Les points positifs:
Les points négatifs:
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1. L’Intro |
4. The Train |
2. The Sewers |
5. Limestone Cavers |
3. Machine Shop |
6. Le mot de la Fin |
THE SEWERS
Donc je disais, l’écran titre est passé et on passe au premier niveau « The sewers ». Beh quoi?! Filler suprême! Installez vous confortablement. Je vais crisper mon pouce droit à votre place.
Le jeu commence avec classe, dans les égouts. Petit je me suis toujours demandé où était Madame Batman pour décrotter et laver le costume de son Batounet… *haaa non chérie ne me frappe pas c’était pour la blaaague*. A moins que ce soit Catwoman et sa lessive Le Chat. Hum, oui, pardon. Toujours est-il qu’on retrouve encore une fois l’éternel niveau dans les égouts. La tuyauterie du parcours plates-formes est sans grande originalité et permet un petit briefing gameplay de début de partie. Là aussi rien de bien compliqué: sauts classiques, coups de poings, le toujours bien utile grappin, sauts muraux et batarangs. L’absence de difficulté majeure dans ce niveau vous permet de vous familiariser avec le gameplay excessivement leeeeeeeent. A croire que ce jeu était exclusivement destiné pour le marché suisse. Et comme chez Sunsoft niveau rapidité on est des sadiques on vous propose le kit chutes d’eau pour inonder votre niveau et vous pourrir encore plus le jeu tellement c’est leeeent et qu’on se fait chiiiier! Je pense d’ailleurs sincèrement que Sunsoft a demandé la programmation de ce niveau à des gars en cours de désintox à la coke. Je ne vois que ça! Donc pour ce niveau c’est tuyaux, valves et trous, pas la peine de sourire bandes de petits pervers.
Après le cliché du niveau dans les égouts on passe à celui de l’usine! Super! Là aussi zéro originalité. Ah si c’est la première fois que je prends 3 caisses en bois sur la gueule avec un beau game over à la clef. Le Joker hilare de l’écran de titre est là pour me rappeler que ma condition de chroniqueur peut être cruelle. Ne vous foutez pas de moi vous y passerez aussi. Et ouais vous ne pourrez pas esquiver grand chose. Il parait que ce jeu est lent. Sérieusement je déconseille ce jeu lors d’une soirée. C’est à rendre fou. Après on s’imagine que la cartouche du jeu a une coquille sur le dos et tente de se barrer dans une longue traînée de bave *Nan c’est dû à autre chose ça mec – Ah bon merde*
Quoi qu’il en soit vous pourrez vous défouler sur le premier boss du jeu, Dark Claw. Naaaaan ne me demandez pas pourquoi lui, mais cherchez pas trop la logique dans ce jeu *Conseil du jour bonjour*. Évitez le corps à corps direct et profitez de la lenteur de ses cabrioles pour le prendre rapidement à revers. Du moins il vous faudra être moins lent que lui.
Encore une belle tranche de rire. Merci !!!
C’est le principal haha!
Cette chronique de l’amour. Ahaha des barres !
Bravo.
SI tu cherches un jeu quitte donc la gameboy pour Return of the Joker sur nes qu’on rigole. Le jeu est super dur, a des musiques incroyables et promet une belle chronique.
Pour des raisons essentiellement pratiques j’ai chroniqué sur gameboy. Je connais bien la version NES aussi ;)
Il parait que le prochain numéro est sur SNES ;)
Ha ouais, quand même ! T’as pris des trucs pour arriver au bout du coup non ?
C’est marrant, on dirait un jeu de « samourai » quelconque sur lequel ils ont collé la licence Batman au dernier moment haha.
Merci pour l’article Baccano :D
Merci! Je ne prend rien, jamais, rien, rien, rien ^^