Review VF – Batman Univers #3

crititque batman univers #3
Review VF - Batman Univers #3 18
Les points positifs :
  • Detective Comics cartonne et trouve sa voie.
  • Patrick Gleason convainc avec Robin : Son Of Batman.
  • Grayson dégaine un épisode de haute volée !
Les points négatifs :
  • Un Annual de Batgirl très inégal…
  • Snyder continue de diviser sur Batman.

 On a lu ce troisième numéro et vous savez quoi ? Ben comme d’habitude on vous livre nos avis ! Seul changement cette review marque le comeback de MFW, alors a-t-il craqué pour les référence à Sailor Moon dans Batgirl ou préfère-t-il mater le boule de Grayson ? Vous le saurez tout de suite. Ce Batman Univers #3 est disponible depuis le 6 mai pour la somme de 5,6€.

Numéro précédent : Batman Univers #2 La suite dans : Batman Univers #4


Batman #43

  • Scénario : Scott SnyderDessins : Greg Capullo – Colorisation: Fco Plascencia

Beaucoup de choses à dire sur ce numéro où Snyder n’hésite pas à mêler pathos, humour, thriller et à lorgner du côté de l’horreur. Une écriture lourde et qui à tendance, alors que le run approche de sa fin, à agacer. Certaines idées géniales à exploiter se conjuguent avec des idées complètement stupides.

En somme un Bruce Wayne amnésique et enfin heureux et une machine à clones des plus idiotes. Il faut toujours que Scotty plombe son run avec des idées débiles. Mais voir Bruce ainsi m’a fait quelque chose et Alfred lui aussi est touchant. Du côté du Bat-Flic que je n’arriverai jamais à appeler Batman, l’enquête autour de Mr.Bloom avance à grand pas et ce vilain se révèle bien plus diabolique, au sens propre comme au figuré, que prévu. Greg Capullo se sert ici de toutes ses années passées sur Spawn pour proposer un vilain proprement terrifiant. Et que dire du découpage parfait d’une scène d’action assez mémorable ? C’est très lisible et très réussi. Même l’humour marche avec une référence au tisseur plutôt bienvenue. Malgré quelques défauts, et une lourdeur certaine due à une mécanique d’écriture on ne peut plus connue désormais, le numéro reste un divertissement pur. Tragique, plein d’espoir et débile. La sainte trinité de cet arc en somme. Capullo est ici en très grande forme et donne encore plus de rythme à un récit dense et haletant. .

– MFW

Note : 7/10

Soyons clairs, c’est mauvais. Totalement. On nous nous présente un nouveau méchant, Mr.Bloom, qui semble totalement hors-sujet et n’a rien à envier aux ennemis pseudo-gothiques que l’on trouvait dans les séries de chez Image dans les années 90, ce qui est, en l’occurrence, fort peu flatteur.

Capullo s’en tire plutôt bien aux dessins, comme toujours, mais ce design est à la fois peu inspiré et beaucoup trop proche de sa version de Doctor Death. On sent que plus personne ne se foule sur cette série, et le scénario est tout à fait caricatural, pour ne rien changer. Bruce Wayne est amnésique et vit heureux avec Julie Madison, alors que Jim Gordon prend ses habitudes en tant que Batman et mène l’enquête autour du nouveau vilain.

C’est plutôt dynamique et blockbusteresque, mais je suis désolé, la sauce ne prend pas du tout, et l’on se retrouve avec une version de Knightfall façon Michael Bay, avec une petite touche de gothique “grand public” façon Tim Burton (mais le mauvais Burton, l’actuel). Fuyez donc ce numéro tant qu’il est encore temps..

– Zeppeli

Note : 3/10

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Detective Comics #43

  • Scénario : Brian Buccellato – Dessins :  Fernando Blanco– Colorisation Brian Buccellato

Rolala, j’ai écrit des reviews à la Watchful sur Grayson et Batgirl, j’espère que j’arriverai à rendre hommage à cette série en en faisant autant.Car oui, Detective Comics est une bonne série. Le rendu visuel est pas mal du tout. Pas forcément un des meilleurs dessinateurs ou un style très marqué mais les choix de cases sont des véritables plans qu’on pourrait trouver dans des films. Je regrette seulement le visage donné à Gordon qui apparaît vraiment jeune pour son âge. Et c’est dommage de ne pas avoir ajouté des détails sur son visage quand on voit qu’il y a beaucoup de détails dans ses cases. On peut lire toutes les étiquettes sur sa table basse. Et c’est sympa de voir que Gordon ne lâche pas son imper !

L’action n’étant pas le fort du dessinateur, le départ pour aller sortir Batman du guet-apens est pas mal, on a l’urgence des équipiers mais quand ils arrivent tout est déjà fait. J’ai bien aimé le choix de ne pas montrer le combat. Bullock en est toujours à chercher si sa partenaire est ripoux, et visiblement, non seulement tout le porte à croire mais aussi d’autres flics sont sur la même piste. Et quand Bullock redemande, comme dans le sneak peek, à Gordon de l’aider à tuer sa partenaire, on se dit qu’il va simuler la mort de Yip pour la protéger. Non mais sérieux, comment ça pourrait être autrement ? C’est Bullock. Pas un ripoux. Ah ! On me dit qu’après tout, la série Gotham pourrait déteindre. Bon, et bien toutes surprises est possible alors. Mais du coup, ça traîne un peu. La lecture est assez rapide. D’un côté on pense avancer mais de l’autre, avec le deuxième élément scénaristique, à savoir le vol de la batterie, et avec la page finale, on se demande où on veut nous mener..

– James Edge Grayson

Note : 7,5/10

Des subplots de polar classique, un ensemble qui tient debout : à force de se réinventer, Detective Comics a peu à peu pris la forme que la série aurait du épouser devant le trop-plein de Batman dans le relaunch d’il y a quelques années. Plus qu’une simple série annexe aux aventures de la chauve-souris, elle retrouve un feeling de Gotham Central bien dosé, qui offre l’approche que pas mal de fans aiment à retrouver dans l’aspect organique et criminel de Gotham City.

Bullock, la corruption des flics, la gestion de menaces d’une ampleur trop vaste pour les simples inspecteurs à badge et armes de service, avec l’incursion assez adroite du Bat-Chappie qui reste logiquement concerné par les aventures de ses anciens collègues. Le tout ne manque pas d’un certain questionnement moral, et à défaut d’avoir su durer dans le temps (les anglophones savent), cette partie de Detective Comics est un rebond intelligent donné au départ de Manapul.

Évidemment, le dessin s’en ressent (parce qu’il n’y a qu’un seul Manapul), mais Blanco s’en sort lui aussi très bien dans l’aspect film policier sans concession. On peut même dresser un parallèle entre son dessin et celui de la série Catwoman de Garry Brown, comme un retour à la vraie Gotham tandis que d’autres s’évertuent à la déconstruire sous de surprenantes teintes rosées. En somme, de bonnes séries en parallèle d’un tronc principal foireux (ouvrez les yeux, à un moment), et l’espoir de revoir des titres polars à l’avenir, ne serait-ce qu’en fill-in entre deux relaunchs bâclés..

– Corentin

Note : 8,5/10

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Robin : Son Of Batman #3

  • Scénario : Patrick Gleason – Dessins : Patrick Gleason ColorisationJohn Kalisz

Patrick Gleason continue de s’en sortir avec les honneurs dans le troisième numéro de cet arc plus que jamais centré sur la rédemption. Un buddy movie entre héritiers ou un Damian assagi va tenter de faire entendre raison à la fille de Personne. Un vilain qui donna lieu à un numéro magnifique en son temps pour Batman et Robin.

L’un répare se péchés commis pour sa mère et son grand-père, l’autre par un père psychopathe. Et il est très intéressant de voir Robin comme la voix de la raison, un Damian qui gagne en maturité. Des trouvailles toujours intéressantes comme Goliath ou de l’humour teenager bien senti en font un numéro dense et passionnant. La présence de Talia est toujours plus proche et que dire du cliffhanger bien senti. Tout cela est soutenu par ce style si unique et inimitable de Gleason qui livre de très belles planches et un combat mémorable.

Son trait donne vie aux personnages avec des expressions faciales toujours très justes. On ne peut pas dire que le numéro manque d’enjeux ou de variété et il s’avère être bien plus plaisants que les deux premiers. Une série assez indispensable en somme si l’on apprécie le personnage de Damian, mais qui ne l’apprécie pas ? Le petit est caractérisé à merveille et se révèle être un mentor et un allié essentiel dans une quête de rédemption salutaire..

– MFW

Note : 8,5/10

Beau, touchant, bien rythmé et dialogue, Gleason déploie la même énergie sincère dans son récit depuis trois numéros, avec des défauts et imprécisions de début qui encouragent l’aspect authentique d’un récit servi par un auteur désireux de bien faire. Quelques subtilités se glissent dans l’écriture, une caractérisation toujours plus progressive qui mène Damian du statut de sidekick têtu à un statut de héros solitaire viable, soutenu par Nobody dans le même parcours de quête initiatique en duo (et un jour, il y aura des bébés).

Les pages déroulent un scénario de long terme avec adresse, se permettent quelques passages trippy plutôt bien foutus, et en dehors de quelques planches trop sombres, l’ensemble graphique reste dans le canon de ce que Gleason fait de mieux, avec l’avantage d’être cette fois maître de son récit et de ses découpages plutôt que d’adapter un texte. Une bonne série de ce mag (remarquez, la mauvaise, c’est laquelle du coup ?).

– Corentin

Note : 9/10

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Batgirl Annual #3

  • Scénario : Cameron Stewart, Brenden Fletcher – Dessins : Bengal, David Lafuente, Ming Doyle, Mingjue Helen Chen – Colorisation:  Bengal, Gabe Eltaeb, Ivan Plascencia, Mingjue Helen Chen

L’annual se découpe en trois parties qui vont couvrir le même scénario et dans chaque numéro, Batgirl va faire un team up différent. Alors, je vais commencer fort. Jusqu’à présent, je suis un fervent défenseur de cette série que je ne trouvais pas si… immature, dirons-nous, que ça. Mais là, j’ai pris une claque. Je n’ai pas du tout aimé. J’ai regretté ma dose habituelle.

Et pourtant, il y a Grayson. Mais là où la couverture bien sympathique nous annonce un épisode important dans la vie des héros. Il faut savoir que les équipes créatives de Batgirl et de Grayson étaient les premières à écrire leur retrouvaille. Visiblement, ce sera team Grayson (et oui !) qui gagnera, la team Batgirl fera quelque chose de plus intéressant dans un prochain épisode. Donc tout ça pour dire que la couverture, très belle, dit exactement ce qu’il se passe. Et implant hypnos oblige, Batgirl ne pourra pas voir son visage, mais aura un doute sur un fessier, néanmoins… paroxysme de la blague de cul quand même. Et pour mon collègue, il y a un faux-raccord sur LA scène. Les deux mains prêtes à se toucher (oui, oui, je m’emballe, et alors ?) sont celle de Batgirl avec le gant jaune et celle, nue (on voit les ongles), de Grayson, du moins, je le suppose car juste après, il a un gant (pas des mitaines), comme il l’avait quelques cases plus tôt. Et pour une raison que je n’ai pas saisi, Helena laissera Batgirl continuer l’enquête sur la technologie volée, seule, alors qu’elle voulait la récupérer. Team up forcé. Et les dessins de Bengal, et bien, je crois qu’hormis la couverture, c’est pas toujours ma tasse de thé. L’action est impeccable, mais Batgirl a une tête de chat, je trouve. Le tout me paraît un peu enfantin, peut-être aussi à cause du ton du scénario.

Deuxième team up, Spoiler! Non, ce n’est pas une balise, je parle du personnage. Elle débarque comme ça pour s’entraîner avec un « équipier » mais sans lui demander s’il est disponible, ici Batgirl. Elle va l’aider, comme une bourrine, et ça va servir à rien. Les dessins me plaisent plus par contre mais l’ambiance reste enfantine, Spoiler imposant le thème. On enchaîne avec le team up Batwoman, j’ai pas aimé les dessins bien qu’il y a de bonnes pages, mais l’action n’est pas bien rendue. En revanche, ça parait plus adulte. On ressent vraiment le fait que les enquêtes se croisent. Le dernier team up sera avec Gotham Academy dans le style de la série. Style plutôt sympathique. D’un côté on montre des enfants intelligents mais en écrivant une histoire qui ne l’est pas. Les dialogues ne sont pas géniaux et ce dans l’ensemble de l’Annual. À la fin, on peut lire qu’elles veulent empêcher quiconque de toucher à la technologie et s’enflamment (héhé) quand l’objet prend feu alors que c’est finalement ce qu’il fallait faire. Je me suis ennuyé, alors j’espère avoir fait de même avec vous. Non, je déconne !

– James Egde Grayson

Note : 4/10

Je ne vais pas vous résumer l’intrigue, ce qui a fort bien été fait par mon collègue du dessus, mais je vais simplement me contenter de donner mon avis sur la chose : ce numéro est franchement inégal. Les différents team-up sont plutôt sympathiques, mais peu de pages sont consacrées à chacun d’entre eux, ce qui fait de ce numéro une simple série de petits teasers qui montrent que l’on pourrait faire de bons arcs impliquant Batgirl et ces autres héros, mais, pour une raison X ou Y, on ne le fait pas, en fait. C’est donc plutôt anecdotique dans l’ensemble, même si plusieurs passages fonctionnent plutôt bien.

Le tout est servi par plusieurs dessinateurs qui s’en tirent presque tous avec les honneurs, mention spéciale à Bengal, qui nous livre de bien belles planches, qui méritent qu’on s’y arrête un peu. C’est donc un annual plutôt sympathique au demeurant, mais qui nous laisse malheureusement sur notre faim une fois qu’on le termine..

– Zeppeli

Note : 5/10

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Grayson #11

  • Scénario : Tim Seeley, Tom King – Dessins : Mikel Janin Colorisation: Jeromy Cox

Ce n’est plus une surprise pour personne que j’aime cette série, mais cette épisode, même si je l’ai déjà lu plusieurs fois en VO, m’a énormément plu. Ce n’est pas un Grayson mais deux qu’on retrouve puisque tout l’épisode va être un affrontement entre Dick et un double de lui-même qui a, souvenez-vous, tué des agents sur les lieux des missions de l’agent 37. On va de nouveau retrouver l’éternel questionnement sur qui est Dick Grayson. La recherche d’identité. Et cette fois, on en voit le bout, je vous rassure. On se rend vraiment compte que l’écriture de cette série est réfléchie.

Les dialogues sont tellement au top que j’en ai rigolé en les lisant. Ils sont bien trouvés et font mouche. Ce qui rajoute au fait que la recherche d’identité, ici pour déstabiliser Dick, est bien amenée. Et toujours pour montrer que les auteurs savent écrire leur histoire, l’identité du Faux Grayson se devine en lisant et en se souvenant des dialogues des numéros passés. Malheureusement, en achetant ma VO, je me suis bêtement spoilé, donc en sachant de qui il s’agit, lire les dialogues est hyper évident. Il n’y a pas un indice, mais plusieurs. De tête, j’en ai cinq qui me viennent. Je n’oublie pas la référence au fessier le plus célèbre (parce que pour certains, malheureusement, le personnage ne tourne qu’autour de cet atout) qui ici brise le quatrième mur dans la meilleure blague qu’on aurait pu faire dessus, merci Tom King. Et j’en garde un peu pour le dessin, au top du top, avec double doses de Grayson, pour ceux qui ne suivent pas, l’amoché c’est le mauvais et l’intact, c’est le vrai. Petit bémol, lorsque la vérité est dévoilée à la fin, les blessures se reportent bien sur le visage mais pas sur le costume, sauf si la technologie embarquée montre de fausses blessures, mais c’est pas logique. Bref, Mikel Janin est vraiment dans les meilleurs dessinateurs qui soient, et même Urban Comics devrait le mettre plus en avant. Le final de l’épisode va nous amener à un autre épisode qui va envoyer du lourd.

– James Edge Grayson

Note : 10/10

Cet épisode de la série Grayson fait probablement partie des meilleurs depuis le début de la série. Certes, ce n’est pas non plus un classique instantané et je ne tiens pas à le présenter comme une oeuvre dénuée de défauts, mais il faut avouer que ce petit récit d’espionnage fonctionne franchement bien et cette idée de reprendre le cliché du combat contre un “double maléfique” est bien exploitée. Le numéro parvient à tenir son lecteur en haleine, même si le mystère est assez simple à percer. Tom King nous livre donc un script de qualité, qui devrait réjouir les fans du personnage.

Graphiquement, c’est franchement bien foutu tant Mikel Janin maîtrise son sujet. Les personnages sont fort bien dessinés et les pages sont découpées de manière très dynamique. Rien n’est à réellement reprocher à ce numéro, qui constitue ce mois-ci la partie la plus efficace du magazine.

– Zeppeli

Note : 8/10

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urbanvspanini10
urbanvspanini10
7 années il y a

Donc t’aime pas du tous Mr.Bloom Zeppeli?

Vakarian
Vakarian
7 années il y a
Répondre à  urbanvspanini10

C’est plus ce run débile de Scotty Snyder qu’il critique, chose dont je le rejoins.

zeppeli
7 années il y a
Répondre à  Vakarian

C’est exactement ça. Je n’accroche pas non plus à Mr. Bloom, cela dit.

Aric
Aric
7 années il y a

Grayson j’aimais bien mais franchement le côté blagues sexuels est chiant… Et je trouve que les dessins de Janin font l’effet poudre aux yeux (comme Capullo d’ailleurs). Tom King est habile pour les dialogues mais rien de génial niveau histoire..

gwegs
gwegs
7 années il y a
Répondre à  Aric

Je trouve qu’il réussit bien à nous pondre des arcs de qualité personnellement :/

C’est par contre pas du tout ma tasse de thé cet arc de Batman, l’idée de base était osée, mais ça se casse la gueule avec ce vilain sans charisme et cette histoire de « clonage » qui colle pas du tout.

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