Review VF – Superman Univers #1

critique superman univers #1
Review VF - Superman Univers #1 18
Les points positifs :
  • La série Superman repart en flèche.
  • Bizarro amène un peu de fraîcheur au magazine.
Les points négatifs :
  • Tomasi encore en petite forme sur Superman/Wonder Woman.
  • Truth + Bat-Chappie ça fait un peu beaucoup pour Batman/Superman.

Petit dernier de la fournée des vrai-faux nouveaux magazines made in DC You a être reviewés par nos soin, Superman Univers #1 s’attarde sur le crossover Truth qui traverse toutes les séries ayant de près ou de loin un rapport avec Superman. S’ajoute à cela la pépite humoristique Bizarro et… Je vous laisse découvrir par vous même ce que nous en avons pensé. Le magazine est d’ores et déjà disponible en kiosque pour 5,60 euros et 6,50 euros avec la variante hommage à Batman V Superman.

Numéro précédent : Superman Saga #26 La suite dans : Superman Univers #2

Superman #41

  • Scénario: Gene Luen Yang Dessins: John Romita Jr – Colorisation : Dean White, Hi-Fi

What!? Tout le monde sait qui est Superman et à cause de Lois ? Ca, c’est du Sneak Peek! Mais revenons-en à nos moutons. L’épisode explique comment on va en arriver là. On retrouve notre Superman qui a récupéré son nouveau pouvoir d’éruption solaire et il a un maître chanteur qui l’oblige à faire ce qu’il veut sinon il dévoile sa double identité. Aidé de son super pote, Jimmy, Clark va tout faire pour donner ce qu’il veut à son corbeau et quand même jouer les héros, tout en cherchant l’identité de son ennemi. Bien entendu, on se souviendra de cette ennemi qui planait en arrière plan et dont on ne connaissait pas l’identité dans l’histoire précédente avec Ulysse. Et on se doute bien qu’il y a un lien avec ce maître chanteur.

Ce qui est bien c’est de suivre Clark le reporter dans son travail avec seulement Superman qui intervient pour sauver la vie de Jimmy. Et j’aime bien aussi suivre le quotidien des héros. Pour la partie graphique, on aime ou on n’aime pas Romita mais c’est bien dessiné et juste. Ses personnages sont bien faits toujours. On est pleinement dans la suite de ce qu’on lisait deux mois plus tôt. Rien à redire.

– James Edge Grayson

Note : 10/10

Gros changement de statu quo pour Superman, qui voit son identité secrète révélée au grand jour. On se retrouve alors avec un Clark Kent qui doit faire face à une situation inédite, alors qu’il possède beaucoup moins de pouvoirs et qu’il continue sa lutte contre le crime. On introduit très vite un nouvel ennemi qui reste plutôt mystérieux, et il faut avouer que le tout se présente franchement bien. Parallèlement à cette vie héroïque, on suit aussi le quotidien du héros, et sa relation amicale avec Jimmy Olsen, qui constitue clairement un point fort du titre. Cette nouvelle direction donnée au titre est intéressante, et l’on a hâte de voir ce qui va se dérouler, vivement la suite. Graphiquement, Romita est plutôt en forme et c’est plutôt réussi, même si l’on est loin d’être en face de son meilleur travail, mais ça reste plus que correct.

– Zeppeli

Note : 8/10

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Action Comics #41

  • Scénario : Greg Pak, Aaron Kuder – Dessins : Aaron Kuder Colorisation: Will Quintana

Le sneak peek envoie du lourd avec les dessins de Kuder, l’encrage et la couleur apportent encore plus à l’effet. Comment Superman se retrouve dépossédé de son costume et de sa cape. L’idée est bonne et c’est bien retranscrit. L’épisode suit directement le sneak peek qui a servit d’intro à l’arc. On retrouve Clark confronté à sa double identité dévoilée et ses pouvoirs amoindris. Le dessin, toujours de Kuder, est toujours très bon. Son Superman apparait humain, fatigué, blessé. Bémol pour certaines pages dont la couleur fait trop flashy, est-ce l’impression qui a déconné? Allez savoir. Mais dans l’ensemble c’est beau. Les scènes d’actions sont impeccables et immersives.

C’est très agréable de trouver cet homme qui passe de l’état de dieu vivant à « juste » Super homme. On voit que les pouvoirs amoindris ne l’empêchent pas d’être toujours aussi héroïque. L’idée de Superman avec les pouvoirs limités semblait déjà vue et sans grand intérêt mais finalement pour avoir une histoire de ce gabarit, j’achète! Du tout bon. Rien à redire. Je me régale en tout point.

– James Edge Grayson

Note : 9/10

Action Comics continue le récit de l’arc Truth, aux démêlés plus ou moins intéressants selon l’attachement qu’on porte à cet arc inter-séries. Clark quitte Metropolis, pour arpenter les routes et découvrir un sentiment d’humanité, avant de revenir dans la ville sur l’appel de Jimmy.

La série fait le choix d’aller au coeur de l’action, pour rappeler que “Superman n’est pas Superman que par l’existence de ses pouvoirs”, que la personnification du héros cherche plus dans son identité propre, et blablabla. Un sentiment étrange d’avoir déjà parcouru l’événement avant de le lire, mais des tournures qui marchent bien, quand le héros décrit son nouveau mode de vie d’homme qui a perdu le statut de Dieu. Certaines cases fonctionnent bien, les visages sont très inégaux, et le numéro en soi n’est pas la pierre angulaire de l’évent. Il paraît très accéléré, malgré une envie de moments contemplatifs, et le message expédié va à l’essentiel.

A savoir si oui ou non, l’histoire est bonne, je suppose qu’il faudra la juger dans son entièreté. A ce stade de la lecture, elle me semble surtout peu recherchée, et une énième tentative pour humaniser un héros qu’on a trop écrit comme un surhomme, ce qui ne marche qu’à moitié et manque d’implication.

– Corentin

Note : 5,5/10

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Batman/Superman #21

  • Scénario : Greg Pak – Dessins : Ardian Syaf – Colorisation: Ulises Arreola

Le titre Superman/Batman instaure une nouvelle aventure profitant, comme toute série liée au personnage, du nouveau statut-quo de Clark Kent. Greg Pak, pour ne pas délaisser le personnage de Batman, met en scène une bien belle comparaison entre le statut actuel de Superman et ce que représentait Bruce Wayne (comme quoi, il n’y a qu’un seul véritable Batman).

Clark vient donc à Gotham City, cherchant à contrer les forces cherchant à l’arrêter. L’on passe donc obligatoirement par un affrontement entre Clark et le Optimus BatLapin. Un élément qui aurait été étonnant de ne pas retrouver sur ce titre, même s’il semble cliché, il est crédible par ce Batman représentant les forces de l’ordre, et ce Superman en pleine crise d’identité. Le scénariste pointe du doigt les difficultés de ce Superman affaiblit, et réussit malgré son absence, à intégrer l’esprit du personnage de Batman dans ces pages par l’intermédiaire de sa ville, de son univers, là où Gordon est complètement anecdotique. Tout comme chacun de ces numéros, l’on nous présente les bases d’une intrigue qui se présente ici comme une renaissance, et une adaptation au milieu, ainsi qu’un échappatoire au spleen de Gotham. Une nouvelle union avec l’esprit du symbole du super-héros, désormais marginal, en quête d’anonymat.

La partie graphique assurée par Adrian Syaf, que j’évite au possible depuis son massacre sur le titre Batgirl il y a quelques années, présente ici une performance impressionnante rappelant à certains moments les grands heures d’Ed Benes. Ses visages sont moins figés, et réussissent même à apporter une certaine émotion une fois accompagnés par les dialogues de Greg Pak qui peine à se mettre au niveau de Tomasi sur Batman & Robin, mais apporte tout de même de bonnes idées et de bonnes réflexions quand au statut des personnages. Un épisode qui s’annonce intéressant, de plus si Pak continue de creuser dans la comparaison des personnages actuels. L’un des titres qui aura le plus capté mon attention.

– Watchful

Note : 7/10

Bon, je sais que je me répète, et mes excuses à ceux qui apprécient vraiment la lecture de l’arc Truth (à ceux qui n’aiment pas, ça me fait plaisir de porter votre voix), mais ce numéro n’est pas non plus une réussite. Clark cherche de l’aide auprès de son ami, Bruce Wayne, en ces temps de crise et de menaces variées. Sauf que le DCU étant ce qu’il est, cet arc tombe dans un moment similaire pour le milliardaire, remplacé il y a quelques mois par Jim Gordon dans une armure de robot. Se conjuguent un monde de tous les possibles pour l’éditeur, qui ouvre tellement de fenêtres sur le parjure de ses héros que le seul qui trouve encore un peu de stabilité dans ce fatras de mauvaises idées reste Lex Luthor (ce qui fait logiquement un peu léger).

Gordon est comme d’habitude dans pas mal d’arcs de Chappie, loin de ce qu’il devrait être en vrai, le numéro pousse vers les mauvaises idées des comics crossovers avec l’affrontement obligatoire d’où découlera une association ultérieure (ou un viril serrage de paluche “hé, pardon pour tes trois côtes pétées, en vrai on est pareils toi et moi”), le numéro n’est pas très beau, Loïs est énervante, et toute cette histoire sape le rythme général de l’évent, qui accélère par moments et décélère à d’autres, presque inutilement.

Bien sur, il y a des qualités, ce n’est pas mal écrit (ni bien non plus), l’atmosphère se tient et Superman est assez honnête dans sa relation à feu-Bruce mais… Bon, vraiment, non, j’ai pas du tout envie de lire ça. Ce qui n’est pas la faute d’Urban qui doit bien jongler avec le pauvre matériel qu’on leur envoie à publier, mais cette histoire cumule toute l’esbroufe de deux héros qu’on essaye artificiellement de renouveler, avec un peu de grim, un peu de gritty, et beaucoup,  beaucoup de paresse.

– Corentin

Note : 4/10

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Superman/Wonder Woman #18

Scénario : Peter J. Tomasi – Dessins : Doug Mahnke, Ed Benes Colorisation: Will Quintana

L’on revient à Tomasi sur le titre Superman/Wonder Woman, où les deux héros enquêtent sur la mystérieuse disparition de Lana, à Smallville. Un retour aux sources pour Clark, qui renoue avec qui il était, comme si cette révélation d’identité avait fait table rase de tout ce qu’il était. Comme si le fait d’être Superman était, comme pour Batman au final, une autre personnalité, et qu’il avait toujours été Clark KentCe qui semblait être un rôle de terrien serait apparemment sa véritable personnalité.

Peter Tomasi tente de jouer avec les sentiments, sur la nostalgie. Seulement, alors qu’il brillait par les émotions sur Batman & Robin, il rate ici son coup. De plus, Wonder Woman fait ici plus office de garde de corps aux super pouvoirs, plutôt que de « petite amie ». Ce qui est bien dommage, d’autant plus si l’on laisse cet élément clé du titre, tout en focalisant son épisode sur les sentiments du personnage. Seul le Sneak Peak semble s’intéresser au couple. Et encore, seulement les dernières pages. Et même si Doug Mahnke est un bon dessinateur, l’on ne se souviendra pas de lui pour ce numéro. On remarquera qu’il essaie d’affiner son style avec des traits et un encrage plus fin. En revanche, ce qui est vraiment étrange, est qu’il revient à son ancien style à l’encrage épais sur certaines pages (en particulier la splash-page).

Malgré ses défauts, ce numéro réussit à introduire un mystère certain, et rien ne laisse présager ce que peut cacher cette disparition, malgré les indices. Si ce premier numéro ne parvient pas à donner les éléments nécessaires de l’intrigue volontairement, il montre quel aspect de Clark Kent, Peter Tomasi va exploiter. Une bonne introduction générale, mais qui ne peine à capter l’attention du lecteur en comparaison avec les autres titres

– Watchful

Note : 5/10

 Le titre est impacté par Truth, mais soyons clairs, c’est loin d’être brillant. On sent que Peter Tomasi n’est pas bien inspiré par cette histoire et se contente de nous écrire un petit récit en mode automatique. La relation entre les personnages est relativement mal écrite et Wonder Woman semble simplement assister Superman dans sa quête, sans avoir son mot à dire. C’est dommage, tant cette nouvelle situation a du potentiel. Mais que voulez-vous, c’est le problème de la continuité, s’il faut respecter les choix d’autres équipes créatives, il faut brider sa propre imagination.

Ce n’est pas non plus catastrophique et le numéro comporte quelques bonnes idées, mais il faut reconnaître que c’est loin de ce que l’on est en droit d’attendre d’un tel titre. En ce qui concerne la partie graphique, c’est plutôt réussi, même si les dessins de Doug Mahnke sont clairement inconstants.

– Zepelli

Note : 5,5/10

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 Bizarro #1

  • Scénario : Heath Corson Dessins : Gustavo Duarte, Bill Sienkiewicz – Colorisation: Pete Pantazis

Ah Bizarro ! Probablement un de mes personnages préférés dans le panel des ennemis de Superman. J’aime autant vous dire que l’annonce d’une série lui étant consacrée m’a fait me précipiter sur la VO, n’ayant quasiment aucun espoir de le voir débarquer en VF. Mea culpa en homme de peu de foi, j’ai douté et je me suis planté.

Donc Bizarro part en road trip avec Jimmy Olsen et un …. Chupacabra, en quête de la Bizarro Amérique (le Canada en fait, un peu comme si la Belgique où la Suisse était la Bizarro France…). Jimmy espère, lui en tirer un livre à succès, il n’imagine pas ce qu’il va lui en coûter…

C’est drôle (on éclate pas de rire non plus, faut pas déconner, mais quelques sourires vont vous échapper), original, frais, distrayant et cela jure de façon agréable avec le ton du reste du magazine. En résumé c’est une bouffée d’air frais. Le seul point négatif est la gestion du parler Bizarro. Logiquement tout devrait être inversé, mais probablement pour être mieux compris c’est parfois un peu oublié. Mais c’est le cas à chaque fois avec Bizarro et Corson n’est pas le seul à s’être pris les pied dans ce tapis. Les dessins de Gustavo Duarte sont bien cartoon et en plein dans l’esprit de la serie et dans le style sont très réussi. J’ai aimé quoi ! C’est vraiment une bonne série humoristique, meilleure même que Bat-Mite qui est sortie en même temps chez DC et que je ne désespère pas de voir débarquer dans Batman Univers… Ben, quoi on peut toujours rêver, non ?

– Darthfry

Note : 9/10

Bizarro est l’une des seules séries à avoir réussi à traverser l’Atlantique depuis son DC You natal pour atterrir en VF. C’est aussi l’une des seules à illustrer le concept de “décontinuité” proposé par l’éditeur, puisque ce Bizarro là est bien le personnage habituel du pré-New 52, ici traité sous l’angle cartoony, au cours d’un road trip avec Jimmy Olsen.

Alors, en tant que série comique, est-ce que c’est à se taper le cul par terre, on va tout de suite dire que non. Cependant, le numéro est drôle à plusieurs moments, assez léger et dans une tournure graphique suffisamment rares dans les parutions DC pour être vraiment agréables, et l’ensemble se lit avec plaisir du début à la fin. Rien de bouleversant, et on comprend pleinement que le concept ne dépasse pas l’idée d’une mini en six, mais une lecture qui apporte un peu de couleur à ce nouveau kiosque Superman, avec un côté mignon pas déplaisant au milieu d’enjeux plus… Enfin, moins… Vous voyez ? Ce premier numéro commence plutôt bien, et donne tout de suite envie d’avoir un Bizarro chez soi (me am not a Pokemon), et remplit un espace vide pour les fans de ce personnage très sympathique dans les personnages barges du panthéon DC

– Corentin

Note : 7,5/10

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7 Commentaires
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Porter
8 années il y a

C’est dingue comme j’ai beaucoup plus apprécier ce début d’arc de trust avec ce format kiosk.
C’est sur c’est ma langue natale donc la lecture est plus fluide , mais c’est surtout pour la cohérence entre les séries ou tout s’enchaîne de manière logique quand tu lis à la suite.
C’est beaucoup plus agréable.

Seul point négatif , bizarro qui me pète le cerveau plus que autre chose quand je le lis et que je ne trouve pas particulièrement drole.

Watchful
8 années il y a
Répondre à  Porter

Les goûts, les couleurs tout ça, tout ça. Même si Bizarro est assez sympa pour l’instant, je ne pense pas autant l’apprécier s’il s’agissait d’une série régulière. Je pense qu’à force,le personnage serait lassant. Dommage pour toi, cet effet t’affecte dors et déjà au premier numéro.
Mais je te rejoins sur le magazine qui rend l’ensemble des séries plus appréciables.

Vakarian
Vakarian
8 années il y a

Là où je suis déçu par la direction éditoriale est qu’ils ont laissé en suspens la série Superman/Batman dans Superman Saga #23, qui s’arrêtait sur un cliffanger intéressant dont on ne connaît pas la suite.
Maintenant il y a un Superman/Batman Hors Serie qui va sortir, et j’espère qu’ils vont reprendre là où ils s’en sont arrêtés.

Popol
8 années il y a
Répondre à  Vakarian

Superman/Batman HS sera une histoire complète des années 80 il me semble

Vakarian
Vakarian
8 années il y a
Répondre à  Popol

OK merci, mais dans ce cas, ma déception est grande.

Biggy
8 années il y a

Je suis un peu perdu à la lecture de ces épisodes. Où peut-on lire la fin de Convergence en VF?

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