Dossier – Wonder Woman, la série télévisée

Sommaire

Lorsque vous parlez de Wonder Woman à un néophyte, la première chose qui lui viendra à l’esprit, c’est forcément le générique de la série télévisée, qui mettait en vedette Lynda Carter. Il s’en rappellera probablement comme d’une petite référence kitsch dont il ne sait plus trop l’origine, mais le fait est que cela prouve bien que ce show a marqué la pop culture. L’amazone de l’écurie DC Comics a en effet marqué son époque et tout le monde a encore en tête l’image de la belle Diana Prince qui tourne sur elle-même pour revêtir sa tenue de super-héroïne.

En trois saisons, la série Wonder Woman a su marquer le grand public et mettre en avant la plus grande de toutes les super-héroïnes, qui reste, aujourd’hui plus que jamais, l’une des icônes de la pop culture. Diffusée en prime time sur ABC, puis sur CBS , l’émission a su trouver son public et a duré soixante épisodes, qui méritent d’être vus, ne serait-ce que pour vous plonger dans cette ambiance résolument rétro. Respectueuse des comics dans une certaine dimension, la série a pour cadre la seconde guerre mondiale et nous montre une Diana prête à en découdre avec les nazis dans sa première saison, avant d’être transposée dans les années 70 (en raison du changement de chaîne et d’une réduction de budget) et de s’intéresser davantage à la lutte contre la pègre. On oublie ici les méchants rocambolesques tirés des comics pour un schéma très proche de celui d’autres séries de son époque, mais la composante super-héroïque reste bien présente et l’on a même droit au jet invisible et à des séquences qui se déroulent sur Paradise Island (eh ouais les enfants, c’est comme cela qu’on appelait Themyscira, pré-crisis).

1. Genèse de la série

L’idée de réaliser une série qui s’articule autour du personnage de Wonder Woman ne date pas des années 70, mais naît dans les années 60, dans l’esprit de William Dozier, qui est déjà à l’origine du show Batman, qui mettait en vedette Adam West.  C’est ainsi qu’apparaît en 1967 un pilote nommé Who’s afraid of Diana Prince, qui repose sur une idée qui diffère beaucoup des comics d’origine. Le ton est résolument comique et l’on découvre une version inédite du personnage. En effet, Diana (jouée par Ellie Wood Walker) est ici une jeune femme qui doit subir sa mère autoritaire (qui est bien loin d’Hippolyta) qui refuse absolument qu’elle ait un petit ami. Une fois seule, elle se transforme en Wonder Woman (incarnée par Linda Harrison, de la Planète des Singes, oui ce n’est pas la même actrice qui joue la version civile et l’héroïne) et s’envole vers des aventures qui ne seront jamais diffusées, faute d’avoir convaincu les investisseurs potentiels. Cette petite vidéo, d’une durée de cinq minutes environ, se trouve facilement sur internet et reste une curiosité à découvrir.

Après cet échec, une nouvelle tentative de porter à l’écran la super-héroïne est développée et aboutit à la réalisation d’un téléfilm, qui aurait du servir de pilote à une éventuelle série. Il est sobrement intitulé Wonder Woman. Adaptation plus classique des aventures de Diana Prince, cette version met en scène son héroïne en reprenant les grandes lignes de la bande-dessinée : Steve Trevor et Wonder Woman combattent ensemble le crime. Mais on s’arrête là, pas de super-pouvoirs incroyables, seulement des capacités physiques au-dessus de la moyenne et un niveau décent en matière d’arts martiaux, pas de lasso de la vérité, de bracelets pare-balles ou de tiare. Le costume est radicalement différent de celui des comics et l’actrice, Cathy Lee Crosby, est blonde. On a donc droit à une nouvelle déception et un autre pilote est rapidement mis en chantier.

Cette fois-ci, c’est la bonne. En 1975, la chaîne ABC lance la production d’un nouveau pilote, intitulé The New Original Wonder Woman, qui met en scène une actrice débutante (et accessoirement élue Miss World USA en 1972), Lynda Carter, dans le rôle titre et Lyle Waggoner, à qui avait échappé de peu le rôle de Batman en 1966, dans celui de Steve Trevor. L’histoire est simple et colle bien plus aux comics que les deux tentatives précédentes : Steve Trevor se crashe sur l’île des amazones, Diana le sauve et finit par l’accompagner dans le monde des hommes, où elle combattra le crime, souvent représenté par des espions nazis. La première saison se déroule ainsi dans le cadre de la seconde guerre mondiale, et reste assez fidèle à ce que les lecteurs de la bande-dessinée connaissent, en dehors de quelques éléments qui diffèrent un peu du matériau d’origine : Steve Trevor a les cheveux bruns, Diana a le pouvoir d’imiter n’importe quelle voix (ce qui lui servira surtout au téléphone, à plusieurs reprises dans la première saison) et la transformation de l’héroïne ne se fait pas grâce au lasso, mais en tournant sur elle-même (ce qui marquera la culture populaire).

En raison d’un coût de production trop élevés, ABC décide de ne pas renouveler le show après une première saison de quatorze épisodes, qui avaient pourtant eu de bonnes audiences. C’est la chaîne CBS qui décide alors de reprendre le flambeau, mais en changeant quelque peu le concept de la série. Le cadre de la seconde guerre mondiale est abandonné et l’on nous explique que Wonder Woman est retournée sur son île en 1945, après la défaite de l’axe. En raison de sa nature d’amazone, l’héroïne ne vieillit que très lentement, et elle reprend donc du service dans le monde des hommes 35 ans après son départ. Durant cette ellipse, le major Steve Trevor est décédé, mais Diana sera accompagnée par le fils de ce dernier, Steve Trevor Jr, incarné lui aussi par Lyle Waggoner (oui, c’est un peu amené, je vous l’accorde). Cette saison et la suivante se déroulent donc dans les années 70, les ennemis ne sont donc plus des nazis, mais des criminels plus traditionnels (même si l’on a eu droit à des menaces un peu plus excentriques, rassurez-vous) et Wonder Woman est à présent un agent de l’ Inter-Agency Defense Command , organisation qui se charge de lutter contre tous ces malfaiteurs. Il faut noter que le ton de ces deux dernières saisons est résolument plus kitsch que celui de la première, et c’est dans celles-ci que l’on découvre des costumes improbables comme la fameuse tenue aquatique, ou encore l’équipement de skateboard… Mais ça contribue au charme du show.

Après ces deux saisons (la deuxième comptant 22 épisodes et la troisième 24) la série s’achève en 1979 et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle aura marqué son temps. Tout le monde associe désormais Wonder Woman à Lynda Carter, et l’actrice s’exprime aujourd’hui encore au sujet de l’amazone, dans les médias et sur les réseaux sociaux. Ce show a marqué l’histoire et restera comme l’une des plus fameuses émissions consacrées à un personnage de comics, et celle qui a su imposer au grand public une super-héroïne qui aura servi de « role-model » à de nombreuses petites filles.

2. Les personnages

La série comporte beaucoup de personnages secondaires, qu’il s’agisse de méchants créés pour l’occasion (peu sont réellement tirés des comics, mais il y en a quand même, comme par exemple la baronne von Gunther) et il est possible de croiser quelques têtes connues par moments (je pense notamment à Eric Braeden, le Victor Newman des feux de l’amour, qui incarne un pilote militaire dans la première saison) mais j’ai choisi de réduire ma liste aux rôles les plus emblématiques, ceux qui méritent que l’on s’y attarde un peu, en tant que fans de comics.

Wonder Woman

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Incarnée par Lynda Carter, Diana est l’amazone que nous connaissons tous. Partie dans le monde des hommes pour raccompagner Steve Trevor, l’héroïne combattra les forces de l’axe dans la première saison et le crime plus ou moins organisé dans les deux suivantes. Incarnation de la justice et du féminisme, cette icône revêtant les couleurs du drapeau des états-unis fait bien souvent usage de son fameux lasso de la vérité pour mener à bien son combat. Elle possède bien évidemment son costume classique, ainsi que d’autres tenues comme cet affreux équipement sous-marin et se déplace parfois à l’aide de son jet invisible. Elle est dotée de pouvoirs surhumains : elle est ainsi immortelle tant qu’elle reste sur Paradise Island (mais elle vieillit à vitesse normale lorsqu’elle est dans le monde des hommes) elle est dotée d’une force surhumaine (inférieure à celle qu’elle montre dans les comics, mais cela lui permet de soulever des objets lourds et de faire des sauts improbables) ainsi qu’une endurance hors du commun. Cette version de Wonder Woman peut aussi imiter n’importe quelle voix au téléphone, pouvoir assez particulier que l’on ne croise pas dans les comics. Dans la vie civile, elle prend l’identité de Diana Prince, afin de se cacher et ce subterfuge semble fonctionner plutôt bien.

Steve Trevor

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Attention, deux personnages nommés Steve Trevor (tous deux sont d’ailleurs joués par le même comédien, Lyle Waggoner) sont présents dans la série Wonder Woman. Dans la première saison, il s’agit bel et bien d’une version proche de celle que l’on croise dans les comics de William Moulton Marston. Pilote de l’armée américaine, Trevor s’est crashé sur l’île des amazones et il reviendra à Diana de le ramener dans le monde des hommes. Il deviendra rapidement le principal allié de notre héroïne ainsi que son love interest. Dans les saisons suivantes, qui se passent quelques décennies plus tard, on apprend que ce Steve est mort (dans des circonstances qui demeurent inconnues) et l’on fait la connaissance de son fils, Steve Trevor Jr. , qui reprendra le rôle de l’allié de Diana, mais la relation qui lie les deux personnages ne sera qu’amicale.

Etta Candy

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Sidekick bien connue de l’amazone, Etta Candy (incarnée par Beatrice Colen) est présente dans la première saison du show télévisé. Toujours joyeuse, elle est ici la secrétaire du général Philip Blankenship, qui dirige les opérations de lutte contre le troisième Reich. Adaptation un peu plus sérieuse du personnage des comics, elle en conserve toutefois les caractéristiques physiques et les traits de caractères principaux. Il s’agit toutefois d’un rôle assez secondaire, qui sert avant tout de comic relief occasionnel.

Hippolyta

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Mère de l’héroïne, Hyppolita (incarnée par Cloris Leachman dans le pilote, Carolyn Jones dans la première saison puis Beatrice Straight dans les autres, où elle n’apparaît qu’à deux reprises) est la reine des amazones. Elle a libéré son peuple de l’esclavage et l’a emmené sur Paradise Island, une île cachée au fin fond du triangle des Bermudes. Après le crash de Steve Trevor sur l’île, elle interdira à Diana de l’accompagner et organisera des jeux afin de désigner la championne qui sera chargée de cette mission. Surprise par la victoire de sa fille, qui participera masquée au tournoi et se démasquera lors de la fameuse épreuve des bracelets pare-balles. Suivant son sens de l’honneur et respectant les tradition, elle acceptera le départ de Diana et la soutiendra.

Wonder Girl

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Drusilla (incarnée par Debra Winger) est la seconde fille de la reine des amazones. Version exclusive à la série télévisée, cette Wonder Girl est assez différente des autres incarnations de cette héroïne / sidekick. Elle est en effet envoyée par sa mère afin de ramener Diana sur Paradise Island.  Elle se présentera comme la jeune soeur de Diana Prince dans le monde des hommes et mettra malencontreusement en danger l’île des amazones en révélant par mégarde sa situation géographique aux nazis. Fort heureusement, elle et son peuple, aidées par Wonder Woman, parviendront à repousser l’invasion.

3. Les épisodes à ne pas manquer

Loin de moi l’idée de vous proposer une vision exhaustive de la série, je me contenterai simplement de vous proposer une petite sélection d’épisodes à découvrir pour ceux qui souhaiteraient s’immerger dans cette ambiance rétro sans se lancer à corps perdu dans le binge watching pur et simple des trois saisons (ce que je peux toutefois recommander à ceux qui seraient passionnés par l’histoire de l’amazone, tout fan de Wonder Woman qui se respecte se doit de bien connaître cette version. C’est pour cette simple raison que je vous propose un petit top 5 des meilleurs épisodes, sélectionnés par mes soins, selon des critères assez subjectifs.

5/ Fausta the Nazi Wonder Woman (S01E03)

L’histoire de cet épisode est d’une grande simplicité. Une espionne nazie, répondant au doux nom de Fausta, décide de s’infiltrer aux états-unis en se faisant passer pour une seconde Wonder Woman, afin de percer à jour les secrets de l’originale. Pour ce faire, elle décide de kidnapper Diana… Cet épisode capture parfaitement l’essence de la première saison du show télévisé, qui rappelle les comics du Golden Age. Tous les fans de kitsch et de nazisploitation devraient apprécier son visionnage, et je ne peux que le conseiller à ceux qui aiment les histoires un peu faciles à base de doubles maléfiques.

4/The girl from Ilandia (S02E21)

Une petite fille échouée en mer est récupérée par Simon Penrose, une grosse tête de la presse, qui contacte très vite son amie Diana Prince afin qu’elle puisse l’aider, la fillette ayant l’air de provenir d’un endroit fort mystérieux. Notre héroïne identifie rapidement l’origine de la jeune fille grâce aux bijoux qu’elle portait et comprend qu’elle vient de la légendaire Ilandia, territoire situé dans une autre dimension. Elle prendra la petite naufragée sous son aile en tant que Wonder Woman et l’aidera à retourner chez elle. Le pitch est assez simple mais il insiste bien sur le côté altruiste de l’héroïne, qui se montre très protectrice. Derrière un script assez convenu se cache un épisode efficace, qui a le mérite de montrer la dimension humaine du personnage de Diana.

3/Light fingered lady (S02E13)

Attention, épisode culte ! Si je le liste ici, ce n’est pas forcément pour les bonnes raisons, puisqu’il s’agit de celui qui nous montre la fameuse tenue sous-marine de Wonder Woman, qui se démarque par son ridicule inégalable. Le scénario est simple : Diana Prince se fait passer pour une cambrioleuse, sous le nom de Lil Thaxton, afin de coincer le criminel Anton Caribe, sur ordre de l’IADC. Ce dernier compte en effet frapper un grand coup avant de se retirer du crime organisé. Le scénario est peu original et l’on comprend très vite les limites de la deuxième saison du show, mais on s’amuse beaucoup, surtout lors de l’improbable transformation de notre amazone favorite. A voir absolument, pour rire de bon cœur.

2/The feminum mystique (S01E20 et S01E21)

Ce double épisode est mon coup de cœur absolu. C’est en effet dans cette histoire qu’apparaît pour la première fois le personnage de Drusilla, alias Wonder Girl, jeune sœur de notre amazone favorite. Je vous avoue que c’est avant tout pour le physique de cette « nouvelle sidekick » que j’ai particulièrement apprécié ce visionnage, mais l’histoire est plutôt intéressante. Wonder Girl est envoyée par Hippolyta pour ramener Diana sur son île, sur ordre d’Hyppolita, mais elle sera bientôt capturée par les nazis et devra lutter contre ces derniers. J’ai franchement trouvé qu’il s’agit de l’un des passages les plus fort de la première saison et de la série dans son intégralité. C’est frais et divertissant et l’on tient là une bonne dose de fun et d’affrontements improbables dans le plus pur style des années 70, qui nous proposent une bien belle relecture des comics du Golden Age.

1/The New Original Wonder Woman (pilote)

Fonctionnant comme une origin story fort efficace, le pilote de la série reprend l’histoire que tout le monde connaît, le crash de Steve Trevor sur l’île des amazones et l’accession de Diana au titre de Wonder Woman, qui se verra confier la mission de ramener le militaire dans le monde des hommes. Si vous ne devez voir qu’un seul épisode de la série, c’est assurément celui-ci, qui peut d’ailleurs se voir comme un simple téléfilm.

4. Influence de la série

La série TV ayant eu un succès retentissant, il est évident que son influence s’est ressentie dans différents media.

Lynda Carter est apparue en tant que Wonder Woman dans un TV Special consacré à l’actrice et chanteuse Olivia Newton-John, diffusé en 1976, dans lequel elle dévie une balle destinée à cette dernière grâce à ses bracelets.

L’actrice est aussi apparue dans un épisode du Muppet Show en 1980, durant lequel Miss Piggy est apparue sous le costume de Wonder-Pig, et a courageusement combattu un poulet géant…

Lynda Carter est encore aujourd’hui associée au personnage et il n’est pas rare de la voir s’exprimer au sujet du personnage de Diana. Rappelez-vous donc de ses interviews concernant le casting de Gal Gadot.

Tout comme la série Batman des années 60, le show TV Wonder Woman a eu droit à son spin-off en comics, sobrement intitulé Wonder Woman ’77. Il s’agit d’une série publiée selon le modèle Digital First, qui nous montre de nouvelles aventures de l’amazone, dans le style de celles de la deuxième saison, mais en y ajoutant assez souvent des méchants issus des comics traditionnels. La plupart des numéros sont réussis et le titre permet de poursuivre l’expérience pour quelques dollars sur comixology (une version papier existe également, publiée plus tard).

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zeppeli

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Lynda
Lynda
7 années il y a

Très bon dossier. Je n’ai malecontreusement pas eu la chance dans mon enfance de regarder cette série, mais je l’ai découvert par hasard étant adolescente et j’avais regardé les trois épisodes, le premier étant réellement mon favori. Une origin story réussie, on peut le regarder autant comme un épisode que comme un téléfilm. J’adore quand ils mettent les cases pour narrer l’histoire comme dans une vraie BD. ^^
La musique du générique est accrocheuce, les images du générique cultes (J’adore le sourire de Wonder Woman) ,les personnages super sympathiques, une belle ambiance… Bref, c’est à vor.
J’ai de la chance d’avoir le même prénom que l’actrice qui joue Wonder Woman. ^^

Billy Batson
7 années il y a

Excellent dossier, Zepp.
Cette série tient une place particulière dans mon cœur de fan de l’amazone et en particulier sa première saison rendant grandement hommage à l’œuvre de William Moulton. Je suis moins admirateur de toute la partie dans le présent mais celle située lors de la Seconde Guerre Mondiale a le mérite d’être soignée au niveau de l’esthétique et d’exploiter au maximum l’univers de Diana. Le casting est bon et fait amusant, le comédien Lyle Waggoner qui incarne le personnage de Steve Trevor avait passé les auditions pour Batman’66 mais n’avait pas été choisi.

Billy Batson
7 années il y a
Répondre à  zeppeli

Ah j’ignorais cela, merci de me l’apprendre Zepp ! ^_^
Nubia aurait pu être très intéressante compte tenu du contexte de la saison 1 très proche des comics et cela aurait permis de développer encore davantage le monde des amazones.

Dizzy90
Dizzy90
7 années il y a

J’étais à peine 4 ans quand j’ai vu la série pour la première fois et j’ai été immédiatement fasciné. Je surkiffais le générique et il m’a fallu attendre 2006 pour revoir des épisodes. Et s’il n’y avait pas eu cette série, peut-être que je ne serais jamais devenu ni l’amateur de femme d’action ni le féministe que je suis aujourd’hui

Ares
Invité
Ares
7 années il y a

Excellent dossier Zepp, du beau boulot. Vachement intéressant comme dossier.

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superman
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