[Review Express VO] Semaine #156

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Le Coup de Cœur de la semaine

  • G.I. Zombie #2

Le Top de la semaine

  •  Injustice Year Two #21
Le Flop de la semaine

  • Catwoman #34

Bonjour à toutes et tous et bienvenue dans votre numéro hebdomadaire des Review Express VO qui a été sacralisée parmi les 100 meilleures rubriques de comics par le magazine Empire (si, si, c’est vrai, je le jure). Que ce soit du Vertigo, du New 52 ou du Beyond the New 52 de DC Comics, toutes les sorties de la semaine ont été critiquées par nos soins attentionnés. À ce propos, il ne vous aura pas échappé que le dernier numéro de la série All-Star Western, qui signe aussi l’arrêt de la série, aura eu droit à une review de la part de Freytaw qui, comme je l’avais prédit dans la dernière checklist VO, nous a fait étalage de tout son amour pour la série de Gray et Palmiotti, que même dans les romans à l’eau de rose ou dans Arrow tu vois pas plus belle déclaration. Pour le reste, la gamme Beyond the New 52 se porte plutôt bien, les deux séries hebdomadaires sont toujours de bonne facture (avec Futures End qui commence même à plaire à Nathko, et on se demande bien pourquoi, ou plutôt pour qui, et Batman Eternal que vous vous devez de lire cette semaine !), et certaines séries continuent de décevoir, mais vous commencez à y être habitués. Je vous invite sinon à suivre le guide et surtout, à partager vos avis et critiques dans les commentaires, à la façon de notre lecteur Herbefol qui l’a très bien fait la semaine dernière, et que ça faisait rudement plaisir à voir ! Suivez l’exemple les amis !


VERTIGO

 

BODIES #2

review BODIES #2

Bodies, c’est la mini-série événement de Vertigo, qui nous permet de suivre 4 enquêtes policières à 4 époques différentes mais autour d’une même victime. Le premier numéro était en demi-teinte car il y avait certaines facilités. Ce second numéro vient compliquer un peu certaines histoires et en avance d’autres. Je ne voudrais pas trop m’avancer et vous livrer trop de spoilers car ce numéro est assez riche. Tout se fait des plus intriguants avec ce signe récurrent donc on ne sait rien pour l’instant. Les différents auteurs livrent des histoires différentes mais qui trouvent un véritable écho et fonctionnent ensemble ; c’est très chouette. Les univers graphiques sont très différents également mais collent en général très bien avec l’ambiance de l’époque.

En bref, ce numéro est meilleur que le précédent et la série s’annonce de meilleure augure que je n’espérais. J’espère vraiment que cela continuera dans ce sens et j’espère surtout avoir de grosses surprises au fil des numéros.

– Harley

Note : 8/10

DEAD BOY DETECTIVES #8

review DEAD BOY DETECTIVES #8

Imaginez le tableau Ghostbusters en fond sonore, une première case avec un poney dans le monde de l’au-delà, me voilà parée pour lire Dead Boy Detectives. La partie concernant l’au-delà devient de plus en plus intéressante, l’histoire de fond est bien plus profonde que je n’imaginais. L’association des enfants, leur rôle dans ce monde. Côté enquête des Dead Boy Detectives pour innocenter le père d’Edwin prend une tournure inattendue et on se rend compte que la rencontre entre les personnages n’est pas un hasard. Toutes les histoires se recoupent et donnent un rendu très intéressant.Les planches de Mark Buckingham, Ryan Kelly et Lee Loughridge sont plutôt très bonnes. J’ai vraiment adoré la partie de l’au-delà avec cette partie en noir et blanc très typique. Maintenant, il est vrai que la série tend à s’endurcir surtout avec la présence de certains personnages qui n’ont pas spécialement de bonnes intentions, et ceci risque bien de compliquer l’histoire !

– Harley

Note : 8/10

 


BEYOND THE NEW 52

 

BATMAN BEYOND 2.0 #30

review BATMAN BEYOND 2.0 #30

Avant-dernier numéro de cet arc « Mark of the Phantasm ». Un numéro caractérisé par une action prédominante alors que Terry McGinnis doit affronter un Jake Chill jokerizé, et que Phantasm va se mêler à tout ça. D’un point de vue narratif, on n’avance quasiment pas, le numéro étant essentiellement occupé par ce combat (on apprend quand même un petit élément vis-à-vis des Jokerz, reste à voir si ça sera utilisé), à part pour la toute fin qui risque de vous secouer un peu. Mais le point fort de ce numéro, c’est la partie graphique avec les dessins de Phil Hester et Eric Gapstur, qui réussissent à installer une ambiance du tonnerre, grâce à leur mise en scène, au découpage, et aux effets rajoutés. Notamment lors de l’entrée en scène de Phantasm, avec Terry déjà aux prises avec « Joker-Jack Chill », il s’en dégage une ambiance épique et creepy en même temps, on s’imagine très bien ce que ça pourrait donner en animé… hé mais d’ailleurs ! Faire une adaptation animée de cet arc ce serait tellement, mais teeeeeeellement bien !!

– ArnoKikoo

Note : 7/10

 

BATMAN : THE JIRO KUWATA BATMANGA #8

review BATMAN : THE JIRO KUWATA BATMANGA #8

La semaine dernière, une nouvelle menace s’abattait sur Gotham, en la personne d’un certain Human Ball, un homme bondissant partout, revêtant une combinaison métallique qui lui offre les capacités d’une balle rebondissante. Et qui de mieux que le dynamic duo pour arrêter cet odieux criminel ? Le numéro est plus intéressant que celui de la semaine dernière, et nous propose des combats entre nos héros et ce vilain assez bien mis en scène. De plus, Jiro Kuwata nous livre les origines de ce fameux Human Ball, en expliquant comment fonctionne sa combinaison, ce qui ne manquera pas d’occasionner une crise cardiaque chez les plus scientifiques d’entre vous… Comme d’habitude, il faut adhérer à ce parti pris très second degré de ces aventures d’un Batman bien ancré dans les années 60, qui cherche à tout prix la punchline débile (“Human ball, you’re out of bounce !”) et élabore les plans les plus what-the-fuckesques pour arrêter son ennemi… À réserver aux fans de cette ambiance bien plus légère que celle des titres Batman depuis Year One.

– Zeppeli

Note : 7/10

 

HE-MAN AND THE MASTERS OF THE UNIVERSE #16

review HE-MAN AND THE MASTERS OF THE UNIVERSE #16

Ok… Bon. Je dirais que nous avons là un numéro un peu en dessous, qui se donne de faux airs sérieux, mais en présentant des situations quelques peu cliché voire inintéressantes ! Alors que dans le dernier numéro, c’était la bagarre à tous les étages et que c’était plutôt fun et décomplexé, ici, He-Man et Adora se retrouvent auprès d’un peuple d’hommes tout bleus, qui sont je pense, complètement stupides dans leur façon d’agir. C’est comme si, quand on leur propose le choix entre une pomme toute fraîche ou un pomme avec les vers à l’intérieur, ils choisissent la seconde car cela semble être l’idée la plus sensée… Oh, je ne vais pas vous décrire de manière explicite ce choix, mais clairement, c’est stupide, j’aurais espéré un retournement de situation qui n’est pas venu à ce niveau. Au lieu de ça, j’ai pris un Deus Ex machina d’un vilain super moche à la place, dont je me fiche comme pas permis tellement il n’a aucun charisme. Reste ce qui arrive à Adora dans les bois qui suscite mon intérêt, et ce cliffhanger, terriblement exagéré, qui arrive tout de même à me faire poser les bonnes questions. Le pire dans tout ça, c’est que j’ai souvent réclamé le retour de Pop Mahn, mais qu’ici, il ne délivre rien d’extraordinaire, en dehors de certains visages ou plans réussis. Je suis plutôt déçu par ce numéro…

– Freytaw

Note : 4/10

INFINITE CRISIS : FIGHT FOR THE MULTIVERSE #15

review INFINITE CRISIS : FIGHT FOR THE MULTIVERSE #15

Après 15 numéros, on sait plus ou moins à quoi s’attendre avec la série et je ne place plus tellement d’espoir de voir le truc vraiment décoller. C’est peut-être pour ça que j’apprécie un peu plus ce que nous offre Dan Abnett depuis quelques semaines. Une histoire sans grandes prétentions et qui, dans ses meilleurs moment, demeure un divertissement léger et honnête. C’est exactement ça cette semaine, les héros réunis commencent à ressembler à une équipe avec une dynamique intéressante qui s’installe. L’action se révèle, en plus, efficace grâce au travail de Tom Derenick aux dessins. Pas de quoi sauter au plafond tout de même puisque l’ensemble reste extrêmement classique. De plus, l’auteur ne peut s’empêcher d’écrire des blagues et punchlines foireuses pour ses personnages alors qu’ils sont censés jouer leurs vies et celle du Multiverse par la même occasion. Ça a juste tendance à minimiser la menace et ce n’est surtout pas très drôle…

Ne faisons pas trop la fine bouche tout de même puisque cet épisode confirme, encore une fois, que la série est sur la pente ascendante depuis quelques semaines, alors pourvu que ça dure.

– n00dle

Note : 7/10

INJUSTICE : YEAR TWO #21

review INJUSTICE : YEAR TWO #21

Il aura fallu attendre le numéro #21 d’Injustice : Gods Among Us Year Two pour enfin atteindre le niveau qu’on attendait de la série après l’exploit de la première année. L’assaut contre Superman est lancé et toutes les forces font ce qu’elles ont à faire et convergent. Entre temps, la chute d’Hal Jordan n’a pour le moment pas vraiment de conséquenced et Ganthet délivre un speech à Sinestro d’une force incroyable, ne pouvant pas prendre Sinestro plus à rebrousse-poil. Les ingrédients Injustice sont vraiment là. Des dialogues simples mais puissants, des actions drastiques mais nécessaires, une tension palpable et des pages chargées d’émotions de tous types. Collez moi ce genre de dialogues dans Batman v Superman et je peux vous assurer que plus personne ne se moquera d’un personnage DC, jamais. Que dire de plus sinon que Mike S. Miller s’améliore encore et qu’il tombe juste sur toutes les expressions faciales présentes. Il suffit de voir l’air dédaigneux que porte Ganthet sur Sinestro et Hal Jordan, la rage dans les yeux de Superman en voyant le vaisseau de Bruce et la résolution sur le visage de Black Canary pour être convaincu de la qualité artistique du numéro. Le pire dans tout ça c’est que l’on sait déjà comment tout cela va se terminer et ça fait carrément mal alors que cela aurait pu gâcher la lecture, hé bien pas du tout. Vous l’aurez compris, je viens de retomber amoureux d’Injustice !

– Nathko

Note : 9,5/10

SENSATION COMICS FEATURING WONDER WOMAN #3

review SENSATION COMICS FEATURING WONDER WOMAN #3

En voilà un numéro surprenant. La première partie est livrée comme un comics normal, avec Wonder Woman qui botte les fesses de Circé avec des centaures au milieu. On ressent toujours la force physique mais aussi de caractère de la belle amazone, avec toujours cette touche de douceur. Sur les combats il y a des cases qui détaillent les mouvements qui font très old school avec une décomposition de l’acte mais dans l’ensemble j’ai quand même plutôt bien aimé le côté artistique de Cat Staggs et John Rauch.La seconde partie revient dans la réalité avec un jeune garçon qui se fait railler pour aimer Wonder Woman. Sauf que cette dernière va venir faire la morale aux jeunes autres garçons comme quoi sa série n’est pas que pour les filles. Franchement, c’est top !

– Harley

Note : 8/10


NEW 52

AQUAMAN #34

review AQUAMAN #34

Avant de commencer, j’ai juste envie de dire que j’adore la cover de cet Aquaman #34. Voilà, c’est tout. Ne cherchez pas bien loin, Aquaman #34 n’est rien d’autre qu’une grosse baston permanente, de bout en bout, à l’exception de 4 pages. Le combat contre Chimera est définitivement une menace intéressante pour Arthur puisqu’ils se battent sur le même terrain. Mi-homme, mi-créature marine, leurs pouvoirs se ressemblent aussi beaucoup et ils sont donc des adversaires notables l’un pour l’autre. Heureusement qu’entre quelques coups de poings et autres explosions, Parker parvient à intégrer un peu de répit à cette action non-stop pour développer quelque peu la relation compliquée entre ces deux personnages. Malheureusement il manque un peu de Mera et d’Atlantis dans tout cela. L’autre point décevant est l’absence de Paul Pelletier qui laisse place au compétent Carlos Rodriguez. Toutefois son niveau n’est pas égal à celui de Pelletier. Le découpage et la mise en scène sont clairs et précis mais tout cela manque de détails et plus on avance dans le numéro et plus l’ensemble semble fait à la va vite. Disons que ça passe, mais que ce n’est pas bon pour autant. Aquaman #34 est un chapitre divertissant et sympathique mais loin d’être indispensable et il faudra changer ce schéma de combat -> disparition -> retour -> combat, pour la prochaine confrontation des deux protagonistes.

– Nathko

Note : 6,5/10

BATMAN ETERNAL #21

review BATMAN ETERNAL #21

Si les derniers numéros de Batman Eternal étaient franchement bons, ici on atteint un tournant véritable, c’est le numéro où les « shocking moments » sont légion, où tout nous est balancé à la figure, une claque qui relance puissance dix l’intérêt pour l’intrigue de la série. Alors oui, certains faits et sous-intrigues parallèles sont mises de côté. Mais par ce que nous apprenons (et hors de question que je vous dise quoi que ce soit), des pistes jusqu’alors sous-entendues se laissent entrevoir, il faut reconsidérer tout ce que nous pouvions penser, et le comportement de Batman a bien des égards reste mystérieux. Je ne dirais qu’une chose : fait-il semblant de ne rien voir ? Il faudra ajouter à tout cela le choc des images, avec un Jason Fabok qui nous revient en forme pour ce numéro Ô combien important, et qui nous laisse avec un chouette boulot de sa part, bien qu’on remarquera un léger changement dans le dessin ; peut-être l’encrage moins présent, une différence dans le trait, qui n’en reste pas désagréable du tout. On pourra reprocher quelques lourdeurs dans le texte de James Tynion IV (le monologue d’Alfred un peu tombé des nues), ou quelques détails qui pourront faire tiquer (le fait d’annoter les objets en mode captain obvious un peu comme c’était fait dans le film Batman ’66), mais dans l’ensemble, la lecture vous prendra à la gorge et il y a intérêt à ce que la série reste dans ce ton ! Zbra !

– ArnoKikoo

Note : 9/10

BATMAN/SUPERMAN #13

review BATMAN/SUPERMAN #13

Greg Pak nous sert ce que j’appelerais de « l’easy reading » avec Batman/Superman #13. Ça ne vole pas bien haut, les enjeux ne sont pas clairement définis, la direction n’est pas claire mais ça se lit très bien et on veut la suite (ça ressemble à du Snyder quoi). Ce n’est pas un mal en soi mais j’en attends plus de la part de cet auteur qui nous a prouvé à maintes reprises sa capacité à nous accrocher dès le début. Bon il nous a aussi montré des choses moins bonnes mais bon… ce sont des choses qui arrivent comme on dit. Du coup, ici, terminée la parenthèse Superman : Doomed, retour aux racines pour repartir sur un nouveau statu quo qui ne sera une fois de plus que temporaire pour revenir très rapidement à la « normale ». Il est assez rafraichissant de voir nos héros libres de tout, pour n’être que l’essence d’eux mêmes, sans tous les bagages tragiques qu’ils peuvent porter habituellement. En lui-même le numéro n’a pas grand intérêt – bien que fun – mais comme dit plus haut, il se lit très bien et une fois la dernière page atteinte on a envie de voir où les choses vont aller. Jae Lee est également de retour et on ne le dira jamais assez, mais son trait apporte indéniablement quelque chose d’unique à chaque titre qu’il touche même si sa version de Gotham est parfois bien trop stylisée. Batman/Superman ne fait pas exception à ce fait et c’est aussi beau à regarder que cool à lire. En termes d’homogénéité, l’équilibre est quasiment parfait.

– Nathko

Note : 8,5/10

CATWOMAN #34

review CATWOMAN #34

Mmf… Voilà c’est tout.

Non franchement heureusement qu’Ann Nocenti s’en va parce que là ça devenait trop, trop lourd, pas assez Catwoman. Oui c’est bien de développer le personnage de Tesla, mais pour en faire une gameuse indécrottable, piégée face à un méchant sur fond de combat de personnage de jeu imprimé en 3D ? Vous m’auriez livrée une histoire de ce genre dans un autre titre pourquoi pas ça aurait pu être sympathique, mais dans Catwoman ça fait tâche. Et puis tout ça pour que le méchant type se créée une super-armée de bonhommes de jeu en 3D, franchement non, c’est pas franchement du Catwoman, enfin à mes yeux. C’est fatiguant de vouloir à tout prix retrouver une Catwoman féline, surprenante, pas relayée en second plan ou face à des méchants qui ne lui font pas honneur. Heureusement les dessins sont bien du coup ça aide à la lecture, mais pour être honnête j’ai failli abandonner en cours de route alors que l’idée est bonne, mais pas dans Catwoman, désolée.

– Harley

Note : 3/10

HARLEY QUINN #10

review HARLEY QUINN #10

Le Skate Club, l’endroit dont on ne parle pas, l’endroit où l’on ne rentre pas sans y être invité, l’endroit où tout est permis. Voilà ce que l’on retrouve dans ce numéro. Des affrontements entre jammeuses avec armes et coups autorisés, en fait tout est permis. C’est assez fun, avec une petite interlude rigolote lorsque Harley se retrouve assommée. Heureusement aidée par Papy Sy Borg, elle finira par avoir le dessus sur sa monstrueuse adversaire. Le numéro manque peut être un peu de fraîcheur et de légèreté, mais dans l’ensemble il reste assez fun. Le coup du bain de minuit est sympathique et n’allez pas croire que ce numéro n’est qu’un fill-in puisque nous rencontrons un jeune homme qui semble avoir charmé la belle (non ne criez pas déjà au scandale) qui risque de revenir et le cliffhanger de fin promet de bien belles aventures. J’ai aimé qu’Harley raconte une anecdote sur Suicide Squad pour faire un lien entre les séries, c’est vraiment bien trouvé. Maintenant, nous avons encore un artiste autre que Chad Hardin sur le titre et je dois dire que Chad Hardin me manque. Je préfère ses planches à celles que l’on a depuis deux numéros.

– Harley

Note : 7/10

JUSTICE LEAGUE DARK #34

review JUSTICE LEAGUE DARK #34

La série Justice League Dark a la fâcheuse tendance à nous traîner à travers des histoires toutes plus rocambolesques les unes que les autres. Ici, on revient sur l’histoire de Nanda Parbat et ses divinités piégées dans un seul être : Pantheon. On retrouve également Deadman et son histoire, voire son humanité, même si ce n’est qu’un court instant. Cette partie est réellement bien travaillée et Deadman est un personnage tellement intéressant qu’un petit focus de temps en temps ne fait pas de mal. Puis le reste de l’équipe venu à son secours se retrouve tantôt dans le pétrin, tantôt dans le pétrin. Oui sinon ce n’est plus la Justice League Dark. Il faudra alors être malin pour combattre Pantheon. Là encore la faiblesse de Pantheon est subtilement utilisée. On aurait presque envie de dire que la boucle et bouclée et que grâce à l’équipe un mythe ne s’est reconstruit. Surfer de la sorte sur les conséquences du Project Thaumaton est intéressant avec J.M. DeMatteis qui n’en fait pas trop. Les planches sont tout à fait correctes si ce n’est peut être quelques défauts par ci par là, mais dans l’ensemble c’est bien exécuté avec une jolie colorisation.

– Harley

Note : 7/10

Et je rajouterais, sans revenir sur l’avis global, que je partage, de ma consoeur Harley Huntress, qu’il me tarde frénétiquement de lire les « nouvelles origines » sur Deadman, qui risquent de représenter ici un premier vrai et gros retcon sur le personnage au sein même des New 52 (je ne parle pas d’un retcon en rapport avec l’ancien univers bien sur, ça là, ça n’est pas le premier). Tout ce qui entoure le bonhomme et que je croyais connaitre, avec Rama Kushna et compagnie, semble avoir été proprement altéré voire effacé. Du coup je me pose la question de l’utilité du premier arc de la série DC Universe Presents qui bien évidemment, revenait sur ces mêmes origines, par Paul Jenkins, arc qui d’ailleurs présentait un certain degré philosophique de lecture et était je trouve, relativement intéressant (vous pouvez trouver la review par là). Il faut admettre qu’au delà de cet état de fait, DeMatteis donne lieu à un personnage très intéressant et dont les enjeux sont encore à découvrir. Et comme le dit ma chère collègue, on voudrait avoir ce genre de focus sur le personnage plus souvent ! Mais moi vous savez, j’aime bien discuter des heures sur les mystères mystérieux du DC Verse. Et ce Deadman en est un en tout cas, du moins, jusqu’au prochain numéro de Secret Origins (non, pas celui de cette semaine).

– Freytaw

Note : 7/10

THE FLASH #34

review THE FLASH #34

Après un épisode un poil décevant le mois dernier, Flash revient cette fois en forme. Un numéro qui fait la part belle à l’action débridée dans sa première partie alors que le reste est consacré à la vie privée de Barry Allen. L’intrigue sur les problèmes de la speed force n’est pas non plus en reste et Venditti et Van Jensen parviennent même à intégrer le mois Futures End intelligemment à leur récit. De son côté, Wally, même si peu présent, devient de plus en plus attachant et les auteurs mettent en place une histoire assez trouble autour de lui et de la famille West. Même Barry a le droit à un traitement plus nuancé que d’habitude. Bref, c’est un numéro chargé mais qui trouve le bon équilibre entre tout ça et qui nous accroche jusqu’au bout. La tension qui monte crescendo, même dans les moments les plus calmes, est extrêmement bien gérée avec le Future Flash qui s’approche du présent. Le tout est illustré par un Brett Booth en forme et qui semble se faire plaisir avec Flash. Comme souvent avec lui, tout n’est pas parfait et on trouve donc quelques perspectives et corps humains assez curieux ici et là. Cependant l’énergie et le dynamisme qui se dégage des planches file la pêche et ça convient parfaitement au personnage.

Les auteurs parviennent donc à jongler avec intelligence entre plusieurs intrigues. Ajoutez à cela un travail intelligent sur les personnages et on obtient une histoire super bien ficelée et qui tient maintenant toutes ses promesses.

– n00dle

Note : 8/10

THE NEW 52 : FUTURES END #17

review THE NEW 52 : FUTURES END #17

Je me demande si je ne vais pas me lancer dans une rubrique « Les meilleures couvertures de la semaine » pour combler les dimanches, parce qu’encore une fois (et ce n’est pas coutume) j’adore la cover de ce Futures End #17. En plus c’est super ça me permet de commencer positivement la critique de nouveau numéro d’une série très étrange. Heureusement pour moi, c’est le premier numéro qui m’a vraiment procuré du plaisir de lecture depuis un moment. Oui je sais, ceux qui le liront et qui verront qui est dedans se diront que c’est la raison même de mon bonheur. Ils n’auront pas totalement tort. Toutefois, il ne faut pas non plus retirer au numéro que pour une fois il se passe réellement quelque chose. IL SE PASSE QUELQUE CHOSE DANS FUTURES END !! YIPIIII !!! Même si tout cela lève toujours plus de questions, surtout la révélation de qui est derrière le casque de Superman, et que les réponses se font sérieusement attendre, ce Futures End #17 vient tout simplement de me relancer dans cette série qui commençait à me gonfler légèrement. Sans doute la faute à un trop grand nombre d’intrigues parallèles qui mettent trop de temps à révéler un minimum de connexions, d’intérêt commun pour ne pas avoir l’air d’être trimballée à gauche à droite gratuitement. Si la série peut garder ce rythme j’en serai le premier ravi, parce que bon, la barbe, c’est juste trop classe !

– Nathko

Note : 7/10

RED LANTERNS #34

review RED LANTERNS #34

Certainement l’arc le plus important depuis l’arrivée de l’auteur sur la série, Atrocities se conclut cette semaine et voit donc une grande partie des pistes lancées depuis environ un an, par Charles Soule, trouver une fin. La force de la série, et de ce numéro, est que l’auteur parvient à donner du coffre et de la profondeur à des personnages de ‘seconde zone’ et leur évolution au cours du récit, parait naturelle. Certains pourront regretter les ‘Reds’ d’avant mais il faut bien constater qu’ils sont désormais des personnages beaucoup plus complets. Malgré tout, la conclusion de l’affrontement entre Guy Gardner et Atrocitus parait un peu faiblarde et j’ai du mal à voir comment ce dernier pourrait redevenir une menace crédible à l’avenir. Tout ça est, cependant, bien mis en page par le duo Alessandro Vitti et Jim Calafiore. Le ton du livre doit énormément à sa partie artistique qui parvient à nous faire oublier les petites faiblesses de l’histoire, pour le peu que vous ne soyez pas allergiques à ce style très marqué.En n’oubliant jamais ses personnages aux dépens du divertissement facile, Charles Soule a donc réussi son coup avec cet arc. Les Red Lanterns sont désormais des personnages bien plus nuancés et intéressants selon moi et le tout me laisse très curieux quant à la direction que prendra la série après ça.

 

– n00dle

Note : 8/10

SECRET ORIGINS #5

review SECRET ORIGINS #5

C’est toujours la même rengaine pour cette série. Ceux qui connaissent bien l’univers DC depuis quelques années n’en auront strictement rien à faire, de ce qui nous est raconté. Et les 3/4 des choses présentées l’ont déjà été en fait d’une façon ou d’une autre dans les New 52. Du coup, l’arc sur Cyborg nous présente simplement la relation conflictuelle qu’il avait avec son père avant l’accident qui se produit dans le premier arc de la série Justice League. Pour Red Hood, Scott Lobdell fait un gros résumé de la jeunesse de Jason Todd jusqu’à ce qu’il revienne des morts puis à Gotham. Un récit assez maladroit puisque la colère du jeune homme n’est clairement pas explicite, et son ressentiment envers Batman ne transparaît qu’à la toute fin, comme si l’auteur se rappelait que oui, Jason Todd il a quand même des anger issues. En ressort une histoire vraiment inconsistante, même si bien parsemée de références à tout ce qui a déjà été écrit avant sur Jason dans les New 52 (et qui fait donc redite pour les lecteurs non-arrivants). La seule « surprise » pourrait venir de Mera, mais le côté fleur bleue de la chose, avec le discours « vis ta vie, la liberté c’est le bien, fais tes propres choix) mêlé à son « coup de foudre » pour Aquaman nous rappelle les plus mauvais romans à l’eau de rose qui soient sortis, et nous laisse avec une belle indigestion. Sur la partie graphique, ça reste correct sur l’ensemble, sans qu’il n’y ait de folies nulle part, mais on trouvera quand même quelques ratés dans les parties sur Jason et Mera. Bref, je mets la moyenne car je suppose que les nouveaux lecteurs y trouveront matière à lire, mais pour le reste, vraiment…

– ArnoKikoo

Note : 5/10

SINESTRO #5

review SINESTRO #5

J’ai envie de crier très fort. En fait je vais le faire : SINESTRO IS THE KING, BITCHES ! Oui c’est tout ce qu’il y a dire quand on lit Sinestro #5. Sinestro et Hal Jordan se font face sur plusieurs fronts même si clairement il ne s’agit que de la forme. Le fond, lui, est sensiblement toujours le même et juste absolument passionnant. D’ailleurs, pour ceux qui ont un minimum d’ancienneté dans l’univers Green Lantern auront sûrement encore plus de plaisir à suivre la conversation. Cullen Bunn a parfaitement compris la relation complexe qui unit les deux personnages tout en parvenant à donner à Sinestro encore de plus de raisons valable à sa quête sans pour autant oublier les innombrables problèmes de la logique du personnage. D’ailleurs il arrive même à se faire tenir deux points de vues différents sans passer de jugement ni sur l’un ni sur l’autre. En fait, je n’ai qu’une chose à redire concernant cette série, c’est sa chronologie et sa place dans la ligne de temps du DCU. Parce que les dernières pages qui nous montrent Parallax suggèrent qu’il s’agit d’évènement pré Lights Out, mais cela ne serait pas logique par rapport à d’autres éléments. Encore quelque chose qu’il va falloir accepter comme tel, dommage. De toute façon ce numéro c’est juste de la bombe atomique pour ceux qui aiment le personnage de Sinestro, alors que ceux qui ne le connaissent pas encore, ne pourront que le trouver étrangement attrayant !

– Nathko

Note : 9/10

STAR-SPANGLED WAR STORIES FEATURING G.I. ZOMBIE #2

review STAR-SPANGLED WAR STORIES FEATURING G.I. ZOMBIE #2

« It’s like dawn of the undead ». Quand c’est un « zombie » lui même qui prononce cette phrase, ça a un je ne sais quoi de savoureux qui me parcours l’échine. Alors que je m’attendais à une série plutôt calme, surtout à cause du premier épisode qui comportait pourtant son lot de surprises, voilà que le côté « G.I. » de G.I. Zombie vient me rappeler à l’ordre. Et il faut dire qu’être un G.I. Zombie, cela a un côté bien pratique quand on se retrouve dans le feu de l’action. Gray et Palmiotti s’éclatent et nous font plaisir par la même occasion. Si le décor et l’ambiance en général nous semblent bien terre à terre, on est quand même dans du comics. Déjà, le héros est un zombie donc, oui je vais vous le rappeler toutes les trois phrases, mais il est capable de prouesse digne d’un comics, ou d’un film d’action bien bourrin des années 80. Ceux qui ont lu le numéro verront sûrement de quoi je parle. De toute façon, maintenant que les personnages sont bien posés, cette série va vite devenir un bac à sable de situation folle avec une pointe d’espionnage et une bonne dose de militaire. Et les noms des personnages sont parfois assez dans ce ton là, le chef du héros a pour nom de code « Gravedigger » quand même, ce qui est en soi assez ironique ! Pour les dessins, ce style continue d’aller à la série, même si on regrettera sans doute un léger manque de dynamisme dans les scènes d’action, à noter d’ailleurs que les onomatopées des explosions et autres joyeusetés s’intègrent moyennement à l’ensemble. Mais bon, rien de quoi nous faire regretter l’achat de ce titre complètement fun et qui a autant de ressources que peut loger l’imagination dérangée des auteurs. Même si on parle surtout de zombie et d’action sur ce coup là.

– Freytaw

Note : 8/10

SUPERMAN #34

review SUPERMAN #34

Alors que le précédent numéro nous avait surtout montré les environnants de l’univers de Superman, on retrouve notre Man of Steel en force dans le numéro de ce mois-ci. Suite directe du cliffhanger du mois passé, Ulysses retrouve ses parents dans une scène toute en finesse et retenue. Il s’en dégage à la fois autant de tristesse que de bonheur pour tous. Ulysses a de nouveau des parents, ces parents sont heureux de le retrouver mais se sentent coupables de l’avoir envoyé ailleurs alors que Superman assiste à ces retrouvailles qu’il n’aura jamais l’occasion de vivre. Résultat, une mélancolie juste. Il s’agit là encore d’un numéro assez lent comme depuis le début. Là où le duo Geoff Johns et John Romita Jr. fonctionne à merveille c’est lorsque entre deux scènes relativement calmes, il y a une case ultra bruyante qui s’y insère, un peu comme un bruit blanc au milieu d’un silence. Du coup, tout gagne un peu plus en impact, aussi bien les scènes calmes que les cases fortes. Les parallèles et différences entre Superman et Ulysses sont toujours aussi nombreuses et vous n’avez pas besoin de loupe pour les voir mais si l’auteur se plait autant à nous les rappeler c’est qu’à mon avis cela va jouer un rôle important. Johns a réussi à rendre le personnage d’Ulysses attachant en l’espace de 3 numéros, suffisamment pour que lien émotionnel soit présent comme pour les problèmes de sommeil.

John Romita Jr. on aime ou aime pas, ce n’est pas un problème, le monsieur fait son boulot comme il faut et surtout le méchant lui convient parfaitement. Au fait le méchant, c’est un petit nouveau créé pour l’occasion et le peu d’espace qui lui est réservé suffit largement à l’établir comme une menace sur laquelle il faut compter. Bref, à part quelques cases manquant de détails, c’est plutôt cool de son coté.

– Nathko

Note : 8/10

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ArnoKikoo

ArnoKikoo

DC Comics : L'Encyclopédie (mise à jour et augmentée) / Edition augmentée

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9 Commentaires
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jay
jay
9 années il y a

Cette semaine je n’ai lu que Superman et Flash mais je n’est pas ete deçu .

spectra
spectra
9 années il y a

que c’est chouette cette rubrique. Sinon c’est clair qu’il met une claque le batman eternal, ça fait plaisir cette dose hebdomadaire de qualité.

Winterwing
9 années il y a

Merci pour vos avis !

Pour Sinestro, la série se passe bel et bien après Lights Out. C’est juste que Parallax ne s’est pas sacrifié comme les autres vu qu’à l’époque déjà il était la seule entité à avoir un hôte (Sinestro, en plein Forever Evil)

Nathko
9 années il y a
Répondre à  Winterwing

Yes! J’ai checké et Para n’est effectivement pas dans les entités qui se sont sacrifiées…saletés!

Aquaman
Invité
9 années il y a

Herbefol est le chouchou des patron. Desolé Sana (humour ^^)

Herbefol
9 années il y a
Répondre à  Aquaman

Je n’avais pas vu, je viens seulement de lire les reviews. Mes chevilles ne vont plus rentrer dans mes chaussures. :p

Herbefol
9 années il y a

– Aquaman. C’est effectivement assez baston comme épisode, Aquaman se fait dominer par son adversaire, on tente de changer de terrain, ça ne marche pas, puis le héros trouve la faille et parvient à l’emporter. On ne peut pas dire que c’est très original. Mais c’est pas trop mal fichu et puis ça nous pose un méchant pour plus tard, lequel a d’ailleurs l’intérêt d’empiéter sur les plates bandes de notre homme poisson préféré, ce qui n’est pas un mal.

– Batman Eternal. D’abord, c’est Fabok et rien que de voir son nom sur la couverture, je m’en réjouissais. Quand au reste… oh punaise ! ça c’est du feuilleton qui déménage. Les mots me manquent pour décrire mon enthousiasme. En tout cas, on sait que tout est plus grand et peut-être plus affreux qu’on ne l’imaginait. C’est vraiment l’épisode type dans la catégorie « on termine la saison en faisant comprendre tout ce qu’on a vu jusqu’ici c’était rien. » Vivement la suite !

– Batman/Superman. Je ne sais pas où veut aller Greg Pak avec cette histoire de remise à zéro, mais au moins ça offre quelques moments sympathiques à regarder nos deux héros essaient de retrouver comment lacer leurs godasses. :-)

– Catwoman. Yes ! Ça y est, c’est fini ! Plus de Nocenti, Catwoman est libre ! Libre !!! (rien de plus à en dire)

– Harley Quinn. J’ai l’impression que c’est un peu moins bon qu’au début, y a peut-être une légère perte de vitesse. Malgré tout, c’est toujours un plaisir de voir cette cinglée d’Harley agir et réagir.

– Justice League Dark. On joue effectivement légèrement avec les conséquences de Blight, et la façon dont Deadman parvient à l’emporter est bien trouvée. Evidemment, le reste de l’équipe passe un peu pour des guignols à côté, en particulier notre magicien préféré. :p

– The Flash. Je trouve que cet arc s’agence plutôt bien. Au début je naviguais un peu dans le brouillard, mais les numéros passant la météo s’est éclaircie. Et je trouve que tout ça est encourageant. J’applaudis d’ailleurs la façon de préparer l’enchaînement avec le numéro Futures End qui pour le coup ne devrait pas être un simple « imaginons un vague futur possible » mais bien un élément à part entière de l’arc en cours.

– The New 52 : Futures End. Comme l’écrit Nathko « ça y est, il se passe un truc ». :-) Et quel truc en plus. Ayant tendance à tomber un peu dans tous les panneaux, je n’avais évidemment pas envisagé l’hypothèse qu’ont choisit les auteurs pour le casque de Superman. J’espère que la suite va continuer dans la même voie.

– Red Lanterns. Charles Soule termine plutôt bien l’arc, par contre, vu les pertes en personnages, il va falloir renouveler un peu la distribution pour la suite de la série.

– Sinestro. Mouahaha ! La belle démonstration de puissance, et d’orgueil soit dit en passant. J’imagine qu’à un moment ou un autre tout ça va se retourner contre Sinestro et je suis curieux de voir comment. Et ça fait du bien de voir Hal Jordan se faire un peu remettre à sa place.

– Star Spangled War Stories. Je commence à me faire au style graphique, qui colle assez bien à l’histoire. L’intrigue se développe un peu, on introduit doucement quelques personnages supplémentaires et notre agent zombie développe un peu son cv. Je maintiens mon impression d’un titre Vertigo.

– Superman. J’aime bien ce que fait Johns avec cet arc. Le parallèle entre Ulysses et Superman est vraiment intéressant et l’on voit bien que ce dernier aimerait vivre la même histoire que le premier.

Herbefol
9 années il y a
Répondre à  ArnoKikoo

J’ai déjà commencé les premiers numéros du mois, donc ça devrait continuer. :-)

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