Review VF – Batman Saga #40

critique batman saga 40
Review VF - Batman Saga #40 18
Les points positifs :
  • Un début d’arc sur les chapeaux de roues pour Detective Comics   !
  • Une fin d’arc qui fait plaisir pour Batman & Robin.
  • Un Annual de grande qualité pour Grayson.
Les points négatifs :
  • Une direction prise par Endgame qui ne plaira pas à tout le monde…
  • Batgirl qui plaît, mais semble s’orienter vers un seul type de lectorat…

Envie de découvrir la suite d’Endgame, l’arc qui met en scène Anarky, la conclusion de Robin Rises, la suite des aventures de Barbara « totally spies » Gordon et l’Annual qui met en scène Dick « chippendale » Grayson… Vous êtes au bon endroit !  Avec en prime l’avis le plus objectif possible  (quand c’est possible) de notre équipe. Batman Saga #40 est disponible depuis le 21 août pour 5 euros 60 en kiosque.

Numéro précédent : Batman Saga #39 La suite dans : Batman Saga #41

Batman #38

  • Scénario : Scott Snyder – Dessins : Greg Capullo – Colorisation: Fco Plasciencia

Le Joker a monté une attaque de grande ampleur en lançant un virus sur Gotham toute entière. Le hic, c’est qu’un des éléments du gaz est inhabituel et les indices laissent à penser que c’est un éléments du sang du Joker, et que cet élément le rendrais immortel !

L’action est frénétique, omniprésente tout au long du numéro et Batman ne cesse de ce démener pour découvrir un antidote au gaz que le Joker a disséminé. Mais avec un peu de recul, il y a un détail qui fâche un peu, c’est que passé l’action, le scénario n’a pas tellement avancé en se perdant dans les méandres d’une explication qui a tout d’une bonne blague.

Les dessins de Capullo sont un peu moins marquant que d’habitude, non pas qu’ils soient vraiment laids, mais l’ambiance nocturne et sombre ne met pas tellement en valeur son travail, bien plus flamboyant quand Plasciencia met des couleurs vives. Mais quoi ? C’est du Batman, alors quand c’est du Batman, il faut du noir !

Un mot sur le back-up très laid, qui fait suite. Il est dessiné par Sam Keith et c’est une horreur. Visiblement Sam Keith est un enfant de sept ans, car on croirait un dessin d’enfant tellement c’est malhabile ! C’est probablemnt un effet recherché pour faire ressortir le coté « attardé » du narrateur, mais c’est vraiment raté. Quand au scénario il nous met sur la piste d’une armée de Batmen dont serait issu le Joker, s’éloignant du postulat du début de ces histoires de compléments d’un Joker immortel, bref on ne comprend pas l’intérêt de ces quelques pages…

Bref un épisode centré sur ce qu’on espère une fausse piste, ce qui laisse deux solutions: Soit c’est une fausse piste et on a perdu notre temps, soit ce n’est pas une blague et on se dirige vers une très mauvaise idée. L’impression générale est très mitigée et ce, malgré la présence d’une (très) légère référence au run de Morrisson ( cinq étoiles, que son règne arrive sur vos comics). Rassurez moi c’est bien une blague, s’il vous plait !

– Darthfry

Note : 6/10

Endgame se poursuit dans ce numéro, alors que nous retrouvons le commissaire Gordon en bien fâcheuse posture et que Batman enquête sur le Joker et son apparente immortalité. Scott Snyder nous livre un épisode inspiré par de grands classiques de l’horreur et cherche à réinventer le personnage du Joker, en le transformant en une espèce de croque-mitaine de Gotham. C’est une approche assez originale, mais certains lecteurs, dont je fais partie, n’apprécieront pas cette caractérisation du clown prince du crime.

Il faut avouer que l’enquête est cependant assez intéressante et que l’ambiance oppressante fonctionne plutôt bien. Il est simplement regrettable que les hypothèses émises sur le Joker dans ce numéro semblent totalement douteuses et out-of-character, mais après tout, ça reste du Scott Snyder, il ne faut pas trop en demander.

Graphiquement, Greg Capullo  est parfait et nous livre de bien belles pages, qui mettent en valeur l’aspect horrifique de l’arc, ce qui parvient à faire passer la pilule, même pour ceux qui ne sont clairement pas fans de ce run.

– Zeppeli

Note : 6,5/10

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Detective Comics #38

  • Scénario : Francis Manapul, Brian Buccellato – Dessins : Francis Manapul – Colorisation Brian Buccellato

Anarky a frappé fort en s’attaquant à la Tour Wayne ! Il pousse même l’avantage en piratant tous les comptes en banque, casiers… de tout un chacun, dans l’optique de mener le peuple à l’insurrection dans un plan machiavélique à cheval entre Fight Club et V pour Vendetta. Il fait honneur à son patronyme !

Hormis les similitudes avec des œuvres passées (que nous interpréterons par bienveillance comme des hommages), le scénario est bien fichu, on se prend au jeu et on se demande comment ce symbole de l’establishment de Gotham va éviter l’écroulement du systeme prôné par son ennemi. Tout y est, du politicien opportuniste (et probablement mouillé jusqu’au cou), au cliffhanger de fin qui est la conséquence logique du reste et met notre Chevalier Noir encore un peu plus dans la mouise.

Apres un petit passage à vide, Manapul semble revenir au top sur ce numéro, on retrouve la patte qui nous a enchanté sur Flash, le tout bien adapté à son nouveau sujet. Bref c’est magnifique.

C’est intéressant, c’est beau, bien construit, avec un recyclage réussi d’un ancien vilain de Batman, ce run semble bien plus réussi pour l’instant que le précédent qui avait vu cette équipe au commande. Ils semble qu’ils aient prit leur vitesse de croisière et rien ne semble pouvoir les arrêter !

– Darthfry

Note : 9/10

Deuxième chapitre de l’arc consacré au personnage d’Anarchy. Nous retrouvons Batman a la recherche du terroriste, alors qu’il enquête à ce sujet, suite à l’attentat qui avait conclut le numéro précédent.

Buccellato et Manapul nous livrent un script parfaitement efficace, qui met bien l’accent sur le mot “Detective” qui fait partie intégrante du titre, notamment en réutilisant l’une des autres identités secrètes de Bruce Wayne, en la personne de Malone l’allumette (Matches Malone, en VO). Il est très agréable de lire cet épisode, à l’ambiance résolument caractéristique des polars, puisqu’il a le mérite de revenir aux sources en nous proposant une enquête et en utilisant habilement le personnage d’Harvey Bullock, qui semble être important dans ce run. De même, la nouvelle version d’Anarky est très intéressante, et le parallèle que l’on peut faire avec un passage de V pour Vendetta, qui a toujours été une source d’inspiration pour ce personnage, et ce depuis sa création, plaira à de nombreux lecteurs.

Graphiquement, c’est vraiment très joli et les amateurs du duo d’artiste seront ravis de retrouver leur patte toute particulière dans cet épisode, qui est franchement réussi.

– Zeppeli

Note : 7,5/10

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Batman & Robin #37

  • Scénario : Peter J. Tomasi – Dessins : Patrick Gleason – Colorisation: John Kalisz

Batman vs Darkseid, c’est parti. Et heureusement, Batman n’est pas un grobill et ne gagne pas avec la force physique. Son équipe de Robins s’échappe avec lui avec des petites vannes bien placées. Et Bruce tente tout et peut-être trop pour sauver son fils.

En tout cas, le résultat est là, devant la stupeur de leurs proches très bien mis en images. Le dessin, il faut aimer le style qui n’est pas dans mes artistes préférés (sauf son Nightwing qui ôte son masque dans Batman and Nightwing) mais il vise juste, ses visages sont très expressifs et l’action fluide. Il met bien en image le scénario, les personnages et le décors.

On peut dire qu’on en a pour notre argent si on a aimé les épisodes et le run des auteurs jusque là, et bien ils ne nous mentent pas quant au contenu. Il n’y a plus qu’à attendre les répercutions le mois prochain.

– James Edge Grayson

Note : 8,5/10

Voici la conclusion de cet arc appelé « Robin Rises » chez nos amis d’outre Atlantique. Un titre qui parle de lui même et ne laisse que peu de suspens quand à la conclusion… Mais quelle conclusion !

Alors qu’il avait un peu renoué avec son coté obscur et bourrin (genre plutôt Arkham War) pour les premiers épisodes sur Apokolips, Tomasi semble revenir vers plus de sensibilité avec ce numéro (genre plutôt Batman & Robin avec Robin). Certes l’action y est omniprésente (on assiste quand même à un duel entre Batman affublé de son HellBat et Darkseid), mais ce n’est pas dénué d’intelligence, puisque la conclusion est une ruse. Une ruse qui ramène d’ailleurs à la mort de Bruce Wayne et au run de Notre Maître Vénéré Grant « Five Star » Morisson. Plutôt des bonnes références donc.. Et que dire de la conclusion !

Gleason semble suivre le même chemin que son acolyte en retrouvant tout le talent dont il a fait preuve au début du run sur le titre. Fini les visages charcutés des sidekicks d’emprunt de Batman, voici du Gleason en pleine forme et ça fait super plaisir. A croire que la mort de Damian leur avait un peu coupé l’herbe sous le pied et l’inspiration. Mais elle est de retour sur ce numéro et c’est comme retrouver des vieux amis (enfin j’imagine étant donné que je n’en ai pas) après une longue séparation. C’est énorme !

Un numéro d’anthologie, d’ores et déjà culte pour certains (demandez à Harley), qui se doit d’être lu !

– Darthfry

Note : 10/10

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Batgirl #38

  • Scénario : Cameron Stewart, Brandon FletcherDessins : Babs Tarr, Cameron Stewart – Colorisation: Maris Wicks

Je n’avais pas été déçu par l’épisode précédent et je trouve celui-ci un cran au-dessus. Barbara est ici confrontée à des critiques de sa vie de Batgirl, peut-elle tout se permettre pour sa justice? Et au passage, une critique des célébrités de réseaux sociaux dont elle fait désormais partie.

On suit son amourette grandissante qui malgré que cela se passe bien, présente des signes étranges jusqu’au bout. En parallèle, on suit ses « études » qui, bien qu’apparent sans grande importance, saura se montrer pertinent. Toutefois, j’ai un peu de mal à suivre le fonctionnement de sa « thèse » et le sien. Elle attend quoi? Même si ça va prendre du temps, et bien remets-y toi, ça va pas revenir comme par magie.

Au dessin, ça ne change pas. Si comme moi on aime jusque là, on continuera d’aimer.On peut remarquer que la dessinatrice tente d’insister sur le « style » des personnages, le côté « mode » du quartier se fait bien ressentir. D’ailleurs, pour en revenir aux robes ultra courtes/moulantes de l’épisode précédent, elles sont, dans cet épisode, sur une rockstar provocatrice (Elle est connue, surprise!) et une bimbo écervelée. J’en reviens que soit ça ne collait pas précédemment, soit l’artiste a une étrange image des filles qui s’amusent en soirée.

On est quand même proche d’un Gossip Girl super héroïque qui nous fait nous demander quel âge a Barbara. Dinah lui en fait même la remarque.

– James Edge Grayson

Note : 8/10

Ce run de Batgirl est très polarisant, autant le run précédent était presque unanimement décrié, celui-ci est soit adoré soit méprisé. Sachez que je fais partie de ceux qui sont très enthousiastes et aiment beaucoup cette nouvelle vision de l’héroïne. Cet épisode sert à introduire un nouvel arc, et semble être un moment de transition pour la série.

Cameron Stewart nous propose une histoire simple qui sent un peu le déjà vu, Barbara débute une relation avec son nouveau petit-ami, qui est flic, et celui-ci n’apprécie pas Batgirl. Parallèlement à cela, notre héroïne est en conflit avec son amie Dinah Lance, mieux connue sous le nom de Black Canary. L’auteur sait cependant rendre son récit intéressant, puisque celui-ci est parfaitement ancré dans son époque, et il faut bien avouer que tout cela sonne vrai. La protagoniste se comporte bien comme une jeune femme de son âge, et le fun qui se dégage de cette lecture est totalement palpable.

Le dessin de Babs Tarr renforce cette ambiance si particulière et donne un ton très “girly” à l’ensemble, ce qui est, pour moi, un véritable point fort. Le cliffhanger donne envie de lire la suite, même s’il faut avouer que tout cela ressemble beaucoup à l’intrigue du premier arc, mais attendons de voir…

– Zeppeli

Note : 6,5/10

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Grayson Annual #1

  • Scénario : Tim Seeley, Tom King – Dessins : Stephen Mooney Colorisation: Jeromy Cox

Ce numéro n’est que surprises. D’abord, absence de mon dessinateur mais en plus, c’est vraiment bon. On suit un dénommé Rock, un bavard aux yeux bleus qui vraissemblablement veut se faire un nom dans la mafia Irlandaise.

On est à la fois dans un polar et à la fois dans un film d’espionnage. J’ai accroché, par les dialogues et par les dessins qui collent tellement à l’ambiance. Je ne nie pas qu’en feuilletant la toute première fois, j’ai de suite soulevé le lièvre, mais n’est-ce pas volontaire tant par les dialogues que par les dessins? Par exemple, Dick apparaît pour la première fois un peu comme un pantin, comme il était posé dans le décor. Et ce Rock… regardez-le, écoutez-le.

Stephen Mooney s’en sort tellement mieux ici que sur Future’s End où il avait des hauts et beaucoup de bas. J’ai l’impression même qu’il s’améliore plus il travaille. L’ambiance pluvieuse de son pays natal se ressent. Il semble se régaler à nous montrer sa terre et c’est même en partie pour lui que les auteurs ont choisi l’Irlande comme terrain de jeu, oui, j’ai vérifié. Mooney fait des références au travail de Mikel Janin sur ses représentations de Dick ou d’Helena comme sur des dessins ou croquis de l’espagnol. Allez voir sur son site, et comparez. Alors oui, ces 40 pages sont un stand alone quelque peu classique pour la série depuis qu’elle a débuté tout en racontant rapidement les origines d’Helena, qui reste belle malgré un long séjour dans un coffre. Mais on se plait à la lire jusqu’au bout, à deviner aussi, et découvrir la fin pour ensuite relire du début en sachant le dénouement.

– James Edge Grayson

Note : 8/10

L’histoire de cet annual est simple mais efficace. Nous rencontrons un personnage nommé Rock, fabriquant de bombes de son état, alors qu’il a capturé Helena Bertinelli et compte bien encaisser la récompense promise par un certain St. Francis. Le tout se déroule en Irlande.

Seeley et King nous livrent un script franchement réussi, plein de suspens, rempli de dialogues très efficaces et reposant sur un plot twist franchement bien pensé, même s’il reste facile à deviner, ce qui est le principal point faible de ce numéro. La lecture de cet annual est totalement fluide et l’on apprécie particulièrement l’ambiance très “film d’espionnage” de l’ensemble, ainsi que l’effort des auteurs pour rendre l’Irlande presque palpable à travers les pages de ce comic-book.

Les dessins de Stephen Mooney sont eux aussi très réussis et rendent justice au titre, bien que l’on puisse regretter l’absence de Mikel Janin, qui nous livre d’ailleurs une bien belle couverture.

– Zeppeli

Note : 8/10

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11 Commentaires
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Mouetteman
8 années il y a

Le meilleur Batman Saga depuis quelques temps !

Tim Drake4
Tim Drake4
8 années il y a

Cet acharnement sur les Scott chez DC Planet. Après Scott Lobdell,le clash de Scott Snyder. LOL!

zeppeli
8 années il y a
Répondre à  darthfry

Et moi c’est l’inverse, j’ai été beaucoup plus gentil avec lui que je ne le suis habituellement (depuis Death of the Family).

kiol
kiol
8 années il y a

D’habitude j’adore Scott Snyder (même le début de cet arc était pour moi excellent) mais là je trouve qu’il dénature le Joker. Je ne suis pas contre une réinvention des personnages mais là non…juste non. Heureusement les 4 autres épisodes du magazine sont excellents.

Gotham
Gotham
8 années il y a

Mouetteman a resumé exactement ce que je pense de ce numéro. Une lecture passionnante et à défaut de ne plus avoir Manapul et Buccellato sur Flash je me régale sur Detective comics.

kriskent
kriskent
8 années il y a

CE batman saga serait excellent sans les deux series purges que sont devenu la nouvelle batgirl girly pour ado et detective comics des deux auteurs qui ont massacré flash..a part ses deux series j ai adoré et pris du plaisir a lire les autres.

BlueWarth
BlueWarth
8 années il y a
Répondre à  kriskent

je vois pas batgril comme une « purge », mais bon je ne suis pas grand chose pour juger. Seulement j’y trouve un côté frais et finalement bien plus critique que ne laisse le supposer au premier abord la série. J’ai du mal avec le fait de lire que c’est « girly », ça veut dire que le reste du catalogue (en général) DC c’est simplement destiné aux poilus sans cervelle avides de gros muscles? Ce n’est pas la série du siècle, et je pense pas que ça en a la prétention, mais ça a le mérite de vouloir proposer autre chose que ce que l’on peut retrouver habituellement. Beaucoup trouve ça « cliché » mais nos super-héros ne le sont-ils pas eux même?

Pour la série Detective Comics, je ne suis pas non plus un grand fan des deux auteurs, ni de leur passage sur Flash. mais là j’aime bien.

Jibé
Jibé
8 années il y a

Batman & Robin #37 est très probablement LE numéro des New 52 que j’ai le plus apprécié. Cet arc tout simplement épique se conclut d’une manière émouvante. Lu et relu.

Concernant la série Batman, j’ai de plus en plus l’impression de lire du Morrison au rabais. Snyder cherche à donner à son récit une dimension mythologique, mais ça ne prend vraiment pas… Je trouve que Zeppeli résume parfaitement bien la chose : heureusement que les magnifiques dessins de Capullo aident à rendre le tout supportable.

Rien à redire sur Batgirl. Pour l’instant c’est toujours aussi rafraichissant !

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