Review Express VO – Rebirth Semaine #45

Le Coup de Cœur de la semaine

  • Savage Things #2
Le Top de la semaine

  • Superman #20
Le Flop de la semaine

  • Cyborg #11

Bonjour à toutes et tous et bienvenue dans votre rubrique des Review Express VO. Comme chaque semaine, cet article vous permet de retrouver les critiques du staff sur les dernières sorties DC Comics et Vertigo. Faites attention, des fois quelques spoilers peuvent se cacher dans nos reviews.

N’hésitez pas à laisser vos impressions, critiques et avis sur vos lectures de la semaine dans les commentaires ! Bonne lecture, et vive les comics !


VERTIGO

EVERAFTER : FROM THE PAGES OF FABLES #8

review EVERAFTER : FROM THE PAGES OF FABLES #8

Scénario : Lilah Sturges, David Justus Dessins : Travis Moore

Et… je suis très embêté pour parler de ce numéro. Non pas qu’il soit mauvais, contrairement au reste de la série à l’exception du single du mois dernier, mais avec cette nouvelle histoire, j’ai enfin la confirmation que la scénariste n’a jamais lu Fables, ou du moins, ne l’a pas fini. SPOILERS : à la fin de la saga, les communs découvrant Fabletown, le Roi Cole et Maddy deviennent les ambassadeurs des Fables dans notre monde. Dans ce nouvel arc scénaristique, des enfants découvrent des objets magiques dans la maison de la mère de l’un d’entre eux et, possédés par le pouvoir des artefact, se mettent à commettre une tuerie de masse dans leur collège.

Un scénario plus proche d’un Hellblazer mais qui réussit à être assez intéressant à suivre pour donner envie d’en voir plus, surtout que Moore réussit, après avoir été remplacé le mois dernier par Buckingham, à rendre des planches assez agréables à l’oeil. Néanmoins, au cours du numéro, il est clairement établi que les communs n’ont jamais eu connaissance de la magie, d’autant que la police ne semble pas réaliser qu’elle est face à un problème paranormal. Bref, si vous considérez que Everafter est une série à part, sans aucun rapport avec Fables, ce numéro est de bonne facture mais si vous considérez que le cadavre encore chaud de la série mérite d’être respecté, brûlez ce numéro en son honneur.

– Blue

Note : 3, ou 7/10

SAVAGE THINGS #2

review SAVAGE THINGS #2

Scénario : Justin Jordan Dessins : Ibrahim Moustafa

Solide et violent. Mon collègue Corentin ne vantait pas les mérites de cette mini-série car oui, dans le paysage de l’indé il y a des polars sûrement plus réussis, mais par rapport aux dernières propositions chez VertigoSavage Things a quelques arguments pour elle. Justin Jordan ne s’embarrasse de rien et va droit au but que ce soit dans l’action ou par le traitement de ses personnages. On est donc très vite happé par l’intrigue, sa brutalité, et on voit le dessin plus général d’un affrontement (classique) entre deux « frères » que l’évolution de chacun va finir par opposer. Grande question restant, quels seront les dommages collatéraux, car c’est bien là que l’escalade risque de se situer. Malgré quelques planches avec un dessin trop plat, Ibrahim Moustafa est lui aussi un bon argument de lecture pour Savage Things avec une mise en scène qui puise dans le cinéma de genre et des séquences d’action efficaces. Non, franchement, ce second numéro me donne envie de poursuivre la lecture. Pas vous ?

– ArnoKikoo

Note : 7/10


BEYOND DC UNIVERSE

THE FLINTSTONES #10

review THE FLINTSTONES #10

Scénario : Mark Russell Dessins : Steve Pugh

La série repart en jolie forme avec ce numéro, centré sur l’habituel patchwork de critique sociale et d’humour absurde école Pierrafeu. Si on a encore des doutes sur la pertinence de l’arc animalier, la critique politique et martiale réussit comme souvent, avec assez de légèreté pour rentrer dans le même humour de dessin de presse que le propos frontal trop ciblé (mais vous avez le droit de faire des parallèles). La découverte du cinéma à l’age des cavernes est rapide mais bien traitée, la guerre contre le moyen-orient saurien (attention aux lapsus) également, bref une bonne came, qui ne demanderait qu’à moins s’eparpiller.

– Corentin

Note : 8/10


DC UNIVERSE

AQUAMAN #20

review AQUAMAN #20

Scénario : Dan Abnett Dessins : Philippe Briones

AquamanMera et les Aquamarines sont toujours pris au piège dans leur base avec la créature Dead Water et le but de tous est de survivre à ses attaques tout en comprenant le mystère du puits H2.0 qui semble à l’origine de ces créatures monstrueuses. Du huis clos à la The Thing pour ce numéro d’Aquaman qui arrive à alterner tension et action pour un mélange plutôt réussi, d’autant plus que l’auteur réussit à ménager ses effets pour entraîner le lecteur vers un final encore plus intrigant. Abnett laisse un peu de côté l’aspect politique pour cette histoire à mi-chemin entre le thriller et l’horreur, et ça fonctionne plutôt bien sur le titre, qui occupe donc encore une bonne place dans le haut du panier des titres Rebirth. Aux dessins, mis à part quelques planches étranges, la composition et les dessins de Philippe Briones sont de facture très appréciable, avec un Dead Water par moments très impressionnant.

– ArnoKikoo

Note : 7/10

BATMAN #20

review BATMAN #20

Scénario : Tom King Dessins : David Finch

Une conclusion un poil décevante pour la fin de « I am Bane » qui voit l’affrontement final entre Batman et Bane se conclure, peut-être trop rapidement, avec un gros récap de l’histoire construite sur les 19 précédents numéros (Night of the Monster Men excepté). Et si c’est plutôt bien fait et que King explore encore un peu plus la folie de Bruce Wayne ainsi que son rapport à la mort – ses tendances suicidaires se trouvent ici expliquées de façon plus ou moins rationnelle – il y a quelque chose qui manque. Un épilogue, qui n’arrivera qu’après le crossover The Button à priori, et ça vient gâcher ce numéro, cette impression d’avoir laissé encore trop de choses en plan pour pouvoir passer à la suite. C’est vraiment dommage parce que du côté graphique, Finch livre encore une fois un travail de très haute facture, et le combat entre les deux protagonistes est brutal et intense, jusqu’aux derniers instants ; avec une scène finale, plus calme, et touchante, qui montre que l’artiste réussit aussi dans les compositions plus douces. Un vrai plaisir d’avoir pu redécouvrir du Finch en forme en tous les cas.

– ArnoKikoo

Note : 6/10

CYBORG #11

review CYBORG #11

Scénario : John Semper Jr. Dessins : Will Conrad

Encore une idée avec du potentiel qui tombe à l’eau : transporter le personnage semi-robotique dans un monde virtuel où le pixel art s’immisce dans le dessin de BD. Ça a l’air cliché et facile, ça l’est. Ça pourrait être bien fait, ça ne l’est pas. Parce que, gonflé par une narration interne hyper bavarde, un scénario qui s’écoute penser et dérouler ses effets sans aucune surprise, subtilité ou talent. C’est mal écrit, le scénario est archétypal à la mort, et le dessin très convenu en plus de mal s’additionner aux effets visuels, ce numéro est un de ces ratages routiniers d’une série qui ne sait pas où elle va (sinon vers l’annulation, un jour, espérons le). De monologues intérieurs en ennemis randoms écrits avec un tel dédain qu’ils semblent sortir d’une époque lointaine et un but, un propos qui n’ait pas été déjà dit et répété, mettons dans l’ensemble que tout ça n’est vraiment pas top.

– Corentin

Note : 3/10

DEATHSTROKE #16

review DEATHSTROKE #16

Scénario : Christopher Priest Dessins : Carlo Pagulayan

Ça se lit, ça se lit bien, ça se lit vite. Le Deathstroke-verse est toujours aussi vivant avec ses intrigues de fond et sa gestion de la narration parallèle par Priest, tandis que le dessin tabasse dans un registre très classique qui ne manque pourtant pas d’effets. Si vous vouliez voir Slade aveugle avec un chien d’aveugle, bienvenue en terre conquise, mais quelques cases manquent de taff et le fameux compromis mort puis résurrection en un numéro ajoute un léger côté éculé au bilan. Dans l’ensemble, c’est très bon, mais l’arc a fait son temps, et la série gagnerait à se reposer pour définir un statu quo plus fixe, avant de repartir bastonner.

– Corentin

Note : 8,5/10

GREEN ARROW #20

review GREEN ARROW #20

Scénario : Ben Percy Dessins : Eleanor Carlini

Nous arrivons à la conclusion du retour d’Arsenal aux côtés de Green Arrow dans un vingtième numéro plutôt similaire aux précédents. On jongle toujours entre le passé, plus précisément au moment de la scission du duo, et le présent où nous verrons si leurs cicatrices réussiront à se refermer. Le passage fréquent entre les deux timelines peut donner un aspect saccadé à la narration, mais cela ajoute de l’impact dans les actions et les dialogues. On pourrait également regretter le manque d’intérêt pour la mission, Ben Percy se focalisant grandement sur la relation entre Ollie et Roy, qui est toutefois réussie : on voit le progrès que les deux ont fait dans leur carrière de super-héros et Arsenal est bien plus tragique que dans ses apparitions dans Titans ou dans les Outlaws de Red Hood. Green Arrow #20 fut donc une bonne lecture, même si cet arc est légèrement plus faible que les précédents.

– Sledgy7

Note : 7/10

GREEN LANTERNS #20

review GREEN LANTERNS #20

Scénario : Sam Humphries Dessins : Eduardo Pansica

Il y a une certaine volonté de bien faire dans ce numéro de la part de Sam Humphries, notamment pour la caractérisation de Dr. Polaris – ou plutôt de son alter-égo civil – et de son histoire, bien que la tentative de rallier avec le passé de Simon Baz soit un peu plus maladroite. Malgré tout, ce n’est pas tant ça qu’un ensemble un peu, pour ma part, peu intéressant qui m’empêche d’accrocher à l’histoire ; le bref passage pour lequel Guy Gardner et John Stewart discutent avec les Gardiens de ce qu’ils ont vu sur Terre m’inspire bien plus que l’ensemble de ce récit à grosse teneur de fill-in. Et il y a trop de bulles de pensées pour les deux protagonistes, ce qui amène à l’auteur de bien souvent tourner en rond sur la caractérisation. Au moins les dessins sont plutôt corrects. Un numéro assez « meh » mais qui se laissera lire malgré tout.

– ArnoKikoo

Note : 6,5/10

HARLEY QUINN #17

review HARLEY QUINN #17

Scénario : Amanda Conner, Jimmy Palmiotti, Paul Dini Dessins : John Timms

Côté Palmiotti/Conner, le running gag continue, un titre qui peine à se renouveler et ne cesse de surfer sur les mêmes codes et la même routine – c’est normal, et si vous avez tenu jusque là, ces critiques sommaires ne sont plus franchement pertinentes à vos yeux pleins d’amour. Donc, sur le segment Paul Dini, semi-déception, puisque là où retrouver l’écriture de l’auteur de Mad Love (qui, définitivement, pour ceux qui auraient encore des doutes sur la sexualité fantasmée du personnage, je vais sur le champ accomplir une danse de « hahaha »), l’aspect back up épisodique devra attendre pour s’apprécier. Mais le nom Dini ne reste ici qu’un nom, qui chatouille la corde nostalgique, sans la faire vibrer – encore que cette ambiance reste largement plus agréable pour les fans originels que celle posée par les nouveaux papas de la demoiselle. Bref, à voir, en suivi.

– Corentin

Note : 6/10

JUSTICE LEAGUE #18

review JUSTICE LEAGUE #18

Scénario : Bryan Hitch Dessins : Fernando Pasarin

Bon, du coup Justice League c’est beau ! Vraiment. Par contre, le décalage est immense entre les enjeux de la série et son impact sur le DCU, plus encore sur un multivers semi-eparpillé. Sur cette fin de numéro, on pourrait presque deviner une amorce sur le devenir entier de DC, sur le retour (ou pas) d’une divinité rouquine relativement importante dans la grande cosmogonie des choses. Sans ça, le scénario est un minimum bossé, juste efficace, mais un joli prétexte à de très belles planches et un arc blockbuster qui en définitive fait bien son taff. Maintenant, confier un truc aussi gros à Bryan Hitch, le département substances de DC a encore fait des merveilles ce mois ci !

– Corentin

Note : 7,5/10

NIGHTWING #18

review NIGHTWING #18

Scénario : Tim Seeley Dessins : Javier Fernandez

Nightwing sait où trouver son ennemi grâce au Robinotron et part sauver sa belle et affronter Pyg. Mais il ne faut pas se fier aux apparences… à la fin, bas les masques et le cerveau derrière tout ça se dévoile. Si toute l’affaire ne cesse de rappeler de vieilles histoires d’anciens runs avec Dick et Damian, il n’est pas surprenant de voir les Dollotrons se rebeller et prendre leur propre décision comme le Robinotron l’épisode précédent ou l’assistante de Jason lors du run de Judd Winick sur Batman and Robin. Et ici, Tim Seeley va creuser un peu du côté du trouble de la personnalité des dollotrons. Ajouter à cela son écriture constante et vous tenez un bout de run qui nous met l’eau à la bouche et nous garde en haleine alors même qu’on croit que Nightwing a réussi.

Côté dessins, c’est presque que du bon, on retrouve Javier Fernandez épaulé par mon nouveau chouchou Minkyu Jung. Ce dernier adapte même son style pour se rapprocher de celui de Fernandez et comme les changements sont d’une page à l’autre, on y verrait presque que du feu. Chapeau. De très belles planches pour lui. Fernandez toujours dans l’action bien rendue va tout de même nous mettre Nightwing dans des positions aériennes assez bizarres et probablement pas humainement possibles (preuve en est avec cette entrée fracassante chez Pyg par la fenêtre), néanmoins, l’action reste percutante. C’est beau, bien écrit, ça continue à nous plaire.

– James Edge Grayson

Note : 8,5/10

SHADE, THE CHANGING GIRL #7

review SHADE, THE CHANGING GIRL #7

Scénario : Cecil Castellucci Dessins : Marguerite Sauvage

Shade, The Changing Girl revient cette semaine avec un chapitre très bavard mais qui, au final, ne dit pas grand chose. Ce numéro se concentre sur le passé du personnage principal mais le fait de façon bien trop classique. Avec une narration sous forme de « voix off », on revit donc les moments importants de l’histoire de l’héroïne avant son arrivée sur Terre. Hélas, Castellucci peine à apporter des éléments réellement marquants dans son récit. La faute d’abord à certains passages tout simplement hors de propos et, à d’autres, qui racontent frontalement plus ou moins ce qu’on avait déjà compris sur le passif du personnage. L’ensemble se termine, en plus, par un énorme cliché du genre. Au moins, le tout est porté par Marguerite Sauvage en guest qui se fait plaisir. Si on perd par moment le découpage très psychédélique de Marley Zarcone, l’artiste parvient à mettre son style au service de ce numéro en livrant des planches tout de même très inventives et surtout toujours généreuses visuellement. Néanmoins une partie artistique à la hauteur ne suffit pas à faire passer la pilule d’un numéro qui manque tout simplement d’idées en terme d’écriture.

– n00dle

Note : 5/10

SUPERMAN #20

review SUPERMAN #20

Scénario : Patrick Gleason Dessins : Patrick Gleason

Les New 52 avaient ce côté très dérangeant d’histoires de destruction massive qui s’enchaînaient sans aucunes histoires plus « calmes » entre elles. Comme un retour au début de la série qui atteint tout de même son vingtième numéro, l’histoire se focalise de nouveau sur Jon et souligne l’évolution remarquée du personnage depuis le premier numéro. Des références nombreuses à ce premier numéro sans aller jusqu’à l’exagération. On sent que Patrick Gleason s’amuse avec les positions emblématiques des personnages présents. Cette focalisation n’est pas sans raison puisque ce nouvel arc pourrait nous révéler quelques éléments très intéressants vis à vis de notre jeune héros. Tomasi réussit le pari fou d’associer le quotidien d’une famille exilée de leur univers, avec l’humour qui découle de se bonheur pour nous plonger dans un cliffhanger fortement lié au genre de l’horreur. Un numéro parfait en somme.

– Watchful

Note : 9/10

THE FALL AND RISE OF CAPTAIN ATOM #4

review THE FALL AND RISE OF CAPTAIN ATOM #4

Scénario : Greg Weisman, Cary Bates Dessins : Will Conrad

La mini-série sur Captain Atom avec ses créateurs aux commandes continue son cours avec un quatrième numéro très bavard. La première partie sert à expliquer le mensonge servi aux Américains concernant le retour de notre héros, qui aurait gagné à être abrégé. La seconde, bien plus intéressante selon moi, proposera une nouvelle mission pour Nathaniel, en même temps que sa recherche d’un jeune homme qui serait son fils. Nous avons donc droit à un numéro inégal et barbant à bien trop d’occasions, mais le mystère autour du fils et le super-vilain créé ici le sauvent. Le statu quo du personnage continue de changer, et c’est vraisemblablement le seul but du titre, malgré le fait que le personnage et ce titre n’auront aucune influence sur le DC Universe dans les prochains temps. Il est donc difficile de garder de l’intérêt pour Captain Atom, tant au scénario qu’aux dessins, ces derniers étant sympathiques mais n’étant pas correctement mis en avant.

– Sledgy7

Note : 5/10

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ArnoKikoo

ArnoKikoo

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2 Commentaires
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mavhoc
7 années il y a

Très étrange ce Captain Atom #4 qui est assez inutile, du pur remplissage, largement en-dessous du reste de la série. Sinon, je suis en accord avec les reviews sur Nightwing et sur Superman. Petite nuance, quand même, pour Batman : clairement il ne faut pas voir ce numéro comme une conclusion. DC a grave merdé niveau éditorial, car la conclusion n’arrivera, réellement, qu’en mai. Même si on parle d’épilogue, il me semble que cela doit être lu comme un tout.
D’ailleurs, ce numéro m’a amusé par son méta-langage et le refus de King de faire un Batman suicidaire qui désirerait mourir.

LPU
LPU
7 années il y a

Je sais pas vous mais moi je dirais que Tomasi est super chaud en ce moment, j’adore tout ce qu’il fait et je le trouve incroyablement sous-coté (rapport à Snyder ou King). En tous cas, son taf sur Superman est excellent (celui de Gleason aussi), et Super Sons, n’en parlons pas ! <3

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