[Review Express VO] Semaine #141 (Superman : Doomed)

Le Coup de Cœur de la semaine

  • AC #31- S/WW #8

Le Top de la semaine

  •  The Royals : MoW #4

Le Flop de la semaine

  • Worlds’ Finest #23

Bonjour à toutes et tous et bienvenue dans votre incontournable rendez-vous du Vendredi soir avec la superbe rubrique des Review Express VO qui vous fait faire le tour des sorties de la semaine de Vertigo et du côté New 52 ou Beyond The New 52 de DC Comics avec les critiques des différents membres de l’équipe !

Nous avons eu droit à une « grosse » semaine pour Vertigo qui nous a proposé trois titres différents, et nous avons le plaisir de retrouver Batman ’66 dans la partie Beyond grâce à notre Zeppeli l’intrépide qui avait preuve d’une fainéantise lors de la sortie du 33ème numéro (vous pouvez lui jeter des cailloux). Les séries hebdomadaires méritent selon nous toujours d’être mises en valeur et c’est pour ça que nous avons accordés des reviews détaillées à Batman Eternal #6 et The New 52 : Futures End #2 ; mais la semaine a également été marquée par la sortie de Superman : Doomed #1 (notre critique se trouve ici) qui a ensuite continué dans les pages de deux séries de la Super-Family. Et apparemment, ce crossover c’est du tout bon !

D’autres séries connaissent une baisse de régime, et Paul Levitz donne l’impression d’avoir laissé tomber l’envie de raconter quelque chose… Pour le reste, suivez le guide ! N’hésitez pas à partager vos avis et critiques dans les commentaires en fin d’article !


VERTIGO

 

ASTRO CITY #12

review ASTRO CITY #12

J’adore Astro City mais ce numéro, c’est un peu du Scorsese, sans le génie. Busiek nous montre, en effet, le chemin vers les sommets puis la chute d’un gangster passionné par les belles fringues et l’apparence avec une histoire rythmée par les monologues intérieurs de son héros. Seulement voilà, là où l’auteur parvient habituellement à nous faire sentir de l’empathie pour ses personnages, ici ça ne fonctionne pas. Finalement même si l’histoire est plutôt sympathique à lire, il n’en ressort rien de mémorable puisque, sans cesse, une distance s’installe entre le personnage et le lecteur et puisque tout tourne autour de lui, c’est malheureux. C’est d’autant plus dommage qu’un ton très ‘pulp’ bien agréable émerge petit à petit dans le récit, mais on le doit en grande partie à Graham Nolan. L’artiste apporte un vrai vent de fraicheur au titre et délivre des planches dans un esprit rétro tellement bien ficelé qu’on a l’impression d’entendre le bruit des casinos et des cabarets à travers les rues de la ville.

Dommage donc que Kurt Busiek ait perdu, le temps d’un numéro, sa formule magique pour nous faire apprécier pleinement ses personnages parce que pour le reste, il y avait le potentiel pour un récit super fun.

– n00dle

Note : 6/10

 

FBP: FEDERAL BUREAU OF PHYSICS #10

review FBP: FEDERAL BUREAU OF PHYSICS #10

Cet arc « Wish You Were Here » est de plus en plus intéressant ! J’avais eu du mal à accrocher au début mais ici Simon Oliver nous explique concrètement quelle est la situation pour les agents Hardy et Reyes et les situations qu’ils vivent prennent une tournure bien plus énigmatique, et c’est Reyes qui prend même plus d’importance que le personnage principal ici. On voit également les débuts d’une sous-intrigue débuter avec une mise en scène froide et qui risque de vous mettre bien mal à l’aise ; on lorgne de plus en plus du côté du thriller et la tension grandissante me laisse espérer une histoire qui va enfin hisser la série vers de jolis sommets. Simon Oliver se la joue encore plus flemmard que d’habitude sur les décors, laissant Rico Renzi s’amuser avec les couleurs (la couverture de Nathan Fox est à ce titre très dangereuse pour vos rétines), même si ça manque d’explosions visuelles comme les anomalies de la physique aiment à nous en donner. Pour autant, l’intérêt est remonté avec ce numéro !

– ArnoKikoo

Note : 7/10

 

THE ROYALS : MASTERS OF WAR #4

review THE ROYALS : MASTERS OF WAR #4

The Royals : Masters of War est l’une de mes meilleures découvertes des derniers mois chez Vertigo et Rob Williams signe encore un très bon numéro ce mois-ci. Plusieurs changement s’opèrent ici ; changement de lieu puisqu’on quitte les îles du Pacifique pour aller rejoindre les Russes à Stalingrad. Changement également de team-up puisque le prince Henry s’associe à sa soeur Rose pour cette opération. Les liens plus qu’ambigus entre ces deux personnages fascinent, car malgré les difficultés, on a envie de les voir heureux ensemble malgré le caractère incestueux qu’aurait cette relation. Mais c’est dans la violence sourde de la situation à Stalingrad que Williams impressionne, en nous montrant les Royals de cette contrée, dont un qui vous laissera un souvenir, disons, marquant. Au niveau artistique, c’est toujours aussi beau. Simon Coleby est une révélation pour moi, l’horreur vécue par les personnages est parfaitement retranscrite, les émotions se lisent sur les personnages, l’action est lisible. Que du bon, je vous dis !

– ArnoKikoo

Note : 8,5/10

 

 


BEYOND THE NEW 52

 

BATMAN ’66 #34

review BATMAN '66 #34

Dans cet épisode de Batman ’66, nous retrouvons Jeff Parker aux commandes d’un nouvel arc, accompagné d’un nouvel artiste, Dario Brizuel dont le trait cartoony sied particulièrement bien au ton décalé de la série. Pour la première fois dans ce comic book, on nous présente le personnage de Marsha, la “Queen of Diamonds”, jouée par Carolyn Jones dans la version télévisée, qui, à l’aide d’une sorcière, prépare un plan afin de s’emparer des plus beaux diamants de Gotham. L’intrigue est fun et décomplexée comme d’habitude et les gags visuels font mouche, l’utilisation du turbomedia est toujours aussi efficace et ce numéro est un début d’arc tout à fait satisfaisant. Vivement la suite.

– Zeppeli

Note : 7/10

 

BATMAN BEYOND 2.0 #20

review BATMAN BEYOND 2.0 #20

Terry McGinnis est toujours coincé dans la timeline des Justice Lords avec son double qui a un peu mal tourné. Nous avions laissé nos deux héros aux prises avec une bande de Jokerz et notre Terry exploite le costume de Batman qu’avait laissé Lord Batman dans son repaire ; un costume badass et puissant dont l’utilisation est montrée et démontrée dans les planches d’un Thony Silas qui a toutefois un peu de mal à retranscrire une action lisible. Le numéro laisse également place à un court dialogue entre les deux Terry avec un sens assez équivoque ; mais le numéro se finit déjà alors que la situation n’a pas vraiment évolué, et Higgins use à nouveau d’un cliffhanger (de toute façon attendu au vu du dernier numéro de Justice League Beyond 2.0) qui ne fait pas vraiment d’effet – même si la suite se fera attendre. Un numéro sympathique mais il faudrait que l’arc décolle plus à présent.

– ArnoKikoo

Note : 7/10

 

INJUSTICE : GODS AMONG US : YEAR TWO #9

review INJUSTICE : GODS AMONG US : YEAR TWO #9

La vache, faire ses REVO juste après notre premier Live est finalement quelque chose d’assez éprouvant. Je pense que j’ai parlé pour deux jours au moins. Et puis vous commencez à connaitre la chanson avec cette série.  Pour 0,99€ vous avez un Injustice : Gods Among Us – Year Two #9 qui doit voir une armée de Green Lantern ramener gentiment Superman sur Oa pour avoir une « discussion » avec les Guardians. Comme toujours la fin est complètement inattendue puisque le numéro est construit pour nous faire croire quelque chose, et en fait, bah non. C’est d’ailleurs un énorme kiff que ces deux dernières pages qui mettent clairement Superman dans une case particulière. On ajoute à cela un peu d’humour, de complot, de préparation de guerre et vous avez une histoire un peu vide, mais qui reste terriblement accrocheuse. Bruno Redondo me semble en petite forme cette fois-ci même si l’expression des visages n’est pas à jeter. C’est surtout que ça fait un peu froid.

– Nathko

Note : 8/10

 


NEW 52

 

ACTION COMICS #31 – SUPERMAN/WONDER WOMAN #8 (Superman : Doomed)

review ACTION COMICS #31

review SUPERMAN/WONDER WOMAN #8

Action Comics #31 fait directement suite à Superman : Doomed #1 et commence le nouvel arc Infected. On retrouve donc un Superman qui était resté à terre après une bataille épique. Mais voilà, la bête semble ne plus faire partie des vivants et Superman sent que quelque chose ne va pas chez lui. Et à Greg Pak de nous montrer encore une fois son talent. Superman pense beaucoup dans ce numéro mais très honnêtement, quand c’est fait comme ça on aime y être. Les bulles de pensées apportent de l’information concrète sur son état d’esprit et les changements qu’il est en train de traverser. Mais c’est aussi ses relations avec les autres personnages qui l’entourent qui sont une vraie réussite. Le Kryptonien n’a jamais semblé aussi entouré et purée qu’est-ce que c’est bon de voir une telle version de la Justice League. Le soutien de ses coéquipiers est extrêmement bien rendu, chacun est à sa place et sait ce qu’il doit faire, naturellement, même Lex Luthor. J’ai vraiment vu une équipe évoluer autour de l’un de leur membre, si ce n’est LE membre du groupe. La relation Superman/Wonder Woman, celle Superman/Batman et même Superman/Lex Luthor sont un plaisir de naturel. Petite déception du côté artistique puisqu’ils sont 3 à officier sur le numéro et ils n’ont pas du tout le même style. Du coup le flow du chapitre est un peu rompu.

Autant on peut critiquer DC Comics sur les problèmes de publication pour certains events ou crossovers mais là je dois avouer que lire trois chapitres d’une même histoire dans la même semaine m’enchante au plus haut point, surtout lorsqu’il s’agit de Superman et encore plus quand c’est du bon ! Parce que franchement, malgré quelques défauts par ci par là, même cette deuxième partie est vraiment géniale. Charle Soule nous délivre une vraie belle histoire entre Wonder Woman et Superman tout en y incluant les femmes de la vie de Clark ainsi que son meilleur ami. Superman, dans son monologue soulève des questions ingénieuses, remettant même en question le travail de l’auteur sur la série. Les dialogues sont touchants et la ténacité de Diana est remarquable. L’affection que ces deux ont l’un pour l’autre prend vraiment de plus en plus d’ampleur et l’on ressent une véritable connexion entre eux. Ce qui n’a finalement commencé que par dépit est aujourd’hui une belle histoire d’amour entre deux êtres qui ont quelques pouvoirs. Qu’est que j’aime ce numéro ! En plus Tony S. Daniel retrouve un semblant de forme avec des dessins moins froids, moins stoïques qu’au début de la série. Les visages sont expressifs, les décors variés et plutôt fins. Et que dire de Superman… La grande classe !

– Nathko

Note : 8,5/10

 

BATGIRL #31

review BATGIRL #31

Pour une fois que Gail Simone ne joue pas sur la prétention de Batgirl, et qu’elle confronte bien sa vie civile et sa vie de vigilante, en y ajoutant un Ragdoll qui annonce une histoire assez sympathique, voilà que Fernando Pasarin se rate assez passablement sur les planches. Cela semble peut-être disproportioné, mais voir des expressions comme il les travaille dans ce numéro ce n’est pas possible, voir Barbara avec des têtes abominables nuit au titre. Batgirl est une jeune et jolie jeune femme, pas un croisé entre un cocker et une actrice de film pour adulte prête à entrer en scène. C’est vraiment dommage, le fait que Batgirl soit épiée, que Ragdoll débarque de la sorte, travaillé de manière à déranger le lecteur, le fait qu’Alysia soit mêlée à toute cette histoire c’était vraiment très intéressant, mais il faut que la lecture soit compliquée par ces planches où l’on ne peut que se demander pourquoi ? Pourquoi faire des expressions de la sorte alors que d’autres cases sont bien meilleures… Je ne comprends pas…

– Harley

Note : 5/10

CONSTANTINE #14

review CONSTANTINE #14

Constantine est de retour ce mois-ci pour satisfaire une quête qui avait de quoi perdre les lecteurs. Il a le Cult of the Cold Flame à ses trousses une nouvelle fois, mais cette fois, nous apprenons pourquoi ils ont besoin de lui, selon le plan du père de Sargon. Ce qu’ils ne savent pas c’est qu’il a une longueur d’avance. Cette longueur d’avance il va la passer à réunir deux êtres, dont l’un qui est dans un tourment éternel et brûle tous les pyromanes dans une petite cabane. Nous en apprenons un peu plus sur John Constantine qui retrouve son caractère indépendant dans ce numéro. Maintenant, les planches d’Edgar Salazar et Jay Leistein sont étranges. On pourrait par moment croire qu’il y a plusieurs artistes sur le titre alors qu’en fait il s’agit d’un dessinateur et d’un encreur. C’est étrange, peut-être est-ce la magie de Constantine qui fait ceci mais en tout cas c’est étonnant. Malgré tout, ce numéro est pas mal, même s’il manque un peu de fond. Le cliffhanger de la fin tient en haleine et c’est à se demander si Ray Fawkes n’a pas misé toute la force du numéro sur ce cliffhanger car le reste bien qu’intéressant ne semble pas bien utile.

– Harley

Note : 6,5/10

GREEN LANTERN CORPS #31

review GREEN LANTERN CORPS #31

Pinaise, mais c’est encore une vraie bonne semaine de lecture, en tout cas de mon côté. Le Green Lantern Corps, après la bataille dans le dernier numéro de Green Lantern, se lance à la poursuite de leurs membres disparus. Les anneaux maintenant à la recherche des propriétaires peuvent être suivis vers les porteurs, et donc, être localisés pour un sauvetage en bonne et due forme. Mais si cette partie est agréable, c’est les dernières pages qui vont vous exciter un peu le zibouiboui. Un personnage emblématique de l’univers Green Lantern fait son retour et il est fracassant. Encore un qui se paye une sacrée classe juste parce qu’il a des cheveux long et des yeux qui font plus que de la lumière. Les pauvres Khund et Durlans en font les frais et c’est tant mieux. Une victoire qui fait du bien pour un Corps qui était à la peine jusque-là. Est-ce le signe d’un revirement de situation ? Est-ce que ces bonnes choses vont durer ? Rien n’est moins sûr avec cette série mais une chose l’est, c’est que Green Lantern Corps #31 ben c’est bien cool !

– Nathko

Note : 7,5/10

JUSTICE LEAGUE UNITED #1

review JUSTICE LEAGUE UNITED #1

Le souffle retombe un peu pour la Justice League United avec un numéro principalement axé sur le combat. Que ce soit entre Hawkman et Lobo avec une scène bien gore à la clé, ou entre la JLU et cette menace extraterrestre. Chaque héros est plutôt bien exploité bien que Green Arrow soit un peu inutile mais sert encore une fois de prétexte à des punchlines marrantes. Son duo avec Animal Man fonctionne toujours aussi bien. Adam Strange finit par trouver son célèbre costume et j’ai trouvé le tout un peu téléphoné quoique la scène est traitée avec énormément de dérision. La façon dont il se fait éjecter direct par le colosse est hilarante. Un autre duo vraiment soudé entre Stargirl et Martian Manhunter fait plaisir à voir. Et ce dernier, s’il n’est en rien nerfé, aura tout de même bien besoin de l’aide de cette dernière. Pour terminer un scène bien creepy à la Lemire conclue le numéro qui n’aura cependant pas présenté à nouveau le futur membre canadien de la ligue.C’est donc toujours une histoire aussi classique mais bien écrite avec des fulgurances incroyables. Toutefois il y a peut être trop d’action. Reste que la caractérisation est excellente.

Mike McKone et son coloriste Marcelo Naiolo livrent des planches magnifiques alliant découpage intéressant et très bonnes idées. Preuve en est ces planches où les personnages sont en noir et blanc et fort bien encrés d’ailleurs, avec des petites touches de rouge sur un fond rouge. Je sais ça peut paraître bizarre mais vous comprendrez en voyant les planches.

– MFW

Note : 7,5/10

SUPERBOY #31

review SUPERBOY #31

Oh mais tiens, c’est que Superboy ça commence à devenir sympa, en plus d’avoir une direction qui semble se dessiner. On n’est évidemment pas dans la grande lecture mais par rapport à ce qui se faisait avant, c’est plutôt cool. Du coup, Superboy a les problèmes qu’on lui connaît. Un personnage mystérieux fait son entrée et manipule un peu tout le beau monde présent. On ne sait pas encore dans quel but mais une chose est sûre, ce n’est pas pour le bien de l’humanité. Aaron Kuder, qui est à l’écriture et non aux dessins, s’amuse avec le One-shot qu’il avait fait sur Parasite lors du Villains Month pour l’intégrer de façon à servir la caractérisation de Superboy en mode bien fun. Kuder confirme doucement que le personnage peut être intéressant à suivre si on a le talent qui va avec, et puis si on quelque chose à raconter. En tout cas le bougre se débrouille bien avec la dépouille de série qu’on lui a laissée. Chapeau !

– Nathko

Note : 6,5/10

WORLDS’ FINEST #23

review WORLDS’ FINEST #23

Elles ne rentreront jamais sur Earth-2, ou peut être dans le numéro #189. Non parce que là c’est pas possible monsieur Levitz. La preview m’avait fait peur présentant un arc appelé I must Be Going dont voici la première partie. Et encore une fois des péripéties inutiles vont empêcher nos chères amies de se barrer. Point de flashback hors sujet toutefois cette fois-ci ce qui est un plutôt bon point, il en faut au moins un. Alors en gros ce que l’auteur a inventé pour retarder encore une fois le départ c’est…une coupure de courant massive. J’avoue je ne l’avais pas vu venir. Elle est bien bonne. Comme si nous n’en avions pas eu assez de lui l’antagoniste chiant comme la mort Desaad se pointe à nouveau et à mon avis a un nouveau plan diabolique qui s’étalera sur18 numéros. Pendant le blackout Huntress doit se battre contre des gens qui profitent de ce dernier, les miliaires jouent au tir au pigeon avec Power Girl… Et à la fin il se passe un truc qui me fait me dire qu’on en a pas fini… loin de là. Bon alors franchement encore une fois le rythme et lent, Paul Levitz met encore plus sa série dans une errance malvenue. Désolé mais c’est chiant et mou et les scènes d’actions ne sont que cosmétiques, cette série est juste chiante, voilà c’est dit. Il n’y a pas d’autres mots. C’est de moins en moins supportable de voir de telles digressions. Alors je vais être sévère mais non la recette ne fonctionne plus, il faut que ça avance plus vite sinon je continuerai à être acide et à rager.En plus R.B Silva continue à rater environ un visage sur deux. La tête de Karen dans la 3e page est horrible. Je parlais de leprechaun la dernière fois mais là on dirait carrément Elephant Man. Toujours sur les visages il fait très fort en détaillant au minimum ceux des personnages en arrière plan voire pas. J’ai repéré au moins deux nouvelles Question. Alors certes les décors détaillés et la colorisation au top sauvent un peu le tout. Et c’est dynamique. Comme d’hab c’est Yldiray Cindar qui tire le numéro vers le haut sur ses planches.

– MFW

Note : 2,5/10

Que dire de plus que ce que mon collègue a dit ? Je veux bien que Levitz ait envie de mettre des péripéties avant que nos deux héroïnes atteignent leur but, sauf qu’il faudrait que les dites péripéties soient intéressantes ou aient quelque chose à voir avec l’histoire en cours, ou encore que ça semble important, que y ait des enjeux, que… Bon et puis Desaad qu’est-ce que tu fous là ? Barre toi donc vers une série où tu seras un peu mieux écrit parce qu’ici, ça fait 15 numéros que tu te balades de temps à autre et à part dire des trucs qui n’ont aucun sens et te gargariser avec ta sale tronche, bah tu fais pas grand chose. En fait je comprends pourquoi Darkseid l’a laissé là-bas, il est tellement useless qu’il a pas envie de se le coltiner ! Pour la partie artistique, je déplorerai simplement que les planches de Cinar ne soient pas un peu plus présentes, R.B. Silva commence à me fatiguer avec les difformations de ses personnages ; il y a quelques mois c’était encore assez passable pourtant. What the hell happened ?

– ArnoKikoo

Note : 3/10

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ArnoKikoo

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