Review VF – Batman Saga #39

crtitique batman saga 39
Review VF - Batman Saga #39 13
Les points positifs :
  •  Endgame semble enfin faire l’unanimité !
  • Un numéro assez homogène.
Les points négatifs :
  • Batgirl continue de diviser !
  • Et Grayson aussi malgré le fanboyisme de notre nouveau reviewer !

Un programme assez classique dans le Batman Saga de ce mois-ci, le dernier avant les vacances, ouais ! Donc la suite du très controversé Endgame dans Batman #37, La reprise en mains de Detective Comics par Manapul et Buccellato, Batman continue de distribuer des bourres pifs à Apokolips dans Batman & Robin, Batgirl (il faut vraiment que je parle de Batgirl ?) fait des trucs de fille (remarquez la cover qui pique les yeux) et Grayson montre ses abdos… Tout ça pour 5 euros 60 dans tous les bons kiosques.

Numéro précédent : Batman Saga #38 La suite dans : Batman Saga #40

Batman #37

  • Scénario : Scott Snyder – Dessins : Greg Capullo – Colorisation: Fco Plasciencia

Cet épisode de Batman donne des frissons. On est véritablement entré dans un comics d’horreur. On s’enfonce encore plus dans le plan infernal du Joker. L’ambiance quand Gordon regarde les photos, moi j’étais dans un film d’horreur comme je les aime. Mais est-ce vraiment le Joker ? Qui est-il ? Est-il ne serait-ce qu’humain ? Il a un visage ? Comment l’a-t-il récupéré ? Pas regreffé puisqu’il est greffé sur sa « fille ». Autant de mystères qui rendent l’épisode à la fois bon et décevant. Certains me diront que c’est pour faire monter la pression, d’accord, mais un os à ronger de temps à autre, un bout d’indice, c’est bien aussi. Le back-up n’aidant pas. Parce que le back up laisse en suspens les mêmes questions. Pas beaucoup de réponses. Je croyais que ça servait à ça un back-up. Car elle tourne toujours autour de la même chose : le Joker est surnaturel. À croire que c’est vrai, mais j’ai l’habitude du Joker alors le croire, c’est pas dans mes habitudes.

Capullo signe un beau numéro tout en détails. Sauf dans l’hôpital où je me suis retrouvé un peu perdu. Dans quelle pièce est-on ? D’où sort cette vitre ? D’où sort ce cinéma ?

Les deux auteurs veulent tellement en faire que, je pense, ils s’oublient. Dommage.

Par contre, le back-up tranche énormément visuellement. C’est même moche malgré une volonté de faire glauque et ancien. Personnellement, aucun intérêt du back-up.

– James Edge Grayson

Note : 7,5/10

Les numéros centraux de l’arc Endgame sont à garder comme ceux qui auront permis à cet arc de s’élever en qualité, par rapport aux précédents travaux de Scott Snyder sur le Chevalier Noir. Celui-ci ne déroge pas à la règle, en empruntant aux genres de l’horreur des techniques d’écritures et une manière de poser une ambiance qui font leur effet, quoi qu’on puisse déjà se douter de ce qui suivra l’ambition (en mousse) de repenser le Joker selon les codes du genre horrifique.

Dommage, le scénariste continue de verser dans l’auto-parodie par instants, en saccageant son propre cliffhanger du précédent numéro où en ne parvenant pas à rendre intéressante son Bat-crew, alimenté par une Pennyworth Jr aux frontières du personnage typique de série policière lambda, et le même mépris pour la caractérisation qui l’a conduit à faire de Bruce Wayne un neuneu rentre-dedans et obstiné, parfois jusqu’aux limites du raisonnable.

Ça ne dure que quelques pages, et le numéro est dans l’ensemble assez bien dessiné pour porter l’ambiance du scénario, on apprécie et on attend de voir si oui ou non, la fin sera à la hauteur des enjeux (spoiler alert ? Vous y tenez vraiment ?)

– Corentin

Note : 7/10

batman-37-variante resize


Detective Comics #37

  • Scénario : Francis Manapul, Brian Buccellato – Dessins : Francis Manapul – Colorisation Brian Buccellato

  Ah, le duo Buccellato/Manapul qui m’a fait aimer Flash New 52. L’univers de Batman étant différent, j’ai eu peur. Mais finalement, je le lis sans me poser de question et les yeux grands ouverts.

Ce duo fonctionne partout, Manapul dessine à la perfection et les couleurs de Buccellato accompagnent à merveille et rendent un aspect polar d’enfer. Le scénario part sur une enquête avec l’ « élite » du GCPD, Harvey Bullock. Mais d’abord, les auteurs lancent pour la première fois, dans les New 52, Anarky (personnage vu dans le jeu vidéo Arkham Origins). Et justement, Bullock enquête sur un symbole anarchique. Ni une,ni deux pour le lecteur. Entre temps, Batman met des mandales à un autre de ses ennemis classiques. Le dessin rappelle un style à l’européenne. Le découpage des cases est impeccable et les postures et les angles de vue sont dignes de screenplay de cinéma.

On peut tout particulièrement apprécier, dans cet épisode, de suivre des enquêteurs du GCPD au premier rang, tout en ayant Batman qui suit dans l’ombre. De plus, au milieu, Alfred tente de faire sortir Bruce de la noirceur de Batman, comme à son habitude.
On en redemande.

– James Edge Grayson

Note : 8/10

Début d’un nouvel arc pour Manapul et Buccellato, qui reviennent après un premier récit, Icarus, qui avait su convaincre. Cette fois aussi, le duo joue la carte du polar, tout en donnant une dimension un peu plus épique à leur histoire, puisqu’elle met en scène les activités terroristes d’un certain Anarky, dans une version revue et corrigée pour l’univers des “New 52”.

C’est plutôt bien écrit et l’on se plaît à suivre cette intrigue, qui voit la ville être menacée par ce nouvel ennemi, tout en suivant le travail de certains policiers du GCPD, dont un Harvey Bullock particulièrement bien écrit. Le duo s’est clairement approprié le titre et nous propose un run qui doit probablement être le meilleur depuis septembre 2011 (ce qui n’est malheureusement pas bien difficile, je sais…).

Graphiquement, c’est vraiment très joli, et l’on appréciera particulièrement la scène d’ouverture, qui confronte notre héros au Chapelier Fou, qui nous propose de bien jolies planches. Le duo d’artistes nous livre une prestation de haute volée, et l’on ne peut être qu’admiratif de leur travail. L’on saluera aussi l’efficacité du cliffhanger, qui, a défaut d’être original, s’avère être spectaculaire et donne envie de lire la suite.

– Zeppeli

Note : 7,5/10

Detective-Comics-Cv37-combo resize


Batman & Robin #36

  • Scénario : Peter J. Tomasi – Dessins : Patrick Gleason – Colorisation: John Kalisz

Encore loin des habitudes terre-à-terre de Gotham City, Batman & Robin #36 reprend après un trente-cinquième numéro plus paresseux, où Patrick Gleason donnait le minimum et où le scénario s’accordait un léger sur place.

Le dessinateur retrouve son inspiration, et livre quelques pages magnifiques, où le Hell-Bat déploie de grandes ailes chaotiques dans le ciel rouge d’Apokolips, et où un Bruce Wayne très borderline fracasse les mâchoires des colosses de Jack Kirby, dans une caractérisation aux frontières de la fanfic. Donner des pouvoirs au Batman, pour un scénariste, c’est comme donner à un enfant une épée en plastique. Il va tout casser, ok, mais ! De son point de vue, ce sera super marrant.

Loin de la grandeur biblique de Kirby, ce Batman & Robin sonne comme un gros défouloir, où un Bruce lassé de son impuissance casse des gueules dix fois plus haut que lui sur les échelles de puissance, pour un résultat bipolaire, à la fois loin de ce qu’on apprécie généralement chez ce héros, et pourtant assez jouissif au vu des résultats rencontrés. Le cliffhanger annonce de ce côté là un ultime pic de n’importe quoi et de violence désabusée (comme un bon shonen).

Pendant qu’il y est, on attend plus que Batman se sente vraiment pousser des ailes et parte en coller une à Dieu. Je sais que vous aussi, vous ne rêvez que de ça.

– Corentin

Note : 8,5/10

Que l’on soit clairs, cet arc ne saura que diviser les lecteurs, mais je suis de ceux qui apprécient ce petit mélange du Bat-verse et de l’univers des New Gods, en fier fanboy de Jack Kirby. Alors quand on nous propose de lire les aventures de Batman sur Apokolips, revêtant sa belle armure Hellbat pour affronter la petite famille de Darkseid, je suis client.

L’on retrouve ici les différents Robins (ainsi que Batgirl, portant fièrement le R pour l’occasion, et Cyborg qui vient là, parce qu’il nous faut un téléporteur, vous savez) venus aider leur mentor à ramener Damian à la vie. C’est totalement over the top, et l’on a surtout droit à des scènes de baston totalement brainless, qui sauront plaire aux amateurs du genre.

Voir Batman mettre des claques à Kalibak, ça n’a pas de prix… Fort heureusement, ce script de haute qualité (je trolle un peu, mais ça fait beaucoup de bien ce concentré d’action) est servi par un graphisme réussi, qui rend justice aux personnages et aux machines imaginés par Kirby. Ce n’est peut-être pas du grand comic-book, mais le numéro se révèle être assez divertissant et franchement, le cliffhanger annonce un combat très attendu, qui saura marquer les esprits.

– Zeppeli

Note : 7/10

Batman-Robin-36-cover resize


Batgirl #37

  • Scénario : Cameron Stewart, Brandon FletcherDessins : Babs Tarr, Cameron Stewart – Colorisation: Maris Wicks

Pour moi, Batgirl de Burnside c’est presque un reboot de Batgirl tant le fossé entre avant et maintenant est grand. Elle n’a plus cette rancœur, cette noirceur. Alors oui, le passé la touche toujours, mais elle a su aller de l’avant. Et pour moi, c’est plus proche de Barbara.

Dans cet épisode, qui fait suite au précédent, on continue de la plonger dans les réseaux sociaux. Barbara est jeune, elle va avec son temps. Mais pas que. Car Batgirl, à Burnside, elle est aimée. À se demander si Burnside n’est pas un quartier isolé du reste de Gotham pour ne la découvrir que maintenant. L’intrigue nous lance à la poursuite d’un ennemi qui semble intéressant jusqu’à ce qu’il dérape. Lui donnant une allure de méchant de Batman assez classique et donc totalement siphonné. Heureusement, à la fin, il y a la révélation d’un complot plus grand.

Aux dessins, rien à redire, le style colle bien. J’ai un peu de mal avec la phase « en soirée » qui sexualise Barbara alors que son costume de Batgirl a été désexualisé (pas de spandex moulant).

Je trouve cette série fraîche, Batgirl est celle que j’attendais.

– James Edge Grayson

Note : 8/10

Première déception pour le relaunch de la série Batgirl, avec un numéro en demi-teinte qui peine par un adversaire mal écrit et un abus de too much dans le féminin, même pour ceux qui étaient déjà conquis.

Après avoir suivi le déménagement de Batgirl dans un monde nouveau où les jeunes ne vivent que par réseaux sociaux interposés et événementiel hype de quartier, on retrouve ici Batgirl et ses copines dans un train de vie trop emprunté aux séries pour adolescentes, sans le second degré où le côté assumé qui faisait jusqu’ici la réussite du titre. Le méchant est bâclé, la petite conclusion manque de véritable sens, et on s’étonne de ne même pas apprécier la partie graphique, où le rendu “paillette” dessert les crayonnés d’habitude irréprochables de Babs Tarr, ajoutés à un récit qui manque d’imaginaire ou de constance par rapport à la promesse de la série – un coup dessin animé, un coup série teenager peu réfléchie.

En somme, ce n’est qu’un numéro, et on attendra les prochains pour relever le niveau, et où on retrouvera un Cameron Stewart faire sa propre auto-critique, puisque les défauts parsemés ça et là font partie d’un ensemble (détendez vous) et de ce premier arc éparpillé en épisodes décousus.

– Corentin

Note : 5/10

Batgirl_Vol_4_37_Textless resize


Grayson #4

  • Scénario : Tim Seeley, Tom King – Dessins : Mikel Janin Colorisation: Jeromy Cox

Grayson #5 est l’un des comics qui prouvent que le dessin fait partie de la narration. Cet épisode alterne entre des phases de dialogues, souvent à sens unique, et ce qu’on appelle le « nuff said ». À savoir, que du dessin et aucun texte. Et, pas d’abdos, cette fois-ci, mais des pectoraux.

Les planches de Mikel Janìn sont magnifiques et les couleurs mettent carrément dans l’ambiance. Il fait chaud ! (parce que c’est en plein désert)

Certains pourraient dire que l’intrigue principale n’avance pas beaucoup, ils ne font qu’aller chercher un autre organe. En effet, les auteurs s’intéressent surtout à Dick. Dick et sa force : son grand cœur et son optimisme. Mais en même temps, le titre s’appelle Grayson, alors on s’y attend un peu. Et on en a pour notre argent, auteurs et dessinateur nous le peignent parfaitement bien. Néanmoins, Midnighter cherche à voler la vedette et dit la phrase qui résume : «Mais ce désert se fiche que tu sois solide.»

On sent que les auteurs veulent nous montrer qu’ils connaissent Grayson et que c’est la phase 1 qui se termine après trois autres numéros qui concluent bien les intrigues lancées depuis le #1.

Petit défaut de l’épisode, pour les novices, qui montre que les auteurs sont des fans de longues dates, une anecdote racontée par Dick qui fait référence à un ancien numéro de Batman (Robin Dies At Dawn, 1963) auquel le titre de l’épisode fait hommage. Et donc, pour ceux qui ne connaissent pas, l’anecdote tombe à plat. Maintenant, vous savez.

Et bon sang, les dessins de Mikel Janìn, quoi !

– James Edge Grayson

Note : 9/10

Ce numéro de Grayson est clairement ennuyeux. Franchement, le scénario tient sur un timbre poste et ce n’est malheureusement pas Midnighter qui vient sauver la donne. Ici, on a droit à une traversée du désert assez ratée, qui sert plus ou moins d’introspection au personnage principal. Dans l’idée, ça peut donner quelque chose de bien. Cependant, l’exécution est maladroite et l’on s’embourbe dans les clichés…

Pourquoi nous proposer cette réflexion pseudo-philosophique plutôt que de développer l’intrigue principale (qui pour le moment, n’est pas totalement exposée, rappelons-le…) ? Pour être franc, je n’ai pas trouvé l’épisode entièrement mauvais, les dialogues entre Dick et Midnighter étant plutôt efficaces et quelques idées sont plutôt intéressantes, mais il est évident que la série est assez peu adaptée au format single, la lecture doit être plus agréable en album relié.

Dommage que nous n’en apprenions toujours aussi peu sur l’organisation Spyral. Et bon, je vous l’avoue, la référence à Robin Dies At Dawn m’a clairement empêché de détester viscéralement l’épisode, tant j’aime le Silver Age. Graphiquement, Mikel Janin s’en tire toujours aussi bien, son travail est une valeur sûre, et son efficacité rend le storytelling particulièrement efficace.

Une fois de plus, la série Grayson ne parvient pas réellement à convaincre, mais fait preuve de bonnes intentions, ce qui est déjà un bon début. Fort heureusement, la suite saura relever le niveau.

– Zeppeli

Note : 6/10

4252008-0+grson_cv5_ds resize

En passant par les liens affiliés BDfugue/FNAC/autres présents sur le site, DCPlanet.fr reçoit une faible commission. Qu’importe le montant de votre panier, vous nous aidez ainsi gratuitement à payer l’hébergement, modules, et autres investissements pour ce projet.

darthfry

darthfry

DC Comics : L'Encyclopédie (mise à jour et augmentée) / Edition augmentée

DC Comics : L'Encyclopédie (mise à jour et augmentée) / Edition augmentée

amazon
Voir l'offre
Patientez... Nous cherchons le prix de ce produit sur d'autres sites

À lire aussi

Shazam : La Rage des Dieux [DVD]

Shazam : La Rage des Dieux [DVD]

amazon
Voir l'offre
Patientez... Nous cherchons le prix de ce produit sur d'autres sites

Rejoignez la discussion

S’abonner
Notification pour
guest
9 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
Nonin
Nonin
8 années il y a

Bonjour, je voudrais savoir si d’autres membres ont du mal à trouver les kiosques urban de ce mois-ci, car chez moi en Ardèche impossible de mettre la mains sur un des trois kiosques Urban qui sont sorti vendredi.

kiol
kiol
8 années il y a
Répondre à  Nonin

Tu n’est pas le seul. J’ai réussi à trouver Batman saga et JL saga (avec un jour de retard) mais pas moyen de trouver un Superman saga. Mais je ne pense pas que ça ait qqch à voir avec la région : je suis en Champagne Ardennes et j’ai le même problème.

kriskent
kriskent
8 années il y a

salut Nonin,moi pour le moment j ai juste trouvé ce batman saga aucune trace de superman et justice league pour le moment en kiosque(en lorraine)…
bref batman de capullo ca dechire c’est geniale,grayson j ai bien apprécié ce mois ci et batman et robin ca va meme si batman tout puissant c’est lourd a la fin…
batgirl lol je lis plu ses histoires pour ado et detective comics j y arrive pas car manapul ses dessins me repousse.

Jibé
Jibé
8 années il y a

Je l’ai trouvé ce matin même sans difficulté, ainsi que Justice League Saga (peut-être y a-t-il eu des retards de livraison ?), et j’ai aussitôt attaqué Batman & Robin. Je trouve vraiment dommage que le titre s’arrête. Je n’ai pas encore lu les chroniques VO post-convergence, mais j’espère que la relève sera à la hauteur. C’est vraiment cette série qui, pour moi, porte actuellement le magazine ; beaucoup plus que Batman qui malheureusement part un peu en cacahuète depuis Le Deuil de la famille.

Vakarian
Vakarian
8 années il y a

Encore un numéro de Batman qui montre une psychologie de Gordon assez poussée mais qui par la suite, à partir de Batman 41 en VO, va changée radicalement. Un des grands mystères de Snyder.

KryptonWayne
KryptonWayne
8 années il y a

Encore un super mag dans l’ensemble pour ma part, j’ai trouvé que cette troisième partie de End Game était très intéressante et graphiquement réussi.
Quand au point noir, Batgirl prend une direction vraiment trop « girly » mais je pense que c’est pas plus mal qu’avant que cette nouvelle cette nouvelle équipe scénaristique n’interviennent pour « sauver » notre pauvre Barbara.
Au fait bonjour à tous je suis nouveau sur ce site :)

BlueWarth
BlueWarth
8 années il y a

Je comprends que Batgirl puisse diviser, perso j’adore, c’est frais, sans prise de tête et finalement assez moderne. Bizarrement on est en plein dans le trip des séries comme Arrow et autre Flash made in AB production (j’aime toujours la placer celle là) que je n’ai pas du tout aimé, et là j’aime bien :) marrant, comme quoi…
Par contre dans la review je n’ai pas compris le sens de « un abus de too much dans le féminin » ;)

:)

DC Universe FRA

Rejoignez la première et la plus grande communauté non officielle DC Comics Francophone et participez aux discussions Comics, Films, Séries TV, Jeux Vidéos de l’Univers DC sur notre Forum et serveur Discord.

superman
9
0
Rejoignez la discussion!x