Flash et son équipe de gagnants sont de retour pour le dernier épisode avant la pause des fêtes de fin d’année. Après le crossover des séries DC de la CW, retrouve la trame avec Savitar et Dr. Alchemy qui s’avère être Julian Albert. Dans un trip sci-fi/Indiana Jones complet, on découvre les origines du “dieu” et de pourquoi Julian est lié à lui. Parvenant à communiquer avec Savitar par l’intermédiaire de notre Britannique préféré, nos héros en apprennent plus sur ses mobiles. Le “dieu” ne manque pas de leur livrer une petite prophétie bien flippante à la Mme Trelawney (fallait que je la place, cette référence Harry Potter).

L’épisode dans son ensemble est sympathique, dans une humeur très festive (c’est l’épisode de Noël) et comporte deux invités de marque : John W. Shipp qui joue Papa Flash et le très honorable Mark Hamill qui retrouve le costume du Trickster pour quelques minutes. Un Trickster qui n’est pas sans rappeler le Joker de la série animée Batman, comme l’ont déjà fait remarquer de nombreux fans de l’autre côté de l’océan. Cet épisode m’a presque réconciliée avec la série The Flash, jusqu’au moment où Barry veut à nouveau retourner dans le temps et faire mumuse avec la timeline… trop, c’est trop. Pour l’instant, rien n’est amorcé donc passons Noël et attendons de voir ce que la reprise le 24 janvier nous apportera.

Après un crossover mouvementé la semaine passée, nous voici de retour avec la team Arrow livrée à elle-même. L’épisode a plusieurs défauts, certains récurrents à la série, et parfois quelques petites incohérences. Malgré tout, l’épisode reste surprenant, avec un cliffhanger qui donne envie de voir la deuxième partie de la saison. Parmi les défauts, on retrouve un côté répétitif au niveau du scénario (encore quelqu’un qui veut détruire la vie d’Oliver Queen), les flashbacks qui semblent un peu incohérents car Diggle cautionnait les actions du héros à l’époque ainsi qu’à certains moment une musique complètement ridicule qui revient à deux reprises, notamment quand Curtis se fait attaquer.

Malgré tout, l’épisode a certaines qualités. Les flashbacks changent un peu de d’habitude, même s’ils restent plutôt anecdotiques. On assiste aussi à des scènes un peu différentes, notamment un Noël de la Arrow-family, des moments plus frais qui peuvent avoir leur qualités. Après l’avoir vu durant quelques épisodes, je dois avouer que le personnage de Billy est plutôt sympathique et semble assez lucide par rapport à d’autres, il est assez facile à suivre au niveau émotionnel. Grâce à Billy, l’issue de l’épisode est d’autant plus tragique et surprend réellement. Le cliffhanger aussi peut étonner, mais difficile d’en penser quoi que ce soit avant la reprise… l’an prochain !

Le statu quo de la série a changé après le crossover Invasion. Désormais, Stein a une fille, nommée Lily, qui est une aberration temporelle, et qui devrait être donc supprimée par l’équipe. Mais Stein tient particulièrement à la garder, et décide de ne pas en faire part à celle-ci, en dehors de Jefferson. Dieu merci, la série décide de se concentrer sur le fil rouge, donc c’est parti pour le Chicago de 1927, en plein durant la prohibition (j’ai bien fait de regarder les Incorruptibles il y a quelques jours moi).

Encore une fois, la série reste un peu nanardesque. Moins que dans d’autres épisodes, mais tout de même un peu. On sent trop le côté “film de gangster du pauvre”. À cela s’ajoute toute l’intrigue autour de la fille de Stein, qui commence à prendre une place un peu trop importante. Mais on dirait bien qu’elle va se retirer du fil rouge, vu que Sara a décidé de passer l’éponge. Un bon point de cet épisode ? L’histoire avance, et c’est finalement tout ce qu’on demande. Par contre, Nate et Ray sont devenus complètement abrutis, j’ai aucune idée de ce qu’il est leur arrivé, on dirait qu’ils ont divisé leur point de QI par deux. Enfin bon, la série semble repartir sur des rails corrects… Enfin, c’était l’épisode de fin de moitié de saison, donc c’est normal si le fil rouge est remis au centre de la série. Est-ce qu’elle va continuer comme ça ? Connaissant la série, on préfère anantéursucididermipoliser (ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué, nda).

C’est l’anniversaire de Beast Boy, et Starfire est triste car elle n’a jamais pu fêter le sien. Ce dernier lui propose alors de le partager, mais il ne se rend pas compte que partager son gâteau et ses cadeaux n’est pas aussi facile. On reste dans une histoire assez attendue pour le coup, et qui n’a pas énormément de grands moments à raconter. Bien sûr l’ensemble est assez sympathique mais au final, pas super drôle. Pour l’instant l’épisode le plus faible de cette quatrième saison.