Review VF – Green Lantern Tome 4 : Le Premier Lantern

Critique de Green Lantern Tome 4
Les points positifs :
  • Kudranski sur du Green Lantern, inattendu
  • Un vilain plus original qu’une énième armée de Lanterns
  • Sinestro mis en valeur par l’event
Les points négatifs :
  • Volthoom diminué par l’absence des tie-ins
  • Résolution bancale
  • On peine à prendre la menace au sérieux

« Tu es le nexus de cette force de volonté, Hal. » – Volthoom


  • Scénario : Geoff Johns – Dessin : Doug Mahnke, Dan Jurgens, Phil Jimenez

Ça y est ! La toute conclusion (bin quoi on dit bien la toute fin) du run de Geoff Johns sur Green Lantern débarque en librairie, achevant quatre arcs de New 52, mais bouclant également un travail acharné de près de dix ans sur un univers que le chef créatif de DC Comics aura transformé à jamais, et marqué d’events mémorables comme Blackest Night ou Sinestro Corp War. Pour ce dernier arc, Geoff Johns décide de faire émerger une nouvelle menace, avec quel succès ?

Contenu : Green Lantern (2011 – ) #17-20, Green Lantern : New Guardians (2011-2015) #19

Sinestro et Hal Jordan sont toujours bien embêtés dans le monde des morts, et comptent sur le rookie en pleine ascension au sein des Green LanternSimon Baz, pour les tirer de ce mauvais pas. Ledit Simon a tout intérêt à ne pas traîner car le Premier LanternVolthoom, est sorti de sa prison, et menace l’univers entier de sa malveillante omnipotence. Comment vont-ils quitter cette zone ténébreuse ? Comment faire pour arrêter ce dieu jadis créé par les Gardiens ? Comment sortira le Corps de cet ultime affrontement ? Toutes les réponses vous seront révélées dans cette review alors vous qui entrez dans ces lieux, abandonnez tout espoir de ne pas être spoilés.

Kudranski quand on a besoin de lui

Tout d’abord, les points positifs. Le pinceau de Szymon Kudranski est vraiment particulier, autant il s’illustre parfois dans des univers qui profitent particulièrement ces planches ultra sombres où les zones de lumière brûlent les yeux (SpawnLa Splendeur du Pingouin), autant certaines fois, on apprécie moins son style qui tranche avec aussi peu de compromis avec l’esthétique habituel des comics modernes, par exemple sur le troisième tome de la série Batman – Le Chevalier Noir il laissait une impression moins bonne, mal desservi par une colorisation vomitive. On aurait pu être plutôt sceptique à l’idée de le retrouver sur l’univers d’ordinaire si bariolé des Green Lantern. Heureusement, le résultat est vraiment réjouissant, et c’est dû à la zone particulière qui encadre l’action : la Zone Morte. En effet, Sinestro et Hal Jordan, vite rejoints par Simon Baz, traînent dans ce monde où ils retrouvent des compagnons tombés comme Tomar-Re. C’est particulièrement bien vu de mettre un artiste si habitué aux ambiances sombres et oppressantes aux commandes des scènes dans ce monde des morts, et ça apporte une variété graphique appréciable dans un Green Lantern-verse parfois tellement coloré, depuis la création des quinze autres Corps, qu’il en fatigue la rétine.

Le personnage de Volthoom est d’autre part assez bien trouvé. Sa quasi-omnipotence, qui lui permet de modifier le cours du temps à loisirs, en fait une menace théorique plutôt crédible, et il apparaît plus dangereux qu’une armée de personnages inter-changeables, comme Geoff Johns en envoyait au combat dans Sinestro Corps War et Blackest Night. Cependant Volthoom se retrouve ici diminué par l’absence des tie-ins dans lequel on le voyait davantage faire étalage de ses pouvoirs en transformant le passé des gentils en des souvenirs d’horreur. L’absence de ces tie-ins fait que l’on se concentre davantage sur Sinestro et Hal Jordan que sur le développement du méchant. Il passe moins de temps à l’écran, et sa défaite ne s’en trouve que précipitée, donnant ce goût familier de « Tout ça pour ça ? » qui apparaît parfois à la fin des histoires de Geoff Johns. Celui-ci en fait d’ailleurs presque trop pour rendre son ennemi crédible, à tel point qu’il se sent obligé de retconner la fameuse main à l’origine de l’univers qui avait été imputée à posteriori à l’Anti-Monitor pour l’attribuer ici à sa nouvelle création pour lui donner plus de prestige. Il y en aura certainement pour lui pardonner facilement cette astuce scénaristique, mais Geoff Johns a assez diminué l’aura de l’Anti-Monitor ces dernières années pour ne pas avoir à en rajouter une couche.

Volthoom dans une démesure difficile à traiter

Les pouvoirs de Volthoom semblent aussi tellement énormes, qu’ils créent un conflit de cohérence entre la certitude du lecteur que le Premier Lantern finira par être vaincu et son invulnérabilité apparente. Le moyen qu’utilise Hal Jordan pour le neutraliser laisse ainsi sceptique, surtout qu’il survient après quatre tentatives de neutralisation qui ont toutes échoué successivement. Atrocitus, grave vénèr’ comme à son habitude, décide d’aller régler son compte à Volthoom. On se dit ‘Ok, le Red Lantern s’en occupe, c’est réglé.’ Et non, ça marche pas, bah parce que Volthoom il est grave balèze. Ensuite tous les Lanterns de tous les Corps confondus unissent les pouvoirs de leurs anneaux pour faire un masta-rayon de laser de l’apocalypse projeté depuis Mogo. On se dit ‘Ok, l’union fait la force et les Lanterns vont mettre la misère à Volthoom, c’est réglé.’ Et non, ça marche pas, bah parce que Volthoom il est grave balèze. Aux grands maux, les grands moyens, Hal Jordan débarque en Black Lantern (les chaises musicales des couleurs et des personnages continuent youhou !), et est prêt à défaire une bonne fois pour toutes ce Premier Lantern. On se dit ‘Ok, le plus grand Green Lantern avec les pouvoirs de la Mort, Volthoom a aucune chance, c’est réglé.’ Et non, ça marche pas, bah parce que Volthoom il est grave balèze. Ensuite c’est Parallax qui prend possession de Sinestro mais puisque c’est Sinestro il peut contrôler Parallax. Le plus grand ennemi de Green Lantern contrôlant l’entité de la peur, on se dit ‘Cette fois, Volthoom va en pisser dans son froc. C’est réglé.’ Et non, ça marche pas, bah parce que Volthoom, il est grave balèze. Alors ensuite Hal Jordan, bientôt à court d’idées, il libère Nekron pour battre Volthoom. On se dit ‘Bon, encore une idée qui va servir à rien parce qu’on a compris, Volthoom, il est grave balèze.’ Et … surprise ! Cette fois ça marche !

Pardonnez cette énumération un peu laborieuse, mais elle retranscrit un sentiment que le lecteur aura à la lecture de ce quatrième tome : l’impression lasse que les gentils s’essaient mécaniquement à des manières de battre Volthoom, sans qu’aucune réussisse afin de montrer que Volthoom, il est vraiment dur à battre. Mais lorsque Nekron finit par vaincre effectivement Volthoom, on ne comprend pas vraiment pourquoi cette technique marche et pas une autre, et pourquoi l’apparente omnipotence de Volthoom, qui lui avait permis de balayer tous les autres assauts, ne lui permet pas de faire pareil avec NekronGeoff Johns s’acharne tellement à rendre la menace du Premier Lantern réellement nocive, que lorsqu’elle est putzée par l’intervention de Nekron, on ne peut s’empêcher de trouver que c’est un peu vite réglé vu le gabarit du vilain mis en scène.

Une fin au goût de Soleil Levant

En plus, la résolution de cet arc a un goût de réchauffé avec les travaux passés de Geoff Johns. L’entité de Parallax a déjà possédé 36 porteurs, rien de neuf dans cette idée lorsqu’elle se glisse dans Sinestro ; l’adoption par Hal Jordan du costume des Black Lanterns s’inscrit à nouveau dans cette idée de chaises musicales des couleurs qui a totalement perdu de son impact : au final que KyleGuySinestro ou un autre porte un anneau vert, blanc, jaune ou fuchsia avec des paillettes, ça change plus grand-chose à leurs capacités concrètes depuis qu’on les a vus passer de l’un à l’autre sans heurt ; quant à Nekron, à l’irruption aussi expédiée que son départ, il fait vachement moins peur que la terrible entité de la mort qu’on voyait dans Blackest Night. Outre le personnage du Premier Lantern, les seuls ingrédients franchement inédits se résument quasiment à des explications sans queue ni tête sur Hal Jordan qui serait ‘un nexus de volonté‘ et où le vœu de revoir son père serait ‘un écho de la toute première étincelle de l’existence‘. On pourra évidemment passer au-dessus de ce blabla tiré du chapeau magie de Geoff Johns parce qu’on est des gentils lecteurs de comics qui avalons ce qu’on nous sert, mais la mort du père d’Hal Jordan n’a jamais vraiment marqué le personnage comme celle des parents de Bruce ont pu marquer Batman, et c’est assez surprenant de voir cet événement tragique prendre ici une telle importance. À la longue ça fait beaucoup de trucs mal expliqués, qu’on qualifierait d’incohérences, sur lesquels on demande au lecteur de pas faire son râleur et de fermer les yeux. Typiquement, la manière dont Hal Jordan fusionne avec son soi de jeunesse afin d’expulser son côté Black Lantern rappelle ces fins de manga complètement abracadabrantes où on explique que ‘par le pouvoir de l’amour il a purgé son âme des impuretés et a fusionné avec son intérieur immaculé’ et patati et patata.

Sinestro, lui, n’en fait pas trop

À côté de cette menace qui pourra en laisser plusieurs sceptiques, les personnages mis en scène par Geoff Johns ne font pas preuve d’un charisme renversant. Simon Baz y est vachement plus discret que dans le Tome 3, qu’il portait quasiment à lui tout seul. On retient tout de même Sinestro, comme depuis le début des New 52, profite d’une attention soutenue de Geoff Johns, particulièrement visible dans le sort réservé à la planète de Korugar, mais sa mise en avant se fait au détriment de Kyle Rayner et Hal Jordan, qui, en dépit du rôle déterminant du second nommé dans la défaite du vilain, s’approchent du rôle de figurants par rapport à Sinestro, par comparaison avec le développement de celui-ci. Hélas, même Sinestro ne bénéficie pas d’un sans-faute. Sans évoquer un final qui partage plutôt bizarrement le héros entre son rôle de gentil et de méchant, mais n’entrant au fond pas tellement en conflit avec le rôle d’anti-héros qu’il s’est taillé ces dernières années, on pourra retenir une scène vraiment décevante, symptomatique de la tendance chez Geoff Johns à pousser ses personnages à se foutre sur la gueule à chaque occasion. Imaginez donc : le Premier Lantern est en train de mettre violemment le beusier dans l’univers, et Hal Jordan débarque en Black Lantern pour opérer une des cinq tentatives inutiles de le remettre à sa place. C’est là que Sinestroqui a toutes les raisons de vouloir voir Volthoom prendre cher puisque le bâtard vient de détruire Korugarvoilà donc que Sinestro devient franc fou parce qu’Hal Jordan a osé mentionner la destruction de Korugar et lui saute à la gorge ‘PremierArcDeJusticeLeagueStyle’, genre ‘On préfère se taper dessus parce que c’est plus rigolo que de taper sur le méchant’. Heureusement, Volthoom les sépare comme un préfet séparerait deux gamins bagarreurs dans une cour de récré et l’event peut enchaîner sur quelques autres tentatives inutiles de neutralisation de Volthoom. Même comportement impulsif lorsque Kyle arrive sur les ruines de Korugar juste après sa destruction et se fait attaquer par Sinestro, mais là celui-ci aurait à la limite l’excuse d’être pris à chaud juste après la tragédie. Reconnaissons que c’est tout à fait possible de fermer les yeux sur ces accès de faiblesse pour voir dans le personnage de Sinestro un des atouts du récit.

Car ce récit doit en avoir, des atouts, il suffit de voir les notes que mes confrères ont attribué à Wrath of the First Lantern lors de sa publication dans les Green Lantern Saga #18, #19, #20 et #21. Servez-vous donc de leurs avis pour nuancer le verdict tout compte fait défavorable qui vous est présenté ici. Cet event du Premier Lantern pourra cependant sans doute plaire à ceux qui avaient réussi à apprécier le reste du run de Geoff Johns, et puisque celui-ci se termine ici, risquons un avis-bilan qui tranchera avec le succès rencontré par sa refonte du Green Lantern-verse.

‘Much, too much, too much, too much, …’

Au bout de ces dix ans, un vague sentiment d’écrasement pointe, car Geoff Johns a rempli à ras-bord le Green Lantern-verse à tel point que celui-ci est plutôt confus à prendre au vol en 2015. En effet, tout le monde ne cesse de répéter qu’il faudrait commencer, dans l’idéal, par le début du run de Geoff Johns pour bien apprécier l’univers actuel, c’est-à-dire remonter dix ans dans le passé, même s’il reste possible d’apprendre sur le tas en se jetant dans les New 52. En comparaison, l’univers de Batman, qui n’a pas non plus été rebooté, peut-être apprécié absolument sans problème en commençant directement par La Cour des Hiboux, ou Zero Year, ou au début de n’importe quel arc sans que celui-ci implique des dizaines de concepts, en général assez creux, introduits des années auparavant. Ce Green Lantern-verse se trouve maintenant tellement gonflé qu’il s’apprête à s’écraser sur lui-même, en témoignent les annulations à venir.

Certains pourraient espérer d’ailleurs, au risque de subir l’opprobre général, que ces annulations en série seront l’occasion de dissoudre carrément les quarante corps créés sous l’ère Geoff Johns. Pourquoi ? Non seulement ça serait vachement moins contraignant pour les scénaristes et leur donnerait plus de liberté pour pondre des histoires directes et efficaces, mais depuis le début chacun de ces nouveaux corps diminue l’impact du premier, celui des Green Lanterns, comme il diminue l’aura de ses membres. Ainsi, Star Sapphire, qui désignait un vilain bien précis du Green Lantern-verse à la relation particulière avec Hal Jordan, s’assimile à tout un corps de personnages à la personnalité nécessairement similaire puisqu’ils sont ralliés sous le même corps, ce qui réduit l’individualité de Carol Ferris. Ce n’est pas pour rien probablement que les créateurs de la série Brave and the Bold ont choisi d’ignorer totalement cet ajout à la mythologie lorsqu’ils créèrent un épisode centré sur le personnage de Star Sapphire. Autre problème des corps de ‘méchants’, c’est que malgré les concepts différents qui reposent derrière (la Mort pour les noirs, la Peur pour les jaunes, la Rage pour les rouges), tous les membres lambdas de ces corps ont la même personnalité de méchants bad-ass sanguinaires, difficile de dire les différences au niveau de la caractérisation qui différencient un Arkillo, d’un Deathstorm de Blackest Night ou d’un Atrocitus. Tous sont des méchants vulgaires, susceptibles au possible, qui suggéreraient que Geoff Johns ne sait que décrire deux types de vilains : les méchants débiles et vraiment méchants, et les anti-héros qu’il s’amuse à envoyer aléatoirement tantôt d’un côté de la morale, tantôt de l’autre, comme il l’a fait avec Black AdamSinestroLuthor, etc, croyant, par cette alternance dosée au pif, faire preuve de subtilité dans son écriture.

J’ai également le sentiment que Geoff Johns gère régulièrement ses menaces de la même manière, tentant dans un premier temps de les rendre les plus terribles possibles, en faisant échouer successivement les manières de les contrer, pour dans un second temps faire réussir une de ces manières avec une explication qui implique un maximum de nouveaux concepts flous, en laissant un ou deux changements de statu quo mécaniques afin qu’on ne se dise pas que tout ça ait servi à rien – ici il s’agit de la destruction de Korugar et du meurtre des Gardiens. On retrouvait scrupuleusement les mêmes mécanismes dans Blackest Night, un event auquel on pourra également reprocher une ampleur forcée qui traîne jusqu’à sa résolution qui ne survient que ben, parce qu’au bout d’un moment il faut bien la boucler, cette nuit la plus noire. Au final, certes les histoires de Geoff Johns situées dans le Green Lantern-verse ne sont complètement dénuées d’intérêt. Mais on troquerait quasiment un résumé textuel plutôt que d’avoir à parcourir des centaines de pages d’action présentes pour les quotas, bourrées de dialogues pas toujours très malins,  et où trop de personnages partagent par groupes la même personnalité interchangeable.

Wrath of the First Lantern est un event correct, certainement pas dénué de qualités, que quelques tie-ins omis ici auraient rendues encore plus nombreuses, mais qui exigeront du lecteur de fermer les yeux sur les faiblesses de l’arc pour pouvoir les apprécier. Dans cette idée, si dix ans de Green Lantern-verse vous ont goinfré de sympathie pour Geoff Johns et son travail, dans la continuité de celui-ci cet ultime arc ne vous posera sans doute aucun problème, en attestent les échos positifs rencontrés sur le net. Mais il convaincra difficilement quelqu’un qui ne serait pas acquis d’office à la cause de Geoff Johns et de ses porteurs d’anneau. Ceux-ci, s’ils regrettaient, en vieux réac’ toujours de mauvais poil, les premiers arcs de Geoff Johns qui évitaient à bon escient la démesure dans laquelle il se complaisait dès Sinestro Corps War, ne pourront que soupirer en attendant l’après-après-Geoff Johns, qui laisserait espérer un retour au calme pour cet univers parfois trop bruyant, trop coloré.

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12 Commentaires
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Leonidas
9 années il y a

Je trouve vraiment dommage qu’ils aient pas inclu les tie-ins, elles devaient être une des seules raisons pour lesquelles j’ai apprécié l’event.

Arnonaud
9 années il y a
Répondre à  Leonidas

Mais les tie-in étaient horribles ! C’était toujours le même schéma qui se répétait… J’avais trouvé ça d’un chiant lors de la lecture de l’event dans les GL Saga… Je suis étonné de voir que certains ont appréciés (mais tant mieux, hein, j’ai sûrement dû passer à côté d’un truc, où c’était pas mon style d’histoire, j’en sais rien).
J’avais plutôt apprécié la partie qui se déroulait dans Green Lantern à l’époque. Il faudrait que je le relise sans les tie-in pour voir ce que ça donne.

Leonidas
9 années il y a
Répondre à  Arnonaud

Certes celles sur Red Lantern sont inintéressantes, et celles centrées sur Carol Ferris sont aussi assez lourde, mais celles sur Green Lantern Corps et certaines de New Guardians valent la peine car elles permettent de mieux découvrir le Premier Lantern notamment, notamment. Personnellement j’aime beaucoup les passages avec le Premier Lantern, et ce sont à ces passages-là auxquels je pense.

noaneo
Invité
noaneo
9 années il y a
Répondre à  Leonidas

Bonjour,
Pardon mais c’est quoi les tie-ins ?

Julien
Administrateur
9 années il y a
Répondre à  noaneo

Salut, n’hésite pas à te référer à notre Lexique que tu trouves dans le menu « Database », tu y trouveras la définition d’un tie-in : http://www.dcplanet.fr/lexique/#t

cedricibiz
cedricibiz
9 années il y a

Le tome es t’il vraiment le dernier Tbt ?

Toran93
Toran93
9 années il y a
Répondre à  cedricibiz

Il est indiqué comme étant le dernier tome d une série complète en 4. On risque de as avoir la suite en librairie avant un petit bout de temps

Busta flip
Busta flip
9 années il y a
Répondre à  TheRiddler

Je pense qu’Urban sortira la suite en librairie mais que les crossovers comme ce qu’ils sont en train de faire avec Green Lantern saga, je ne pense pas qu’ils sortiront les épisodes intermédiaires.

BenJ BT
BenJ BT
9 années il y a
Répondre à  Busta flip

Ils pourraient aussi publier la suite au cours d’un mini relaunch comme il a été annoncé pour Swamp Thing? Ce serait vraiment con de la part d’Urban de ne pas publier la suite de la série principale autour de Green Lantern pour ceux qui ont choisi de ne pas acheter les kiosques dès le départ au profit du format librairie.

LZ167
LZ167
8 années il y a

Ca monte décrescendo du 1, 2,3 pour voir à la fin du 4ème volume, que tout s’arrête, s’équilibre par un tour de passe-passe…en deux pages seulement par un happy-end… un père meurt, un fils arrive…
Hal fait sortir de sa niche Nekron pour détruire Wolthom, en une page… un peu court, dommage.

Le premier Lantern est…le père de Hal, non? La boucle est bouclée.

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