Review VF – Justice League Saga #27

Review VF - Justice League Saga #27 18
Les points positifs :
  • Justice League #40 est une bonne introduction pour Darkseid War.
  • Une fin honorable pour les looooong run de Flash et JLU.
Les points négatifs :
  • Green Arrow vire au n’importe quoi !
  • JLD et Wonder Woman définitivement aux fraises

C’est la nouvelle année pour les kiosques Urban et qu’est-ce qu’on leur souhaite ? On leur souhaite que modifier en profondeur le contenu de leur kiosque fasse parti de leur bonne résolution parce que, franchement, on en peut plus de Wonder Woman façon Finch et de Justice League Dark (et ceux, depuis le début). Pour le reste on espère un changement d’équipe pour Green Arrow et on se console en lisant le très inégal Justice League United et le très correct Justice League. Si mon intro ne vous a pas trop refroidi, vous pouvez retrouver tout cela en kiosque pour 5 euros 60.

Numéro précédent : Justice League Saga #26 La suite dans : Justice League Saga #28

Justice League  #40

  • Scénario : Geoff Johns – Dessins : Jason Fabok, Kevin Maguire, Phil Jimenez, Dan Jurgens, Jerry Ordway, Scott Kolins, Jim Lee, Scott Williams Colorisation: Brad Anderson, Alex Sinclair

Un épisode de Justice League sans la dite League. C’est une véritable intro à Darkseid War tout en étant un parallèle à Convergence dont une référence est faite comme si cela faisait partie d’un tout. Mouais, Geoff Johns essaie probablement d’aider ses collègues. Et il fait commencer son histoire en la lien avec l’arc précédent. Malin. Je ne suis pas fan des histoires de « méchants » mais j’ai bien aimé suivre Métron (qui n’est ni gentil ni méchant, au passage) et la découverte du personnage surprise à la fin. Je ne connaissais pas l’histoire de l’échange d’enfant qui m’a bien plu et qui rend ces deux enfants désormais grands bien plus intéressants (au passage, référence à ma review de Green Lantern Saga, Orion n’était pas si mal écrit finalement). En tous cas, cet arc promet du lourd, du très lourd.

Aux dessins, plusieurs artistes. Kevin Maguire signe des planches nikel surtout quand on voit les poids lourds qui suivent. Ces derniers ne font que quelques pages, souvent pour faire des références, excepté Jim Lee qui passe moyen derrière le toujours meilleur Jason Fabok qui signe une belle double page.

-James Edge Grayson

Note : 9/10

 

Un épisode à lire en marge de la publication du Quatrième Monde en librairie, cette entrée en matière rappelle aux lecteurs récents les grandes lignes de la colonne vertébrale de DC Comics, depuis le Quatrième Monde jusqu’aux grands événements bouleversants de la cosmogonie. Un ensemble de pages connues et de situations déjà vues place la série dans une continuité de grands événements, Johns cherche ici à mettre de l’ampleur sur sa série.

Intelligemment écrit, le récit pose d’emblée quelques uns des codes qui vont l’accompagner dans la narration et le récit de sa “Darkseid War”, dont la première partie prend la forme d’un genre de tragédie.

Fabok, de son côté, fait le taff, quoi que les dessins ne soient ici que de la mise en situation pas forcément brillante, mais s’impose déjà le gimmick de la splash page à chaque entrée de personnage marquant, qui sera pas mal réutilisée dans la suite et donne à l’ensemble un sérieux et une grandiloquence appréciée. Pour résumer, le numéro est bon, si ce n’est que ça que vous voulez savoir.

-Corentin

Note : 8/10

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Justice League United  #10

  • Scénario : Jeff Lemire – Dessins : Neil Edwards – Colorisation: Jeromy Cox

La dernière review que j’ai faite sur cette série ne s’était pas bien passée. Là, c’est autre chose. On est vraiment dans une histoire d’épopée spatiale avec La Légion qui n’est finalement qu’anecdotique exceptés les deux membres permettant d’accomplir le plan le plus chelou en terme de physique. Et qu’en est-il du trou noir? On s’en fout visiblement.

Hormis ce plan capillotracté, on a un déroulement somme toute classique. Le méchant est eu et les gentils s’en sortent. La Légion n’ayant pas d’histoire propre, je ne vois même pas pourquoi on s’intéresse à qui va être le chef. Et j’oublie de parler des résolutions ultra rapide de problèmes trainants depuis le début, genre Strange et sa femme… Voilà comment se termine le premier arc… Attendez… Quoi!? Mais c’était super long! Je ne suis même pas sûr qu’il y ait une suite. Au moins, certains dialogues étaient pas mal. Et les dessins m’ont surpris, c’était pas mal. Les personnages étaient presque tous beaux.

S’en va presque avec les honneurs.

-James Egde Grayson

Note : 5/10

 

Comme toujours, la série Justice League United revient avec un épisode galactique sympathique mais totalement dispensable. Le premier arc vient se conclure dans un numéro au rythme déséquilibré qui vient apporter une résolution à tous les problèmes qui ont été posés tout au long des aventures de nos héros.

C’est plutôt bien ficelé et l’on sent que l’auteur avait réfléchi à tous les aspects de son histoire. On peut toutefois regretter la rapidité de certains passages et le manque de caractérisation de certains personnages tant ils sont nombreux. On appréciera toutefois la présence de La Légion, qui est toujours intéressante, et l’on en vient à regretter l’absence d’un titre consacré pleinement à cette équipe. Certains héros bénéficient toutefois de pauses dans le récit et ont droit à un peu de caractérisation, c’est surtout le cas d’Equinox et de Stargirl, qui sont franchement agréables à lire et l’on en vient à apprécier ces deux jeunes héroïnes qui apportent un peu de fraîcheur à l’univers cosmique de la JLU.

Graphiquement, c’est très cartoony et le trait a l’avantage de coller à l’ambiance légère qui se dégage de ce comic-book. On est donc en présence d’une conclusion efficace pour un arc un peu longuet et parfois bancal, mais qui reste, malgré tout, totalement lisible, pour peu qu’on soit sensible aux ambiances cosmiques un peu rétro.

-Zeppeli

Note : 6/10

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Flash #40

  • Scénario : Robert Venditti, Van JensenDessins : Brett Booth –  Colorisation: Andrew Dalhouse

 

La conclusion est bien plus rapide que l’arc lui-même. En un éclair, Futur Flash regrette ce qu’il est devenu et bat son ennemi, le vrai Flash est guéri, rejoint le bon espace temps poursuivi par un nouvel ennemi qu’il élimine à l’aide du sacrifice du Future Flash qui lui donne un indice sur le meurtre de sa mère (et oui, on peut raconter la même histoire sans la réinventer pour la dénaturer, n’est-ce pas Mister Freeze?) et finalement, de nouveaux ennemis planent sur Barry. Et pour couronner le tout, Barry subit les répercutions de son moi futur. Son psy va être ravi.

Au dessin, c’était bien mieux, moins de défaut de précipitation que précédemment. Brett Booth nous redonne ce qu’on a l’habitude de voir de sa part. Mention spéciale à ce Futur Flash et sa combinaison qui ferait pâlir Batman de jalousie. Cet arc était un peu long, parce que je suis gentil, bien que certaines longueurs soient utiles pour le bon déroulement du scénario. J’espère quand même, en tant que fan de Flash, en apprendre d’avantage.

-James Egde Grayson

Note : 7,5/10

Les derniers numéros de la série Flash, au milieu de ce magazine aux choix de publications pas toujours évidents, étaient la respiration du super-héros “classique” et sans ambition qu’on a l’habitude de lire depuis soixante ans. Problème, la résolution est à la hauteur de cette maigre promesse.

Le numéro achève en un single des mois de build-up, sur un ton assez facile et maladroit. Dommage, les dessins et le rythme des découpages étant bien employés pour mettre en scène certains rebondissements. Sauf qu’en définitive, tout ça n’est rien de plus qu’une autre histoire de Flash, en attendant la prochaine. La possibilité de jouer avec certains des apports récents est balayée, on embraye avec le vilain suivant et une poignée de petites conséquences, qui seront rangées dans un coin au prochain passage de relais, et sur les quelques bonnes idées qui avaient pu sortir des derniers numéros, l’envie retombe avec l’implication de l’équipe créative.

Enfin bref, sans être mauvais, je me demande sérieusement qui a pris son pied en lisant ou en écrivant ça.

-Corentin

Note : 5/10

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Green Arrow  #39

  • Scénario : Andrew Kreisberg, Ben Sokolowski – Dessins : Daniel Sampere – Colorisation: Gabe Eltaeb

Il y a des choses qu’on peut faire en série TV mais pas en comics. Une vanne lancée qui prend une micro seconde à la TV prend une bulle dans un comics et la place n’est pas toujours disponible pour y mettre de la merde. Et franchement, les auteurs détestent leur personnage qu’ils nous mettent bien trop en avant dans la série TV, ou quoi? Felicity est encore plus ridicule que dans la série. Faire référence à une série sur les prisons sans prendre en compte ce qu’il s’y passe, je ne ferais pas ces vannes… parce qu’il n’y a pas que la combinaison orange qu’elle a du subir.

Et quand on ne connait pas un personnage, on se renseigne ou bien on ne l’utilise pas. Cheetah se bat contre Wonder Woman alors en moins de deux minutes, une humaine inutile au combat, elle l’étripe en un coup. Voilà.

Sinon, hormis la prison, il y a de bonnes idées sur King qui démonte tout ce qu’a fait Queen et retourne tout contre lui. A l’inverse de Atom dans la série qui est inspiré par l’action de Arrow, King, lui, considère que son sauveur n’a pas bien fait. Et le final m’a fait rire. Ça promet de belles reviews dans le futur… je plains celui qui s’en chargera. Au dessin, Sampere est correct. Mais je sais qu’il y a nettement meilleur qui arrive, alors j’attends patiemment.

-James Edge Grayson

Note : 5/10

La nouvelle équipe créative en charge du titre continue à foutre en l’air la série Green Arrow, qui devient une version foireuse des aventures de l’archer le plus célèbre de l’univers DC, pour en faire un produit bien plus proche de sa mouture télévisuelle. On sent une certaine hésitation en ce qui concerne le public cible de la chose, puisqu’on nous colle des personnages connus des lecteurs de comics, comme c’est le cas de Cheetah, qui souffre clairement de sa présence dans ce numéro (on est loin du numéro villain’s month signé John Ostrander) que l’on confronte à d’autres clairement empruntés au show de la CW.

Eh ouais, vous ne rêvez pas, on a droit à un affrontement Cheetah vs Felicity. Ce n’est pas du tout intéressant et l’on sent que l’intrigue tourne beaucoup trop autour de cette pièce rapportée qu’est notre amie mademoiselle Smoak, et l’on peine aussi à trouver un véritable intérêt au personnage de King, ce méchant “corporate” clichesque au possible qui semble être la menace principale du run…

Reste un dessin plutôt correct, signé Daniel Sampere, qui s’en tire franchement bien, même si l’on est clairement dans les standards du comic-book moyen.

-Zeppeli

Note : 3/10

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 Justice League Dark  #39

Scénario : Jean-Marc Dematteis – Dessins : Andres Guinaldo – Colorisation: Chris Sotomayor

Je pourrais dire que j’ai autant envie de faire cette review que de me pendre mais d’un autre côté, ça m’amuse tant c’est à chier. Comment une série a pu finir si bas? Et le pire, c’est que ce n’est pas fini.

L’équipe affronte une créature du néant qui veut tout anéantir mais finalement Zatanna trouve une solution mais après que tout le monde est raté son action héroïque, elle abandonne. Et ils finissent tous dans le néant mais ça finit sur la Maison du Mystère. Et… j’ai rien compris. Ca continue de faire d’un scénario compliqué un gros bazar pour dire trois fois rien. Il y avait plus simple et plus percutant. A la fin, on va se dire : c’est tout? Et il s’accroche à son scénario, le scénariste, on peut lui reconnaître ça. Allez, deux points pour la peine!

Graphiquement, on continue dans la même lancée. Pas très beau du tout alors qu’il pourrait faire sans fois mieux. Le bateau coule, il le sait et il donne le minimum syndical. Travail de fainéant. J’en pleurerais presque de cette déchéance…

-James Egde Grayson

Note : 2/10

Okay, soyons clair, lire ce numéro est une véritable perte de temps et il n’y a absolument rien à sauver. Et je pèse pourtant mes mots. Il se trouve que l’équipe est à nouveau dans une situation bien délicate, alors qu’ils sont confrontés au monde du néant, dirigé par une sorte de déesse bidon, à l’aspect graphique fort peu original.

Le scénario respire la pédanterie mais ne casse clairement pas trois pattes à un canard et il n’y a probablement rien d’autre à comprendre que “c’est du mystique les gars, ça nous dépasse tous”.  On nous ramène une fois de plus la Maison du Mystère pour nous faire croire qu’elle est importante au sein de l’univers DC, mais on comprend très vite que le titre n’a absolument aucune répercussion et l’on sent même une certaine lassitude de l’équipe créative, qui n’a pas l’air de croire à ce qu’elle fait, comme en témoignent les graphismes un peu bâclés. Je ne peux que vous conseiller de fuir cette série, qui a malheureusement sombré dans les abysses.

– Zeppeli

Note : 1/10

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 Wonder Woman #40

Scénario : Meredith Finch – Dessins David Finch Colorisation: Peter Steigerwald

J’admets une difficulté personnelle à parler de ce numéro, qui n’a pas suscité suffisamment de choses à la lecture pour générer une opinion en moi. D’un point de vue objectif, on ne peut pas lui reprocher d’être le véhicule des habituels défauts de la série. Or, c’est peut-être là le problème : sans les défauts, qui interloquent ou amusent la plupart du temps, peut-être qu’il ne reste rien à l’écriture de Meredith Finch pour réussir à créer un quelconque intérêt.

Les pages s’enchaînent, sans valeur narrative ou scénaristique, portées par les crayonnés paresseux de David Finch, qui peine à être constant dans ses visages d’un numéro à l’autre et semble lui aussi se demander ce qu’il fait là. Chaque numéro de cette série est un clou planté dans le cercueil d’une héroïne que l’on croirait revenue au temps du bondage des années ‘40.

Humiliée, enchaînée à l’échec critique et le désintérêt du lectorat, en attendant que l’éditeur se décide à licencier les deux malades en charge du projet, qui pourront toujours s’exiler chez Zenescope pour exprimer leurs pulsions sadiques. Avantages : là-bas, personne ne leur reprochera d’être nuls (au contraire, ça fera ton sur ton), et en considérant la quantité de lecteurs concernés par l’imprint, moindre mal, le dommage collatéral s’accepte à peu près.

En attendant, cette série est lamentable, et plutôt que de la lire je vous conseille d’arracher les pages et d’en faire de jolis avions en papier, puisque l’origami aide à la concentration, lutte contre le stress et favorise un sentiment de bien-être, à l’inverse de la politique éditoriale de DC dernièrement, qui a causé en 2015 l’extinction de 600 espèces animales, et trois incendies de forêt.

– Corentin

Note : 0/10

On continue à faire le deuil du run d’Azzarello sur le titre en s’attaquant à ce quarantième numéro de la série Wonder Woman, qui nous replonge dans la nouvelle ambiance du titre, partagé entre une guerre intestine sur Themyscira et les aventures de la belle amazone au sein de la Justice League.

On sent que l’héroïne rencontre des difficultés pour concilier ces deux aspects de sa vie, mais il en va clairement de même pour sa scénariste, qui n’a pas l’air de savoir exactement où elle va. On a droit à un conflit ouvert pour le pouvoir au royaume des amazones, alors que la nouvelle version de Donna Troy tente de s’imposer, et l’on peine à s’intéresser véritablement à ce personnage, qui reste une antagoniste totalement stéréotypée pour être “l’anti-Wonder Woman” par excellence…

Le numéro n’est pas spécialement illisible, mais l’on peine à s’y intéresser réellement et ce n’est pas son graphisme qui vient le sauver. David Finch est malheureusement très inégal, et l’on a parfois du mal à reconnaître notre héroïne, notamment au cours du combat entre elle et sa nouvelle rivale. Wonder Woman est donc une série devenue anecdotique, qui perd le charme du run qui la précède, et l’on a droit à un comic-book très fade, que l’on préférerait peut-être éviter.

– Zeppeli

Note : 3,5/10

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5 Commentaires
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Vibe
Vibe
8 années il y a

Super review tout est dit .
Par contre j ai une question pour le justice league 40 durant l échange des enfants .Orion est conscient qui il est le fils de darkseid .Alors que dans le Fourth World de Kirby il l ignore comment est ce possible ? A moins que l origine des new Gods ait éte modifié pour les New 52 ?Mais comment Metron est t il encore lucide de l ancienne realité ?
Carrément d accord avec vous JLD et WW .Pour Green arrow quand j ai vu la derniere page j ai compris qu on pouvait pas tomber plus bas .Jlu et Flash toujours correct mais sans plus .
Hate de voir ce que Urban prévoit pour ses kiosques en Mars

kriskent
kriskent
8 années il y a

0/10 pour la serie Wonder woman faut pas exagerer non plu ok niveau scenario c’est faible mais les dessins ca va encore beaucoup de serie sont moins bien dessiné actuellement…
meme question comment metron peut etre conscient de l ancienne realité?

Belziane
Belziane
8 années il y a

« On continue à faire le deuil du run d’azzarello… » tout ceci résume tout. On passe d’une oeuvre qui va s’inscrire dans les anales à du classique, ben oui c’est moins bien, mais c’est pas nul.

En fait là , à mon avis, c’est plus « Qui a le courage de passer après lui ». On en reparlera après Snyder ^^.

Belziane
Belziane
8 années il y a
Répondre à  Belziane

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