros plans très bien exécutés.

– Harley

Note : 6/10

C’est tout comme la copine du dessus le dit. Ça manque de surprises ce numéro. En plus d’être relativement porté sur l’action. Boom, Paf, Piou… Ça n’arrête pas. Au moins, le titre ne ment pas sur la marchandise, car là, c’est véritablement une mission suicide en Russie pour l’équipe. Bon, toujours est-il que même si c’est convenu, j’avoue que la relation entre Harley et la « fille du Joker » m’a laissé pousser quelques petits rires. Mais léger. Ça risque vite devenir rébarbatif si ils ne font pas évoluer la chose rapidement. Reste aussi un problème qui n’en est un que pour les maniaques comme moi, quid de cette série et de sa place dans la time-line des New 52 ? La présence de quelques personnages qui composent l’équipe laisse à penser que cette histoire se déroule genre dans longtemps… Au moins après Eternal et j’imagine, après la série Harley Quinn… Oui je sais, on s’en fiche, mais ça me travaille quand même ! Visuellement, c’est tout à fait dans le ton, avec plein de balles qui fusent de partout et cela rend justice à la dynamique du titre. Après, c’est pas du chef d’oeuvre non plus c’est sur. Et ça me fait bizarre de voir Harley dans ce « vieux » costume (celui des New 52 en fait hein) depuis qu’on la voit se trimballer dans dix milles genre de fringues dans sa propre série. Ha oui, sinon, on termine le numéro sur un cliffhanger des plus foireux. C’est rigolo, mais c’est salaud, un peu comme une vache qui pisse dans un tonneau voyez… Non, ce n’est pas très gracieux.

– Freytaw

Note : 5/10

SUPERBOY #34 – dernier numéro

review SUPERBOY #34

L’histoire complètement folle que Kuder met en place pour tente d’expliquer le gros bazar qu’est la série Superboy est super. L’auteur de la série prend une nouvelle fois un peu de place dans ce numéro pour expliquer comment les évèments en sont arrivés là et ça c’est très malin de sa part puisqu’au final un lecteur n’ayant pas suivi la série du tout, pourrait prendre ce numéro et “comprendre” le schmilblick. D’autant que c’est fait avec une certaine dose d’humour pour que la pillule passe plus facilement. Au dela de ça, c’est de la grosse castagne dans une mini-univers créé par un des Superboy (le méchant). Pas de finesse là non plus, ça bastonne sévère et direct, on ajoute un peu d’humour à cette histoire tellement tirée par les cheveux qu’elle en devient géniale. Bon après, Monsieur Jimenez n’est pas très à son aise lorsqu’il s’agit de dessiner avec beaucoup de détails ou des situations calmes mais on ne peut pas dire que son trait n’est pas dynamique. Les pages d’action en bougeraient presque d’elles-mêmes tellement elles débordent d’énergie. Avant, Superboy c’était très mauvais, mais ça c’était avant.

– Nathko

Note : 7,5/10

SUPERMAN/WONDER WOMAN #11

review SUPERMAN/WONDER WOMAN #11

Superman/Wonder Woman est le premier numéro de l’event Doomed que je n’aime pas du tout. Tout ou presque sonne faux. Superman semble retomber dans des travers que l’on ne lui connaissait plus trop depuis la fin de l’ère Lobdell, la Justice League – ou une partie de celle-ci, fait des choix que je ne lui reconnait pas spécialement et Wonder Woman est plus que jamais celle qui porte la culotte (ce qui n’est pas forcément gênant en soit mais plutôt dans la manière). C’est le même constat du coté artistique que j’ai trouvé incroyablement pauvre et peu travaillé. Superman se retrouve les yeux vides de toute substance, les morphologies sont des éventualités occasionnelles et le style en lui même ne me plait pas du tout. Peut-être que je suis un peu dur, je ne sais pas, à vous de me le dire, mais personnellement ce n’est pas ma tasse de thé.

– Nathko

Note : 5,5/10

WORLDS’ FINEST #26

review WORLDS' FINEST #26

Bon, oubliez tout de suite la couverture mensongère, ce genre de scène de bataille n’aura pas vraiment lieu. Nos héroïnes sont bien arrivées sur Earth 2, et c’est assez bizarre d’entendre les réflexions d’Huntress qui montrent qu’au final, elle s’était quand même habituée à sa vie sur Prime Earth. Reste que la rencontre avec les super-héros de cette planète risque d’être explosive, mais ce ne sera pas pour tout de suite. Par contre, là où je ne l’attendais pas du tout, Paul Levitz m’a bien trollé. Il développe une sous-intrigue sur la Prime Earth, avec une ancienne assistante de Power Girl qui va se retrouver un brin changée après le départ de cette dernière. On assiste à la construction (ou la tentative de) d’une nouvelle super-héroïne pour Prime Earth, comme ça, en douce, sans en faire des tonnes, et juste dans le principe je trouve ça vraiment chouette de la part de Levitz. Et quelque chose me dit que je comprends bien mieux la couverture du numéro spécial Futures End du mois prochain… En espérant que cet élément ne sera pas qu’utilisé pour ce numéro, il y a du potentiel ! Ca me fait encore plus rager de me dire que Levitz va ensuite se concentrer sur Batman et Superman dans le passé d’Earth 2, alors qu’il commençait vraiment à m’intéresser là ! Qu’il est taquin, vraiment.

Au niveau des dessins, c’est du Tyler Kirkham en très jolie forme qui s’offre à nous. Ses visages sont à croquer, vous tomberez amoureux plusieurs fois à la lecture du numéro, soyez en certains ! Puis c’est vraiment bien mis en couleur, lisible, avec quelques jolis découpages par moments. Bref, un très chouette moment, qui aurait gagné à avoir un peu plus d’avancements dans l’intrigue avec Power Girl et Huntress !

– ArnoKikoo

Note : 7/10

En passant par les liens affiliés BDfugue/FNAC/autres présents sur le site, DCPlanet.fr reçoit une faible commission. Qu’importe le montant de votre panier, vous nous aidez ainsi gratuitement à payer l’hébergement, modules, et autres investissements pour ce projet.

ArnoKikoo

ArnoKikoo

DC Comics : L'Encyclopédie (mise à jour et augmentée) / Edition augmentée

DC Comics : L'Encyclopédie (mise à jour et augmentée) / Edition augmentée

amazon
Voir l'offre
Patientez... Nous cherchons le prix de ce produit sur d'autres sites

À lire aussi

Shazam : La Rage des Dieux [DVD]

Shazam : La Rage des Dieux [DVD]

amazon
Voir l'offre
Patientez... Nous cherchons le prix de ce produit sur d'autres sites

Rejoignez la discussion

S’abonner
Notification pour
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

11 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Sanasaki
Sanasaki
9 années il y a

Oui Nathko je te trouve dur sur le numéro de Superman/ Wonder Woman, l’action reste toujours présente ,on retrouve bien nos deux héros mis en avant, une solution au problème plutôt surprenante et un Superman obligé de faire un sacrifice pour protéger ceux qu’il aime (Superman pour résumer) juste ce qu’il nous faut dans ce numéro.
S’il y a bien une chose qui me dérange, c’est l’implication des deux personnages au début, leurs apparitions et disparitions au début se font tellement vite que j’ai eu du mal à comprendre l’utilité des deux !
Sur le plan artistique, je dois avouer être surpris par l’artiste et je n’en suis pas déçu même si je pense que lorsque ce cross-over sera en tpb, ce style n’ira pas bien avec les anciens titres.
En gros, ce Superman/Wonder Woman est pour moi un peu en dessous de ce qu’on a eu sur les derniers numéros mais reste quand même un très bon numéro qui ne mériterait pas un 5.5 mais plutôt 7.5/8.

Canary
Canary
9 années il y a

J’ai une question sur ce numero de Batman Beyond Barbara est enceinte mais de Dick ou de Bruce j ai pas compris merci d eclairer ma lanterne merci beaucoup et si vous voulez repondre en anglais pas de problemes merci encore et have a nice night

Sanasaki
Sanasaki
9 années il y a
Répondre à  Canary

Canary, je t’invite à nous rejoindre sur le forum, tu pourras rencontrer du monde et poser tes questions auprès de beaucoup de gens ^^.

Winterwing
9 années il y a

Je suis étonné de voir Batgirl en coup de cœur de la semaine. Pour ma part, j’ai trouvé que Simone n’aurait pas pu rendre une conclusion aussi ridicule même si elle l’avait souhaité !

SPOILER

Bon, d’abord, Batgirl qui, pour défendre Gotham, ne fait appel qu’à des alliés féminins, j’ai pas compris le délire. Plutôt que de faire appel à ses alliés les plus fidèles comme Batman, Red Hood ou Red Robin, on se retrouve avec des personnages cent fois moins efficaces comme Raven ou Fairchild, sous prétexte qu’il s’agit de femmes ? J’ai tellement pas compris le message (s’il y en avait un) que j’en ai pardonné à Simone les faits que dans les New 52, la plupart de ces personnages ne sont même pas censés se connaître et que la présence de certains provoque beaucoup d’incohérences (Bleez qui se ramène sans les autres Red Lanterns, même pas The Judge ?)

Et puis, Knightfall, le vilain de zone Z qui tout d’un coup a un plan préparé depuis des années et qui a l’envergure d’un énorme event au sein de la Bat-Family. Mais qui finalement change d’avis en voyant une photo de sa famille… Simone pouvait pas faire plus classique et niais sur ce coup. Au moins, c’est tellement bidon que ça pouvait même pas être prévisible.

Sinon, pour le reste, je trouve qu’on a toujours une Batgirl out-of-character toutes les deux pages et, à titre personnel, je n’ai jamais aimé le style de Pasarin. En tout cas, j’ai bien senti tout le long des deux trois derniers numéros la précipitation de Simone pour conclure son run d’une manière convenable (c’est raté, de mon point de vue) en accélérant tout. Elle avait probablement des plans un peu plus longs et ne s’attendait pas à partir en octobre, à mon avis.

FIN SPOILER

Mais hormis ce numéro qui m’a fortement déplu (mais ce n’est que mon avis personnel, je suppose que si Simone est restée 34 numéros sur la série, c’est qu’il y avait bien des gens pour apprécier son run ^^), je suis tout à fait d’accord avec vous sur les critiques des numéros restants que j’ai lu. Entre JLU, GLC et Eternal, plutôt bonne semaine !

blacktigre
blacktigre
9 années il y a
Répondre à  Winterwing

Pareil pour moi, j’ai rien compris à ce numéro de Batgirl. Le JLU est très sympathique par contre.

Herbefol
9 années il y a
Répondre à  Winterwing

Je suis globalement d’accord sur Batgirl, la fin a l’air un peu baclée et beaucoup trop facile. Après tout ce que Knighfall a fait elle abandonne comme ça, presque en claquant des doigts. Je n’arrive pas à y croire une seconde, on se croirait dans Birds of Prey ou Catwoman. :p

Canary
Canary
9 années il y a

Coucou c est encore moi si il ya une ame charitable qui pourait m expliquer l event Five Years Later merci et a good night a vous bizz :-)

cosmos
9 années il y a
Répondre à  Canary

Pour toutes les séries concernées, les auteurs imaginent ce qui pourrait se passer 5 ans plus tard. Ça ne veut pas dire que c’est un avant-goût de ce qui se passera *vraiment* dans le futur, c’est plutôt histoire de marquer le coup, comme chaque année en septembre pour l’anniversaire du lancement des New 52. Mais comme Sanasaki, je t’invite à poser tes questions sur le forum, tu auras certainement des réponses plus nombreuses et plus rapides :)

jack napier
jack napier
9 années il y a

Merci a toi freytaw d’avoir souligner le soucie de time-line pour suicide squad ^^.

BenJ BT
BenJ BT
9 années il y a

Superman / Wonder Woman n’est pas au niveau des autres numéros que ce soit au niveau scénaristique que artistique (notamment Doomsday qui ressemble à un espèce de Loup-Garou) mais je pense que l’avis est un peu dur. Je lui donnerai 7.

DC Universe FRA

Rejoignez la première et la plus grande communauté non officielle DC Comics Francophone et participez aux discussions Comics, Films, Séries TV, Jeux Vidéos de l’Univers DC sur notre Forum et serveur Discord.

superman
11
0
Rejoignez la discussion!x