Review Express VO – Semaine #171

Review Express VO
Le Coup de Cœur de la semaine

  • Batman ’66 #49
Le Top de la semaine

  • Justice League United #7
Le Flop de la semaine

  • Fables : TWAU #1

Bonjour à toutes et tous et bienvenue dans ce nouveau rendez-vous de la géniale Rubrique des Review Express VO qui est encore plus populaire que les calendriers à photos de bébé phoques pour les ménagères de cinquante ans (sondage réalisé par l’IPSOS sur un échantillon représentatif de ma maman). Parce que retrouver chaque semaine les avis constructifs (bien entendu) et détaillés (toujours) sur les sorties VertigoBeyond the New 52 et New 52 de DC Comics, c’est quand même bien plus agréable que ces saloperies de bestioles à poils, non ? Si. C’est bien ce que je disais.

Du coup cette semaine était assez calme, et s’il y a eu une quantité de lectures de qualité, mes chers rédacteurs n’ont pas estimé devoir faire une review détaillée pour un numéro en particulier (« on garde tout pour les REVO Arno, t’façon elle déchire cette rubrique » qu’ils m’ont dit). Du côté Beyond nous avons eu droit à deux nouveaux titres lancés (enfin, plutôt un nouveau et un qui a fait son retour) et chez les New 52, la belle Harley Quinn a (encore) eu droit à un numéro spécial rien que pour elle. J’vous le dis, dans le DC Universe y en a qui doivent commencer à être jaloux…

Pour le reste, n’hésitez pas à partager vos avis et critiques concernant vos lectures de la semaine dans les commentaires, c’est pas parce que c’est bientôt les vacances qu’il faut s’arrêter de lire, bien au contraire ! Bonnes lectures et vive les comics !


VERTIGO

 

ASTRO CITY #18

review ASTRO CITY #18

Scénario : Kurt Busiek Dessins : Brent Anderson

Kurt Busiek nous offre un Astro City sans surprise cette semaine. Sans surprise certes, mais toujours agréable à lire. Le problème c’est que l’auteur utilise souvent la même formule. On découvre donc une super-héroïne vieillissante et on plonge dans son passé à grands coups de flashbacks. En résulte un épisode plutôt mélancolique grâce à une narration maitrisée qui offre en plus une jolie réflexion, comme souvent dans la série, sur le temps qui passe et sur la notion d’héritage. Le talent d’écriture de Busiek permet à l’ensemble de tenir largement la route même si ceux qui suivent la série régulièrement auront peut-être l’impression de le voir se répéter au fil des numéros. Puisqu’on parle de talent, il ne faut pas ignorer Brent Anderson qui livre encore une copie quasi-parfaite de son côté. Rétro sans jamais paraitre daté, son style est fait pour ce genre d’histoires. Jamais dans l’esbroufe, il met son art au service du récit en apportant une unité remarquable à l’ensemble. La qualité est donc encore au rendez-vous pour la série et même s’il est vrai que le titre peut paraitre répétitif par moment, il fait toujours bon de parcourir les rues d’Astro City.

– n00dle

Note : 8/10

COFFIN HILL #14

review COFFIN HILL #14

Scénario : Caitlin Kittredge Dessins : Ryan Kelly

Fini pour le moment l’histoire qui a lieu de nos jours avec Eve Coffin. Mais on ne s’éloigne pas trop puisqu’on est toujours dans la famille des sorcières de Coffin Hill, seulement, en 1970. Une bande de jeunes meurtriers s’adonne à toute sorte de sévices macabres jusqu’à leur dernier arrêt. Une maison de sorcière à Coffin Hill. Autant vous dire qu’ici tel est pris qui croyait prendre. On a l’impression d’avoir droit à un film d’horreur mais dans des cases. C’est violent, sanglant, sordide. J’ai beaucoup aimé ce numéro qui tient du slasher, avec des cases maléfiques par moment, et le tout avec une ambiance qui reste quand même douce. On sent bien la patte de Caitlin Kittredge à l’écriture car même si les personnages sont différents ont reste avec l’ambiance de Coffin Hill. Aux planches on a plus droit à Inaki Miranda mais à Ryan Kelly qui au fond à un style qui se rapproche de l’artiste régulier. Pour ne pas trop trancher on retrouve Eva de la Cruz aux couleurs. Donc même si on change de personnages et d’époque, on n’est pas réellement dépaysé et c’est génial.

– Harley

Note : 8/10

FBP : FEDERAL BUREAU OF PHYSICS #16

review FBP : FEDERAL BUREAU OF PHYSICS #16

Scénario : Simon Oliver Dessins : Alberto Ponticelli

Nouvel arc pour la série FBP et on peut dire que ça démarre fort ! L’agent Adam se retrouve enfin nez à nez à Blackwood et nous allons suivre une longue discussion entre les deux personnages qui sera riche en révélations, concernant les personnages, concernant l’univers – et son sort même ! Avec un projet complètement fou que Blackwood et qui fait du type un personnage qu’on ne sait pas trop comment aborder. Puis le cliffhanger. Simple, mais super joli. Il faut reconnaître à Alberto Ponticelli un véritable travail d’artiste sur ses planches, pétant toujours des superbes couleurs de Rico Renzi, et nous propose de superbes fresques, bourrées d’idées pour mettre en images toutes les choses bizarres de la Physique qui dépassent notre imagination. On plonge dedans et on a plus envie d’en ressortir !

– ArnoKikoo

Note : 8/10


BEYOND THE NEW 52

 

BATMAN ’66 #49

review BATMAN '66 #49

Scénario : Jeff Parker Dessins : Richard Case

Tout d’abord, je tiens à saluer la longévité du titre. Qui aurait cru qu’en 2014 qu’on continue à s’intéresser à la version télévisée de Batman, où Adam West tenait le rôle éponyme ? C’est une bonne surprise, et je suis très content que cette série dérivée connaisse le succès, tant elle est capable de nous livrer des épisodes plaisants. Cette semaine, nous avons droit à un numéro un peu différent, entièrement consacré à Batgirl, qui était incarnée par la charmante Yvonne Craig à l’écran. Nous retrouvons donc Barbara Gordon dans son job de libraire, et elle sera rapidement confrontée au Bookworm dont elle devra contrecarrer le plan machiavélique. Tout y est, on a de l’humour, de l’action et des répliques gentiment désuettes qui fusent. Jeff Parker signe une fois de plus un script parfait, adapté à l’ambiance si particulière de cette version du Bat-verse qui saura, comme toujours, apporter un peu de fraîcheur et de lumière à Gotham City. Les dessins de Richard Case sont très réussis, dans un style cartoony mais efficace et soigné, et je ne saurais que vous recommander ce numéro, qui se lit facilement comme un one-shot.

– Zeppeli

Note : 9/10

 

BATMAN : THE JIRO KUWATA BATMANGA #23

review BATMAN : THE JIRO KUWATA BATMANGA #23

Scénario : Jiro Kuwata Dessins : Jiro Kuwata

Vous savez à quel point j’aime les conclusions dans cette série. Cette semaine, c’est Clayface qui aura droit à sa confrontation finale avec Batman. Le vilain tente de tromper le monde en volant l’identité d’autres individus avant de disparaître mais notre héros le suit à la trace et compte bien le mettre derrière les barreaux. Nous avons donc droit à quelques scènes qui nous montrent la panique de Clayface, puis au combat final. Comme d’habitude, le dynamic duo a tout prévu et l’affrontement sera rapide et efficace, grâce à un plan tiré par les cheveux, tout droit sorti du silver age. On appréciera si l’on n’est pas réfractaire au style “rétro” de ce Batmanga. Le scénario n’est pas bien original, mais Jiro Kuwata fait le job en nous livrant un final assez efficace. Graphiquement, le travail du mangaka est toujours irréprochable, si l’on remet les choses dans leur contexte. L’arc, dans son intégralité, mérite d’être lu, bien que cette conclusion aurait gagné à être un peu plus originale, tant le début était étonnant.

– Zeppeli

Note : 6,5/10

 

INFINITE CRISIS : FIGHT FOR THE MULTIVERSE #28

review INFINITE CRISIS : FIGHT FOR THE MULTIVERSE #28

Scénario : Dan Abnett Dessins : Angel Hernandez

Ca fait trois semaines de suite et je crois donc pouvoir le dire, ce n’est plus un calvaire de lire Infinite Crisis ! Ce n’est pas non plus le sommet de la semaine mais on ne peut pas tout avoir. Dan Abnett balance donc un épisode bourré d’action mais contrairement aux anciens numéros de ce genre, les séquences de fights sont le résultat d’une évolution du scénario et des personnages. Il ne s’agit plus de rencontres quasi-aléatoires juste pour remplir des pages. C’est parfois maladroit, encore et toujours au niveau des dialogues, mais au moins les réactions des personnages principaux ne sont plus à côté de la plaque comme ça a été le cas précédemment. On sent donc l’auteur un peu plus concerné par son sujet et comme par hasard ça se ressent dans la narration.  Légère déception au niveau des dessins par contre. Angel Hernandez livre des planches plutôt jolies à première vue mais qui manquent de sensation de mouvement. En conséquence, l’action est parfois moins lisible à cause du manque de fluidité dans l’enchainement des cases. Je n’espérais rien du retour de la série et pourtant Infinite Crisis : Fight For The Multiverse a maintenant mon attention. Reste à savoir si ça peut durer.

– n00dle

Note : 6,5/10

INJUSTICE : GODS AMONG US YEAR THREE #11

review INJUSTICE : GODS AMONG US YEAR THREE #11

Scénario : Tom Taylor Dessins : Bruno Redondo

Même sauce que toutes les semaines, mêmes répétitions que toutes les semaines. Constantine, Batman et toute la troupe qui va avec cherchent toujours le moyen de défaire Superman de sa position et restaurer la liberté sur Terre. Cette fois-ci c’est à travers la prophétie cryptée de Madame Xanadu que l’insurrection essaye de comprendre ce qu’il va se passer et ce qu’ils sont censés faire pour aboutir à leur plan. Le Spectre est toujours au milieu d’une intrigue concernant son identité et les choses s’enveniment encore plus lorsque le Phantom Stranger décide de s’en mêler. Les dialogues sont bien écrits et les interactions entre les personnages et de groupes sont intéressantes puisque les différentes personnalités permettent des situations sympathiques. Bruno Redondo est le chargé de mission artistique et là aussi, c’est toujours aussi agréable à regarder. En deux mots comme en cent, c’est toujours aussi cool !

– Nathko

Note : 7,5/10

LEGENDS OF THE DARK KNIGHT #80

review LEGENDS OF THE DARK KNIGHT #80

Scénario : Ron Marz Dessins : Cully Hamner

C’est la reprise un peu inattendue pour cette série numérique, avec un nouvel arc en trois parties qui prend ses inspirations dans le personnage d’Edgard Allan Poe et de ses récits pour proposer un nouveau vilain à Batman. On y suit le Chevalier Noir dans une enquête assez classique où les indices sont vite rassemblés ensemble, et outre le vilain un peu atypique, c’est surtout dans ce qu’il annonce avoir réussi à faire qu’il intrigue le lecteur, qui voudra connaître la suite de l’histoire. Même si forcément, on s’attend à un pétard mouillé, mais nous pourrions être surpris. Aux dessins, Cully Hamner nous propose quelque chose de très brut, un dessin très affirmé qui, allié à une utilisation de couleurs très vives, propose une ambiance crépusculaire qui sied très bien à l’histoire. Un re-démarrage ma foi sympathique.

– ArnoKikoo

Note : 7/10

 

FABLES : THE WOLF AMONG US #1

review FABLES : THE WOLF AMONG US #1

Scénario : Dave Justus, Matthew Sturges Dessins : Stephen Shadowski

Adapter une adaptation… Bon ça s’est déjà vu pour le meilleur et pour le pire. Ainsi l’excellent jeu de Telltale Games The Wolf Among Us, scénarisé par Pierre Shorette, se voit adapté en comics. C’est avec grande difficulté que je peux faire une review de ce titre. En effet il s’avère nécessaire de parler du jeu tout d’abord. Il s’agit d’un point and click avec une histoire dont on est acteur avec des choix précis à faire. Tout cela sur fond d’une intrigue et d’une enquête fort intéressante. Ici dans le comics on reprend exactement la trame en copiant un seul choix précis. Les scénaristes que sont Dave Justus et Matt Sturges ont donc la solution de facilité. AInsi quand on a fait le jeu plusieurs fois l’intérêt du titre en prend un coup. C’est une fausse bonne idée en somme et un titre qu’on réservera aux fans absolus de Fables. Ou à ceux qui n’auraient pas envie de jouer à ce jeu merveilleux. Quoique, je ne vois pas comment un fanatique de l’univers de Bill Willingham pourrait passer à côté d’un tel jeu.

Toujours est-il que l’adaptation proposée est trop fidèle mais n’est pas mauvaise pour autant. On suit le début de l’enquête de Bigby Wolf dans des évènements pré-Fables #1. Le numéro revient sur le tout début avec l’altercation avec le bucheron et une grosse bagarre. C’est vif, on sent notre loup bien aigri (choix des scénaristes) et violent. On regrettera le manque de liberté pris par rapport à l’œuvre de base et donc que le joueur ne soit en rien surpris. Le trait de Stephen Sadowski est plutôt agréable et il s’avère très fidèle au jeu. Je regrette toutefois que la colorisation de Lee Loughridge soit aussi éloignée de l’esthétique 80s/retrowave du jeu d’origine avec ses couleurs flashy. On aura aussi envie de vite oublier la cover absolument immonde. On retrouve vraiment le soft en bédé et c’est le but après tout. Un numéro que je ne conseillerai qu’aux néophytes, sinon il n’a vraiment aucun intérêt. Rajoutez 4 points si vous n’avez jamais joué à The  Wolf Among Us.

– MFW

Note : 3/10

 

SENSATION COMICS FEAT. WONDER WOMAN #18

review SENSATION COMICS FEAT. WONDER WOMAN #18

Scénario : Corinna Sara Bechko et Gabriel Hardman Dessins : Gabriel Hardman

Mais… Tout ça pour ça ? Juste une pauvre petite case de Lashina, un peu de Darkseid et des amazones qui veulent détruire Apokolips. En fait, oui, tout ça pour ça, mais le pire c’est que ça se lit tellement bien qu’une fois arrivée à la fin je me suis acharnée sur mon clavier à la recherche de pages supplémentaires. Notre Wondie au grand coeur est incapable de détruire une planète, alors elle sauve Darkseid et ses larbins. Mais là où je suis déçue, c’est qu’il n’y a pas assez de baston dans ce numéro. Du coup, ça parait un peu trop calme pour Apokolips.

Donc maintenant, il faut faire la part des choses. C’était bien ou pas ? J’aimerais vous répondre oui et vous répondre non. Oui car j’ai été prise dans l’histoire, Wonder Woman au grand coeur c’est mon dada, mais non car j’aurais préféré un final plus violent, plus « apokolispien ». Bref, je suis perdue, un peu.

– Harley

Note : 6/10


NEW 52

 

BATGIRL #37

review BATGIRL #37

Scénario : Cameron Stewart, Brenden Fletcher Dessins : Babs Tarr

Un seul mot pour ce numéro : brillant ! On croise une Batgirl toute en paillettes dans les rues de Burnside. Bien sûr notre Batgirl toujours un peu grumpy, la vraie, ne va pas apprécier cette imitatrice. En plus, cette fausse Batgirl se paie même le luxe d’être l’égérie d’une séance photo dans une grande galerie. L’exposition est celle d’un artiste mystérieux qui fait flancher les coeur des citoyens. On a droit à un affrontement entre les deux Batgirls avec une révélation surprennante sur l’identité de la Batgirl à strass qui se tournera le public à dos sans l’aide de personne. C’est toujours aussi sympathique, et franchement, Dinah m’a beaucoup fait rire lors de l’exposition, la tension est toujours palpable entre les deux amies.

Les planches sont toujours girly et sans fioriture inutile. A chaque numéro Batgirl garde son charme et lui retrouver un petit côté grumpy avec des clins d’oeil à une période plus sombre de sa vie ne fait qu’accentuer le charme du numéro et du personnage. Et en plus de tout ça, on ne sait toujours pas qui en veut à notre Babs. Trop cool ! Bon c’est pas tout ça, je vais voir sur notre Instagram (et pas pixtagraph) si je trouve une Batgirl par là ;)

– Harley

Note : 8/10

BATMAN ETERNAL #36

review BATMAN ETERNAL #36

Scénario : Scott Snyder, James Tynion IV, Ray Fawkes, Kyle Higgins et Tim Seeley Dessins : Fernando Blanco

Alors oui, ce numéro est on ne peut plus utile. Les motivations de Bard (bien qu’à mon avis, très convenues et un peu trop faciles à découvrir) sont mises en évidence, et on nous dévoile (peut-être ?) le grand méchant de l’histoire. “Enfin !” me direz-vous. Je crois que Batman Eternal a le droit à une saucée de Deus Ex Machina comme on en a rarement vu. Outre le fait que c’est redondant au possible et que ça a déjà sûrement lassé plein de gens en cours de route, faut dire ce qui est, ça fait toujours son petit effet. Maintenant voilà, je rabâche mais, l’auto-référencement à la Snyder, je sature… Je n’en dirais pas plus pour ne pas vous “gâcher” la surprise. Même si pour moi, elle s’est gâchée toute seule de par sa nature. En plus, finalement, ça parait tellement évident qu’on se demande, une fois de plus, comment Batman a pu et visiblement, passer encore, à côté de ça (oui, on a pu le voir venir, et de très loin, c’est bien là le souci). Le coup des caches d’armes, déjà bon, je trouvais ça bidon. L’affaire Jason Bard, clairement, il aurait pu la découvrir aussi tout seul s’il avait un peu gratté, mais passons encore une fois. Mais là, c’est le pompon. Reste l’utilisation d’Hush, que je trouve drôlement pertinente et fort bien utilisée dans ce contexte. Et que dire de cette alchimie entre les membres de la Bat-Family ? Juste au top. Je regrette simplement que certains aient juste disparu comme Batwing, ou pire encore, Batwoman, qui ne rejoindra pas la Bat-Family tout de suite apparemment… Oui, j’ai le cul entre deux chaises avec cette série, un peu comme toutes les séries de Snyder quand on y réfléchit. C’est bien, des fois, mais c’est lourd et ça arrive à me gaver à cause de grosses ficelles qui viennent m’encombrer la vue. Après, je veux pas jouer les hypocrites, ça me plaît de suivre ce délire, mais je ne peux pas faire fi des problèmes qui me paraissent évident dans cette narration. Les dessins de Fernando Blanco sont très bons ceci dit, même si on pourra toujours chipoter sur certains visages. Pour autant, Hush à la classe, Bard a vraiment la gueule de l’enfoiré maladif, et Alfred a pris un méchant coup de vieux. Mais vu sa condition le pauvre, on le comprend.

– Freytaw

Note : 6/10

CONSTANTINE #20

review CONSTANTINE #20

Scénario : Ray Fawkes Dessins : Jeremy Haun

Le périple de John Constantine sur Earth 2 continue et cet arc parvient petit à petit à offrir un second souffle à la série. Pas d’explosion de magie dans tous les sens ici, le mot d’ordre ici est sobriété. En plus de ça, une attention toute particulière est portée sur les réflexions intérieures de Constantine, ce qui renforce son côté anti-héros tourmenté. Vous me direz que ce n’est pas quelque chose de nouveau avec le personnage mais l’auteur maîtrise plutôt bien son sujet et évite de tomber dans la lourdeur. Ici, c’est de toute façon l’atmosphère qui prime et même si Fawkes a parfois tendance à trop en faire pour détailler une situation qui est déjà explicite grâce aux dessins, la narration est assez fluide pour qu’on puisse entrer dans l’histoire. Côté dessins justement, Jeremy Haun se montre à la hauteur. Son John Constantine, en particulier, est assez convaincant. Débraillé et le visage marqué, on retrouve dans ses pages le personnage qu’on aime et même si aucune planche n’est à tomber par terre et que l’ensemble est parfois trop statique, artistiquement c’est du solide et c’est même le point fort du numéro.

– n00dle

Note : 7,5/10

EARTH 2 : WORLD’S END #10

review EARTH 2 : WORLD'S END #10

Scénario : Daniel H. Wilson, Marguerite Bennett et Mike Johnson Dessins : Eddy Barrows et d’autres

Earth 2 World’s End continue son chemin de série à suivre sous peine de se faire lyncher. On passera sur les différences artistique de chaque partie qui sont maintenant une habitude et avec lesquelles il faut faire puisque partie intégrante de la série. Cette semaine chaque histoire a droit à un sacré chamboulement. Même s’ils ne sont pas les plus importants d’autres sont clairement des étapes qui vont marquer les personnages. Que ce soit du côté de Red Tornado et sa clique, « Robin » et sa famille et même de Mister Miracle, c’est toujours dans la souffrance, la brutalité et la violence que tout se passe. Personne n’est épargné. Petit évènement, les intrigues de Constantine et « Robin » se sont croisées l’espace d’un instant pour être à jamais liées. La tension est toujours palpable alors que les sauveurs invoqués par la Terre pour la défendre ne semble tout simplement pas à la hauteur de le tâche, non pas par manque de compétences, mais par manque de puissance puisqu’ils tirent leurs pouvoirs d’une planète qui se meurt. Earth 2 : World’s End c’est toujours aussi bon et la conclusion a intérêt à être à la hauteur de cette épopée !

– Nathko

Note : 8/10

GREEN LANTERN CORPS #37 – GodHead, Acte 3 partie 2

review GREEN LANTERN CORPS #37

Scénario : Van Jensen Dessins : Robert Chang, Mirko Colak

Green Lantern Corps #37 est un numéro très important pour GodHead puisque de nombreux rebondissements y sont présents. Certains sont d’ailleurs de très bonnes surprises. Alors que la situation ne pouvait pas être pire pour les Lanterns présent sur New Genesis, voilà que Hightfather s’amuse à les transformer en marionnettes aux pouvoirs quasi-divin mais lorsque le tour de nos héros arrive, quelque chose ne va pas se passer comme prévu. Ainsi, si les New Gods ont été écrits comme des semi-vilains relativement nuancés, ce Green Lantern Corps #37 va clairement définir une ligne entre le bien et le mal et designer deux camps. Pour ceux qui suivent la série depuis le début, il est facile de deviner qui est dans quel camp. Maintenant, si le numéro est génial, je ne peux m’empêcher de penser que la fin avec John Stewart et le marteau tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. Non pas que ce ne soit pas bon, mais c’est bien trop pratique à ce moment précis de l’histoire. La coïncidence est trop énorme pour ne pas voir les ficelles qui se cachent derrière. Dommage, parce qu’avec un peu de plus de subtilité, ça aurait eu encore plus de classe. La partie artistique qui est d’ordinaire superbe sur la série prend un gros coup dans le crayon ce mois-ci. Bernard Chang fait toujours du travail magnifique mais ne s’occupe que de la moitié du numéro tandis que la seconde est l’affaire de Mirko Colak. Je ne connais pas trop le travail habituel du monsieur, mais on ne peut pas dire que ce soit très agréable. Les planches ont l’air d’avoir été faites à la va vite et le contraste entre ces deux parties distrait le lecteur du contenu.

– Harley

Note : 7/10

HARLEY QUINN HOLIDAY SPECIAL #1

review HARLEY QUINN HOLIDAY SPECIAL #1

Scénario : Amanda Conner, Jimmy Palmiotti Dessins : Darwyn Cooke et autres

Ce numéro spécial nous entraine à travers trois aventures sur le thème de Noël. La première, qui est ma préférée est un conte dans lequel Harley doit donner ses petits animaux chéris car il y en a trop. Sauf que son petit préféré (un carlin tout choupinou) a été placé dans une famille et elle souhaite voir comment il est traité. Elle s’infiltre donc dans la famille et s’ensuit une histoire complètement folle dans laquelle elle sert de “jouet” humain à la petite gosse de la famille. J’ai souri, et j’ai aussi été touchée par le final de cette histoire. Ensuite on a une histoire un peu plus spéciale sur des petits êtres de Noël qui s’infiltrent dans les oreilles des gens pour leurs faire entendre des chansons de Noël sans cesse. Elle devra s’adresser au vieux barbu pour s’en sortir. Enfin, la troisième histoire, illustrée par l’emblématique Darwyn Cooke dans laquelle Harley Quinn cherche à stopper le temps depuis qu’elle s’est trouvée un cheveu blanc. C’est mignon comme histoire mais au final, les trois histoires ont quasiment le même ton, celui du côté enfantin et naîf couplé avec celui du grand coeur. C’est mignon et ça colle bien avec les fêtes, mais j’en attendais un peu plus pour un Holiday Special.

– Harley

Note : 7/10

 

JUSTICE LEAGUE UNITED #7

review JUSTICE LEAGUE UNITED #7

Scénario : Jeff Lemire Dessins : Jay Leisten, Neil Edwards

Du cosmique, la Legion, un parfum rétro qui flotte dans l’air… Justice League United n’est pas peut-être pas une série parfaite mais bon sang qu’est-ce que c’est fun ! Il faut dire que cette Infinitus Saga commence vraiment à avoir de la gueule. Avec ses dizaines de personnages de tous les côtés, ses fights dans l’espace impressionnants grâce à un Neil Edwards très en forme et ses enjeux grandissants, Jeff Lemire se lâche. Ca fait en tout cas plaisir de lire un récit super-héroïque décomplexé, osant les petites touches d’humour, toujours bien placées. En somme, l’auteur écrit une histoire sérieuse sans vraiment se prendre au sérieux. Au final même si l’avenir de l’univers est en jeu, il y a une ambiance résolument optimiste qui règne ici et ça, il fallait le faire. Alors d’accord, le nombre de personnages à gérer ne permet pas à tout le monde d’avoir son moment et certains viennent juste décorer les pages de leur présence pour faire plaisir aux fans, mais  on ne va pas faire la fine bouche. A coté de ça, Neil Edwards se montre donc à la hauteur. Quelques pages moins détaillées viennent gâcher la fête, mais rien d’alarmant non plus, dans l’ensemble c’est sacrément beau. L’artiste livre, en plus, deux ou trois splash pages assez folles avec près d’une vingtaine de personnages en action. Bref, Justice League United #7 c’est mon feel good comic de la semaine et ça fait du bien !

– n00dle

Note : 9/10

KLARION #3

review KLARION #3

Scénario : Ann Nocenti Dessins : Trevor McCarthy

Klarion continue son petit bonhomme de chemin en tentant de trouver sa place mais surtout comprendre les enjeux de la présence des Buddybots. Le mois dernier on le laissait après un baiser avec Zell, mais rassurez-vous, même si le sujet est évoqué, il n’est pas omniprésent. C’est un bon point car j’avais peur que tout tourne autour de cet élan d’affection. Mais non, on est bien en pleine chasse aux informations concernant les buddybots, on en apprend un peu plus sur les techniques de soumission du clan technologique et on découvre un nouveau personnage qui risque de compliquer la mission de Zell et Klarion.

Bon après, il y a plein d’histoires à suivre en même temps, et dans ce numéro tout s’enchaine tellement vite qu’on peut rapidement perdre le fil. Il y a comme une espèce d’impression de numéro brouillon, où Ann Nocenti a voulu caser le plus d’éléments possibles pour enrichir son histoire. Il faudra penser à lui dire que développer de manière posée c’est intéressant aussi, pas vouloir trop en faire. Du coup, j’ai moins apprécié ce numéro par rapport aux précédents, c’est dommage. Mais je ne lâcherai pas les histoire de mon petit witch boy, non non non !

– Harley

Note : 6/10

NEW SUICIDE SQUAD #5

review NEW SUICIDE SQUAD #5

Scénario : Sean Ryan Dessins : Jeremy Roberts

Après le fiasco de la mission précédente, l’équipe Suicide Squad est une nouvelle fois modifiée pour une nouvelle aventure. Cette fois on part en Chine avec Harley Quinn (encore plus tapée que d’ordinaire), Black Manta, Captain Boomerang, le Reverse Flash et des Man Bats. L’équipe est toujours instable au possible et il est normal que Waller s’inquiète depuis son petit bureau en tentant de suivre leurs faits et gestes.

Ce numéro se lit plutôt très très vite et je dois vous avouer que Lawton m’a pas mal fait rire quand il apprend qu’Harkness a rejoint l’équipe. Si vous arrivez en cours de route Lawton est en soin car il a un peu pris cher lors de la dernière mission. Dans l’ensemble c’est trop court pour pouvoir me prononcer si c’est bon ou mauvais car on apprend rien de plus. C’est vrai que les dernières pages laissent entrevoir de la baston assez dégoutante, mais j’aimerais tout de même en savoir plus. Les planches ne sont pas spécialement mon style, un peu trop brouillon et décousu, mais en fait dit comme ça, ça colle à l’histoire.

– Harley

Note : 5/10

THE NEW 52 : FUTURES END #32

review THE NEW 52 : FUTURES END #32

Scénario : Keith Giffen, Dan Jurgens, Jeff Lemire, Brian Azzarello Dessins : Drew Geraci

Me voilà quelque peu dubitatif. Ce numéro étant à mon sens un peu… plan plan. Bon, déjà, le contexte fait que. On est toujours en phase de transition entre deux catastrophes et forcément, c’est plutôt calme de base. Même si on retrouve Firestorm 2.0 bien embêté(s) par sa condition. Il y a aussi Terry et Plastique qui se rapprochent étrangement (pourquoi d’ailleurs, j’en sais foutre rien). Un Cole Cash toujours aussi inutile mais qui profite de la confusion pour repartir de zéro (mais bon dieu qu’est-ce qu’on s’en contre-fout sans déconner) à l’aide d’une certaine Lana Lang… et une page pour nous rappeler l’existence de Fifty Sue qui, n’amène pas grand chose là non plus si ce n’est un gimmick un peu rigolo mais franchement dispensable. Clairement, je me suis ennuyé. Sans compter que je me suis envoyé Earth-2 : Worlds End juste avant, alors ça n’a clairement pas aidé. Des numéros de remplissage comme celui-ci, qui n’ont absolument rien à raconter, ou pas grand chose, je m’en passerais grandement. Dans le genre transition, le précédent numéro était bien plus efficace et se centrait sur des intrigues qui m’intéressent. Vous allez me dire, “mais y’a l’avènement d’un méchant dans ce numéro quand même”, et je vais vous répondre “franchement, vous avez vu la tronche et l’intérêt de ce méchant archi stéréotypé… ?”, sur quoi la discussion risque de partir en live et virer sur des propos relatif à l’intolérance et à l’acceptation de l’avis d’autrui. Par contre, les quatre dernières pages (ce qui reste très peu hein) ont nettement sauvé les meubles et raviver ma flamme intérieure qui fait tout de même que j’aime suivre cette série (oui, rappelez-vous toujours qu’en dernier recours, je reste un “fanboy” DC, faut toujours des constantes à laquelle se rattacher dans la vie, c’est important). On se recentre sur l’équipe recomposée à partir des débris de Stormwatch, et on sent un Jeff Lemire derrière ses pages qui se fait plaisir en ramenant sur le devant de la scène quelques intrigues distillées depuis le début des New 52 dans les pages de Frankenstein Agent of S.H.A.D.E., et ça les mecs, c’est le genre de truc que j’adore ! Les dessins ? C’est comme d’hab, arrêtez avec vos questions inutiles !

– Freytaw

Note : 4/10

WORLDS’ FINEST #29

review WORLDS' FINEST #29

Scénario : Paul Levitz Dessins : Jed Dougherty

Je suis désolé, j’ai l’impression à force de m’acharner sur Paul Levitz mais ça fait depuis que je lis cette série que, malgré quelques légères remontées, la série n’arrive pas à me faire vivre une vraie histoire. Et avec ce nouvel arc estampillé Batman/Superman 2 : Earth 2 Secret Origins, c’est d’autant plus navrant qu’on a juste l’impression d’avoir droit à une série remplissage en attendant son annulation (possible) en post-Convergence. Superman après le numéro du mois dernier, retombe sur les deux femmes qui s’étaient disputées pour le protéger étant enfant – sauf qu’il n’en a aucun souvenir. Les rencontres se suivent mais ne servent à pas grand chose, et le côté « destinée » et « prophétie » en rajoute simplement comme une simple couche de peinture, mais sans profondeur. Les dessins de Dougherty ne sont pas affreux, et le côté très cartoon a de quoi dérouter un peu, surtout au niveau des visages. Mais clairement, c’est pas la partie artistique qui est en tort ici. J’voudrais juste qu’on me raconte vraiment quelque chose !

– ArnoKikoo

Note : 5/10

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ArnoKikoo

ArnoKikoo

DC COMICS : L'ENCYCLOPEDIE ILLUSTREE

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Julien_TDB
9 années il y a

Batman Eternal et Earth 2: World’s End mes lectures favorites de la semaine. Earth 2 parce que bah voilà quoi, je dois vraiment expliquer ? Je crois que c’est surtout l’ambiance de cette série. Quand tu vas ton lire ton single, tu sais que tu vas pas te marrer et que tu vas juste assister impuissant à la fin d’un monde. Batman Eternal j’ai aimé sans aimé. J’ai aimé qu’on en sache plus sur Bard et qu’on nous dévoile qui est le grand-méchant de l’histoire (et ok j’ai aussi aimé voir la Bat-Family). Mais j’ai pas aimé le passé de Brad, beaucoup trop simple et expéditif. J’ai aimé qui est le méchant de l’histoire (si c’est lui) d’autant plus que j’adore ce perso mais sérieusement ? Il nous le ressert encore ? Mes propos on un fort teneur en spoil donc attention mais putain Snyder t’en as fini avec lui y’a quoi, 3/4 mois ? Merde !
Sinon je suis aussi mitigé sur Suicide Squad, j’adore cette nouvelle équipe, j’ai trouvé le numéro super sympa, mais j’ai vraiment pas aimé les dessins, ni le cliff. Alors ouais y’aura de la baston, m’enfin ça m’emballe pas.
JLU super comme d’hab, même si elle m’emballe moins que le staff visiblement (mais je connais rien à la légion, donc ceci explique peut-être cela).
Futur’s End bah on sent bien la transition comme vous l’avez dit. Et ce début de romance entre plastique et Terry, euh, oui d’accord, mais pourquoi ? Le nouveau vilain euh ouais ça sent le pétard mouillé. Vivement la fin de cet entre-deux.

Bon voilà mon humble avis sur mes lectures cette semaine ^^

Herbefol
9 années il y a

Rapidement, après en avoir fini avec la semaine précédente c’est le tour de la semaine 171. :-)
– Injustice. Pas trop d’action ni de révélation/retournement de situation pour une fois, mais on voit déjà que les prochaines claques se préparent. Cette série garde globalement un rythme qui est quand même sacrément impressionnant. :-)
– Batgirl. La réputation à l’heure des médias sociaux, le contrôle de l’image, etc. je trouve ça bien d’avoir une série qui s’intéresse à ces aspects de notre époque et ça inscrit bien Batgirl dans le temps présent. Le dessin est toujours aussi beau et on continue à coup de petites intrigues à semer des cailloux à propos de ce quelqu’un qui semble vouloir se débarrasser de Batgirl.
– Batman Eternal. Y a un petit côté double emploi avec le précédent, on nous confirme bien que l’on avait pas encore croisé le véritable tireur de ficelle de cette histoire. Et pourtant c’est logique (si c’est bien lui) et c’est même raccord avec la série Batman (n’est-ce pas Snyder?). Certains trucs sont classiques et prévisibles (le passé de Bard), mais ça marche toujours aussi bien.
– Constantine. L’un des trucs qui me gênent c’est qu’on n’est pas encore raccord avec le Constantine que l’on croise dans World’s End. Et puis pour je ne sais quelle raison, je n’arrive pas à m’intéresser à la série en ce moment. Ça a pourtant été pire par moment, mais là j’en ai un peu rien à cirer. Faut dire que lire en parallèle les Hellblazer au fur et à mesure de leur réédition n’aide pas non plus. :-)
– E2WE. Et hop, Constantine est à nouveau à Chicago, c’est magique. Enfin bon, ce n’est pas grave vu que je me désintéresse de ce qui se passe dans ce camp de réfugiés. La seule partie vraiment intéressante de ce numéro est finalement du côté d’Apokolips où il semble se passer des choses importantes.
– Green Lantern Corps. Un petit retournement de situation sympathique qui permet enfin de créer un peu de différence au sein de ses New Gods qui se ressemblent quand même un peu trop. Par contre, niveau dessin les différences entre les deux artistes ne sont pas forcément très agréables à voir.
– Harley Quinn. C’est délirant, comme toujours, mais avec la magie de Noël en prime et c’est même mignon par moment. Sacré mélange et ça fonctionne plutôt bien en fin de compte.
– Justice League United. J’ai toujours le même problème depuis le début de cet arc : trop de personnages que je ne connais pas. D’ailleurs, Green Arrow fait une réflexion à ce sujet. Ça passera peut-être mieux en recueil, mais j’ai du mal à suivre un peu. L’intrigue principale en soi ne cause pas de soucis tellement c’est simple, mais était-il vraiment nécessaire de caser autant de personnages dedans ?
– New Suicide Squad. Visiblement, la nouvelle mission ne va se passer beaucoup mieux que la précédente et c’est un peu ce que j’attends du titre, donc tout va relativement bien de ce côté. Par contre, sur le plan graphique ce n’est pas vraiment ça, en particulier les visages que je trouve assez régulièrement moches ou loupés.
– TN52FE. Petite phase de transition. La partie Cole/Lang est assez amusante. Par contre Yamazake commence sérieusement à me courir sur le haricot. Dans le genre personnage à qui je filerai bien des baffes, il est bien classé avec son côté monomaniaque. Et les petits gars de Stormwatch/Shade sont de retour. :-)
– World’s Finest. C’est sympathique à lire, mais ça va être très vite oublié vu le peu d’intérêt que ça présente.

bouiboui
bouiboui
9 années il y a

BATMAN ETERNAL : Ce qu’à fait vicky Vale dans ce numéro 36, Bruce Wayne aurait pu le faire 30 numéros avant si DC et les scénaristes le voulaient. Donc bien mais ça vient trop tard. On a du se coltiner trop de pages de pauvre qualité scénaristique pour une résolution basique, mais bonne, et énième cliff facile.

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