Les points positifs :
Les points négatifs :
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Numéro précédent : Justice League Univers #7 | La suite dans : Justice League Univers #9 |
Retrouvons tous ensemble la Justice League, Flash, Wonder Woman, Green Arrow et fêtons le retour de la JLA ! Mais d’abord voyons ce que la rédaction a pensé du magazine disponible depuis le 7 octobre pour la somme de 5,60€.
Justice League #48
- Scénario : Geoff Johns – Dessins : Jason Fabok – Couleurs : Brad Anderson
La Justice League passe tout juste son marché avec le Syndicat du Crime que Mobius attaque. Et comme un des méchants ne sait pas faire équipe correctement avec un des héros, Mobius tue direct un membre puissant. Histoire de montrer sa puissance. Entre la super grossesse et les manigances de la fille de Darkseid, le combat de la League ne sera pas de tout repos. Lex Luthor sera-t-il la pierre angulaire? L’intrigue continue son bonhomme de chemin et c’est avec plaisir.
Pour un blockbuster, c’est très bien écrit, le combat n’est pas là que pour se taper dessus, le tout servit avec des dialogues justes, voire amusant avec M. Miracle. Et les dessins de Jason Fabok enrobent ce doux caramel d’un délicieux chocolat. C’est vraiment beau. Ce run pourrait s’éterniser qu’on ne s’en plaindrait pas. Ce titre est vraiment aux sommets et dans ce magazine, c’est le fer de lance.
-James Edge Grayson |
Note : 10/10 |
Justice League Of America #7
- Scénario et dessins : Brian Hitch – Couleurs : Alex Sinclair
On continue avec Rao dans JLA. Il s’avère qu’il n’est rien d’autre qu’une espèce de parasite intergalactique qui tire sa longévité de l’énergie de ses disciples. Une bien belle métaphore sur la religion. Ou pas. Wonder Woman et Aquaman fourbissent leurs armes contre cette pseudo divinité en empruntant celles des Dieux d’un Olympe désert. S’ensuit un face à face entre Kryptoniens, c’est à dire Rao et Superman.
Un face à face qui à la conclusion la plus tirée par les cheveux de l’histoire moderne des comics. Et cela décrédibilise, toute l’histoire déjà pas fantastique. Coté dessins c’est assez vilains, voire un peu bâclé, la preuve avec cette première page un peu honteuse ou seul le milieu contient un dessin et le reste un joli fond. Seules les couleurs d’Alex Sinclair sauvent l’aspect graphique. Un numéro vraiment pas terrible à tout point de vue.
-Darthfry |
Note : 4/10 |
Flash #48
- Scénario : Robert Venditti, Van Jensen– Dessins : Jesus Merino– Colorisation: Guy Major
Souvenez-vous, pendant que Zoom s’attaquait à Flash, il voulait le discréditer auprès de sa ville. Et bien, c’est gagné et là, on est en plein dedans. La police monte une unité d’élite pour stopper Flash et engage Barry Allen pour ça. Et pour couronner le tout, il devra faire équipe avec nulle autres que les Lascars… Alors autant dire que c’est à la fois intéressant et extrêmement classique et que le scénariste va devoir assurer. Et… c’est pas vraiment le cas… Du coup, l’auteur va s’intéresser à Wally, probablement pour une future intrigue et à un cliffhanger qui dans un sens m’a fait plaisir parce que j’avais été déçu par le départ de ce personnage qui devenait intéressant. On va dire que ça reste une introduction assez classique.
Au dessin, plus de Brett Booth. Alors, ça choque un peu car les erreurs ne se retrouvent pas aux mêmes endroits. C’est assez moyen et très loin de ce que fait Booth en général. Ce qui peut-être une bonne nouvelle pour certains mais pas pour ses fans. Je laisse une chance à cet arc, parce que j’aime bien Flash..
-James Edge Grayson |
Note : 5/10 |
Green Arrow Annual #1
- Scénario : Benjamin Percy – Dessins : Szymon Kudranski – Colorisation: Gabe Eltaeb
Après le « Dia de los muertos » dans l’arc précédent ce numéro se situe lors d’Halloween, achevant de donner un aspect horrifique au titre, qui pourtant n’a rien à voir avec ce genre au départ. Bref, des gens sont persécutes car ils ont été infectés par une maladie qui les transforme petit à petit en canidés géant. S’ensuit un mouvement de réaction qui vise à répandre l’infection. La confrontation a lieu pendant la parade d’Halloween et Green Arrow se jette dans la mêlée.
Mis à part le coté fantastique pas vraiment raccord avec l’idée que je me fait d’une histoire mettant en scène Green Arrow, ça reste très lisible et agréable. Même si réinventer le mythe du loup-garou n’est jamais complètement original.
Les dessins de Kudranski ne sont pas fantastiques, je ne suis pas fan du rendu. Même s’il est loin, je ne peux m’empêcher de repenser à Sorrentino et de regretter son départ du titre, qui depuis se cherche un peu graphiquement. C’est plaisant sans être fantastique, mais finalement quand on voit d’où le titre vient, on se dit que c’est un net progrès.
-Darthfry |
Note : 6,5/10 |
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Wonder Woman #48
Scénario : Meredith Finch – Dessins : David Finch – Colorisation: Brad Anderson
Et voici la version New 52 du Docteur Poison. Et celle ci s’attaque au président des Etats Unis, que Wonder Woman défend au mépris du danger. Diana finit par la mettre hors d’état de nuire, mais visiblement cela àa révélé ses faiblesses que son ennemie veut exploiter : son amour des USA !
Ouais alors là, je veux bien, mais on a du mal à croire comment la native de Themyscira peut à se point s’enticher d’un pays qui lui est finalement relativement égal, même si c’est son pays d’adoption. Bref comme d’habitude avec Meredith Finch ça n’a pas tellement de sens. Les dessins sont fait par David Finch. Je ne vais pas m’étendre une fois de plus sur son style, chacun jugera… Wonder Woman continue sur sa lancée, et ce n’est pas une bonne nouvelle.
-Darthfry |
Note : 4/10 |
Je tiens à rappeler que malgré des faiblesses, je me régale à lire ces mag ;)
je me lance tout juste dans les comics DC et j’ai commencé avec justement ce magazine Justice League Univers. Même si le dessin laisse un peu à désiré dans certaines parties, j’aime beaucoup les histoires ^^ (et j’aime bien Wonder Woman en fait ^^)