1. L’Intro |
7. Despero |
2. Batman |
8. Cheetah |
3. Green Arrow |
9. Mystere |
4. Flash |
10. Darkseid |
5. Superman |
11. Le mot de la Fin |
6. Wonder Woman |
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Ce mois-ci il s’agit d’un numéro un peu spécial. Il faut bien faire honneur à la sortie d’Injustice : Les Dieux Sont Parmi Nous! Je vais vous présenter son ancêtre! Ou pas. Du moins un autre (le seul) versus fighting à la sauce DC, comme ça vous pourrez vous la péter avec vos amis. Car oui Injustice n’est pas le 1er versus fighting DC, non: il faut se souvenir de Justice League Task Force. Sorti en 1995 sur Megadrive et Super Nintendo, Justice League Task Force a été développé par Blizzard Entertainment et Sunsoft, et édité par Acclaim Entertainment (souvenez vous d’Acclaim Comics qui part la suite est devenu Valiant Comics.
Je vous mets en fin de chronique un dossier de Comicsblog sur le sujet, qui date un peu mais reste très clair). Techniquement, je n’ai clairement pas eu le temps en un petit mois de perfectionner ma technique dans ce jeu, jouant en plus sur clavier pour le bien de la chronique, et étant de toute façon un joueur de versus fighting plutôt lambda. Je tiens à cette occasion à préciser que cette chronique s’adresse en priorité aux néophytes du versus fighting. J’accorde une certaine importance à cette précision, sachant parfaitement le haut niveau de maîtrise et de connaissance de certains joueurs de versus fighting pouvant s’offusquer de mon ignorance en la matière. Je souhaite faire ressortir de ce jeu toute l’essence DC et non véritablement l’aspect technique que je ne saurais réellement cibler. D’autant que nous n’avons ici pas à faire à un Street Fighter II, Fatal Fury ou autre Art of Fighting indétrônables. Et puis, il n’est pas encore venu le jour où cette chronique se prendra au sérieux.
Tout d’abord, quelques mots sur la Justice League Task Force. Publié de juin 1993 à juillet 1996, JLTF (37 numéros en tout) est un spin-off de la Justice League Europe, abandonné (du moins avec cette dénomination) en mai 1993. Hannibal Martin, représentant des Nations-Unies, a demandé à Martian Manhunter de rassembler des Super-Héros pour des missions aussi secrètes que spéciales afin de remplacer la Justice League Europe. Martian M. prit soin de s’entourer de Gypsy comme acolyte et chef. On compte pas moins d’une quarantaine d’autres super-héros aux apparitions plus ou moins anarchiques allant des habitués tels que Triumph et Mystek, aux membres moins présents tels que Captain Atom, Blue Beetle (Ted Kord), Flash (Wally West), Wonder Woman, voire présents que sur un seul numéro comme Green Arrow (Oliver Queen), Aquaman, Batman (Bruce Wayne, mais aussi Jean-Paul Valley), Booster Gold… Alors grande question, l’absence d’un Green Lantern vous a sans doute sauté aux yeux dans le casting du jeu. Rappelez-vous tout simplement que Hal Jordan était alors contrôlé et habité par Parallax (lisez Emerald Twilight de Ron Martz!). Et pour la présence de Despero qui peut paraître étonnante pour de jeunes lecteurs comme moi, sachez qu’à l’époque il était vachement présent, alors habité par L-Ron justement habitué de la JLTF (transfert réalisé par Kilowog il me semble, pour arrêter le dernier saccage en date de Despero).
Grâce à un magnifique article du Daily Planet qui, à part les titres, est écrit en kryptonien, on sait que Darkseid vient d’attaquer la Terre et une base militaire américaine a été détruite. Le salut de la planète est remis entre les mains expertes d’un membre de la Ligue des Justiciers. Vous avez alors le choix entre six membres de la Justice League : Aquaman, Batman, Flash, Superman, GreenArrow et WonderWoman.
J’ai l’habitude de jouer avec des nanas dans les versus fighting mais cette fois, pour changer de l’éternel Batman/Superman, et aussi parce que je sais que de plus en plus de monde s’intéresse à ce personnage, notamment depuis les New 52, j’ai choisi Aquaman. Et puis si vous êtes frustrés de ce choix, je ne peux que vous encourager à jouer à ce jeu!
Mon dieu les vannes fusent dans ce chronique. De la qualité supérieure que j’ai dévoré, comme si j’avais eu un gros Bagels en face de moi.
C’est drôle, c’est percutant et ça se laisse suivre comme un bon épisode de série télé.
Bravo :).
En jeu je conseille évidemment ce grand classique du chevalier noir qu’est le fabuleux batman forever de midway sur super nes.
C’est vrai qu’il est parfait ce Batman Forever ;)
Heyy l’ami Bacca, je me demandais quand tu allais le mettre en ligne, depuis le moment ou on en avait parlé.
Juste magnifique moment de lecture, on s’en fout limite du jeu ^^
Sacré Bacca !
Le jeu est toujours un prétexte pour dire des conneries… Merde je voulais dire l’inverse ;)
Ma chronique sort toujours en fin de mois, donc elle est à l’heure. D’ailleurs merci à Jane et Edge, passés derrière moi ;)
Non non c’est pas limite, on s’en cogne du jeu! On veut juste lire ce que nous réserve le fanfrelu de Baccano :)