Review VF – Justice League Saga #8

[Review VF] Justice League Saga #8
Les points positifs :
  • Jeff Lemire et Sorrentino au sommet
  • Nega-Flash est aussi bon
  • La Société Secrète est convaincante
Les points négatifs :
  • Deadshot est une catastrophe
  • Matt Kindt pas en grande forme

Nous retrouvons en plein cœur de l’événement Forever Evil et les vilains de l’univers DC sont à l’honneur. Vous retrouverez ce mois-ci, dans votre kiosque, l’origine de La Société Secrète, et le retour de Black Adam. Deadshot profitera aussi d’une explication sur ses origines, une histoire sur Harley Quinn, nous apprendrons plus sur le Nega-Flash et une histoire inédite sur le Comte Vertigo.

Justice League Saga #8 est disponible depuis le 13 Juin 2014 au prix de 5,60 euros.


JUSTICE LEAGUE #23.4 : La Société Secrète

  • Scénario : Geoff Johns, Sterling Gates Dessins : Szymon KudranskiColorisation : John Kalisz

Attention, le titre de ce numéro est un peu mensonger; plus que nous parler de la société secrète, ce comic-book nous parle simplement de l’Outsider, incarnation maléfique d’Alfred Pennyworth, issue de la Terre-3. Ce personnage nous y expose aussi partiellement les origines de son maître, Thomas Wayne, alias Owlman, équivalent local de Batman. Bien qu’étant relativement correct, l’épisode est plombé par quelques défauts : il est assez difficile d’accès pour les lecteurs qui ne connaissent rien à la Terre3 décrite il y a quelques années par Grant Morrison, et l’histoire semble incomplète, ce qui en laissera plus d’un sur sa faim. Owlman est ici en quête de son partenaire disparu, l’Ergot, et sera confronté à son pire ennemi, le Joker, anarchiste qui combat la domination de Gotham par cette version maléfique du chevalier noir. L’idée est plutôt bien exploitée, mais on nous révèle très peu de choses sur le clown de la Terre3 et le récit est bien vite expédié. Il est dommage que Geoff Johns et Sterling Gates n’aient pas réussi à nous livrer une histoire intéressante, tant le travail de Kudranski, sublimé par les couleurs de Kalisz, est réussi, rappelant l’ambiance de V pour Vendetta, avec une Gotham oppressante à souhait. Notons aussi l’originalité de la narration, qui nous en révèle un peu plus sur la personnalité de l’Outsider, personnage qui se détache vraiment du lot, au milieu de cette mouture “New 52” des méchants venus de cette fameuse Terre parallèle.

– Zeppeli

Note : 6/10

Ce numéro axé sur la nouvelle menace venant de Terre3 raconte l’origine d’Owlman narrée par l’étrange Outsider. Il est d’ailleurs assez drôle de voir la différence entre ces deux terres et surtout comprendre qui est Owlman et le Grayson de cet univers, une grande surprise pour ma part, que j’ai trouvé bien amenée. Finalement, j’aimerais en voir plus sur ce monde, voir ce que chaque personnage de l’univers DC devient. Le rapport avec La Cour des Hiboux est omniprésent, il faut donc avoir lu les deux arcs pour apprécier pleinement ce numéro. Cependant, après cette lecture, beaucoup de détails vont réveiller votre curiosité et vous voudrez en savoir plus sur cette Terre3, ce qui peut être frustrant.

Kudranski signe un épisode sombre dans la même lignée que le tie-in sur L’Épouvantail. La scène de fin est magique et nous laisse sur le fessier.

– Deiimo

Note : 8/10

JUSTICE LEAGUE #23.4 : SECRET SOCIETY


JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #7.4 : BLACK ADAM

  • Scénario : Geoff Johns, Sterling GatesDessins Edgar SalazarColorisation : Gabe Eltaeb

Le défenseur du Kahndak revient d’entre les morts une nouvelle fois pour défendre la veuve et l’orphelin, enfin presque. Vous l’aurez compris, je parle évidemment de Black Adam, digne rival de Shazam ayant succombé à ce dernier, qui est invoqué par des insurgés souhaitant le retour de leur champion. Si l’histoire n’est pas forcément dingue, elle permet de faire revenir Black Adam et de l’introduire dans l’événement. On nous montre aussi que le Kahndak ne peut se séparer de son champion, des groupes d’insurgés le vénèrent et protègent le pays des dictateurs en son nom “Les Fils DAdam”. Cette lecture n’est pas si optionnelle si on veut comprendre comment Black Adam est revenu à la vie, mais elle est n’est pas non plus fondamentale.

Edgar Salazar nous propose des dessins plutôt bons, Gabe Eltaeb, quant à lui, nous rend la lecture agréable avec ses couleurs.

– Deiimo

Note : 7/10

Signé Geoff Johns et Sterling Gates, ce numéro consacré à Black Adam nous parle de l’état actuel de son pays d’origine, le Kahndak, dans lequel a lieu une guerre qui oppose des rebelles à un dictateur, situation proche de celle qu’avait connu l’ancien champion de la magie à son époque qui avait vaincu un tyran portant le même nom que celui du chef d’état dont il est question dans cet épisode. Adam, vaincu par Shazam dans les back-ups de la série Justice League, avait été réduit en poussière et les rebelles cherchent à le ramener. Ce n’est donc pas un numéro d’origines que l’on nous propose, déjà présent dans les pages de Shazam, et c’est là la force de l’épisode, qui développe la caractérisation du personnage de Black Adam et en fait quelque chose d’autre qu’un simple méchant, tant il est ici présenté sous un jour héroïque, défenseur de son peuple. Il est toutefois dommage que cette histoire ne soit pas développée et ne dure qu’un seul numéro, qui sert probablement de simple prétexte à l’événement qui survient dans les dernières pages de ce comic-book.

Les lecteurs ayant connu la période pré-New 52 apprécieront toutefois l’apparition dans ce numéro de deux personnages, Amon et Adrianna, qui avaient eu un peu d’importance dans la série hebdomadaire 52, sous la plume de Johns. La partie graphique du numéro n’est cependant pas au niveau du travail de Gary Frank, mais Edgar Salazar nous livre une prestation correcte, son Black Adam semble extrêmement puissant et les scènes d’actions sont plutôt réussies, et c’est bien l’essentiel.

– Zeppeli

Note : 6,5/10

JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #7.4 : BLACK ADAM


JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #7.1 : DEADSHOT

  • Scénario Matt KindtDessins Sami Basri, Keith ChampagneColorisation : Matt Milla

“Libéré” de l’Escadron Suicide par les récents événements, Deadshot continue sa petite vie de mercenaire en enchaînant contrat sur contrat. Ce retour au “train-train” lui permet une introspection et un retour sur ses origines, avant que l’on ne refasse appel à lui. Et c’est une relecture totale des origines de Deadshot qui nous est offerte par Matt Kindt ! Et la sortie récente de “La Cible de Deadshot” chez Urban, nous permet de nous rendre compte que l’on ne gagne pas au change, de cette espèce de Batman à l’envers à la psychologie complexe développé par Ostrander on passe à un “banal” vilain ivre de vengeance, c’est très décevant. Ajoutez à cela un scénario qui ne fait pas tellement avancer le Schmilblick et, au final, on ne retient pas grand chose…

Les dessins à quatre mains, séparés en séquences du passé et du présent, souffrent de l’habituel manque de cohérence dû a ce genre d’arrangement : les séquences du présent de Basri et Champagne mises en couleur par Milla, sont superbes, bien qu’un peu vides au niveau des décors. Les séquences du passé (de Carnero et Bit, mis en couleurs par Cox), elles, sont nettement moins réussies et manquent cruellement de détails. Franchement pas grand chose à sauver de ce numéro, mis a part, peut être, le nouveau design de Deadshot, assez réussi.

– Darthfry

Note : 3/10

Soyons clairs, Matt Kindt fait partie de ces scénaristes qui réalisent de bons scénarios quand ils travaillent sur des comics indépendants, mais ont tendance à se casser les dents quand il s’agit de travail pour les “big two”, Marvel et DC. Et ce n’est pas cet épisode consacré aux origines de Deadshot qui me fera changer d’avis.

On retrouve le fameux sniper alors qu’il se trouve délivré de ses obligations envers la Suicide Squad, suite aux événements du premier épisode de Forever Evil. C’est à cette occasion que Floyd Lawton repense à ses origines, décrivant les raisons qui l’ont poussé à devenir le mercenaire que l’on connaît. Ce récit introspectif est un véritable ramassis de clichés usés jusqu’à la corde, et l’on regrette la finesse de la caractérisation du personnage par John Ostrander, dans la mini-série proposée par Urban sous le titre “La Cible de Deadshot”, dont je ne saurais que vous conseiller la lecture (et l’achat). Les dessins du numéro ne sont pas cohérents entre eux, en raison de la flagrante différence de style entre les dessinateurs qui y ont travaillé. De même, certaines pages sont très simples et manquent un peu de détail, ce qui donne parfois l’impression d’un travail bâclé. Si vous n’avez pas le temps de terminer votre magazine, zappez cette épisode.

– Zeppeli

Note : 2/10

JUSTICE LEAGUE OF AMERICA #7.1 : DEADSHOT


DETECTIVE COMICS #23.2 : HARLEY QUINN

  • Scénario : Matt KindtDessins : Neil GoogeColorisation : Will Quintana

Tout comme Deadshot, Harley se retrouve libre de tout engagement vis à vis de l’Escadron Suicide et fait un retour à Gotham qui lui permet de revenir sur son passé. Née d’une famille nombreuse bruyante et désorganisée, la jeune Harleen réussit quand même brillamment ses études de psychologie, ce qui l’amène à travailler à Arkham et à rencontrer le Joker. Ce coup-ci, Matt Kindt réussit à rendre l’histoire intéressante, pas de bouleversement majeur dans les origines, mais un cheminement vers la folie assez progressif plutôt crédible Le personnage garde en plus un côté très “girly” qui plaira aux moins poilues d’entre nous.

Les dessins de Googe sont très bons, ils rendent assez bien compte de la progressivité de la transformation de l’héroïne. Par contre, la palette de couleurs utilisée par Quintana, plutôt pastel, ne colle pas du tout avec l’univers coloré de la demoiselle Queen. Des couleurs plus vives m’auraient davantage emballé. Un numéro très sympathique qui rend parfaitement justice à un des personnages les plus attachants du bestiaire affrontant habituellement la Bat-Family.

– Darthfry

Note : 6,5/10

Tout comme pour le numéro précédent, on sent que Matt Kindt n’est pas à l’aise sur l’épisode. On a encore une fois droit au cliché de l’enfance malheureuse et on se retrouve, dans un flashback, avec une toute jeune Harleen qui peine à étudier au milieu d’une famille nombreuse et désorganisée, qui réussira toutefois à obtenir son doctorat et à travailler à Arkham, où elle rencontrera le Joker.

L’épisode parvient à se montrer fun à quelques reprises, ce qui le sauve du naufrage total, et le mélange des tons, entre l’humour et le grim & gritty, se fait sans trop de mal, et l’on se plaît à remarquer que le scénariste parvient tout de même à cerner la caractérisation psychotique du personnage d’Harley Quinn, et qu’il n’oublie pas l’histoire du personnage dans sa version New 52, notamment ses relations avec le Joker et avec Deadshot. Le tout n’est cependant pas dénué de défaut, le plan mis en œuvre par la demoiselle semble en effet très violent si on le compare à son modus operandi habituel, mais cela peut s’expliquer par le fait qu’elle parvient à s’émanciper et à œuvrer par elle-même, pour cesser d’être simplement la sidekick du Joker. Reste un design New 52 toujours aussi discutable, dont l’explication par l’humour est loin d’être réussie, tant le côté slapstick de la séquence dénote avec la noirceur du final de l’épisode. Graphiquement, le trait cartoony de Googe convient parfaitement à l’héroïne, avec cependant le même bémol concernant la séquence finale, et les couleurs nuancées de Quintana mettent en relief cette ambiance mi-fun, mi-sombre, qui divisera probablement le lectorat.

– Zeppeli

Note : 5/10

DETECTIVE COMICS #23.2 : HARLEY QUINN


FLASH #23.2 : NEGA-FLASH

  • Scénario : Francis Manapul, Brian BuccellatoDessins : Scott HepburnColorisation : Brian Buccellato

Je voulais absolument lire ce numéro de Flash, pour enfin connaître l’origine New 52 du ReverseFlash. L’attente est enfin terminée et je découvre une histoire comme je les aime. On apprend donc la véritable identité de ce tueur possédant lui aussi la Force véloce et l’intrigue du dernier Flash en date se complète. On comprend donc les motivations qui ont poussé ce dernier à en vouloir à Flash, un point commun identique aux Lascars, à la différence que ces derniers ne répondent pas par la violence. Malgré tout, je trouve l’origine de l’obtention de ses pouvoirs grotesque, ça aurait pu être une phase mémorable de l’histoire, mais c’est ce que j’ai le moins apprécié. Le reste n’est que bonheur et bien évidemment Buccellato et Manapul nous laissent sur notre faim pour en savoir plus.

Ce n’est pas Manapul aux dessins, mais c’est tout comme, on retrouve Scott Hepburn, et ses dessins sont splendides à l’exception de la scène à Keystone avec les Lascars bien en-dessous du reste. Brian Buccellato aux couleurs c’est un régal, comme d’habitude.

– Deiimo

Note : 8/10

Comme vous l’aurez probablement compris à travers mes reviews, je fais partie de ceux qui n’avaient pas apprécié le Villains Month, notamment à cause du fait que la plupart des numéros proposés soient inutiles et n’apportent rien à la série à laquelle ils sont rattachés, et encore, ce serait admettre que tous les personnages présentés sont apparus dans les séries dont il est question sur la couverture… Mais ce numéro fait partie de ceux qui bénéficient d’un traitement intelligent.

Le NégaFlash est en effet le méchant de l’arc en cours chez Urban Comics, et il est tout à fait cohérent de voir un épisode consacré à ses origines, de plus, l’équipe créative qui réalise le numéro est bien celle que l’on connaît, Brian Buccellato et Francis Manapul étant présents aux commandes de cet épisode, accompagnés du dessinateur Scott Hepburn, qui réalise des planches parfaitement adaptées au look habituel de la série. On pourrait reprocher à ce numéro le sempiternel cliché du méchant qui a eu une enfance difficile, mais c’est plutôt bien traité ici, et tout est parfaitement lié au déroulement de l’intrigue. Notons aussi qu’il ne s’agit absolument pas d’un one-shot, mais bel et bien d’une histoire dont la lecture est indispensable pour ceux qui suivent Flash, dont le vingt-quatrième numéro contient l’affrontement entre les deux bolides écarlates.

– Zeppeli

Note : 7/10

FLASH #23.2 : REVERSE-FLASH


GREEN ARROW #23.1 : COMTE VERTIGO

  • Scénario : Jeff LemireDessins : Andrea SorrentinoColorisation : Marcelo Maiolo

Nous allons naviguer au travers ce numéro dans le passé du Comte Vertigo, mais aussi le présent après sa défaite cuisante fasse à Oliver Queen. Pour ce qui est du passé, on va découvrir des étapes clés de sa vie et faire plus ample connaissance avec sa génitrice puisqu’il s’agit d’un personnage important dans cette histoire. Je ne suis jamais déçu en lisant une histoire de Green Arrow et là encore moins. Le travail de Jeff Lemire sur le titre est parfait, le titre est devenu pour moi une valeur sûre depuis que cette équipe créative a repris le flambeau. Ce qui est encore plus plaisant ici, c’est que l’on sent que l’auteur a le choix et donne une dimension à l’histoire réellement dramatique, impactant encore plus l’antagoniste d’Oliver Queen sur le plan mental.

Andrea Sorrentino toujours aussi bon, que dire à part que c’est parfait ? Une lecture très agréable que je recommande.

– Deiimo

Note : 9/10

S’inscrivant dans la lignée de la série Green Arrow, cet épisode consacré au Comte Vertigo revient sur les origines du personnage. C’est avec plaisir que l’on retrouve Jeff Lemire à l’écriture et Andrea Sorrentino au dessin. L’épisode est réellement plaisant et nous montre comment le supervilain a acquis ses pouvoirs, et pourquoi il se fait donner le titre de Comte. Le tout est bien écrit, la tragédie personnelle de ce pauvre Werner Zytle sonne totalement juste et explique sa personnalité. Sa caractérisation est réussie, c’est un homme brisé à qui les rebelles ont tout pris, son avenir lui a été volé et son but est simplement de retrouver la place qui devait être la sienne. Si l’on ne peut adhérer à son point de vue, nous comprenons facilement ses motivations et si l’on ne pourra pas excuser ses actions, on devinera ce qui le pousse à agir ainsi. Beaucoup de souffrance se dégage des pages de ce numéro, aussi bien des mots de Lemire que des trains de Sorrentino, sublimés par la colorisation de Marcelo Maiolo, qui rend parfaitement l’ambiance sombre et désespérée de cet épisode.

– Zeppeli

Note : 9/10

GREEN ARROW #23.1 : COUNT VERTIGO

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Deiimo

Deiimo

Fan des super-héros depuis le plus jeune age, élever à la Tim Burton, Urban comics a redonner un second souffle à DC Comics, Zatanna Zatara pour mentor!
DC COMICS : L'ENCYCLOPEDIE ILLUSTREE

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6 Commentaires
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BOOYAH!!
BOOYAH!!
9 années il y a

Il faut vraiment que je continu d’acheter les Justice League Saga.

Jibé
Jibé
9 années il y a

Excellent numéro pour moi, si l’on écarte effectivement Deadshot… J’ai par contre adoré l’histoire avec Harley Quinn ! Étrange mélange dégageant une ambiance à la fois légère et sombre… 9/10 pour le dessin sur cet épisode, simple mais réussi.
Flash et GA sont au top, comme d’hab.

swamp bat
swamp bat
9 années il y a

Je voudrais si après forever evil les mag justice league, green lantern et superman commencer de nouveaux arc

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