Review Express VO – Semaine #183

Le Coup de Cœur de la semaine

  • Green Lantern #40
Le Top de la semaine

  • Justice League 3000 #15
Le Flop de la semaine

  • Hinterkind #16

Bonjour à toutes et tous et bienvenue dans ce nouveau numéro des Review Express VO. Mais les ReVo, qu’est-ce que c’est ? Hé bien, c’est très simple : c’est comme une review vf, mais en vo, et en moins long, genre format express. Vous avez saisi ? Alors on peut passer à la suite, merci. Comme chaque semaine, des membres dévoués du staff de DC Planet se sont dévoués pour braver leur peur de l’anglais et s’attaquer aux différentes sorties VertigoBeyond the New 52 et New 52 de DC Comics. Ca en fait un paquet de sorties, dites donc !

Au programme de la semaine tout d’abord, nous saluerons le départ vers un monde meilleur de la série Swamp Thing avec son 40ème numéro critiqué par les soins de l’ami Corentin par ici. Fin de publication également pour Aquaman and the Others mais là on s’en cogne un peu plus… On notera également un « dernier » numéro pour Justice League 3000 (qui a apparemment beaucoup plu) et le dernier numéro de la #TeamKreisberg sur Green Arrow ! Autrement, il y a du très bon comme du moins bon, et je vous invite comme d’habitude à venir nous parler de vos lectures de la semaine dans les commentaires. Puisqu’au fond, en ce début de week-end, avons-nous vraiment quelque chose de mieux à faire que de parler comics ? (protip : non)


VERTIGO

 

HINTERKIND #16

HINTERKIND #16 review

Scénario : Ian Edginton Dessins : Francesco Trifogli

Ah Hinterkind. Une belle couverture (oh joie) et puis une première page toute caca (et prout). Mais (oh joie bis) on a droit à du mieux sur certaines cases, peut-être car il s’agit de la reine. Mais bon, on est bientôt à la fin, il faut s’accrocher. L’histoire nous conduit à une période de guerre d’un côté et de rassemblement de l’autre. Mais franchement, si au final tout le monde s’en sort bien, ça m’agacerait. J’ai envie par avance de dire tout ça pour ça. Un monde ravagé, des guerres, des massacres, et puis s’il suffit de juste un dragon pour tout calmer, non merci. J’espère que ça ira bien plus loin que ça. Je ne sais pas comment expliquer pourquoi ça me tape autant sur les nerfs mais ce titre me rend folle. On a droit à un ascenseur chaque mois. Des fois c’est bon, des fois c’est plat. Ce numéro, même si le plan final prend forme, reste assez plat, et n’est pas vraiment aidé côté planches, malgré quelques cases agréables ; attention, je n’ai pas dit planches mais bien cases.

Bon voilà, c’était Hinterkind, Harley a lu, elle a pas aimé, elle commence même à parler à la troisième personne, c’était peut-être le numéro de trop, mais en tout cas, il va falloir s’en occuper et vite. Le temps qu’Harley aille mieux, on sera peut-être à la fin.

– Harley

Note : 3/10

THE NAMES #7

review THE NAMES #7

Scénario : Peter Milligan Dessins : Leandro Hernandez

Abordons à présent ce qui s’apparente comme la première partie du dernier chapitre de cette mini-série (qui devait faire 8 numéros, puis en fait 12, mais finalement que 9 : que se passe-t-il ?). Le numéro se veut bien plus bavard et riche en révélations même si de l’autre côté les rebondissements sont encore légion et qu’on ne reste toujours pas au bout de nos surprises. On se rappelle un peu à cette organisation, The Names, et leur rapport à la finance, leur combat contre ces mystérieuses Dark Loops, et plus que Kathia, toujours aussi intrépide et rentre-dedans, c’est le personnage de Philip qui en devient de plus en plus attachant (certainement mon côté autiste qui veut ça). Ambiance noire bien évidemment, avec un ton adulte, cru et violent comme on peut les aimer dans une production destinée à ce type de public ; dialogues taillés au couteau ; et la patte, donc, de Leandro Hernandez qui se marie très bien à l’histoire de Milligan. On aura connu des moments plus forts dans la série, mais la qualité est toujours présente, et à un haut niveau.

– ArnoKikoo

Note : 7/10

WOLF MOON #4

review WOLF MOON #4

Scénario : Cullen Bunn Dessins : Jeremy Haun

L’histoire de cette grosse bête à poils continue et ce mois-ci le numéro est en deux parties principales plus une petite à la fin. D’un côté on a droit à deux chasseurs aux motivations et aux actes bien différents avec un gros méchant loup au milieu. Cascade d’hémoglobine, violence et balles perdues sont au programme. Puis Cullen Bunn nous entraine dans une partie un peu plus calme mais tout aussi intéressante. Dillon ne sera plus seul pour chasser le monstre et ça donne un nouveau tournant à l’histoire ; il y a peut-être un peu plus d’émotions qui se joindront au combat, une nouvelle violence à laquelle il faudra faire face. Puis la petite fin qui nous donne une petite tape dans le dos genre “vous m’avez pas oublié hein ?”. Je reste toujours intéressée par ce titre qui est graphiquement et psychologiquement bon et agressif. Et puis ce loup est tellement beau qu’on a envie d’aller se lover dans sa fourrure, jusqu’aux scènes de démembrement, là d’un coup, vaut mieux être ailleurs. Et puis bon, avouons le, avoir des intestins coincés dans la gueule c’est pas hyper sexy non plus.

– Harley

Note : 8/10


BEYOND THE NEW 52

 

ARROW SEASON 2.5 #14

review ARROW SEASON 2.5 #14

Scénario : Marc Guggenheim Dessins : Joe Bennett, Szymon Kudranski

On remonte la pente, un peu, car Marc Guggenheim a compris qu’il ne fallait pas simplement reprendre la recette des épisodes de la série tv Arrow et la transposer sur papier, avec peut être des FX plus hardus parce qu’on peut se le permettre. Non, là on essaie d’ajouter du background au vilain de la série, qui en manquait cruellement, il y a ce côté « gang de vilains » un peu à la Rogues qui est assez sympathique, l’implication de Roy Harper avec Lyla également. Et on joue avec les personnages disponibles pour proposer toujours un peu plus d’extravagance, dans certaines limites néanmoins. Mais si cet arc est de toute façon trop long, au moins, l’intérêt a été relancé. Et le back-up va peut-être amener la première vraie dose d’histoire cross-média pour Arrow, je suis vraiment curieux de voir comment cela sera utilisé !

– ArnoKikoo

Note : 7/10

BATMAN ’66 #55

review BATMAN '66 #55

Scénario : Jeff Parker Dessins : Sandy Jarrell

Nous retrouvons cette semaine Batman au japon, accompagné de Batgirl. Ce nouveau Dynamic-duo est confronté à Lord Deathman et à ses sbires ninja, rien que ça. Le numéro repose sur cette simple idée et l’intrigue n’est pas réellement complexe. Cependant, c’est diablement efficace et le cadre choisi est intéressant. On se retrouve dans une ambiance proche de celle du Batmanga de Jiro Kuwata et les fans de cette version du chevalier noir (s’ils existent) seront ravis. L’affrontement est bien rythmé et le numéro est très plaisant à lire, il parvient à concilier l’ambiance nippone et le ton habituel de la série Batman ‘66, ce qui est plus que satisfaisant. La partie graphique est très solide et rend justice aux personnages, qui sont très bien représentés et ont droit à de bien belles scènes d’action. Comme toujours, ce titre demeure l’un des plus solides de la gamme digital first.

– Zeppeli

Note : 8/10

BATMAN : ARKHAM KNIGHT #2

review BATMAN : ARKHAM KNIGHT #2

Scénario : Peter J. Tomasi Dessins : Viktor Bogdanovic, Art Thibert

Ce numéro ressemble bien plus à ce que je m’attendais du titre que le précédent. A savoir, développer l’univers de la trilogie Arkham en y instaurant de véritables moments de l’histoire du jeu, jouer avec ces éléments et apporter de quoi surprendre le lecteur – tout en se disant que ceci ne devrait pas trop en dire sur l’intrigue du jeu à venir en juin. L’influence de l’univers des jeux Rocksteady se sent, et on voit aussi la maîtrise des dialogues par Tomasi, qui se fait en vérité le scénariste d’une longue cinématique de prologue à Batman : Arkham Knight. On reconnaît les designs des personnages des jeux et si certains éléments portent encore à confusion (comme l’apparence de la Batmobile utilisée), on se doute bien que de gros changements sont à venir pour bientôt. Un point qui aura particulièrement retenu mon attention est l’utilisation faite de Bruce Wayne, qui est bien vue tant le personnage est tout de même en retrait dans les jeux.

– ArnoKikoo

Note : 8/10

BATMAN : THE JIRO KUWATA BATMANGA #35

review BATMAN : THE JIRO KUWATA BATMANGA #35

Scénario : Jiro Kuwata Dessins : Jiro Kuwata

Nouvel arc de la série Batmanga Cette semaine, le dynamic duo découvrira un monstre très semblable à celui du Loch Ness dans la presse et tentera de savoir si cette créature est réelle ou pas. C’est le début d’une histoire en cinq parties qui démarre assez lentement, nos héros vont rencontrer une jeune fille qui les mènera jusqu’à Gore Bay, l’endroit où vit le monstre que l’on peut voir en couverture. Le récit démarre lentement et le numéro est simplement composé d’une simple introduction. C’est toutefois toujours aussi efficace, bien que l’histoire me semble ici très prévisible. Jiro Kuwata saura t-il nous surprendre ? Je n’en sais rien, mais je l’espère. Toujours est-il que la lecture de ce numéro reste agréable, en raison du rythme que le mangaka sait donner à ce titre, et cet épisode peut servir de jumping-point aux nouveaux venus, qui devraient s’y essayer.

– Zeppeli

Note : 6,5/10

FABLES : THE WOLF AMONG US #13

review FABLES : THE WOLF AMONG US #13

Scénario : Dave Justus, Matthew Sturges Dessins : Travis Moore

Après le numéro de la semaine dernière, la série The Wolf Among Us prend un nouveau tournant. En effet, Snow White a été assassinée ! Sa tête a été découverte sur le parvis de Fabletown et Bigby est sous le choc. Il va se retrouver en fâcheuse position, arrêté par la police, avant qu’Ichabod Crane, le maire de la communauté de Fabletown, ne le fasse libérer. L’enquête n’avance pas dans ce numéro, qui est surtout l’occasion de nous livrer une introspection du protagoniste, ainsi qu’un flashback de bonne facture qui permet de développer un peu plus l’univers de la série principale, qui est riche et passionnant. Le titre se permet d’être de plus en plus différent du jeu dont il est tiré et c’est une bonne chose. Il est indispensable pour tout fan de Fables qui se respecte de s’essayer à cette série digital first qui reste de bonne facture et rend justice au titre dont il est le spin-off.

– Zeppeli

Note : 7/10

INJUSTICE : GODS AMONG US YEAR THREE #23

review INJUSTICE : GODS AMONG US YEAR THREE #23

Scénario : Brian Buccellato Dessins : Bruno Redondo

Le chapitre Injustice de cette semaine confirme la petite remontée que l’on a pu constater la semaine dernière. Rien n’est pour autant joué puisque nous ne sommes pas à l’abri de la rechute. Dans ce numéro ce sont toutes les cartes qui se redistribuent et qui changent totalement le rapport des puissances en présence. La bande de Superman ne peut rien faire seule et la bande de Batman non plus. Il va donc falloir trouver un terrain d’entente et travailler ensemble pour sauver ce qui peut l’être sinon il ne restera tout simplement plus rien d’intéressant qui vaille la peine de se battre. On constate que Constantine est un peu comme Batman puisqu’il a un plan qu’il joue avec 5 tours d’avance, sauf que manque de bol, il n’avait pas tout prévu en fait. La présence au même endroit de certains personnages aurait pu/dû donner lieu à des petits règlements de compte très colorés mais Buccellato préfère se concentrer sur la menace qui plane au-dessus de la tête de ses personnages. Ça change le rythme et surtout ça casse un peu avec tous ces chapitres de batailles inutiles. Un peu d’air ça fait du bien !

– Nathko

Note : 6,5/10

SENSATION COMICS FEATURING WONDER WOMAN #27

review SENSATION COMICS FEATURING WONDER WOMAN #27

Scénario : Cecil Castellucci Dessins : Chris Sprouse

Cette semaine Wonder Woman doit faire face à une Lois tétue mais grâce à qui elle trouvera la solution pour exterminer les espèces de dinosaures qui se multiplient à une vitesse exponentielle dans les rues. Oui, se prendre un pot de fleur sur la tête ça peut faire des ravages. Lois Lane gagne le respect de Wonder Woman, et franchement, c’est très agréable à voir et à lire. Elle sait reconnaître une égale quand elle en rencontre une. Comme quoi tout est possible, il faut juste prouver sa valeur.

C’est beau, l’écriture est fluide, ces quelques pages se dévorent comme un oréo. Tu t’en rends compte qu’une fois fini, et tu trouves ça bien trop peu. J’aurais aimé retrouver plus de scènes entre les deux, voire même pourquoi pas une mini-série sur ce duo improbable, oui franchement, ça ce serait mortel  !

– Harley

Note : 7,5/10


NEW 52

AQUAMAN AND THE OTHERS #11 – Dernier numéro

review AQUAMAN AND THE OTHERS #11

Scénario : Dan Jurgens Dessins : Lan Medina, Allen Martinez

Conclusion de la série Aquaman and the Others. Enfin. Le titre aura vraiment été une grande déception pour moi et ce numéro ne fait pas exception à la règle. On a droit à un affrontement peu inspiré entre les gentils et les méchants et la baston fera rage jusqu’à la dernière page. Les héros vont-ils réussir à arrêter le missile envoyé par KGBeast ? Qui croit franchement qu’ils peuvent échouer ? L’épisode n’est pas du tout inspiré et on enchaîne les clichés stupides, c’est assez décevant de la part de Dan Jurgens qui est capable de bien mieux que ça. De même, on ne parvient pas à s’attacher à l’équipe des Others, qui sera restée totalement inutile tout au long de cette épopée qui semble tirée des pires comics des années 80… Encore un comic-book qui avait du potentiel, mais qui n’aura été au final qu’un pétard mouillé…

– Zeppeli

Note : 3,5/10

BATMAN ETERNAL #48

review BATMAN ETERNAL #48

Scénario : Scott Snyder, James Tynion IV, Ray Fawkes, Kyle Higgins et Tim Seeley Dessins : Fernando Blanco

Si l’on peut au moins avouer que le schéma de ce numéro se veut un brin différent de ceux des dernières semaines, l’intrigue n’arrive toujours pas réellement à décoller. Ce qui devient véritablement fâcheux pour cette dernière ligne droite, alors que ça fait une vingtaine de numéro qu’on tourne vraiment en rond. On se reconcentre ici sur des petits couteaux de l’intrigue, avec GordonSpoiler ou encore Vicky Vale pendant que le gros de la Bat-Family doit faire avec les manigances d’Hush. C’est bien beau, mais les seconds couteaux devraient être mis de côté parce qu’il y a un côté assez artificiel à relancer des intrigues avec ces personnages dont on avait plus entendu parler, à quelques numéros de la fin. Comme s’il fallait diluer la résolution de l’intrigue finale par faute de place à occuper. Pour le reste, c’est de la baston, et on suppose que Julia Pennyworth et Batman vont réussir à reprendre un peu la situation en main ; mais je me répète : on est toujours pas plus avancés. Aux niveaux des dessins, Fernando Blanco maîtrise les personnages, malgré certaines idées de design douteux (Bane dans une armure ? Really ?) et son découpage assure une bonne dynamique. C’est joli, dommage que le reste manque de profondeur.

– ArnoKikoo

Note : 6/10

DETECTIVE COMICS #40

review DETECTIVE COMICS #40

Scénario : Brian Buccellato Dessins : Francis Manapul

Voilà, l’épisode Anarky s’achève, on éteint sa télé et on revient la semaine prochaine pour de nouvelles aventures. C’est ainsi que pourraient se conclure les arcs de Detective Comics, une série de qualité (à tous les niveaux) mais qui manque d’enjeux et de rouages réels à apporter à l’immense mécanique des titres Batman pour marquer par autre chose que sa qualité. Je m’explique : ici, nous sommes sur une fin d’arc. Pourtant, mis à part la mise en place d’un vilain que l’on pourra éventuellement revoir dans l’avenir (plutôt secondaire, en somme), on ne change pas le statu quo, on n’ouvre pas de portes sur l’arc suivant, on ne fait rien, en fait, qui place cet arc quelque part sur l’échiquier DC. C’est une bonne série, par de bons auteurs, et un dessin excellent. C’est la série policière que les fans du Batman détective attendent – pas celui en cyber-suit qui casse des mâchoires ou réinvente la continuité à chaque numéro. C’est Detective Comics, et c’est vraiment très bien. Mais ce n’est rien d’autre que “vraiment très bien”, et là où Batman & Robin pèse son poids, où les péripéties de Snyder/Capullo ont leur rôle à jouer (pour quelques uns) et où la bat-family vit ses aventures dans son coin, ce Batman là passe presque pour un hors-série anthologique. Un Batman hors-continuité, qui ne se préoccupe pas des New 52, de crises ou de conséquences, juste d’écrire de bonnes enquêtes numéro après numéro, et d’apporter au lecteur ce qu’il est en droit d’attendre quand il donne ses sous au gars barbu et obèse (parlons cliché) qui tient le comic shop local. Et en même temps, vous me direz : c’est déjà bien, non  ?

– Corentin

Note : 8,5/10

EARTH 2 #32

review EARTH 2 #32

Scénario : Daniel H. Wilson, Marguerite Bennett Dessins : Andy Smith et autres

Suite directe de Earth 2 : World’s End #22 disponible cette semaine également, Earth 2 #32 reprend enfin son ancienne formule, ou plutôt celle qu’a adoptée sa petite sœur. Tout comme elle, Earth 2 #32 reprend exactement les mêmes éléments. Normal vous me direz puisque c’est la suite. Eh bien oui, c’est aussi simple que cela. Nos personnages sont au bout de ce qu’ils ont et pourtant il faut qu’ils donnent encore, toujours plus. Ils ont échoué tant de fois et pourtant, l’espoir est là et il mérite que l’on se batte pour lui, même s’il est infime. Ce qui est fou, c’est que cette mécanique de narration poussant au jusqu’au boutisme est très loin d’être originale mais démontre que lorsque c’est bien fait, finalement les ficelles importent peu et il n’y a plus que les personnages et les évènements que l’histoire nous conte qui sont importants. Et si précédemment l’espoir n’était qu’une lointaine petite lueur, elle devient ici un peu plus palpable. Ce qui est dommage c’est qu’on nous ressort le coup que je qualifierais du « coup de l’Étoile Noire ». Mais ce numéro se concentre un peu plus sur Khalid et sa relation avec la brunette aux ailes d’ange et nous dévoile comment elle est justement entrée en possession de ces dernières. Une relation simple et complexe à la fois, qui donne au récit un peu le temps de reprendre son souffle et de laisser le lecteur ralentir, le temps de quelques pages. C’est un peu une relation à trois, parce qu’il ne faut pas oublier Nabu qui cherche aussi de son côté. J’ai un peu plus de mal avec lui car après ce qui lui est arrivé sur Apokolips, je n’arrive pas à comprendre ses dernières phrases qui donnent l’impression qu’il n’a rien appris. Nous verrons bien. En tout cas, vite, la suite !

– Nathko

Note : 7/10

EARTH 2 : WORLD’S END #22

review EARTH 2 : WORLD'S END #22

Scénario : Daniel H. Wilson, Marguerite Bennett et Mike Johnson Dessins : Eddy Barrows et autres

Je ne le dirai jamais assez, mais j’aime vraiment cette série. Avec ce numéro #22 on sent bien que la fin est proche et que toutes les dernières forces de l’humanité sont jetées dans la bataille contre Apokolips. Tous ceux qui sont en mesure de faire quelque chose pour le cause de la Terre, le font proportionnellement à leurs moyens. On a alors l’équipe terrestre qui s’occupe des parties impliquant les humains et méta-humains de seconde zone et les autres qui se battent dans l’espace ou sur des plans de réalités parallèles. On sent vraiment toute cette détresse des protagonistes qui donnent tout ce qu’ils ont, et pourtant il y a toujours cette espèce de lueur d’espoir, qu’à la toute fin ils vont parvenir à protéger les leurs chez eux. Sauf que rien n’est moins sûr et que malgré tous ces efforts, il est probable que tout cela se termine mal. D’autant plus que l’on sait déjà ce qui arrive après ces évènements. Personnellement je pense même qu’en réalité, nous n’irons pas jusqu’à la victoire de Darkseid et Apokolips car ce sera interrompu par Convergence, qui viendra gêner et compliquer les affaires de tout ce beau monde. La partie avec Green Lantern est sûrement ma préférée puisque j’ai toujours aimé ces personnages qui portent le monde sur leurs épaules et vont même jusqu’au sacrifice ultime tandis que même la partie avec Grayson m’a intéressé. En plus on ne peut pas cracher du côté des dessins qui font toujours un travail de bonne facture. Pour de l’hebdomadaire, c’est exemplaire.

– Nathko

Note : 8,5/10

GRAYSON #8

review GRAYSON #8

Scénario : Tim Seeley, Tom King Dessins : Mikel Janin, Jeremy Cox

Oh ! Là ! Un tournant majeur pour l’intrigue ! C’est rare comme un Leveinard. Ce mois-ci, Grayson, super-héros à la retraite reconverti en agent secret et prof de sport honoraire, doit affronter l’homme qui l’a attiré dans les maillons de l’organisation Spyral : Minos ! Alors que l’homme sans visage entend dévoiler les secrets de Spyral aux yeux du monde et boîter les agents en mission au passage, Dick s’interpose et bastone (un peu), dans ce qui s’apparente à une intrigue facile et cousue de fil blanc, s’il n’y avait pas les dernières pages du numéro. Comme d’habitude, l’écriture de Tom King est juste, efficace et brillante, dans un récit qui va à l’essentiel et ajoute ça et là quelques dialogues bien sentis. Mention spéciale aux groupies de l’agent secret, petites nanas attachantes et clin d’oeil aux nombreuses lectrices à attendre le prochain plan shirtless de l’ex-Boy Wonder. Après quelques numéros un peu stagnants, le récit file vers un nouveau statu quo et une nouvelle direction, que l’on espère toujours aussi réussie. Rien de spécial à ajouter sur Mikel Janin ou Jeremy Cox, qui livrent comme à l’habitude de très beaux intérieurs, parfois inventifs, toujours réussis, et emprunts d’une ambiance d’espionnage rétro du plus bel effet.

– Corentin

Note : 8,5/10

 

GREEN ARROW #40

review GREEN ARROW #40

Scénario : Andrew Kreisberg, Ben Solokowski Dessins : Daniel Sampere

Fin du mini-run d’Andrew Kreisberg sur le titre. Après 5 numéros à se chercher, c’est l’heure de l’affrontement entre le King et toute la troupe de Green ArrowKreisberg se lâche un peu n’importe comment en entrée avec un cast super-star où il se permet même une apparition furtive de Cupid, que l’auteur avait créée lors de son précédent run. Là où on peut également le remercier, c’est d’avoir ramené les personnages utilisés par Lemire, en l’occurrence Emiko et Naomi, de façon à rappeler qu’ils existent bien et que l’auteur suivant pourra les utiliser. Mais Kreisberg ne faillit pas non plus à sa tâche (ou plutôt ses lubies) en voulant intégrer certains de SES personnages pour le run suivant – on verra bien ce qu’il en sera. Reste que le déroulement se veut assez classique, mais rythmé et efficace, avec retournements de situation à la pelle et action sans grande retenue, pour un conclusion somme toute classique. Mais quand l’histoire et les dessins (Daniel Sampere qui a quand même un peu progressé depuis son premier numéro de Green Arrow) ne sont pas déplaisants, je ne vais pas aller râler juste pour le plaisir de le faire. Oui, c’était moins bien que ce qu’a fait Lemire, oui ça ne restera clairement pas inoubliable, mais pour assurer une transition de six numéros avec la prochaine équipe, je trouve que ça a tout à fait rempli le job.

– ArnoKikoo

Note : 7/10

GREEN LANTERN #40

review GREEN LANTERN #40

Scénario : Robert Venditti Dessins : Billy Tan, Mark Irwin

Ce Green Lantern #40 vous fera sûrement le même effet que lorsque vous avez lu le dernier numéro du run de Geoff Johns. Ici Venditti nous montre toute la logique du travail qu’il a fait auparavant avec Hal Jordan. Le personnage a tellement évolué depuis qu’il est sous la plume de Venditti qu’il n’en reste qu’une toute petite moelle, la plus importante, la plus visible, la plus douloureuse et surement la plus utile, son humanité. Parce qu’il a fallu des menaces cosmiques ultra puissantes pour faire de Jordan le leader du Green Lantern Corps, il ne pouvait pas le rester éternellement dans la situation actuelle. Alors l’auteur lui trouve un nouveau challenge et ce dernier implique forcément l’un de ses plus grands amis du Corps, Kilowog. Hal a un plan pour redorer le blason du Green Lantern Corps et forcément cela implique de faire des choses pas forcément très recommandables pour quelqu’un avec sa position. Mais voilà, son choix est fait et ça ne changera pas. On a alors droit à une scène crève-cœur et une somptueuse page en milieu de numéro. Une image pas parfaite techniquement mais qui veut dire tous les mots du monde pour ces deux personnages. Venditti nous emmène à nouveau dans une direction à laquelle on ne s’attendait pas vraiment. Moi qui aime les surprises, et ces histoires d’amitiés à toute épreuve, je suis conquis.

– Nathko

Note : 9/10

HARLEY QUINN #15

review HARLEY QUINN #15

Scénario : Amanda Conner, Jimmy Palmiotti Dessins : Chad Hardin

La vie d’Harley Quinn est bien compliquée dans sa petite série. Des animaux à nourrir, des innocents à sauver, un rendez-vous à rattraper, un boulot, et en plus, une amie qui s’invite à l’improviste pour une proposition assez impromptue. Mais dans l’ensemble, ça reste fun, un peu gore sur les bords, mais très sympathique. Et puis, j’aime beaucoup les actes et les paroles d’Harley Quinn. Elle mène sa vie comme elle l’entend, et se moque complètement des déchets qu’elle peut parfois laisser, mais bon, un bon coussin ça sert toujours.

Ce numéro est clairement une transition vers une nouvelle histoire qui promet des situations plus rocambolesques les unes et que les autres le numéro prochain. Mais qu’on ne se mente pas, qui ne répondrait pas à l’annonce d’Harley Quinn pour être son assistante ? Franchement, moi je me porte volontaire mais ça vous vous en doutez. Du coup cette histoire n’est pas juste présentée avec une annonce, mais au fil de l’histoire avec la présentation de plusieurs jeunes femmes que l’on retrouvera plus tard. Je pense qu’Harley Quinn #16 sera purement épique. L’un des bémols de ce numéro est la transition entre les artistes officiant sur le titre. Ce n’est pas choquant en soi, mais je n’aime pas autant les traits de John Timms que ceux de Chad Hardin.

– Harley

Note : 7/10

INFINITY MAN AND THE FOREVER PEOPLE #8

review INFINITY MAN AND THE FOREVER PEOPLE #8

Scénario : Keith Giffen, Dan Didio Dessins : Daniel HDR et autres

Difficile d’accrocher à une série lorsque celle-ci prend à peine le temps de démarrer qu’on sait déjà qu’elle doit s’arrêter. Curieux de toujours en découvrir plus sur le DC Universe et surtout sur cet aspect de l’héritage de KirbyInfinity Man and the Forever People n’aura pas réussi à prendre son envol, plombée par un tie-in à GodHead qui a cassé le rythme, ce dernier n’ayant à peine été relancé avec le dernier numéro. Ici, l’affrontement entre les Forever People et les Femmes Fatales d’Apokolips (je ne me lasserai jamais des noms donnés à ces vilains) prend une tournure assez stupéfiante, l’occasion de voir Dreamer en pleine question et de soulever des interrogations sur l’équation d’Anti-Vie. Des personnages derrière tout cela ont des motivations bien obscures, mais le « Next :  » placé en fin de numéro nous promet de nous conter les origines de l’Infinity Man. Beau programme, bien sûr, mais : et tout le reste ? On ne peut que ressentir de l’embarras quand on suppose le potentiel qui était placé sur ces personnages et cet univers, qu’on espèrera donc voir exploité peut-être un autre jour, et d’une meilleure façon. C’est d’autant plus dommage que les dessins sont plutôt jolis même si on aurait préféré que Giffen s’en occupe comme au tout début.

– ArnoKikoo

Note : 6/10

 

JUSTICE LEAGUE 3000 #15 – « Dernier » numéro

review JUSTICE LEAGUE 3000 #15

Scénario : Keith Giffen, J.M. DeMatteis Dessins : Howard Porter, Hi-Fi

Je veux juste dire, avant même de commencer la critique en tant que tel, que la couverture est juste géniale ! Bon et je vais cramer toute la critique en disant que ce numéro et peut-être le meilleur de la série jusque-là. Non seulement c’est beau à s’en taper le cul par terre mais en plus c’est absolument cool ! Les coups de crayon d’Howard Porter sont magnifiques. Il a un style que j’apprécie particulièrement et il sait tout faire. En plus de cela, on ne peut noter que son évolution au fil des numéros qui fait qu’il nous délivre un travail d’une constance rare pour le niveau de détails qu’il nous donne. Vraiment, visuellement, c’est superbe ! J’ai presque envie d’ajouter un « mais » dans cette phrase tellement il y a trop de bonne vibes alors qu’en fait il n’est pas nécessaire. Concrètement, pour Justice League 3000 #15, le ramage se rapporte au plumage et fait certainement de ce numéro le phoenix des hôtes de toutes ces pages. Superman, Batman, Wonder Woman, Flash et même les autres sont parfaitement au point dans leur rôle, sans doute plus que jamais d’ailleurs. Leurs interactions sont hilarantes et je me suis retrouvé à rire bêtement des conneries que peuvent sortir les uns les autres. En plus ça ne s’arrête presque jamais. Superman est un amour de débilité que l’on ne peut qu’aimer, Wonder Woman est une femme guerrière qui s’assume complètement et qui n’a pas peur de le montrer à tous, Batman passe limite pour le froussard de la bande tandis que Green Lantern se montre outrageusement transparent. Le duo DeMatteis et Giffen nous en dévoile un peu plus sur les relations qu’il y a pu avoir entre la Justice League et ceux qui composent l’Injustice League qui intriguent encore plus qu’avant. Plutôt que de nous faire une Justice League 3001, est-ce qu’on pourrait aussi avoir une Justice League 2042 ou je ne sais qu’elle année ? Parce que ça semble carrément sanglant comme période. Bref, tout ça pour dire que Justice League 3000 c’est de la bombe !

– Nathko

Note : 9,5/10

LOBO #6

review LOBO #6

Scénario : Cullen Bunn Dessins : Cliff Richards

Le premier arc de ce nouveau Lobo s’achève. On a droit à une rebelote sur le combat du dernier numéro entre les derniers survivants de Czarnia et Xrexia. Bon les humains ne valent pas un clou, et puis ça se pampe violemment, on a droit à des flashbacks sur la fin de Czarnia et aussi à des révélations qui m’ont, je l’avoue, fait hausser le sourcil. L’histoire prend une tournure inattendue. Et je dois vous dire que c’est plutôt intéressant comme idée, mais par contre on discerne totalement la volonté de l’auteur de se détacher de la mythologie Lobo. Exit l’ancien Lobo et son histoire, ici, la mort de Czarnia est bien plus complexe et surtout bien moins violente.

Je ne sais pas quoi vous dire. Je suis intéressée par la suite, car oui je veux savoir qui se cache derrière toute cette idée un peu folle, mais déçue aussi de voir une mythologie s’effondrer d’un coup. C’est comme si on nous disait que la Terre était détruite par un sauvage, puis plus tard qu’en fait c’est un homme bleuté qui a été pris au piège dans un plan machiavélique pour détruire la planète et pas de son plein gré. Vous avez suivi ? C’est franchement déplaisant, mais bazar de bazar, Cullen Bunn a bien piqué ma curiosité. En plus, même si c’est pas non plus le numéro du siècle, c’est agréable à regarder. Vous l’aurez compris, je n’abandonne pas encore, au contraire, je donne une nouvelle chance à l’histoire, avec même peut-être un peu plus d’intérêt. Vous imaginez ce que je dis là quand même hein ? (Mais bon, ça sent quand même l’ancien Lobo pas loin tout ça… Je dis ça comme ça… )

– Harley

Note : 6,5/10

THE NEW 52 : FUTURES END #44

review THE NEW 52 : FUTURES END #44

Scénario : Keith Giffen, Dan Jurgens, Jeff Lemire, Brian Azzarello Dessins : Patrick Zircher, Andy McDonald

De la bravoure et de l’héroïsme à n’en plus finir, voilà comment on pourrait résumer ce numéro. Face à l’attaque de l’immense Brainiac, les super-héros de tous horizons tentent de s’unir sur divers fronts pour contrer l’alien venu embarquer la ville de New-York. A l’intensité de l’action s’ajoute une vraie tension et un sentiment d’épique pour un scène dingue où l’on se dit qu’en fait, le but de Futures End, c’était juste de redonner toute sa splendeur à Superman. Les seules questions soulevées par ce numéro, mais elles n’en sont pas moindres, c’est comment on va pouvoir en arriver à la situation de Convergence d’ici la fin du mois, et on peut supposer que les auteurs nous préparent un gros retournement de situation : le calme avant la tempête, comme dirait l’autre. Aux dessins, Zircher et McDonald arrivent sans peine à nous faire vivre l’intensité de l’instant. On croit dur comme fer à ce qu’il se passe, et on ne lâche pas le numéro une fois ouvert.

– ArnoKikoo

Note : 8/10

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Herbefol
8 années il y a

-Batman Eternal. On continue d’approcher la fin, la série donne l’impression de vouloir remonter la pente après quelques numéros en demi-teinte, mais ça manque encore de quelque chose, et c’est un peu aéré par moment.
-Green Arrow. Fin de l’arc et c’est tant mieux. Ça m’ennuyait franchement par moment cette histoire, on y enfilait les clichés comme des perles, pas de vraies surprises et un dessin franchement pas bon par moment. Bref, une histoire que je vais m’empresser d’oublier. J’espère que l’archer vert aura droit à un peu mieux dans la période post-Convergence.
-Green Lantern. On enchaîne plus ou moins les one-shot mais cette fois ça semble vraiment servir de prélude à autre chose. Comme bien souvent, je trouve que Jordan fait un peu des choix à la con, mais bon, c’est ce qui fait avancer l’histoire. On verra bien dans deux mois ce qu’il advient de tout ça.
– Lobo. Fin du premier arc. Il y avait quelques éléments intéressants, mais entre les compagnons d’arme agaçants et les séquences flashback cui-cui les petits oiseaux, il y a eu tout ce qu’il fallait pour pourrir un comics qui n’en avait pas besoin. Sans parler du relookage du personnage. Bref, si ça devait ne plus revenir après Convergence, je ne peux pas dire que je m’en plaindrai.
– Grayson. Un numéro qui m’a plus emballé que les précédents, le fait qu’on voit un peu plus le dessous des choses n’y est pas pour rien.
– TN52FE. Ça continue de bouger tranquillement et ce n’est pas désagréable. Par contre, je ne vois toujours pas à quoi servent certains éléments que l’on suit depuis le début. Si proche de la fin, c’est un peu embêtant.
– Earth 2. Ainsi se termine une série qui aura vraiment connu deux époques. Une première vraiment entraînante avec de belles découvertes et une seconde où elle a été relégué au second rang, destinée à servir des interludes pour une autre série. J’espère que la future série Earth 2 saura retrouver l’esprit de la première partie.
– Justice League 3000. On reprend une bonne dose d’action, d’humour et d’engueulades entre personnages. J’espère que l’Injustice League va faire plus que jouer les menaces dans l’ombre, histoire de voir un peu en détail ce que le duo de scénaristes a fait de ces personnages. :-)
– Infinity Man and the Forever People. Je n’ai pas trouvé ce numéro terrible, d’une part c’est très prévisible dans son déroulement, d’autre part je trouve ces Femmes Fatales sans aucune consistance et leur confrontation aux New Gods sans aucune saveur. On a presque l’impression de voir des personnages se tourner autour en gesticulant mais sans jamais se frapper. Bref, ça manque sacrément de relief.
– Detective Comics. Voila un deuxième arc bouclé pour le duo Manapul-Buccellato et tout ça est bien sympathique. J’aime toujours autant le style graphique, Bullock continue de jouer les sidekick/antagonistes du chevalier noir et cette histoire avec Anarky se termine. Le pourquoi du comment est finalement bien terre à terre mais je trouve que ça colle bien avec la série. Vivement l’après Convergence, que je retrouve cette belle série. :-)
– Harley Quinn. Un peu moins de rythme dans ce numéro, mais de bons passages, comme celui de l’immeuble en feu et surtout de son évacuation. Harley est touchante par son côté redresseuse de torts. Je suis très curieux de voir comment tout ça va se goupiller dans le numéro suivant. Et mine de rien, même pour un numéro un peu moins rythmé ça n’est malgré tout pas trop aéré. :-)
– Injustice. Je n’avais pas réalisé à la fin du numéro précédent qu’un petit tour de passe-passe avait eu lieu, c’est bien amené. Sinon, ça avance doucement et il ne reste plus beaucoup de planche pour conclure cette saison, ça risque de laisser pas mal de chose dans l’annual.

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