Review VF – Batman Saga #43

 

Review VF - Batman Saga #43 18
Les points positifs :
  • Un excellent numéro dans l’ensemble
  • Endgame se termine mieux qu’il n’a commencé
  • Batman & Robin, Batgirl et Grayson au top !
Les points négatifs :
  • Un Secret Origins dispensable, comme d’habitude…
  • Les blagues lourdingues sur les fesses de Grayson
  • Corentin qui bitche sur les copains en loucedé dans ses reviews ! 

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Numéro précédent : Batman Saga #42 La suite dans : Batman Saga #44


Batman #40

  • Scénario : Scott SnyderDessins : Greg Capullo – Colorisation: Fco Plascencia

Le Joker est-il immortel? Snyder joue avec nous sur ce sujet depuis quelques mois et je reconnais que je me suis retrouvé à me poser la question, et quand on voit ce qu’en disent les réseaux sociaux, Snyder a réussi son coup. Du moins, selon moi. L’épisode s’ouvre d’abord par un team up de la Bat-Family avec tous les ennemis de Batman de ouf et même un fastball spécial de Bane avec Batman. Le tout narré par Bruce qui nous explique ses derniers stratagèmes pour manipuler ses ennemis et comment il en est arrivé à la conclusion. Le dernier acte est l’ultime affrontement des deux nemesis avec la révélation de la véritable nature du Joker. C’est plutôt bien joué.
L’épilogue nous montre un Alfred qui refuse de se faire regreffer sa main car il pleure la disparition de son « fils » et qu’il ne peut plus le servir. Sa fille pourrait le déclarer fou et l’obliger… m’enfin. Serait-ce un clin d’œil sur la suite, ces deux silhouettes partant dans l’ombre, le petit portant un R et le grand marchant à l’aide de béquille et un bandage sur l’œil?  Une conclusion bien meilleure que la durée de l’arc.
Au dessin, on ne présente plus celui qui dessine. Le niveau est toujours là. Je suis sûr que c’est Capullo qui a permis à certains de continuer à lire Batman quand le scénario traînait en longueur. Je lui reprocherai que certains visages parfois mal dessiné. Et, je suis désolé, mais le menton de Batman au début devrait être à l’image du Guest de l’épisode, ou bien, affubler ce dit Guest d’un masque qui change le visage dont les auteurs sont friands. Le Joker n’en aurait été que plus abusé.

Et en parlant de ce guest, Snyder s’amuse avec son nom et la traduction fait du bon travail dessus. Et la traduction gère bien les blagues du Joker. Une bonne production (grâce à la version librairie je suppose).

– James Edge Grayson

Note : 9/10

En gros cet arc si controversé se termine comme il se doit, c’est à dire par une grosse baston au corps à corps entre Batman et le Joker pour le contrôle du Dionesium nécessaire à la synthèse d’un remède à la toxine du Clown Prince du Crime. Enfin ce n’est pas tout à fait vrai car la Bat-Familly donne un coup de main. Je reste très partagé sur cet arc, j’aime beaucoup le travail de Snyder sur Batman, mais je n’ai pas aimé « La deuil de la famille » et j’ai du mal à apprécier « Endgame ». Cette conclusion épique fait un peu passer la pilule d’un arc un peu foutoir et très abusé, qui se prend un peu les pieds dans le tapis et ne répondant pas à toutes les fausses pistes lancées. Capullo est au top sur ce numéro, il nous offre ce qu’il fait de mieux et contribue grandement à la qualité du run !

Une conclusion épique et intéressante, mais qui ne solde pas totalement les errements du run. Néanmoins il le fait grandement remonter dans mon estime, je crois que je vais lire la version librairie pour me faire une idée plus précise !

– Darthfry

Note : 8/10

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Batman & Robin #39 & 40

  • Scénario : Peter J. Tomasi – Dessins : Patrick Gleason– Colorisation John Kalisz

Urban nous livre deux numéros qui, semble-t-il closent l’arc qui a vu la résurrection de Damian, résurrection s’accompagnant de super pouvoirs. Damian reprend les bonnes vieilles habitudes et tente de faire régner l’ordre sur Gotham par la terreur, marqué à la culotte par son père, inquiet de le voir invulnérable, sans pour autant être certain que ses pouvoirs soient permanents. Il fait donc appel à la Ligue de Justice pour se faire une idée plus précise.

Tomasi nous aura livré une belle métaphore sur l’enfance, voire l’adolescence avec cet arc dont on peut regretter que la conclusion ne dure pas un peu plus ! La partie super pouvoirs aurait peut-être méritée un développement plus important, mais on évite au moins que cela s’enlise ! Il nous livre aussi un moment d’anthologie avec la partie de pêche en famille, qui avec deux handicapés sociaux comme Bruce et Damian ne peut se terminer normalement. Gleason s’applique vraiment sur ces numéros et nous livre une excellente copie. On le sait capable du meilleur et du un peu moins bon (pas le pire faut pas déconner), et là on a le Gleason de compétition pour cette conclusion.

Une conclusion toute en douceur, et en amour de son prochain, finalement n’est-ce pas ce dont on a besoin en ce moment ou même tout le temps ?

– Darthfry

Note : 10/10

Avec nostalgie, se tourne la page du feuilleton familial des Wayne, père et fils. Quarante numéros d’une constante qualité (parfois irréprochable), faite de temps forts et de moments de deuil, et presque aucun inconvénient réel dans cette série à l’abri derrière le phare aveuglant du Batman principal de Snyder/Capullo.

On retourne sur Damian fraîchement revenu d’entre les morts, rapportant avec lui de l’au-delà une série de super pouvoirs similaires aux fondamentaux Kryptoniens, et un père qui s’inquiète de leur apparition, qui posent des questions sur la santé ou les enjeux moraux de son enfant. C’est excellent, la sincérité des dialogues est chaque fois efficace, l’humour reste inchangé, les références sont nombreuses et toujours bien écrites, même Patrick Gleason s’applique plus que de raison sur ces pages où différents styles, décors, et ambiances de vie ou d’action s’enchaînent avec la même justesse.

La conclusion de la série émeut les fans de longue date d’un titre qui ne se sera jamais imposé parmi les sommets de qualité avérés (derrière la Wondie d’Azzarello et le Green Arrow de Lemire), sorte de secret bien gardé des fans du Batman de Morrison, ou de ceux qui aiment voir vivre leurs personnages, sans qu’on cherche à les réinventer. Un sans faute complet du début à la fin – traitez moi de fanboy, vous auriez raison.

– Corentin

Note : 10/10

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Batgirl #40

  • Scénario : Cameron Stewart, Brendan Fletcher – Dessins : Babs Tarr Colorisation: Maris Wicks

La confrontation. C’est Batgirl vs Batgirl. Barbara affronte littéralement un vieux démon qui était au fond d’elle, une façon de tourner la page définitivement sur son passé traumatisant, peut-être. C’est un final somme toute assez classique d’affrontement gentil contre méchant, si vous en êtes arrivés jusque là vous le lirez avec plaisir, tout comme moi.

J’ai la sensation que tout ce truc de réseaux sociaux et de jeunes profitant de la vie c’était aussi pour amener cette entité numérique qui pirate les comptes utilisateurs. Comme un message nous prévenant qu’on peut pirater des réseaux sociaux et de faire attention à ce qu’on peut y mettre. Et pas seulement pour dire que Batgirl est jeune, car oui, elle l’est. Après tout, on nous dit bien que Dick a 21 ans dans le secret Origins. Et les réseaux sociaux font partie intégrante de la vie actuelle. Mais il faut prendre garde à ne pas débiliser le tout. La jeunesse ce n’est pas que ça.

Et bien que l’arc soit fini, les auteurs nous laissent une ouverture sur la suite. Mais nous lecteurs de comics savons, même sans ça, que ça ne s’arrête jamais.

Les dessins restent fidèles à eux mêmes. J’ai même l’impression d’aimer encore plus les traits de Babs Tarr. Les traits sont justes, avec la particularité de la dessinatrice. Ça va toujours bien avec l’ensemble.

Oui, je profite de ce dénouement d’arc pour donner un avis global.

– James Edge Grayson

Note : 9/10

 

Souviens toi, lectorat. Il y a quelques mois, Darthfry vous enjoignait, sur ces reviews, à faire l’impasse sur la Batgirl de Burnside. Un titre qu’il jugeait « girly », dans tous les sens que le terme peut avoir de mauvais, entonnement repris en coeur par les fans de la Barbara Gordon classique, ou de Oracle, au souvenir abîmé par cette parodie gossip de Batgirl blogueuse mode, entre Fantômette et Pénélope Bagieu. Les premiers arcs sont souvent l’occasion de conclusion sur une orientation osée, que retenir de celle-ci ?

Grosso modo, derrière un happy end qui tâche, la série tire un trait assez définitif sur le passé de Barbara, comme si elle cassait le quatrième mur et expliquait son projet de récit. Oublier la Gordon traumatisée dans son fauteuil roulant, et accoucher d’un adversaire né de cet imaginaire passé des codes grim & gritty (Gail Simone, si tu nous regardes. Continue Clean Room, c’est plutôt sympa). De sorte que Batgirl s’affronte elle même, la Batgirl joyeuse contre son itération traumatisée en perpétuelle lutte contre le monde extérieur, ce qui est à soi seul une réponse à donner à ceux qui accusaient les auteurs de ne pas prendre en compte le passé. Évidemment, tout le monde ne recevra pas ce final de la même façon, qui reste très bébête et pas super profond malgré ses quelques idées. Reste un arc bien écrit dans l’ensemble, très bien dessiné, et qui construit son background pour permettre à la fille Gordon de tenir sur ses deux jambes (no pun intended) sans l’appui ou le secours de son mentor en gris. En bref, sans devoir dire si c’est bon ou mauvais, je me bornerais à dire que Darthfry s’est trompé, avant d’entamer un rire sadique. Genre “hahaha”. Ou “hihihi”.

(Note de Darthfry : je maintiens tout !)

– Corentin

Note : 8/10

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Secret Origins #8

  • Scénario : Tim Seeley, Tom King – Dessins : Stephen Mooney ColorisationJeromy Cox

Soyons clairs, pour tous ceux qui suivent Dick Grayson depuis les New 52, au moins, savent déjà le contenu de ce petit numéro. Néanmoins, il est bien amené puisqu’il s’agit du compte rendu de Helena pour le désigner en tant qu’agent de Spyral. Et comme depuis le début, Tom King et Tim Seeley placent les graines d’un lien amoureux entre Helena et Dick. Mais attention, la belle Helena est impitoyable.

Aux dessins, on retrouve le remplaçant de Mikel Janin, Stephen Mooney. Des bonnes et des moins bonnes cases mais une double-page très belle que le format de nos comics VF ne permet pas d’apprécier pleinement, comme souvent avec les double-pages. Jeromy Cox colorise toujours et nous donne une unité graphique très appréciable avec l’écart de dessin que certains peuvent plaindre.
Le tout ressemblant à une introduction de la série Grayson. Et heureusement que c’est publié comme un bonus et qu’il ne faut pas débourser 5$ pour ça et d’autres avec.

– James Egde Grayson

Note : 6,5/10

Aucune originalité pour cette Secret Origin, qui vient nous rappeler une énième fois comment Dick Grayson est devenu celui qu’il est aujourd’hui. Cela dit, la forme est assez bien pensée, puisque c’est raconté par la fameuse “Matrone”, Helena Bertinelli, en personne.

Il s’agit donc d’un petit compte rendu fait à l’agence Spyral, ce qui permet d’intégrer aisément ce récit à l’histoire principale du titre Grayson sans (trop de) lourdeur. C’est plutôt bien scénarisé et ça a le mérite de mettre en relief la tension sexuelle qui existe entre notre protagoniste et sa partenaire. On pourra toutefois se plaindre de rien avoir de nouveau à se mettre sous la dent et il est vrai que c’est tout juste correct. Heureusement qu’Urban vient publier ceci comme un petit extra dans le magazine, puisque ça remplit parfaitement ce rôle. Graphiquement, c’est du Stephen Mooney, c’est donc plus que correct et l’on se plaît à admirer ses pages. Nul doute que nous tenons là un grand artiste.

– Zeppeli

Note : 5/10

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Grayson #8

  • Scénario : Tim Seeley, Tom King – Dessins : Mikel Janin Colorisation: Jeromy Cox

Nous y voilà, la fin de saison 1. Dès le début on découvre que celui qu’on considère comme le méchant de départ veut démanteler Spyral et être considéré comme un méchant à part entière. Mais c’est sans compter sur Matronne, Agent 1, Agent 37 et les amatrices de ses fesses  qu’elles ont même baptisée s: Jim et Juan (serais-je devenu une fesse de Grayson?). Et oui, la blague sur les fesses de Dick continue, encore.

Toujours les petits faux semblants ressortis comme on triche à un jeu : « on ne peut pas me tuer avec mon arme car je la trafique toujours quand je ne m’en sers pas ». Ce n’est pas idiot et ça insiste sur le pitch de départ: Méfiez-vous des apparences. Tom King aime beaucoup jouer sur les détails et je pense que pour patienter avant la saison 2, il est intéressant de relire toute la saison 1, pour apprécier le tout et y déceler des indices, peut-être…

Les dessins sont toujours au top et nous apportent de superbes scènes d’actions avec des mouvements bien dessinés. Oui ! Mikel Janin aime dessiner Dick Grayson, ça se voit et c’est génial. On finit donc sur les chapeaux de roue avec un cliffhanger de fin de saison nous promettant un nouveau méchant pour la suite. Un dernier numéro, donc, qui nous montre que cette série est une bonne série et que Grayson, tout comme sa série, fait partie clairement des grands.

– James Edge Grayson

Note : 9,5/10

Je dois vous dire : quand il s’agit de parler de Grayson, je suis assez embêté. Géographiquement, ce paragraphe se situe au sud de celui écrit par mon collègue James Grayson, qui (le saviez vous ?) dort avec une photo de Mikel Janin sur sa table de chevet, dans un cadre en forme de cœur (rose).

Donc ceux qui veulent un avis enthousiaste peuvent s’y référer. Pour les autres, j’ai peur de ne pas être non plus d’un grand secours, puisque finalement, j’aime assez cette série. Ce numéro m’ennuie, à partir du moment où je n’accroche pas à la confrontation qui s’y déroule. Cependant, Minos, Matrone, les “Nightwinguettes” tout droit sorties d’un manga bizarre, les planches superbes de Janin ou l’excellence des dialogues qui ponctuent le récit, rien ne me paraît vraiment à jeter dans ce fatras d’espions, d’humour et de super-héros.

Donc, étant donné que cet avis n’est pas super utile, je vous proposerais dès le mois prochain des conseils cuisine et bricolage pour occuper vos weekend. Les travaux manuels, voilà le secret.

– Corentin

Note : 8/10

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6 Commentaires
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James Edge Grayson
8 années il y a

Je n’ai pas de cadre de Mikel en personne, mais j’ai un cadre d’un Grayson fait par lui ;-)

Corentin
8 années il y a
Répondre à  James Edge Grayson

T’as pas à te défendre James. L’amour, ça ne se discute pas.

kiol
kiol
8 années il y a

Je ne sais pas si c’est fait exprès mais dans le premier episode d’endgame, dans le cauchemar de Bruce sur le futur, il manquait une main à Batman et un œil à Alfred. Là c’est l’inverse : Batman se prend une carte du joker dans l’œil et Alfred se fait couper la main

Solid_Snake
Solid_Snake
8 années il y a

Batman : Endgame était prometteur mais la fin est ratée. Il s’y passe un événement majeur, malheureusement amené par beaucoup d’incohérences et d’explications tirées par les cheveux. Le combat final traîne en longueur et on sent que Snyder galère pour amener la fin qu’il souhaite : Batman devient subitement vulnérable et se fait déchiqueter à chaque attaque du Joker ! Non mais vraiment, le Batman qui a défoncé Killer Croc, Bane ou Darkseid perd un oeil à cause d’une carte à jouer : WTF ?!

Batgirl : Un supplice si vous êtes si vous êtes un mâle de plus de 14 ans.

Batman&Robin : Les aventures de superhéros dans toute leur splendeur avec un scénario de Tomasi et des dessins de Gleason parfaits dans cette saga épique, fantastique et réjouissante. Et pourtant je détestais la caractérisation de Damian dans le run de Morrison, sa mort m’avait même réjoui à l’époque.

Grayson : Pour une fois j’ai plutôt aimé car l’histoire était compréhensible et plutôt intéressante.

Sinon je m’interroge actuellement sur la pertinence des Batman Saga et je vais sans doute me tourner vers la VO à l’avenir, la politique de publication kiosque par Urban étant incompréhensible :

– Urban a d’abord publié la fin d’Endgame dans le recueil librairie : super la récompense de la fidélité des lecteurs kiosque…

– Il faut maintenant attendre la fin février, soit près de 9 mois après la sortie US, pour que le nouvel arc de Snyder soit dévoilé dans Batman Saga alors que le TPB sortira en VO au même moment.

– Les numéros 44 et 45 seront d’un faible intérêt avec des tie-ins dispensables d’Endgame et le début de Convergence qui tombe comme un cheveu sur la soupe (dont un épisode de la Gotham Academy, ce qui fera une deuxième série dédiée plutôt aux pré-ados).

– Les aventures de Batgirl vont malheureusement continuer. Je ne pense pas qu’Urban cible le bon lectorat en publiant ça en kiosque; la version librairie suffirait, à mon sens. Ses aventures de Fantomette entre deux séries bourrées de testostérone font désordre. En plus on est à la fin d’un arc, ce serait le bon moment de la supprimer de la revue.

– Enfin, on ne sait pas quelle série sera intégrée en remplacement de Batman et Robin. Mais pourquoi la Suicide Squad ou Harley Quinn ne sont-ils pas publiés dans Batman Saga ?

kiol
kiol
8 années il y a
Répondre à  Solid_Snake

Je pense que ce sera Robin son of Batman qui remplacera Batman et Robin. Il me semble que c’est la suite

BlueWarth
BlueWarth
8 années il y a
Répondre à  Solid_Snake

« Un supplice si vous êtes si vous êtes un mâle de plus de 14 ans » vaut mieux lire ça que d’être sourd (bis)….
Un bout de duvet au menton, et hop on veut de la baston, mais des trucs de durs, de vrai mâle!!!! Car la Batgirl so girly c’est tellement cliché alors que des gros super-slips sous stéroïdes qui se mettent sur la tronches a tout bout de champ, non non c’est pas cliché.

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