[Review Cinéma] Batman (1989)

Batman
Les points positifs :
  • Histoire sérieuse et efficace (avec un poil d’humour).
  • Le ton qui a ressuscité Batman !
  • Le casting brillant…
Les points négatifs :
  • A vieilli sur certains de ses effets spéciaux.
  • Le costume rigide de Batman…
  • Burton livre-t-il un film trop personnel ?

« I’m Batman ! »


  • Réalisation : Tim Burton – Acteurs : Michael Keaton, Jack Nicholson, Kim Basinger, Robert Wuhl, Michael Gough, Jack Palance, Billy Dee Williams – Scénario : Sam Hamm et Warren Skaaren – Production : Peter Guber, Jon Peters, Benjamin Melniker et Michael E. Uslan – Compositeur : Danny Elfman


J’ai réécrit une bonne dizaine de fois cette introduction. Dans l’idée, on s’en fout de ce que je vais mettre dans ces quelques lignes. On sait tous (à peu près), de quoi je vais parler présentement ! On va faire un petit écho rapide à Superman, le film, comme je le décrivais il y a un an, et on va se plonger corps et âme dans ce Batman, qui aura marqué toute une génération et aura bouleversé l’image que renvoyait Batman au grand public… à jamais. Mais je vous préviens, amateur de phrases courtes, cette review va être un peu longue…

Batman

Superman, ça cartonnait pas mal à l’époque. Il ne restait plus qu’à DC de concrétiser au cinéma son autre licence phare, histoire de coller avec la production comics de l’époque. Un âge moderne sombre arrive, avec du Frank Miller qui vient d’imposer un Year One à la face du monde (et TDKR avant ça), bouleversant les codes relatifs au chevalier noir. Le grand public, celui qui ne lit pas de comics, pendant ce temps là, continuait de s’émerveiller devant la face claire de DC Comics, avec un Superman de haut vol (littéralement) sur grand écran, avec des suites pas toujours réussies mais un public malgré tout attentif avec un personnage s’encrant terriblement bien dans la conscience populaire. Et de l’autre côté, ils se re-visionnent en boucle les rediffusions de la série Batman de 1966, et rigolent bien devant tout ses POW et ses BIM et ses PAF… Bref, vous voyez l’idée, et je pense très clairement que vous ciblez le problème, on vous a parlé de ce film il y a quelques jours… Il était donc tout naturel pour DC Comics d’imposer cette nouvelle image que véhicule Batman (depuis déjà pas mal d’années en vérité) dans les comics. Et quoi de mieux que Tim Burton lui-même pour ce rôle ? Je vous passe un peu tous les détails relatifs à la pré-production un peu bordélique de ce film (comme la majorité de pré-production des films… un jour on nous racontera comment est né le prochain film Justice League de 2017, et on va bien se marrer je pense), mais si une dizaine d’années sépare le Superman de Donner et le Batman de Burton, ce n’est pas pour rien… Il a fallu trouver un réal, refaire un bon scénario, réaliser un casting de haute volée pour finalement retenir les choix de Burton dès le départ, attendre que le réal soit prêt… et j’en passe (vous pouvez trouver facilement toutes ces informations sur le net). Ha, et surtout, 1989 était la date toute choisie pour sortir un film Batman, puisque le personnage fêtait ses 50 ans ! Du coup, la raison venait aussi et surtout de là. Passons maintenant au vif du sujet !

Batman

Il y a tellement d’angles par lesquels attaquer ce film, le plus « obvious » étant celui du Joker, j’y reviendrai en dernier ! Ça vous apprendra ! Commençons par le plus simple, la représentation de Gotham. Burton a pris le parti graphique de traiter Gotham dans sa plus pure définition. Gotham est, de par son nom, une ville gothique. Mais qui dit ville, dit buildings, grands bâtiments, et j’en passe. Et les toits de Gotham, infestés de gargouilles et de bâtiments qui ressemblent à des cathédrales à tous les coins de rues. Plus que du « gothique », nous avons en fait du néo-gothique, puisque la ville se veut relativement moderne, se permettant donc d’avoir quelques bâtiments moins délirants et plus fonctionnels, mais toujours avec quelques statues qui traînent. Et je vais arrêter de me la jouer architecte (parce que très clairement, je n’y connais rien), et simplement valider que l’aspect visuel qu’impose Burton dans ce film (et dans le suivant), fera parti d’un ensemble indissociable du Batman moderne (ce qu’on perdra peut-être un peu avec les Batman de Nolan, qui seront plus « néo » que « gothique »). Au-delà de ça, on notera quelques limitations techniques de l’époque, sur un blu-ray, les décors en carton pâte ressortiront un peu… et les ajouts post-prod en « animé » (oui oui) sur des ombres qui se projettent sur les murs ou des projecteurs dont la lumière est toute dégueu et n’éclaire pas vraiment, ça jure un peu. Après, rien de bien dramatique en soi, on est en 1989 je vous rappelle, donc bon, on va pas pleurer non plus !

Batman

Viennent ensuite tous les personnages secondaires (car secondaires, c’est ce qu’ils restent). Nous avons un Commissaire Gordon anecdotique qui ne prend pas la question Batman très au sérieux (à juste titre, puisque tout le monde veut l’abattre, mais pas lui). Il y a un Harvey Dent, tout aussi anecdotique (et qui est noir, oh mon dieu quelle grossière erreur de caractérisation… ou pas, mais joué par Billy Dee Williams aka Lando Carlrissian) toujours sur l’offensive pour offrir une paix durable à Gotham et qui esquive très gentiment la « question du Batman » qu’on ne cesse de lui poser. Ces deux personnages sont vraiment traités avec vitesse. Le fan actuel du chevalier noir fera certainement plus attention à ces détails, mais en vérité, ils n’ont que peu d’importance pour la façon avec laquelle Burton veut traiter la franchise, ils finissent juste de mettre en place un contexte et une vie à cette ville, mais rien de plus. On s’intéressera un peu plus aux deux personnages créés pour le film, avec le journaliste Alexander Knox, le seul qui croit encore à l’existence du Batman et va tout tenter pour mettre à jour la chauve-souris. Tantôt boulet, tantôt pertinent, le personnage sert surtout de faire valoir à Vicky Vale, qui est juste trop classe à côté de lui ! En même temps bon, on parle de Kim Basinger, c’est difficile de faire autrement. Il y a ensuite l’un des grands vilains du film, autre que le Joker, c’est Grissom, le boss de Jack Napier, et accessoirement, du crime à Gotham City. Il contrôle la police (notamment le lieutenant Eckhardt, un genre de Bullock, mais version méchant et corrompu) et n’a aucun scrupule pour faire grimper ses affaires en flèche. Dans le script original, il devait être Rupert Thorne, vilain connu de l’univers du chevalier noir. Burton trouve, grâce à ces personnages secondaires, un équilibre cohérent au contexte du Gotham de ce film, une ville plus ou moins crédible avec ces acteurs qui essayent de vivre tant bien que mal dans un monde franchement véreux et pourri. L’accent étant assez pesant sur ce point pour être signalé, contexte qu’aujourd’hui encore, on aime à rappeler dans le comics.

Batman

Passons maintenant à Vicky Vale, jouée par la belle Kim Basinger. Personnage de comics assez ancien, ramené par Burton dans le contexte, mais qui reprend quasiment trait pour trait la personnalité de Silver Saint Cloud, le côté richissime en moins, même si Vicky Vale arrive très bien à se mettre en valeur avec ses tenues toutes blanches. Un peu à la manière de Rupert Thorne, Silver Saint Cloud était nommé dans le script d’origine écrit par Steve Englehart. Ce qui n’a rien d’étonnant puisqu’il s’agit du créateur du personnage de Silver. Donc les similitudes sont tout à fait logique et font sens. Ce qui rend le personnage de Vicky bien plus consistant que son homologue dans les comics (du moins à l’époque, elle sortait tout droit du Golden Age et elle n’avait été crée que pour être la Lois Lane de Batman, entre temps, elle a fait quelques apparitions rares dans certains comics, mais rien de bien remarquable, elle regagnera en popularité après ça). On a donc ce subtil mélange entre femme faussement fatale et reporter de l’extrême, puisqu’elle va se mettre dans des situations impossibles. Pour autant, elle n’incarne pas le rôle de la cruche de service, et s’attache vraiment à Bruce Wayne (avant d’être fascinée par Batman), c’est un peu l’antithèse de Catwoman sur ce plan là. De même que Bruce réussira à être touché par les convictions de la jeune femme, et par son histoire (qu’il aura mal jugée au départ). Même en 1989, il n’y avait pas tant de fausses notes sur le personnage, j’ai trouvé. Évidemment, le seul hic vient de sa position de « femme en détresse » vu que le Joker est aussi fasciné par elle, ce qui emmènera fatalement à cette position du héros qui sauve sa dulcinée… Ça, c’est un toc dont on arrive pas à se passer, même aujourd’hui. Malgré tout, le personnage vaut plus que ce simple faire valoir, elle permet à Bruce Wayne de sortir un peu de cette noirceur.

Batman

Et en parlant de Bruce, incarné donc par un parfait Micheal Keaton (du moins pour ce que veut en faire Burton), certains codes du personnage n’auront donc pas échappés au réalisateur, comme cette scène qui montre une pièce rempli de trésors dans le manoir Wayne qu’il prétend (plus ou moins) avoir ramené de ses voyages (il est fort probable qu’ici, il mentionne en vérité les origines de sa culture et de ses talents pour le combat, même si rien de tout ça n’est clairement évoqué). Au delà de ça, j’aime ce Bruce Wayne, plutôt timide, plutôt drôle quand il faut, jamais vraiment noir ou sombre, sauf quand il revêt le masque. Il y a justement dans ce film une vraie distinction entre Bruce Wayne et Batman, qu’un seul élément rapproche cependant, c’est la solitude. Le passage où l’on voit Bruce (et non Batman) derrière tout ses écrans de surveillance (avec son bat-ordinateur qui lit des VHS, trop la classe !) est assez parlant à ce sujet, alors que le monsieur organise une œuvre de charité chez lui, pour sauver le festival cher à la ville mais qui ruine la mairie… Bruce est donc une personnalité active pour sa ville. Le traumatisme lié à la mort de ses parents est bien évidemment très largement évoqué dans ce film, pour des raisons évidentes dont je reparlerai plus tard. Pour autant, il y a ce côté touchant chez le personnage, ce même état d’esprit que Vicky Vale arrive à capter chez lui, qui personnellement me ravi, ce personnage faillible qui a envie de se sortir de ce gouffre (duquel essaye de le sortir Alfred, sans pour autant trop en faire comme dans d’autres films ou comics beaucoup plus actuels…), et qui ne sait pas comment y parvenir. Ce Bruce Wayne un peu penaud et handicapé social, mais qui ne peut résister au charme et à la vivacité de Vicky, ça brise un peu la carapace tant formatée du héros sombre qu’il ne faut pas ennuyer et c’est, je pense, ce qui a permis à plein de gens de s’identifier à lui à l’époque (outre qu’il soit parfaitement humain… mais perso, je suis pas capable de sauter de toit en toit avec des grappins, mais tomber amoureux, si, un peu…).

Batman

Et pour parler à ce Batman, qui mélange violence subtile et brutale, et qui ne sait pas trop si il faut tuer ou non… ça dépend des gens, de l’air et du temps, il est finalement assez atypique par rapport à ce qu’on trouve aujourd’hui. Un sorte de mélange bâtard entre le Batman peu regardant sur le sort de ses ennemis du Golden Age, du colérique Batman de Miller, en passant par le Batman rigolo version 66′ qui se permet de faire des mimiques ou des vannes à ses ennemis (mais en moins kitsch !). Ce Batman, si on écarte Bruce Wayne de l’équation, semble malgré tout totalement schizophrène et complètement fou. La fin est assez parlante à ce sujet, quand il apprend la grande révélation du film, des gens vont mourir et lui il va péter un câble. Mais pas de problème. Bruce Wayne lui, il continue d’être mignon et plutôt cool. L’ensemble est propre à du Burton je dirais. Pour autant, à ce niveau là, je trouve que ça fonctionne plutôt bien, si on accepte de voir un petit peu tout ces codes de différents Batman mélangés… Difficile d’étayer plus tant le personnage est finalement une brute lorsqu’il revêt le costume. Ce n’est que colère, boum, farce, colère, boum, farce, en boucle (sauf la fin où y’a plus « farce »). Il reste cependant la panoplie de gadgets, propres au héros, dont il nous fait très souvent la démonstration dans le film, et surtout avec ses véhicules sur-équipés. Bon dieu, que cette Batmobile a la classe (la meilleure pour moi, avec celle de TAS), et que dire de ce Batwing ultra silencieux et super cool (par contre, les phases de vols sont techniquement ratées… pour un film de 2014… heu attends…). Reste que, à la manière du Superman de Reeves, le Batman de Keaton a marqué notre enfance de manière irrémédiable, parce qu’on voulait tous être comme lui et mettre des tatanes aux méchants. Bien qu’en tant que gosse, on l’a quand même bien vite oublié au profit du Batman de TAS… C’est ingrat les gosses, je vous jure !

Batman

Reste bien évidemment le Joker de Jack Nicholson. Sujet à controverse s’il en est puisqu’aujourd’hui, il devient presque difficile de le mettre face au Joker de Heath Ledger sans que les fans ne nous sautent à la gorge pour dire à quel point il lui est supérieur. Moui. Si on veut. Clairement, l’approche de ce Joker-ci est bien différente de l’autre, plus récent. Pour autant, il n’a pas grand chose à lui envier, en terme de caractérisation brute. Le Joker de Nicholson est fou, bien plus clownesque et drôle au demeurant que sa version Ledger (oui je sais, y’a le coup du crayon, mais la force du Joker de Ledger ne se tient pas dans ses clowneries… mais dans sa vision perspicace du monde qui l’entoure, ce n’est pas un Joker drôle au sens premier du terme), il est bien plus accro aux gagdets aussi, ce qui fait partie intégrante du personnage de base, et enfin et surtout, il est l’antithèse du Batman de ce film, avec la même schizophrénie latente si je puis dire, mais dans un schéma inverse. Joker tuera sur un coup de tête, ou pour le plaisir, pendant que Batman lui, ça sera sur la colère ou par « mégarde ». Ce Joker est à mon sens bien plus proche du Joker de l’époque que ne le sera jamais Ledger, qui correspond à une version plus moderne et fantasmée du personnage (mais qui reste excellente, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dis). L’avantage c’est que chacun des deux piochent leurs inspirations dans le comics pour en extraire finalement qu’une des nombreuses facettes du personnage. Et que dire de ses origines, et de son identité… qui aujourd’hui, feraient hurler le fan qui ne jure que par Alan Moore et Killing Joke, où il a été gravé dans le marbre (éventuellement), que le Joker ne devait pas avoir d’origine story… (pourtant, il paraît que Burton n’aime pas trop les comics et que ce sont Killing Joke et The Dark Knight Returns qui l’auraient décidé à faire ce film sur Batman). Ben écoutez, je sais pas, mais en soit, on visionne sa transformation de Jack Napier en Joker, et franchement ça passe crème, en plus de rajouter de la consistance au bonhomme (et c’est ça qui est important). Ici, pas de Red Hood. Juste un salopard qui tombe dans une cuve à cause de Batman. À comprendre aussi que Jack Napier lui-même serait presque l’antithèse de Bruce Wayne, où le premier est un gangster fini prêt à trahir le premier venu (même si c’est lui qui se fait avoir, pas de bol) et le second est un bienfaiteur pour sa ville prêt à partager ses richesses pour le bien commun. Cette dualité est (je trouve) formidablement complétée par un élément qui ferait donc crier les fans au scandale aujourd’hui, mais que je ne relèverais pas pour ne pas spoiler les quelques irréductibles qui n’ont pas encore vu ce film. Une fois de plus, la pertinence d’une telle approche dans les comics serait hautement discutable, pour autant, elle est juste génial dans ce contexte présent, liant les personnages entre eux comme rarement auparavant (et après aussi d’ailleurs…).

Batman

Et pour juger un peu l’ensemble, nous avons un film assez riche en scènes succulentes, amusantes, fortes, pertinentes, et plein d’autres adjectifs en « entes », avec une fluidité assez claire. On reprochera aux films d’avoir un peu vieilli sur certains aspects (j’ai oublié de mentionner le costume de Batman, encore plus rigide que celui de Begins, qui oblige le personnage a parfois faire des mouvements totalement ridicules… même si dans l’ensemble, Burton arrive à bien masquer tout ça dans ses prises de vue, mais bon). On pourra toujours aussi (et comme d’habitude j’ai envie de dire) reprocher à Burton d’avoir pris quelques libertés sur le personnage de Batman et celui du Joker, et d’avoir changé des morceaux « INTOUCHABLES » malgré la crise épileptique que ça peut provoquer aux fans (t’façon, il s’en foutait, Internet à l’époque, c’était pas franchement la voix du Seigneur !). Mais ce qui est important, et ce que je vois moi (parce que je ne vois que ce qui est important, c’est bien connu), c’est qu’il a voulu raconter SON histoire de Batman, qu’elle colle suffisamment au mythe (malgré les écarts) pour ne pas dénaturer le personnage, que l’ensemble se tient parfaitement, et surtout… qu’il aura su influencer la meilleure série animée de tous les temps sur le personnage (mais on y reviendra, peut-être). Burton est un homme qui était à l’époque (et qui doit toujours l’être je suppose) complètement détaché du média comics, pour autant, il a accepté de faire ce film car il a vu le potentiel du personnage. Et quoiqu’on en dise aujourd’hui, son histoire se tenait à l’époque, et encore maintenant si on pose notre fanatisme dans un petit sac à côté. J’en suis convaincu. Et sans peine, car aujourd’hui, ce film fait partie intégrante du mythe du Chevalier Noir, ainsi que sa musique, qu’il ne faut bien sûr pas oublier !

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45 Commentaires
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Destroys
9 années il y a

Super avis ! je suis d’accord pour la note. Le film de notre enfance pour beaucoup ici !
Super initiative de faire les review des films du Chevalier Noir ! (et même ceux de Schumacher huhu)

CaptainMasked
9 années il y a

Un des meilleurs Batman ! Un film où on se marre bien avec des répliques cultes. Un bon moment mais certains n’aimeront pas. Bonne review en tout cas.

Billy Batson
9 années il y a

Un film beau visuellement (même si j’ai une préférence pour le suivant), j’aime le Batman de Keaton, un schizophrène avec pour reflet un Joker culte, différent de celui de Ledger, moins flippant mais tout aussi dangreux. J’aurais adoré voir Burton développer d’autres personnages urbains de l’univers DC comme Sandman ou Black Canary. J’ai beaucoup aimé ta review et j’attends celle du Défi qui reste pour moi meilleur que celui-ci.

Brutal Destr0y333r
Brutal Destr0y333r
9 années il y a

Je pense que tu as bien résumé le film « Burton voulait faire SON Batman » il a eu les couilles de prendre le mythe de base mais d’en faire ce qu’il voulait. Personnellement j’en suis plus vraiment fan depuis quelques années, notamment à cause du joker que je trouve limité et qui pour moi n’est que la surface du personnage comic, mais il a quand même engendré Batman Returns qui est un véritable chef d’oeuvre a défaut d’être complètement du Batman encore une fois (salut je crame des mecs avec ma Batmobile et je fais exploser des méchants du cirque ! Je suis le gentil !) Et la folie du personnage est très attrayante.
C’est un film vraiment beau.
On dirait presque un elseworld comme all star batman et robin : » j’évite de tuer, j’estropie des mecs sauf si on me cherche vraiment ! Là tu peux faire tes prières ! »

crazy-el
crazy-el
9 années il y a

Je sens que tu as adoré écrire cet article, une belle maîtrise dans ses qualificatifs mérités.

 »I’m Batman » Bon sang que j’adore cette citation, elle a passé à l’histoire et épique.

Corentin
9 années il y a

« Sujet à controverse s’il en est puisqu’aujourd’hui, il devient presque difficile de le mettre face au Joker de Heath Ledger sans que les fans ne nous sautent à la gorge pour dire à quel point il lui est supérieur. Moui. Si on veut. Clairement, l’approche de ce Joker-ci est bien différente de l’autre, plus récent. Pour autant, il n’a pas grand chose à lui envier, en terme de caractérisation brute. Le Joker de Nicholson est fou, bien plus clownesque et drôle au demeurant que sa version Ledger (oui je sais, y’a le coup du crayon, mais la force du Joker de Ledger ne se tient pas dans ses clowneries… mais dans sa vision perspicace du monde qui l’entoure, ce n’est pas un Joker drôle au sens premier du terme) »
*calin*
C’est pour ce genre d’analyses que j’aime DCP.

Fiffic
Fiffic
9 années il y a
Répondre à  Corentin

Concernant ces Jokers, j’ai toujours pensé que la différence se trouvait en l’essence même du clown : l’Auguste puis le Clown blanc (parfois appelé Pierrot). Le premier tend davantage à la bouffonnerie là où le second se veut plus sérieux. Il était risqué pour Nolan de ne pas faire un bis repetita du Joker de Burton et il a je pense eu raison de choisir le contre-pied de l’Auguste (mais il n’a rien inventé ^^)…. Mais celui de Burton est « plus mieux » :p

Wayne
Wayne
9 années il y a

Super une review sur les films ! Bravo. Maintenant on attend avec impatience les review des Batman de Schumacher ;)
Sinon ce film c’est clairement (trop?) du Burton et par moment on s’éloigne un peu de ce qu’on aimerait voir de notre justicier masqué.. Mais je chipote, ça reste un chef d’oeuvre que je voies avec joie depuis mon plus jeune âge !
Et que dire de ce Joker ? En un mot ? SUBLIME !

Corentin
9 années il y a
Répondre à  Wayne

Alors j’annonce: si la review du Batman Forever de Schumacher cite « Jim Carrey » dans les bons points, je gueule. ^^

Strax
Strax
9 années il y a

Excellente revue du premier Batman ! ^^
Je suis juste en désaccord avec l’un de tes points négatifs. Burton n’avait pas les coudées franches sur son premier Batman, surtout en comparaison avec Returns, alors ce n’est pas vraiment la vision la plus personnelle du Batman selon Burton.
M’enfin, je chipote sur un détail ! :p
En ce qui me concerne, les Batman de Burton font partie de mes films de super-héros préférés, et Batman Returns est un de mes films cultes, et mon Batman favori toutes époques confondues !
À quand une revue sur Returns, du coup ?
‘tention, quand ça arrivera, je risque d’être bien plus tatillon et chiant, je m’en excuse par avance ! ^^

Strax
Strax
9 années il y a
Répondre à  Freytaw

Si si ! Burton était bien plus libre sur Returns, d’autant qu’à la base il ne souhaitait pas revenir sur Batman ! ^^
Enfin, quand je parle de liberté, je veux dire qu’il livre une vision plus personnelle du monde de Batman, pas qu’il trahit les personnages ! On sent bien plus la touche Burton sur Returns.
Même si sa vision personnelle implique de toute façon une vision un peu biaisée de ces personnages, mais c’était déjà le cas dans le premier opus, et tu en as très bien parlé !

Et quoi qu’il en soit, les super-héros de comics sont constamment réinterprétés, c’est le cas depuis les débuts de Superman et de Batman. Et tant mieux, sinon on serait encore au Golden Age et plus personne ne lirait de comics aujourd’hui.

Mandalorwarrior
Mandalorwarrior
9 années il y a

Mouais, je l’aime bien, j’ai même le DVD, mais il’y a vraiment RIEN d’attachent :

– Histoire/Scénario : Après le meurtre de ces parents, le jeune milliardaire Bruce Wayne combat le crime sous le nom de « Batman » et défendre les citoyen du terrible Joker !
SPOILER

Jack Napier, le meurtrier de ces parents… sans réel raison (Salop devenu Super salop, typique Burtonesque…)

FIN SPOILER

– Moral: heu… la vengeance est plat qui ce mange froid ? hum…

– Décors: bah « Gotham City » devient « Gothique City » (dans les comics, c’est un ville américaine New Yorkais en plus sombre et elle n’est pas « gothique », comme certain le prétendent…)

– Personnages: = le Joker est superbement bien jouer (Jack Nicholson en même temps…), pour dire, il me fais vachement penser à celui de TDKR de Frank Miller (physiquemen:
http://4.bp.blogspot.com/_p- qalHot9s4/SJVzsIBEhyI/AAAAAAAAAT8/qRU3_UdZc1U/s400/Joker_1.jpg) mais mal construit (sait maudit Burton !!! lol), et même si le clown est plus drôle que la version de Nolan (enfin, j’ai jamais trouver le Joker « comique » dans les …hum… comics–), la version Burton lui manque plaine de choses pour le surpasser: du Sadisme, de la VRAI folie (Nicholson aurai put faire un meilleur Joker si le film c’était appeler « The Shining »), ne pas haire Batman (c’est un jeu, joker ! tu te souvient ?), pas d’origine story (comme je l’ai dit: Salop devenu Super salop, bof, aucun mystère pour un personnage si géant, dommage… )
= les autres sont bien… mais sans aucun importance (pas super bien développer, surtout Alfred… c’est à ce demander si le film devais pas s’appeler « Joker »)

bref, 6/10 pour moi

Mandalorwarrior
Mandalorwarrior
9 années il y a
Répondre à  Freytaw

Je veut bien croire, le film de Burton s’inspire de « l’âge d’or des comics » (batman tue les méchants, longues oreilles, joker tuer,ectr)… Mais alors, qu’est ce que vous avez contre ceux de Schumacher ?! Il s’inspire de Âge d’argent des comics, tout simplement ! (batman ne tue plus, robine-batgirl-riddler- freeze- ectr tous des rigolos, les costumes,ectr) Et au moins, les personnages secondaires ont enfin une psychologie (surtout Alfred !), après mais préférer sont ceux de Nolan: ils ont TOUS une psychologie, un idéo, ectr !

Corentin
9 années il y a
Répondre à  Mandalorwarrior

Les films de Schumacher sont d’abord de mauvais films. Qu’ils soient inspirés de telle ou telle époque ne change rien à leur qualité. On pourra revenir sur ce côté « silver age », puisqu’il ne s’applique qu’aux vilains. A part pour quelques scènes, Batman et Robin se prennent largement au sérieux.

Corentin
9 années il y a
Répondre à  Mandalorwarrior

« Le Joker des comics »? Tu ne vas pas au cinéma pour lire un comics. Si tu veux lire un comics, tu lis un comics. Si tu vas au cinéma, c’est pour voir un film. La cohérence avec l’univers des comics, quand on va au cinéma, on la range. On l’oublie. Ce ne sont pas des oeuvres en continuité.
De plus les oeuvres comme celles de Burton, ou bien celles de Nolan, sont à ranger dans la catégorie des films d’auteurs, au sens où les deux réalisateurs insufflent à leur saga une vision. La leur. Et l’une n’est pas supérieure à l’autre. Dire qu’un Joker est supérieur à un autre, j’espère que tu te rends compte à quel point c’est complètement idiot. Tu peux en préférer un, ou préférer l’autre, mais le cinéma, les comics ou la comédie, ce sont des disciplines artistiques. Pas de machines à laver. Donc on s’en fout de ce à quoi ressemble Gotham dans les comics, on s’en fout du Joker de Ledger, quand tu juges un film, tu juges sa valeur absolue, c’est tout. Ou alors, tu le prends comme tu le sens, mais dans ce cas là, tu t’abstiens de donner une note qui ne veut rien dire.
Et puis si tu vas par là, dans les films de Nolan, Ra’s Al Ghul n’est pas immortel, le Joker n’est pas brûlé par l’acide, et Bane ne se shoote pas au venin dopant. Pourtant, tu les aimes ces films, non?

Mandalorwarrior
Mandalorwarrior
9 années il y a
Répondre à  Corentin

Non, je vais voir une « adaptation de comics » c’est autre chose qu’un simple film ! Et je ne demande pas que sait « mot pour mot », mais qu’il reste fidèle au personnage, si je vais dans ta façon de panser: oublions la continuité; on fait de Damien un homo, un Hal Jordan japonais, Lex Luthor deviens Lexy Luxtor, ectr et donnez son avis, c’est idiot ?! d’accord, <> et si tu veut voire les vidéo de critique youtube sur Tout les films avec « un peut-prêt » le même avis que moi.

Corentin
9 années il y a
Répondre à  Mandalorwarrior

Je vais essayer de le dire posément, vu que je vois à quel point ça te tient à coeur. Non, une adaptation n’est pas « un film spécial ». C’est un film, qui obéit aux mêmes règles que les autres. On peut compter des dizaines d’adaptations non fidèles aux oeuvres qu’elles adaptent qui sont rentrées dans l’histoire du cinéma. Pourquoi? Parce qu’un film est un tout uni, et doit pouvoir être accessible par tous, y compris ceux qui n’ont jamais lu le bouquin (ou le comics) de leur vie, c’est à 99,9% du public. Si ça te dérange, ou que tu veux à tout prix un univers semblable à celui des comics… Reste dans les comics.
Ensuite, tu pourrais me citer une déclaration solennelle de Bob Kane réincarné qui renie lui même le Batman de Burton que ça ne change rien. Drôle de logique « on est plusieurs à dire pareil, alors on a raison ». C’est probablement le plus gros défaut d’internet, où chacun croit qu’il suffit d’une caméra, d’un logiciel vidéo ou d’un post de blog pour qu’un avis personnel injustifié devienne une vérité générale (d’ailleurs, tu cites Durendal, regarde SON avis sur le sujet des adaptations, tu verras qu’il contredit tout ce que tu viens de dire).
Et je ne te reproche pas de ne pas aimer ce film, je te reproche de ne pas l’aimer pour de mauvaises raisons. Tu ne l’aimes pas, ok, mais dire qu’il est nul parce que « Nolan, c’est mieux », je suis désolé de devoir le formuler en ces termes, mais OUI, c’est idiot. Après, tu peux assumer d’avoir un avis idiot, mais ne fais pas porter la faute à un film qui, à son époque (puisque tu tiens à citer des opinions externes) a été un succès critique et commercial phénoménal. Comme quoi, tu vois, y a pas de vérité unie (et toutes les vidéos youtube du monde n’y changeront rien).
Pour te répondre, enfin, ils peuvent faire un Batman unijambiste ou manchot qui se marie avec le Pingouin, ce ne sera peut être pas ce que j’ai envie de voir, mais si un film est bon, il est bon. Et je ne vais pas cracher dessus juste en tant que fanboy outragé, ou parce que j’ai vu ailleurs un truc qui m’a plus plu. Maintenant, si t’as envie de t’acharner, c’est ton problème.

Mandalorwarrior
Mandalorwarrior
9 années il y a
Répondre à  Corentin

Psss…tu à du mal à lire, j’aime bien le film de Burton, mais je le prends vraiment au second degré, puis pour Durendal, hein, j’ai dit « un peut-prêt » le même avis, puis j’ai jamais dit qu’il fallait être fidèle à « 100% » ou à « 80% » le/les comics, mais rester fidèle quand même (vous aimez un Mister Freeze rigolo ? non ? bah moi non plus ! …et celui de new 52, encore moine), bref.

Aristoloche
Invité
Aristoloche
9 années il y a
Répondre à  Corentin

Mais vous êtes pénible. Donc les fans sont des gros nazes et le gugusse de ta vidéo qui se contredit souvent d’une vidéo sur l’autre il sait tout?. Tu sais mon grand. Quand 2 personnes lisent le même bouquin, ils sont libres d’avoir des visions différentes sur certaines choses. De même que les auteurs qui passent sur un titre en 75 ans ont surement eu des approches différentes du personnage. Il faut vraiment se détendre les gars.

Mandalorwarrior
Mandalorwarrior
9 années il y a
Répondre à  Aristoloche

Pfff… je voulais seulement expliquer mon pointe de vu avec un mec qui donne des explication détailler (bien évidamment, pas aimez vu qu’il critique au négatif « Batman de Burton que j’ai connu étant jeune ») , mais bon, comme on peut rien dire sur ce film sans qu’on viens dire « oh, que c’est idiot » (d’ailleurs, j’ai jamais traité quelqu’un de dire des choses idiot; c’est sympa, merci) ou un « faut être constructive » (apparemment, dire tout ce que j’ai dit, ce n’ai pas assez Oo), mais c’est simple: rien ne sera assez constructive pour vous ! Donc, vaut mieux être d’accord avec tout le monde et dire « c’est un chef-d’oeuvre » (bizarre, comme tout les premier VRAI film de super-héros sortie dans les année 1900–) +, j’ai jamais dit que je n’aimais pas le film (d’où ma note: 6/10, hum), seulement que je vois pas en quoi c’est un chef-d’oeuvre et pourquoi il’y a si peut d’inspiration à « Killing Joke » (pour finir, et je sait que personne n’as rien dit la dessus, mais sa me fait rire; le maque de psychologie dans Green Lanterne, c’est une blague, hein: Gordon, l’un des personnage principale de l’univers de Batman n’en à pas dans ce film, tout comme les autres personnage, sauve Batman et Joker…)

Corentin
9 années il y a
Répondre à  Mandalorwarrior

Y a ptet pas besoin d’insister 3 heures. On a compris, t’as pas aimé, maintenant il serait temps de passer à autre chose. Personne ne t’empêche de penser que ce film n’est pas un chef d’oeuvre, d’ailleurs moi non plus, je ne pense pas que ça en soit un. Et j’aime aussi les films de Christopher Nolan, mais le but n’est pas de nommer un gagnant entre deux acteurs pour un même rôle, ou entre deux réalisateurs pour l’adaptation d’un même support. C’est complètement puéril, au bout d’un moment, juge le film, et juge le pour ce qu’il est.
Puis à la limite, si d’autres pensent que c’est un chef d’oeuvre, c’est pas grave. Tu as ton avis sur la question, et ben voilà, t’as pas besoin de convertir les autres ou de les obliger à penser comme toi. Un film, c’est une oeuvre d’art, on a tous un ressenti différent dessus, c’est normal. Faut juste pas faire de cet avis une vérité universelle et essayer de l’imposer à tout prix (c’est surement très hypocrite venant de moi, d’ailleurs^^).
Moi perso, je m’en fous de savoir qui est vraiment le Joker, je le prends comme l’auteur me le présente, et si il me l’explique bien, j’accepte, sinon, je le refuse. Que cet auteur s’appelle Burton, Nolan, Morrison, Moore, Miller ou Snyder (différents cas de réussite ou d’échecs^^).
Bref, je m’arrête là vu qu’on a a priori fait le tour du sujet, mais pour conclure, pense ce que tu veux, mais pense le moins fort. On a la chance d’avoir des gars sur DCP qui fournissent un temps de travail assez considérable pour des reviews de ce genre, c’est un peu réducteur derrière de tomber sur des avis aussi expéditifs.

Mandalorwarrior
Mandalorwarrior
9 années il y a
Répondre à  Corentin

Non, j’ai bien aimé ce film, mais pas plus, pour plusieurs choses (trop gothique, trop de « visage blanc-blanc », ectr), mais sa reste un bon divèrtisment (en famille surtout)… sinon, désolé d’avoir fait un « débat » ici

arthurhr
arthurhr
9 années il y a
Répondre à  Mandalorwarrior

Je suis d’accord avec toi. Ce film n’est pas extraordinaire: le scénario est sympa, les combats ne sont pas terrible et Nicholson bien que très bon n’offre pas une version du Joker très intéressante et puis le fait que Batman tue cela m’a dégouté

DRy
DRy
9 années il y a

Une controverse de ? Le joker jacky est le plus fidèle au comics, c’est tout.
Le joker de Ledger lui, est d’être fidèle a la réalité et non à de la fiction. Donc chaque films a ces bon joker :)
Superbe film qui vieillit trés bien je trouve. Bravo pour cette analyse.

Mandalorwarrior
Mandalorwarrior
9 années il y a
Répondre à  DRy

Désolé, le Joker de Nolan est plus fidèle au Joker que des comics (le tout ancien n’avais pas tout ça splendeur, sauve si vous préférer un hainième ennemis qui n’as qu’une chose en tête: tuer le héros): Anarchiste, prouver ces « théories », sadique, identité inconnue, il donne plusieurs « origins story », ne veut pas tuer batman, veut foutre le chaos partout ou il passe, ectr.

Alors que celui de Burton reprend SEULEMENT ce que fait/ai le joker (rien sur sa psychologie, quoi): un mec tomber dans une cuve de produits toxique à ACE Chemicals (rebaptiser Axis Chemicals dans le film), il veut empoisonne Gotham avec sa toxine , utilise des gadgets farfelue, parle à un cadavre et c’est tout…

Donc, Ledger est « The Joker » parce qu’en plus d’avoir respecter sa psychologie (merci Nolan), il reprend tout sa dans un univers réaliste !

Corentin
9 années il y a
Répondre à  Mandalorwarrior

« Le tout ancien », tu veux dire, celui qu’il a été pendant 48 ans, avant que Moore n’écrive The Killing Joke? J’adore cette logique du « j’ai lu 3 arcs où le Joker il est comme ça, du coup, tout ce qu’il y a avant, ça a aucun intérêt ». Du coup, si je te suis bien, le Joker de Batman TAS, c’est pas le vrai non plus en fait ^^
Au passage, j’aime cette sainteté de gardien du temple chiant et rétrograde qui considère que « c’est pas comme ça que je le vois, donc c’est nul ». Nolan a autant eu de respect pour l’univers de Batman que Burton. Au moins, Burton respecte le côté fantastique et surréaliste de l’univers de Gotham.

Mandalorwarrior
Mandalorwarrior
9 années il y a
Répondre à  Corentin

Hey, Calmos avec tes « j’aime cette sainteté de gardien du temple chiant et rétrograde qui considère que « c’est pas comme ça que je le vois, donc c’est nul » » d’abord, on à tous le droit à avoir un avis diffèrent du tien, ok ? Puis j’ai jamais dit que je trouvais le Joker de Burton nul (j’aime bien le jeu d’acteur), seulement lui qui dit « Killing Joke, c’est un chef-oeuvre » (c’est une façon rapide de parler, hum) je trouve sa con qu’il ne s’en ai pas inspirer plus que sa, ai soit rester sur « celui qu’il a été pendant 48 ans » comme tu préfère que je l’appel :P puis, dans Batman TAS, ils respèct plutôt bien sa psychologie, je trouve (veux jouer avec Batman, identité inconnue, sadique, ectr). ET pour finir, non…

Burton: -Catwoman = femme à la peau super blanche (la femme parfaite selon Burton lol) très…
malsaine (la scène ou elle lèche son costume -_- ridicule…) , qui veut ce
venger de son patron qui l’a balance d’un immeuble, et qui veut foutre Batman
au tapie ! ( je l’aime pas plus que sa)
-Penguin = petit homme à la peau blanche et au visage monstrieu (le fils parfaits selon
Burton, lol), abandonner dans les égouts par ces parents, il veut ce faire
respecter en… tuent des gents, hum (la psychologie est mal exploiter, mais
j’aime bien le jeu d’acteur)
-Gordon = qui ? à oui, le mec sans importance ni psychologie qui doit surement être au
chaumage maintenant (c’est ce qui arrive quand on laisse un mec déguiser
en chauve-souris tuer tout les criminel, yep, bad cops…)

Nolan: -Ra’s al Ghul = veuf de sa femme tuer par des criminels, il devient terroriste international qui
veut « purger » tout ce qui est pourrie avec l’aide de son armée: « la ligue des
ombres » (oui, dans les comics il n’as jamais été Henri, même si je trouve sa
bien mieux dans le film, mais reste que la psychologie est la)
-Double Face = il étais le procureur de Gotham, jusqu’au jours ou il fus défigurer sur la
moitié su visage et perdu sa femme, il va ce venger de tout ceux qui sont lier
à la piegre et c’est sa pièce qui décidera de leurs sort (sa psychologie, son
histoire, ectr sont même, pour moi, bien meilleur que celui des comics !)
-Scarecrow = psychiatre à l’asile d’ Arkham, il exploite les peur sur ces patients (même si il
bien interpreter, c’est vrai que point de vu psychologie… on sait juste dire qu’il
complètement cingler
-Catwoman = voleuse professionnel avec des équipements high-tech (il y à même un scène
très proche de celle de Batman Knighfall avec elle; quand elle emmène son
« canton » dans le barre)

Corentin
9 années il y a
Répondre à  Mandalorwarrior

Mon dieu… Désolé, je m’arrête là, ça devient trop stupide pour surenchérir.

Arnonaud
9 années il y a

Très bon film ! Je l’ai vu y a un ou deux ans pour la première fois, et je ne trouve pas que le film avait vraiment vieilli (mais je l’ai vu en DVD, pas en Blu-Ray, peut être que le film n’est pas fait pour être vu en hyper haute définition.)
L’un des points forts du film est certainement la ville de Gotham qui ressemble à Gotham et pas juste New York ou Chicago avec un autre nom comme chez Nolan. Et les personnages sont très bons aussi que ce Batman, Bruce Wayne ou le Joker. Il n’y a pas à pinailler pour savoir quel Joker est meilleur que l’autre, ce sont deux visions différentes. Mais le Joker de Nicholson me semble en effet plus proche de celui des comics (et des comics de l’époque, bien entendu, il peut pas s’inspirer des comics actuels en même temps !)
Franchement l’esprit Batman est bien là, et le thème d’Elfman est juste mythique !

Mais je préfère sa suite qui est certainement mon film de super héros favori, une petite merveille !

Bonne review !

Mandalorwarrior
Mandalorwarrior
9 années il y a
Répondre à  Arnonaud

Le Gotham des comics n’est pas Gothique… juste une ville comme New York, en plus sombre (au fait, l’un des nom de New York étais « Gotham », c’est pour dire…)

TheRiddler
9 années il y a
Répondre à  Arnonaud

D’ailleurs à ce sujet il me semble que la Gotham de Burton a ensuite fortement inspiré la Gotham des comics !

DarkChap
DarkChap
9 années il y a
Répondre à  Arnonaud

En fait, c’est Burton qui a designé la ville selon ses goûts gothiques (ce qui va très bien à Batman). Ca a été repris assez vite dans les comics avec l’arc Destroyer et dans les TAS. On est tout simplement resté sur ce design depuis (avec une certaine modernisation passagère suite à No Man’s Land/New Gotham).

ramzacom
ramzacom
9 années il y a

il y a dans les deux films de Burton un côté enfantin qui m’a toujours un peu rebuté ; peut-être la bande-son ou la VF, je sais pas.

j’ai récemment revu le premier sur paramount channel, et je me rends compte que le Joker de Nicholson a je trouve, mal vieilli.

La force de Nolan, c’est d’avoir fait du Joker un chef de bande légitime, là où je m’interroge sur la crédibilité du joker de Burton en tant que dangereux gangster.

LeiKeiko
LeiKeiko
8 années il y a

Je viens de revoir le film récemment, il est bien mais pas le meilleur Batman, ni le meilleur de Burton .. Surtout au niveau de Nicholson qui pour moi est un super acteur qui as fait des rôles plus dingue les uns que les autres, mais en tant que Joker (outre le maquillage qui est très bien fait, malgré un sourire coincé), ce n’est pas son meilleur rôle comparé à « Vol au dessus d’un nid de coucou » ou « Shining », et j’en passe.

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